Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 11 janvier 2017

Calvados. Cherchant l'amour, elle héberge des hommes en situation irrégulière rencontrés sur Facebook

Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2017

Calvados. Cherchant l'amour, elle héberge des hommes en situation irrégulière rencontrés sur Facebook

La prévenue rencontrait ses prétendants sur Facebook. - Pixabay - Illustration

e
Par : Joëlle Briant

Une femme âgée de 33 ans a comparu jeudi 5 janvier 2017 devant le tribunal de grande instance de Caen (Calvados) pour aide à l'entrée, à la circulation et au séjour irréguliers d'étrangers en France, de 2013 à 2016, à Caen.

Par crainte de la solitude et par besoin d'amour, une trentenaire a hébergé à son domicile, de 2013 à 2016, plusieurs étrangers en situation irrégulière, n'hésitant à devenir leur compagne. Elle a dû répondre de ces agissements devant le tribunal de grande instance de Caen (Calvados), jeudi 5 janvier 2017.

Elle contacte ces hommes sur Facebook

Entrant en contact avec des hommes en situation irrégulière via Facebook et croyant être aimée, plusieurs vivront avec elle en situation maritale en l'espace de trois ans. L'un d'eux deviendra même le père de son enfant, qui décédera au bout de quelques mois. Le couple se sépare, l'homme se montrant violent. La prévenue commence alors à boire cherchant toujours l'âme soeur sur le net. Les hommes se succèdent, parlant d'amour et parlant surtout de lui faire un enfant afin de régulariser leurs situations. Fragile, elle se verra imposer des relations sexuelles.

Déficiente légère et dépendante à l'alcool

La prévenue, sous curatelle, souffre de déficience légère. En carence affective et consommatrice d'alcool, c'est quelqu'un de très vulnérable. ce qui fait dire au procureur : "Elle enchaîne les compagnons en situation irrégulière les uns après les autres. Il faut la protéger d'elle-même." Et le président d'ajouter : "C'est impressionnant le nombre d'hommes de ce genre à votre porte ! On dirait un réseau ! Vous vous rendez compte que ces rapports sexuels imposés, ce n'est pas rien ?"

"Elle était amoureuse"

L'avocate de la défense explique que sa cliente était amoureuse et qu'elle a compris aujourd'hui que ce n'était pas réciproque. "Elle n'avait pas conscience de commettre un délit pénal. Elle était prête à tout accepter pour ne pas vivre seule. Elle était victime des hommes qu'elle hébergeait et subissait les violences psychologiques et sexuelles qu'ils lui imposaient."

Graves infractions

La cour estime les infractions graves. Elle écope d'un mois de prison avec sursis et de 500 euros d'amende. "Ce genre d'infraction coûte très cher à la société, vous pouvez encourir 5 ans de prison ferme, lui explique le président, attention car c'est au-dessus de votre tête !"

 

Source : tendanceouest

On a les héros qu'on peut ! Les héros qu'on veut ...

Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2017

 

Mémorial Léon Blum {Israël)

Cambadélis a voté Léon Blum ! Il s'agissait pour lui et pour le PS - ce lundi 9 janvier - de la simulation de vote destinée à vérifier la bonne préparation de la primaire de la gauche : il fallait tester les bureaux de vote, le bon déroulement du vote proprement dit et tutti quanti... Quatre bulletins « d'essai » avaient été imprimés : l'un portait le nom de Léon Blum (choisi, donc, par Cambadélis), ce Léon Blum qui n'a pas su utiliser le temps dont il disposait, avant la guerre, pour armer la France, alors qu'Hitler transformait l'Allemagne en forge de Vulcain ; les trois autres noms étant Jean Jaurès (le pacifiste plus que naïf, qui fit pourtant baptiser ses enfants, et ne renia jamais sa foi chrétienne, en pleine période d'hystérie antichrétienne de la jeune IIIe République...), Colette Audry (très connue dans son immeuble), et la sinistre Louise Michel : vous savez, cette communarde qui mit le feu à Paris, en détruisant des trésors d'art inestimables, notamment le Palais des Tuileries. «Paris sera à nous ou n'existera plus ! », disait-elle, illustrant parfaitement l'esprit révolutionnaire ; et s'inscrivant dans la ligne d'un Carrier, qui déclarait «Nous ferons de la France un cimetière plutôt que de ne pas la régénérer à notre façon ! »

Nous laisserons Jean-Christophe Cambadélis à ses amitiés si surprenantes. Et nous préférerons, puisque nous sommes le 11 janvier, faire mémoire d'une autre personnalité, autrement sympathique, et ô combien plus attachante : le Maréchal de Lattre de Tassigny (mort le 11 janvier 1952). 

Il disait : « A la Grèce, nous devons surtout notre raison logique. A Rome, nos maximes de droit et de gouvernement. Mais à l'Evangile nous devons notre idée même de l'homme. Si nous renions l'Evangile, nous sommes perdus. »

Combien cela nous change d'un Blum ou d'une Louise Michel ! Voilà, certes, un modèle, un ami, bien préférable à ceux de Jean-Christophe Cambadélis !...

