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mardi, 10 janvier 2017

Une année cruciale

Publié par Guy Jovelin le 10 janvier 2017

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Georges Feltin-Tracol

1917 est désignée par les historiens comme l’« année terrible », l’« année du tournant » dans la Grande Guerre. Cent ans plus tard, 2017 sera-t-elle comme le titre le nouveau numéro de l’excellente revue Conflits « l’année de tous les dangers » ? Malgré cet intitulé pessimiste, permettez-moi de vous présenter tous mes meilleurs vœux de Joie, de Grande Santé, de Force et de Prospérité pour les 359 jours qui seront certainement déterminants pour notre avenir.

L’administration de Donald Trump entrera en fonction dans deux semaines. L’incertitude demeure totale en ce qui concerne ses orientations géopolitiques majeures à un moment où la mer de Chine méridionale devient une véritable poudrière régionale avec l’annexion rampante des archipels Spratleys et Paracels par la Chine et le décrochage des Philippines de la zone d’influence US pour un rapprochement avec Pékin. Comment Trump réagira-t-il ?

En Europe, trois événements prévus marqueront cette année : les élections présidentielles et législatives au printemps en France, les législatives allemandes en septembre avec la possible reconduction d’Angela Merkel à un quatrième mandat (et on accuse ensuite Vladimir Poutine de s’accrocher au pouvoir !) et le déclenchement tant attendu du Brexit par l’activation de l’article 50. L’imprévu concernera d’éventuelles législatives anticipées en Italie avec une poussée prévisible des populismes du Mouvement Cinq Étoiles et de la Ligue du Nord.

Toutes ces péripéties politiciennes ne doivent cependant pas cacher que les soi-disant « migrants » continuent à se déverser sur le Vieux Continent, aidés par des natifs adeptes de l’ethnomasochisme, que la crise fragilise les catégories sociales populaires et moyennes inférieures autochtones et que les lamentables politiques d’austérité exigées par les banques qui croulent sous les profits se poursuivent au nom d’une conception désuète des rapports économiques et sociaux.

Comme pour toutes les années précédentes, 2017 sera surtout riche en événements inattendus et en retournements, plus ou moins considérables, de l’actualité. Une chose est déjà entérinée : la « fin de l’histoire » avancée par Francis Fukuyama est belle et bien achevée. Place donc aux « chocs de l’histoire » !

Bonjour chez vous !

 

Source : synthesenationale

lundi, 09 janvier 2017

Carl Lang : « C'est la République contre la France ! »

Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2017

9 Janvier 2017 par Thomas Joly

Sur Twitter, Carl Lang, Président du Parti de la France, ne souscrit pas à la surenchère républicaine pratiquée par tous les représentants du Système, de Mélenchon à Marine Le Pen :

« Leur République socialiste, dite citoyenne, de la diversité et de l'islamisation est antinationale. C'est la République contre la France. »

Pour vous abonner à son compte Twitter, c'est ici : https://twitter.com/carllang2022

 

Foggia (Italie) : un migrant gambien met le feu à une crèche dans une église

Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2017

Par le 09/01/2017 
 Un migrant musulman qui « cherchait à détruire des symboles chrétiens » a été arrêté après qu’il a mis le feu à une crèche.

Le sans-abri a été pris en flagrant délit par le prêtre de l’église, qui a informé les autorités.

Ils se sont précipités sur les lieux et se sont battus pour contenir l’homme, qui souffrait d’une « crise psychophysique visible ».

Selon des informations locales,

le Gambien de 25 ans a déclaré à la police qu’il était musulman et qu’il voulait détruire des symboles chrétiens.

En plus de mettre le feu à la crèche, il a détruit une statue de Marie.

(…)

L’homme, titulaire d’un permis de résidence légale, vit en Italie depuis deux ans.

(…)

Express.co via Immediato

A Paris en 2035 : je suis retourné là-bas

Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2017

Antennes Paraboliques

A Paris en 2035 : je suis retourné là-bas

Michel Geoffroy, assayiste

♦ Cher Parrain,

Pour un Européen, titulaire d’un passeport impérial, venir à Paris est toujours une aventure.

C’est pourquoi, lorsque l’Académie m’a désigné, comme tu le sais, pour cette mission d’étude là-bas, j’étais à la fois fier et un peu inquiet aussi. Ce fut un séjour délicat mais instructif à plus d’un titre.

Malgré une invitation officielle de la République Islamique, j’ai dû supporter des formalités interminables à l’aéroport de Roissy : successivement la police des frontières, la douane et la police de la charia. On a fouillé mes valises deux fois ! J’étais prévenu, mais quand même.

