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dimanche, 22 janvier 2017

Nouvelle profanation d’une église à Toulouse

 Publié par Guy Jovelin le 22 janvier 2017

Vendredi 20 janvier, une femme s’est attaquée à l’église Sainte-Germaine, avenue de l’URSS. Après avoir cassé du mobilier religieux, elle a sorti un couteau tandis que l’un – des rares – paroissiens présent dans l’édifice tentait de l’empêcher de continuer ses profanations. Il faudra attendre l’intervention de la police pour maîtriser cette femme, internée d’office en hôpital psychiatrique.

Dans un contexte tendu, les églises n’en finissent pas d’être victime de dégradations. Les menaces terroristes n’ont jamais été aussi fortes sur les catholiques, mais rien de suffisant ne semble pourtant avoir été fait pour améliorer leur sécurité.

Un abbé confiait à ce propos sa perplexité sur la sécurité des églises. Au soir de la messe de noël ou lors de l’épiphanie, « aucune présence policière n’a été notée », obligeant les paroissiens à eux-mêmes organiser la sécurisation de l’édifice. Une source policière nous confiait d’ailleurs que les exactions envers les lieux de culte catholique dans la ville rose étaient de plus en plus fréquents, mais que peu d’entre eux font l’objet d’investigations ou même de plaintes de la part des concernés. À croire que même le diocèse n’y croit plus…

 

Source : infos-toulouse

Norvège : la banque Storebrand propose des « prêts halal »

Publié par Guy Jovelin le 22 janvier 2017

Par le 21/01/2017 
 La banque norvégienne Storebrand teste de nouveaux «prêts halal» fondés sur des principes de la charia islamique. La banque indique  qu’elle teste l’idée de prêts sans intérêts afin de s’adresser aux musulmans qui ne veulent pas accepter un prêt traditionnel en raison de leur foi. L’islam interdisant les intérêts sur les prêts financiers. [...]

The Local

 

Source : fdesouche

Sortir de la CEDH, qui en aura le courage ?

Publié par Guy Jovelin le 22 janvier 2017

Cour Euro.

Sortir de la CEDH, qui en aura le courage ?

André Posokhow, consultant, commissaire aux comptes, essayiste

♦ Si la France veut rester peuplée de Français et redevenir une nation souveraine, sortir de la Cour européenne des droits de l’homme constitue un impératif catégorique.

Abaisser les Etats des nations qui composent l’Europe, bafouer les règles démocratiques, nier la primauté du suffrage universel et l’expression de la volonté populaire, contraindre par tous les moyens les citoyens européens afin d’imposer la tyrannie de l’oligarchie globalisée, tel est le projet politique de l’Europe de Bruxelles et de Strasbourg.

Pour contourner l’expression du suffrage universel il s’est révélé indispensable de faire appel aux cours de justice et aux magistrats. C’est le gouvernement des juges, illégitime certes, mais auquel des pays aussi importants que la France se plient.

En France, ce gouvernement des juges est incarné par le Conseil constitutionnel, le Conseil d’Etat, la Cour de cassation et, au niveau européen, par la Cour européenne des droits de l’homme. Celle-ci exerce une telle prégnance sur le droit européen que le premier ministre anglais David Cameron avait affirmé sa volonté de sortir la Grande-Bretagne de cette juridiction.


La Cour européenne des droits de l’homme

La Cour européenne des droits de l’homme, ou CEDH, est une juridiction instituée en 1959 par le Conseil de l’Europe. Sa mission est d’assurer le respect des engagements souscrits par les Etats signataires de la Convention européenne des droits de l’homme adoptée le 4 novembre 1950. Celle-ci garantit l’accès aux droits fondamentaux, civils et politiques, non seulement aux ressortissants des pays signataires, mais encore à toutes les personnes relevant de leur juridiction, par exemple les migrants.

La Cour se compose d’un nombre de juges égal à celui des Etats membres, soit 47 juges. Ainsi un juge de Saint-Marin ou du Lichtenstein pèse le même poids que le juge français. Les juges albanais, turc, moldave et ukrainien dont les pays sont connus pour leur respect des droits de l’homme (!), sont en mesure de peser sur le droit français au moins autant que les parlementaires français.

La Convention garantit entre autres le droit au respect de la vie privée et familiale, la liberté d’expression et la liberté de pensée, de conscience et de religion. Elle interdit notamment les discriminations dans la jouissance des droits et libertés.

Son contenu évolue grâce à l’interprétation des textes par la jurisprudence de la Cour et lorsque des protocoles viennent lui ajouter de nouveaux droits.