Et comme ses mots sonnent juste, au moment où l'Europe subit sa troisième agression par l'Islam : après les deux premières agressions militaires (celle de 711, par l'Espagne et Gibraltar, et celle de 1453, par Constantinople) voici l'agression démographique et mentale, tout aussi dangereuse.

Et pour s'y opposer, quoi ?

Comme le disait Chateaubriand - à qui la phrase de de Lattre fait écho - «Chassez le christianisme et vous aurez l'Islam... »

 

Source : lafautearousseau

mardi, 10 janvier 2017

La dévastation après la révolte des migrants : « Ils ont cannibalisé la structure »

Publié par Guy Jovelin le 10 janvier 2017 

Une semaine après la révolte de clandestins logés dans un centre d’accueil de Cona dans la région de Venise, en Italie, les responsables de la structure font le bilan des dommages. La dégradation du site est impressionnante : radiateurs et poêles fracassés, cameras de surveillance détruites, robinets cassés, mobilier vandalisé, salles de bain dévastées, infrastructures détériorées, tentes déchirées, tuyauterie déboulonnée, chaufferie bloquée et saleté partout !

En deux jours les « demandeurs d’asile » mécontents ont engendré cet exploit de dévastation.

« C’est un désastre, explique le directeur du centre, Simone Borile, au quotidien Il Giornale. Nous n’avons pas encore fait le bilan des dommages mais ils s’élèveront à plus de 100 000€. Une tente vaut déjà 30 00€. Pendant deux jours les personnes hôtes du centre ont bloqué les sorties, ce qui empêchait le ravitaillement en fuel domestique. Ils ont cannibalisé la structure, se sont construits des cabanes, ont été jusqu’à arracher les radiateurs électriques des salles de bain pour les emmener dans les tentes, les branchant aux prises électriques. Ils ont détruit les cameras, sur les 14 ils ont laissé intègres seulement celles inutiles. »

« Ils ont cassé les prises électriques, détaché les modules, vandalisé les installations de gaz, cassé les robinets, ont frappé et coupé la tuyauterie, débranché les chaufferies et en ont détruit une, poursuit-il. Nous avons du refaire les tests de pression aux installations. Une tente a été déchirée et nous avons du l’enlever. En deux jours ils ont pris des milliers de choses pour se faire à manger. Et ne parlons pas du fait qu’en bloquant l’énergie électrique certains tuyaux ont éclaté à cause du gel. »

25 employés du centre sont restés « séquestrés » à l’intérieur de la structure aux sorties bloquées par les immigrés clandestins. Apeurés, maintenant ils ne veulent plus aller travailler. Certains se sont mis en maladie et d’autres pourraient annoncer leur démission explique le journaliste de Il Giornale.

« J’étais parmi les otages lundi, explique Verena au journal local, et j’ai eu peur. Ce sera le parquet qui décidera s’il s’est agit ou non d’une séquestration mais moi je l’ai vécue ainsi. »

« Avant ces incidents la situation était déjà explosive. Alors ne parlons pas maintenant ! » ajoute un autre témoin.

Malheureusement de tels actes violents, qui auraient de quoi faire réfléchir les bobos de tout poil sur la réalité de l’immigration-invasion qui submerge l’Europe, ne les sortent pas de leurs illusions : de l’évêque qui défend les pauvres migrants mal-logésau responsable lui-même de la structure, Simone Borile, qui minimise ces incidents,« Ce n’est pas une révolte. Je ne me sens pas de les criminaliser. Ce n’est pas vrai que ce sont des délinquants, des révoltés », le politiquement correct tient bien corsetés ces beaux moralisateurs humanitaristes dans l’idéologie immigrationniste !

Francesca de Villasmundo

 

Source :medias-presse.info

Déploiement militaire américain massif en Europe

Publié par Guy Jovelin le 10 janvier 2017

par 9 janvier 2017

us_army-300x200.jpgLes États-Unis ont débarqué une brigade blindée en Allemagne. C’est le plus grand déploiement de force américain en Europe depuis la guerre froide. Alors même que le président élu Trump continue de vouloir réchauffer les relations avec Poutine, l’équipe d’Obama tente une dernière manœuvre pour déclencher une guerre contre la Russie.

L’équipe de combat de la 3e Brigade blindée de l’armée américaine, qui fait partie de la 4e Division d’infanterie, est arrivé au port de Bremerhaven le week-end. Quelque 2800 chars, véhicules blindés, pièces d’artillerie et véhicules de soutien – ainsi que 3 500 soldats – sont arrivés sur des navires de transport depuis.

La brigade blindée est destinée à renforcer les défenses de la Pologne. « Permettez-moi d’être clair : c’est une partie de nos efforts pour dissuader l’agression russe, assurer l’intégrité territoriale de nos alliés et maintenir une Europe entière, libre, prospère et en paix » , a déclaré le commandant adjoint du Commandement européen, Tim Ray, dans un communiqué de presse.