Mode islamique à porter aux mariages

Mode islamique à porter aux mariages

 Heureusement mon guide traducteur m’attendait : Leila, une jeune femme moderne puisqu’elle ne portait qu’une longue robe noire et un foulard. Elle était gentille mais j’avais parfois du mal à la comprendre car la langue a changé. Elle intègre beaucoup de mots et de tournures arabes ou algériennes et le débit très saccadé rend la compréhension pénible à nos oreilles.

Néanmoins mes interlocuteurs officiels au ministère de l’Education et de la Révélation, puisque ma visite s’inscrivait dans la perspective d’éventuels échanges avec notre Fédération impériale, ont mis un point d’honneur à essayer de parler un français correct durant nos entretiens. Du moins l’ont-ils pensé…

 J’ai d‘ailleurs globalement été assez bien reçu, les seules manifestations d’hostilité émanant des Européens restés là-bas et convertis, bien reconnaissables à leurs longues barbes.

On m’a fait visiter pendant cette semaine de nombreux établissements d’enseignement et médersas, puisque le gouvernement de la République a fait un gros effort en la matière. Ces établissements m’ont cependant paru assez sous-équipés et leurs méthodes, basiques par rapport à ce que l’on trouve chez nous.

Au collège coranique de la Rue d’Ulm mes interlocuteurs ont beaucoup insisté sur le fait que l’enseignement était ouvert à tous, y compris aux non-musulmans, aux Noirs et aux femmes. Mais ils ne m’ont pas caché, cependant, que le corps enseignant était « croyant » – comme on dit là-bas– dans sa très grande majorité. J’ai compris que notre chauffeur n’était, lui, pas musulman, mais je n’ai pu parler avec lui car mon guide ne me quittait pas et, en sa présence, il se taisait. Dommage !

Malgré ces nombreux entretiens et visites, on m’avait quand même aménagé une après-midi de détente.

J’ai ainsi pu visiter Paris comme un vrai touriste saoudien ! Les magasins de luxe des Champs-Elysées, l’inévitable monument des martyrs de la Révolution, le Musée religieux de Notre-Dame, la grande mosquée du Louvre, la palmeraie du Trocadéro et, bien sûr, le dîner dans le meilleur restaurant de Paris : Les Mille et Une Nuits d’Argent. Malheureusement je ne supporte pas bien la nourriture du pays et surtout… de devoir manger sans couverts !

 A propos de nourriture, d’après ce que j’ai pu voir dans mes déplacements, le spectre de la Grande Famine semble désormais oublié là-bas. Les commerces d’alimentation paraissent bien achalandés en semoule, olives et raisins secs et j’ai vu que les queues devant les boucheries restaient raisonnables. « La France va mieux », comme n’ont cessé de le répéter mes interlocuteurs. Sans doute pour s’en persuader eux-mêmes.

Evidemment j’aurais bien aimé revoir l’endroit où habitaient nos grands-parents, près de la Gare de Lyon. Mais mon programme chargé ne l’a pas permis. Finalement je ne le regrette pas car je crois que j’aurais été déçu. En dehors des quartiers touristiques, en effet, Paris est sale et pollué et les immeubles sont constellés d’antennes paraboliques du plus mauvais effet ! Je préfère donc conserver le souvenir de l’album de photographies familial !

En tout cas, et même si je dois maintenant m’atteler à mon rapport pour l’Académie, je me réjouis de m’en retourner chez nous, à Novossibirsk. Je crois bien que les cloches, la neige, le bon vin et les robes des filles me manquaient !

On ne remerciera jamais assez ceux qui nous ont permis d’échapper à ce qui est arrivé là-bas, et qui nous ont donné la possibilité de reconstruire (*) ici, en Sibérie, notre civilisation, au sein d’une Fédération impériale puissante et respectée. A l’abri de la Grande Barrière, qui nous protège du chaos migratoire qui ravage le monde.

Tu avais bien raison, Parrain, de dire que ceux qui parmi nous se font volontiers critiques de notre quotidien feraient bien d’aller passer quelques jours là-bas, pour se rafraîchir les idées.

C’est bien pourquoi, dès mon retour, j’irai allumer un cierge en l’honneur de Saint Serge, comme il est de tradition chez nous !

Je t’embrasse, Parrain.

Michel Geoffroy
7/01/2017

 

Source : polemia

REINFO : LE JOURNAL HEBDOMADAIRE

Publié par Guy Jovelin le 09 décembre 2017