Militantisme et politiquement correct

Le groupe Plessis, pseudonyme d’un groupe de hauts fonctionnaires, s’est élevé dans un remarquable article dans le Figaro contre les dérives de la jurisprudence de la CEDH. Selon lui, la cause essentielle est l’élément moteur qu’est l’administration elle-même de la CEDH, le « greffe », qui prépare les décisions. Peuplé de militants, il influence une « jurisprudence qui privilégie une vision “progressiste” de la société : refus des frontières, défiance vis-à-vis des Etats, culte de la non-discrimination, primat de l’intérêt du délinquant sur celui de la victime, de la revendication individuelle sur l’intérêt collectif, de la procédure sur la décision et l’action, libertarisme moral… ».

Il en résulte parfois des décisions stupéfiantes et même grotesques qui vont très souvent à l’encontre de l’application des lois nationales et de la protection des citoyens des pays européens face aux périls grandissants comme le terrorisme. Ces décisions reflètent généralement un état d’esprit marqué par l’idéologie du politiquement correct et un parti pris déterminé en faveur de l’invasion migratoire et de la corruption de la famille.

Des exemples convaincants pour ceux qui veulent bien voir

1°)-La CEDH a jugé l’interdiction absolue des syndicats au sein de l’armée française contraire à l’article 11 de la Convention européenne au droit européen et a condamné la France en 2014.

2°)-En octobre 2010 les juges européens ont estimé, dans l’affaire Brusco c/ France, que les personnes gardées à vue devaient pouvoir bénéficier d’un avocat dès le début de la procédure et durant tous les interrogatoires. Ils ont insisté pour que soit respecté le droit d’un mis en cause de garder le silence, ce qui entrave le déroulement et l’efficacité d’une enquête policière. On le voit bien dans l’affaire Abdeslam.

3°)-Dans la lutte contre le terrorisme, la Cour a décidé que, lorsqu’il y a un risque réel qu’un terroriste présumé ou condamné soit soumis à des mauvais traitements dans un autre Etat, l’interdiction d’un retour dans ce pays est absolue, quelles que soient les infractions commises par l’intéressé ou sa conduite passée (Saadi c/ Italie – 2008).

4°)-L’article 8 de la Convention EDH (respect de la vie privée et familiale) est utilisé contre la politique d’expulsion des étrangers en situation irrégulière et pour faciliter le regroupement familial (Arrêt Boussara c/ France – 23/9/2010).

5°)-Dans le domaine de la famille et de la filiation, la CEDH intervient, mettant le législateur devant le fait accompli en imposant à l’Etat de reconnaître la filiation des enfants nés de mères porteuses à l’étranger, ouvrant la voie à tous les trafics.

Dans l’affaire Paradiso et Campanelli c/ Italie la Cour a estimé, dans un premier jugement en janvier 2015, que l’achat d’un enfant peut constituer le fondement d’une vie familiale protégée par les droits de l’homme dès lors que les acquéreurs se sont comportés « comme des parents » pendant quelques mois. La Cour en a déduit que la protection de cette « vie familiale » primait le respect de l’ordre public et qu’il était dans l’intérêt de l’enfant d’être élevé par ses acquéreurs. Ce faisant la Cour entérinait une vente d’enfant, paradoxalement au nom de l’intérêt de l’enfant.

De même la CEDH vient, en juillet 2016, de condamner la France pour avoir refusé de transcrire à l’état civil des actes de naissance d’enfants nés de mères porteuses à l’étranger.

« On est en train de retirer à la France le principal moyen de lutter contre la pratique des mères porteuses », avertit la présidente de la Manif pour tous. Après la reconnaissance du lien biologique avec le père, les tenants de la GPA vont tenter de faire reconnaître la filiation avec le parent d’intention.

6°)-L’armée française peut imposer plusieurs jours de détention en mer aux pirates somaliens qu’elle interpelle dans le Golfe d’Aden, mais elle doit les présenter immédiatement à un juge une fois qu’ils ont débarqué sur le sol français, a estimé la CEDH. Celle-ci a par conséquent condamné les autorités françaises à verser, au titre de dommage moral, des indemnités allant de 2.000 euros à 5.000 euros à dix pirates interpellés pour les détournements des navires français Le Ponant et Le Carré d’As, en avril et septembre 2008. Nous vivons chez les fous !

