Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 11 décembre 2018

La moitié des radars automatiques hors-service

Publié par Guy Jovelin le 11 décembre 2018

Au moins 250 d’entre eux ont été détruits et plus de 1500 ont été vandalisés depuis un mois, selon Europe 1.

C’est l’autre conséquence de la colère des automobilistes. La moitié des radars automatiques a été mise hors service en France depuis le 17 novembre, selon des informations d’Europe 1. Au moins 250 appareils ont été détruits, la plupart du temps par le feu, et plus de 1500 ont été vandalisés, recouverts de peinture ou de plastique, avance la radio. Des actes nourris à la fois par le mouvement des gilets jaunes et l’opposition au passage aux 80 km/h.

l'Etat devait être au service du peuple et non l'inverse.

Publié par Guy Jovelin le 11 décembre 2018 

La crise reste ouverte

Publié par Guy Jovelin le 11 décembre 2018

crise,macron

Le président de la République était attendu comme le Messie. Depuis l'annonce de son intervention, l'impatience de sa parole était universelle. Preuve qu'elle conserve aux yeux de tous et peut-être aux siens propres ce caractère suprême revenant à celui qui détient ou est censé détenir la souveraineté de la nation. Qui est censé incarner le destin de la France en crise. 

Chacun - journalistes, spécialistes, élus de tous rangs, de tous bords, et même ses ministres et ses collaborateurs - avait passé son temps à supputer ce qu'il allait dire. Ce que  d'ailleurs il devait dire. Et même en quelque sorte à le lui dicter. L'autorité du Chef de l' État demeure dans son principe et son essence. Elle se reforme comme par nécessité aux instants cruciaux. Dans la pratique quotidienne il est clair qu'elle est singulièrement affaiblie, dépendante, restreinte et même craintive. On l’a vu, on l’a senti, hier soir, dans le ton, les gestes, les attitudes du Chef de l’Etat. 

Emmanuel Macron a parlé, fait contrition, pris acte de la contestation populaire, affirmé sa légitimité, et reconnu les injustices - dont certaines qu'il a lui-même organisées.  

La révolte qui gronde depuis quatre ou cinq semaines avait soulevé de grandes questions, mis en cause jusque dans ses profondeurs le modèle économique, social et finalement politique qui est aujourd’hui le nôtre. 

Les grands axes de la politique présidentielle échouent, sont utopiques, se heurtent au mur des réalités de l'Europe et du monde et à la réaction des Français. Mais ce sont des dogmes aussi intangibles qu'une sourate du Coran. 

Emmanuel Macron a distribué une douzaine de milliards qui deviendront assez vite quinze ou vingt et creuseront la dette. Le malaise perdurera. La crise reste ouverte pour longtemps. 

D’ailleurs, en même temps, hier, 10 décembre, la France a signé à Marrakech le pacte mondial de l’ONU sur les migrations … 

 

Source : lafautearousseau

lundi, 10 décembre 2018

Bouteflika signe un protocole autorisant les Algériens à se soigner en France

Publié par Guy Jovelin le 10 décembre 2018

Algérie – Le Président de la République a ratifié, par Décret présidentiel du 17 novembre 2018, le protocole annexé à la convention générale entre le Gouvernement de la République algérienne et celui de la République française, relatif aux soins de santé programmés, dispensés en France aux ressortissants algériens.

« Est ratifié et sera publié au Journal officiel de la République algérienne démocratique et populaire, le protocole annexe à la convention générale entre le Gouvernement de la République algérienne démocratique et populaire et le Gouvernement de la République française sur la sécurité sociale du 1er octobre 1980 relatif aux soins de santé programmés, dispensés en France aux ressortissants algériens assurés sociaux et démunis non assurés sociaux résidant en Algérie, signé à Alger, le 10 avril 2016 », indique le Décret présidentiel paru au Journal officiel n°70.

Ce protocole, auquel le Président de la République vient de donner son accord, a été établi le 10 avril 2016 à Alger et signé par Mohamed El-Ghazi, alors ministre algérien du travail, et Marisol Touraine, ministre française des affaires sociales. La partie française l’a, pour sa part, validée le 2 mars dernier par le biais d’une Loisignée par le Président Emmanuel Macron.

Le protocole annexe à la convention générale vise à « permettre l’octroi en France de soins de santé ne pouvant être dispensés en Algérie aux ressortissants algériens assurés sociaux affiliés à la sécurité sociale algérienne ou démunis non assurés sociaux reconnus comme tels par la législation algérienne, tout en œuvrant pour la promotion de la coopération technique et le transfert de technologies entre les établissements de santé algériens et français ».

Selon l’Article 1er, ce protocole s’applique aux ressortissants algériens résidant en Algérie ayant la qualité « d’assurés sociaux affiliés à un régime algérien de sécurité sociale ou d’ayants droits de ces assurés sociaux ». Il s’applique également aux Algériens « démunis non assurés sociaux » ou ayants droits de ces démunis.

Il est stipulé à l’article 8 de ce protocole que « l’institution compétente algérienne rembourse intégralement les montants des prestations en nature mentionnées dans le présent article, à partir des relevés individuels des dépenses que l’organisme de liaison français lui fait parvenir, accompagnés d’un bordereau récapitulatif semestriel et des comptes rendus médicaux détaillés ».

S’il permet aux Algériens de se soigner en France dans un cadre « plus solide », ce protocole vise surtout à éviter que ne s’accumulent des créances sur les hôpitaux français, comme cela a été le cas dans le passé.

Néanmoins, pour son entrée en vigueur, « chacune des parties notifie à l’autre, par la voie diplomatique, l’accomplissement des procédures constitutionnelles requises, en ce qui la concerne ». Le protocole prend effet le premier jour du deuxième mois suivant la date de réception de la dernière de ces notifications.

 

Source : alg24

Allemagne : augmentation de 130 % du nombre de permis de port d’armes délivrés depuis 2014, une hausse due à l’insécurité croissante

Publié par Guy Jovelin le 10 décembre 2018

Par  le 09/12/2018

 

La perception croissante de l’insécurité en Allemagne a été citée comme un facteur clé de l’augmentation du nombre de permis de port d’armes délivrés.

Certains ont averti que cette augmentation pourrait contribuer à une situation similaire à celle des États-Unis, où la violence armée est endémique.

L’Allemagne a délivré près de 600 000 permis de port d’armes, soit une augmentation de 130 % depuis 2014, selon les chiffres publiés vendredi par Redaktionsnetzwerk Deutschland (RND). En 2014, seulement 261 332 permis avaient été délivrés.

(…) Cette hausse vertigineuse a été attribuée en partie à un sentiment croissant d’insécurité publique, avec notamment une augmentation des attentats terroristes sur le sol européen depuis 2015. Mais certains craignent qu’un plus grand nombre d’armes entre les mains des citoyens n’aggrave la situation.

(…) DW.com via fdesouche