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lundi, 28 décembre 2015

Le préfet de Valls essaie d’enfumer les Corses

Publié par Guy Jovelin le 28 décembre 2015

Pour la plupart des gens, la Corse est la terre natale d’un empereur qui a laissé dans l’Histoire des pages aussi indélébiles que celles inspirées par Jules César. C’est aussi le berceau d’un chanteur de charme à la longue et prestigieuse carrière, dont les refrains où il est question de Marinella et d’une belle Catarineta, tchi, tchi, ont fait le tour du monde. C’est aussi le pays de la vendetta, de la sieste, des jeux politiques compliqués, des fromages vigoureux, des cochons sauvages, des châtaignes, des succulents merles moqueurs et des vieillards sans âge qui regardent passer la vie.

Mais la Corse, c’est plus que tout cela. Elle fait partie de ces endroits privilégiés du globe qui ont un caractère, une forte personnalité que, ni le temps ni les hommes n’arrivent à entamer. C’est un des plus beaux pays du monde, qui justifie pleinement  son appellation d’île de beauté.
Mais pourquoi ce préambule, nous demanderez-vous. Parce que les Corses, que l’on décrit comme individualistes – alliant l’exubérance à la maîtrise de soi – nonchalants, hospitaliers, loyaux, fidèles en amitié, attachés à leur pays natal, éloquents et courageux, sont, eux aussi, plus que tout cela.
Ils sont susceptibles.
Préambule de Goscinny et Uderzo dans l’ouvrage « Astérix en Corse ».
 
Asterix-en-Corse-fromage
 
Oui ils sont susceptibles les Corses et ce n’est pas le préfet Suelburnus (50 avant JC) qui leur a fait peur (relire Astérix en Corse). L’Histoire montre qu’un autre a essayé 2000 ans plus tard mais sans succès, paix à son âme. Un troisième préfet, qui manque visiblement de sources historiques, va tenter de dompter ce peuple fier et susceptible en lui interdisant ni plus ni moins que d’afficher son amour pour son pays et en prenant sa défense. La nouvelle est tombée jusque dans les petits villages quasi inaccessibles des environs de Corte. Toute manifestation et rassemblement verboten jusqu’au moins le 4 janvier. Interdire à un Corse de se faire justice lui même quand le pouvoir régalien en terme de sécurité n’est plus en mesure de le faire relève de l’ignorance crasse d’un fonctionnaire (1) sorti de l’ENA et déjà sous-préfet à l’age de 27 ans.
 
French Interior minister Manuel Valls (R) delivers a speech next to Southtern Corsica Prefect Christophe Mirmand (L), during a visit at the Ajaccio's gendarmerie station two days after the building was hit by rockets, on December 7, 2013 in the French Mediterranean island of Corsica. AFP PHOTO / PASCAL POCHARD-CASABIANCA

César Valls présente le nouveau préfet

 
Pour calmer le jeu et tenter de contenir 300 Corses bloqués à l’entrée des jardins de l’Empereur ce dimanche 27 en fin d’après-midi, la préfecture annonce l’interpellation de deux personnes. Interpellation et non pas arrestation, ce n’est qu’une simple garde à vue alors que l’état d’urgence permet une mise en dépot (prison et non pas cellule d’un commissariat). Je cite la presse étatique « Mais rien ne permet pour l’instant de les relier à l’agression des fonctionnaires » (pompiers et policier). Pour deux mise en garde-à-vue, combien de Corses bravant de par nature et d’esprit de liberté l’interdiction de manifester et de se rassembler seront-ils mis dans les geôles ? Pas sûr qu’il y en ait beaucoup parce que de manifestation interdite, les Corses peuvent passer du stade de l’émeute à celui de l’insurrection. Souvenez-vous, la Corse fut le premier département a se libérer du joug nazi le 5 octobre 1943.
 
ajaccio2
Quand est-ce qu’on se décide en métropole ? L’état montre ses faiblesses, prenons nous en charge.
 
Philippe Legrand
 
 

samedi, 26 décembre 2015

Nos amis corses ont donné à la France entière une grande leçon de courage et de patriotisme

Publié par Guy Jovelin le 26 décembre 2015 

image: http://lagauchematuer.fr/wp-content/uploads/2015/12/pompier.jpg

pompier

Nos amis corses ont donné à la France entière une grande leçon de courage et de patriotisme

 
 
 

Dans la nuit de jeudi à vendredi, il s’est produit un fait comme il s’en produit malheureusement tous les jours dans les cités françaises gangrenées par la surpopulation multi ethnique, par la pauvreté, la violence, le racket. Malgré les centaines de milliards d’euros injectés dans les plans de réhabilitations de nos banlieues, les conditions de vie sont toujours aussi déplorables et le « vivre ensemble », si cher à la gauche, de plus en plus utopique.

Dans les années 50-60, les premières cités ont été construite pour loger l’afflux massif de pieds noirs expulsés d’Algérie. Elles offraient aussi la possibilité aux foyers moyennement à faiblement aisés d’accéder à la propriété d’un logement. Les habitants se sentaient heureux. Les enfants jouant au parc au bas de l’immeuble, les gens se rencontrant entre voisins. Mais au fil des années, la politique d’immigration massive a remplacé ce bien vivre ensemble par la peur, la délinquance et le chaos.

Dans la nuit de jeudi à vendredi, deux pompiers et un policier ont été blessés dans un quartier à Ajaccio au cours d’une intervention. Un incendie a été volontairement allumé pour les attirer dans un guet-apens. Les secours étaient attendus avec des battes de baseball, des clubs de golf et même des bouteilles d’acides. Aucune interpellation n’avait eu lieu. Ces faits devenus malheureusement récurrents en France.   Mais les racailles ont oublié une chose importante. Ils ont oublié qu’ils vivaient en corse ! Cette magnifique région française où rien ne se passe comme partout ailleurs est désormais gérée par les nationalistes fraîchement élus aux dernières élections régionales. Dorénavant, la peur a, semble-t-il, changé de camp.