Il s’agit du plus important mouvement de troupes américaines, destiné à contrer les menaces et l’intimidation de Moscou vers les pays de l’Est comme la Pologne, la Lettonie, la Lituanie, l’Estonie, la Roumanie, la Bulgarie et la Suède. Cette action porte le nombre total de troupes américaines en Europe à près de 70.000 hommes. La Grande-Bretagne a également envoyé ces derniers mois une unité de chars et 800 soldats en Estonie. D’autres forces de l’OTAN, dont un régiment d’hélicoptères américain, devraient se déployer dans les prochains mois.

Lorsqu’il a annoncé le déménagement, l’an dernier, le secrétaire américain à la Défense, Ash Carter, avait déclaré que les forces iraquiennes participeraient à des exercices militaires réguliers dans la région avec des alliés de l’OTAN. À cette époque, le Lieutenant-général Ben Hodges, commandant de l’armée américaine, avait qualifié le déploiement d’ «incarnation de l’engagement américain à défendre ses alliés européens».

L’opération a été décidée par Obama alors que le président Trump a déclaré que les relations chaleureuses avec la Russie étaient une bonne chose et que seuls les gens « stupides » seraient en désaccord. Donald Trump a également attaqué à plusieurs reprises le rôle obsolète de l’OTAN.

L’arrivée de la brigade blindée intervient quelques jours après que les agences de renseignements américaines aient formellement accusé le président russe Vladimir Poutine d’être derrière les efforts de piratage électronique pour stimuler les chances du président élu américain Donald Trump de remporter le scrutin de 2016.

 

Source : medias-presse.info

Policiers roués de coups à Bobigny : « Ils frappaient uniquement au visage »

Publié par Guy Jovelin le 10 janvier 2017

9 janvier 2017 par Pierrot

Si elle accepte de témoigner, c’est surtout pour insister sur cette « banalisation de la violence contre les policiers », raconte Sandrine, au téléphone. Cette policière, qui parle sous un prénom d’emprunt, compte parmi les trois fonctionnaires de la BAC de Seine-Saint-Denis évacués aux urgences après un contrôle de police au pied d’un immeuble de la cité de l’Amitié à Bobigny vendredi. Ils se sont vus prescrire 10 et 15 jours d’ITT.

« On ne s’y attendait pas du tout, ça a été extrêmement violent », raconte-t-elle. La voix est posée. En vingt ans de police en Seine-Saint-Denis, elle a eu l’occasion d’en voir des cités où les habitants n’ont pas la vie paisible. La cité de l’Amitié ne faisait pas partie des plus compliquées.

Des coups de poing « uniquement au visage, c’était un acharnement »

Vendredi, Sandrine est arrivée en renfort pour épauler des collègues. La situation aurait dégénéré au moment où une des personnes contrôlées «a refusé de donner son identité et a repoussé un collègue physiquement». Puis elle se souvient des cris, des coups. Elle reçoit des coups de poing, «au moins quatre», «uniquement au visage, c’était un acharnement», dit-elle, convaincue que les agresseurs, ce soir-là, «ont voulu frapper l’uniform ». Trois suspects, majeurs, ont été arrêtés et déférés au tribunal. Deux sont mis en examen pour violences sur policiers avec ITT supérieure à huit jours. Un est sous contrôle judiciaire, l’autre passait ce lundi devant le juge des libertés, le parquet ayant réclamé son incarcération. Le troisième est placé sous le statut de témoin assisté.

«Mon œil a un peu dégonflé dimanche mais je vois très trouble, j’ai un très gros hématome, j’ai très mal à la mâchoire aussi, c’est assez douloureux physiquement», confie Sandrine qui admet ne plus trouver le sommeil. «A cause du choc peut-être», dit pudiquement cette policière, qui énumère d’autres blessures passées : «par des jets de bouteilles de verre, des flacons, des pierres, j’ai aussi eu une main cassée il y a trois ans, et reçu un cocktail Molotov il y a une dizaine d’années».

Dans ces lendemains douloureux, où il a aussi fallu rassurer les proches alors que l’incertitude plane sur les séquelles physiques, les soutiens sont réconfortants. «J’ai reçu des messages d’anciens collègues perdus de vue, et le soutien total de ma hiérarchie, de l’officier au commissaire», tient à souligner Sandrine avec gratitude. Etre policier en Seine-Saint-Denis et y rester pendant vingt ans, n’a rien d’anodin. «Attraper le voleur d’un sac à main, l’agresseur d’une vieille dame, ou un cambrioleur en action, c’est ce qui nous motive, on a le sentiment d’avoir fait notre travail», commente-t-elle avant de conclure l’échange. Puis, après un rendez-vous chez le médecin, c’est elle qui rappelle. «J’ai oublié de vous dire, quand j’ai été frappée, j’ai tout de suite pensé à ma collègue agressée à Pantin il y a une douzaine d’années (NDLR : cité des Pommiers, en 2002). Elle a eu le visage cassé et après de multiples opérations elle souffre toujours…», ajoute-t-elle.

 

Source : contre-info