Un gouvernement des juges installé et tout-puissant

Ainsi, au fil de décisions qui constituent autant d’entraves à la lutte contre le terrorisme, au refoulement de l’invasion migratoire, à la défense de la famille et à la souveraineté nationale, la CEDH multiplie les coups d’Etat juridiques destinés à conformer les législations des nations européennes aux exigences du politiquement correct et du gaucho-islamisme. Elle constitue ainsi un des piliers du « gouvernement des juges » qui opprime de plus en plus les citoyens européens et français et vise la destruction de nos nations.

Dans une République digne de ce nom, c’est au législateur issu du suffrage universel et non au juge qu’il appartient de définir l’intérêt collectif et de fixer les termes de la loi. La CEDH, qui fait irruption dans le processus législatif sans légitimité politique, pose un véritable problème démocratique.

Si la France veut rester la France elle doit sortir de la CEDH

Le groupe Plessis rappelle à juste titre, malgré les protestations du député PS Le Borgn’, qui ferme les yeux devant ces violations des principes les plus élémentaires de la République, que « se dégager de cette étreinte est désormais une priorité si, d’un point de vue opérationnel, l’on veut retrouver des marges de manœuvre s’agissant notamment de la lutte contre l’immigration ou le terrorisme, mais surtout si, d’un point de vue symbolique et politique, on veut redonner à la France son autonomie juridique ».

La sortie de la CEDH, indispensable au redressement de la France, est juridiquement possible : l’article 58 de la Convention permet de dénoncer la convention EDH « moyennant un préavis de six mois, donné par une notification adressée au secrétaire général du Conseil de l’Europe ». Qui en aura le courage ?

André Posokhow
Consultant
19/01/2017

 

Source : polemia

samedi, 21 janvier 2017

Premier échec d'un centre de déradicalisation

Publié par Guy Jovelin le 21 janvier 2017

 
Image d'illustration. Photo © DGPN/SICOP
 

Djihadisme. Pensionnaire du premier centre de déradicalisation mis en place par le gouvernement, un homme a été interpellé mardi 17 janvier dans le Bas-Rhin. Le ministère de l'Intérieur est embarrassé : les établissements ne doivent pas accueillir d'individus fortement radicalisés.

Coup dur pour la politique de déradicalisation mise en place par le gouvernement. Mardi 17 janvier, dans le Bas-Rhin, un pensionnaire du centre de prévention, d'insertion et de citoyenneté de Pontourny, en Indre-et-Loire, a été interpellé à Wissembourg, dans le Bas-Rhin. Si Mustafa S., c'est son nom, bénéficiait d'une autorisation de sortie, son profil interpelle tout particulièrement.

Le ministère veut taire l'affaire

Après la révélation de cette arrestation par Les Dernières Nouvelles d'Alsace, Le Monde rapportait que le ministère de l'Intérieur avait donné pour consigne de passer sous silence toute information relative à Mustafa S. Car son profil s'éloigne fortement de ceux censés être accueillis par les centres comme celui de Pontourny.

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D'ailleurs, selon un document du ministère, seules les personnes “en début de processus de radicalisation et non engagés dans des actions violentes” peuvent intégrer les centres de déradicalisation. En clair, ce type d'établissement doit s'occuper des individus les moins dangereux et les moins radicalisés.

Rattraper un cuisant échec

Pourtant, comme l'explique RTL, Mustafa S., 24 ans, a plusieurs fois tenté de rejoindre les rangs de l'État islamique. Une première fois en décembre 2013, puis en mai 2016. C'est même cette deuxième tentative qui lui vaudra, avec ses amis radicalisés, d'être interpellé par la Direction générale de la sécurité intérieure, mardi 17 janvier.

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Si la DGSI avait émis un avis négatif sur l'intégration du jeune homme à Pontourny, celui-ci a bien rejoint l'établissement. En cause certainement, le manque de réussite de l'initiative gouvernementale : sur les 25 places disponibles dans le centre, seules 5 sont occupées.

 

Source : valeursactuelles

Sur BFM TV, Evelyne Joslain estime qu’Obama « était plus musulman dans son cœur que chrétien », la chaîne précise qu’elle ne la réinvitera plus

 Publié par Guy Jovelin le 21 janvier 2017

 
Sur BFM TV, Evelyne Joslain estime qu’Obama « était plus musulman dans son cœur que chrétien », la chaîne précise qu’elle ne la réinvitera plus

Et la liberté d’expression ? Invitée de l’édition spéciale de BFM TV consacrée à l’investiture de Donald Trump, Evelyne Joslain, spécialiste des Etats-Unis, et particulièrement du mouvement conservateur, a déclaré en direct que « Barack Obama ...

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