Dans l’après-midi, 600 personnes se sont rassemblées devant la préfecture à Ajaccio en soutien aux policiers et pompiers blessés. 250 à 300 d’entre elles, dont je salue leur courage et leur acte patriote, sont ensuite dirigées vers le quartier des Jardins de l’Empereur, où avaient eu lieu les incidents de la nuit pour rendre justice aux cris de « on est chez nous ! »

Dans un communiqué, le président du Sdis de Corse-du-Sud Charles Voglimacci a eu le courage de dire : « Je dis aux individus de ce soir (…) que nous ne sommes pas dans certains quartiers du continent où règnent la terreur et le chaos. Ici c’est Ajaccio et nous ne laisserons personne dicter ses propres règles, imposer la peur et s’accaparer un quartier de notre ville. »

Même si je condamne fermement le saccage de la salle de prière, nos amis corses viennent de donner à la France entière une grande leçon de courage et de patriotisme. Pour se débarrasser de la racaille protégée par « Tata Taubira », pour que la peur change enfin de camp, la question de se faire justice soit même mérite d’être posée. Mais sur le continent les français auront ils autant de courage que les corses ? J’en doute…

 

Source : http://lagauchematuer.fr/

 

Christianophobie : aucun voeu de Noël, ni de François Hollande, ni de Manuel Valls

 

Christianophobie : aucun voeu de Noël, ni de François Hollande, ni de Manuel VallsHollande et Valls, si prompts à célébrer les fêtes juives et musulmanes, n’auront pas eu un mot pour cette fête de Noël 2015. C’est cela la laïcité de la république française : d’abord et avant tout la haine du christianisme…

Alors que Valls se rend à une mosquée pour la fin du ramadan, le voici incapable de mettre les pieds dans une église pour fêter Noël. A croire que cet enfant couché dans une crèche inquiète grandement la république maçonnique !

Ils ont raison de s’inquiéter…

 

Source : http://www.medias-presse.info/

LA NOUVELLE PUBLICITÉ DE SUPER U SUR LES JOUETS UNISEXES DÉRANGE DES MILITANTS DE LA MANIF POUR TOUS

Publié par Guy Jovelin le 26 décembre 2015

"Un château il est rose, et bah c'est pour les filles." L'enseigne Super U n'est pas d'accord avec ces stéréotypes sexistes et elle le fait savoir dans une campagne publicitaire... qui dérange certains.


La nouvelle publicité de Super U sur les jouets unisexes dérange des militants de la Manif pour tous
L'enseigne de grande distribution a été la première a publier un catalogue de jouets sans distinction de sexe en 2012. Et cette année elle lance une campagne publicité pour un Noël sans préjugés. La publicité commence par une petite fille habillée en rose qui lance "Les trucs de fille, c'est plutôt rose alors que les trucs de garçon, c'est plutôt bleu" puis apparaît "Dès la naissance, les enfants sont conditionnés." Et les propos des enfants sur les préjugés fille/garçon s’enchaînent:
 
Dans la suite du spot, l'enseigne s’interroge "Mais est-ce la réalité quand ils jouent ?" et les enfants sont lâchés dans un grand espace de jeu. On voit alors une fillette qui manie la perceuse, un petit garçon qui fait le ménage dans une tenue de super-héros et un autre qui s'occupe d'une poupée etc. L'enseigne titre alors "Il n'existe pas de jouets pour les filles ou pour les garçons, mais des jouets, tout simplement."
La publicité qui sera diffusée jusqu'à Noël a été au départ bien accueillie sur les réseaux sociaux, la secrétaire d'État chargée des Droits des femmes a même salué l'initiative de l'enseigne sur Twitter.
Mais c'était sans compter certains militants de la Manif pour tous et autres conservateurs sur les questions de genre. Cette publicité ne leur plait pas du tout et ils en font part sur le réseau social.
Certains appellent même au boycott:
suite :http://www.huffingtonpost.fr/2015/12/22/catalogue-noel-s...

vendredi, 25 décembre 2015

DÉCHÉANCE DE LA NATIONALITÉ : RÉTROPÉDALAGE

Publié par Guy Jovelin le 25 décembre 2015

Couacs, couacs…

mercredi 23 décembre 2015, par Pierre Picace

 Afficher l'image d'origineRevirement de dernière minute. Malgré ou peut-être à cause de l’annonce faite par Christiane Taubira hier depuis l’Algérie, le gouvernement maintiendra finalement dans le projet qui sera soumis au Parlement l’article étendant la déchéance de nationalité à tous les binationaux.

La proposition avait été faite par François Hollande aux parlementaires réunis en Congrès à Versailles après les attentats du 13 novembre.

Cette mesure souhaitée par une partie de la droite et le FN, ne faisait pas l’unanimité à gauche. Dans un premier temps, François Hollande soucieux de ménager sa majorité, avait botté en touche en saisissant le Conseil d’Etat pour juger de la constitutionnalité d’une telle proposition espérant que celui-ci rendrait un avis négatif. Mais les Sages avaient renvoyé le gouvernement à ses responsabilités.

L’annonce de l’abandon de la mesure aurait dû se faire à l’issue du Conseil des ministres de mercredi. En annonçant avec 24 heures d’avance et qui plus est sur les ondes d’une radio algérienne que l’article portant sur la déchéance de nationalité n’était plus à l’ordre du jour, Christine Taubira coupait à la fois l’herbe sous le pied du gouvernement et la branche sur laquelle, elle était assise.

 

Source : http://www.national-hebdo.net/