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samedi, 19 décembre 2015

Le professeur Bernard Lugan invité du Bistro Libertés de TV Libertés

Publié par Guy Jovelin le 19 décembre 2015 

bernard lugan,télé libertés

 

 

 

 

 

 

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

 

Il ne faut pas confondre Équité & Justice

Publié par Guy Jovelin le 19 décembre 2015

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Dr Bernard Plouvier

Trop de nos contemporains, nés au siècle précédent (que font regretter, en dépit de ses tares, la médiocrité et l’effarante régression intellectuelle et spirituelle du nouveau), en sont restés à l’esprit du Droit romain, revu par les Codes napoléoniens qui ont régi notre pays jusqu’au dérèglement post-soixante-huitard.

Ce Droit avait pour essence et pour finalité de protéger l’honnête citoyen face à la canaille (voleur, escroc) et à la crapule (assassin, violeur, trafiquant de drogue – ce qui réalise un meurtre programmé -, propagandiste de la haine religieuse, raciale ou politique). Son principe était simple : malheur à celui par qui arrivent scandales, délits et crimes.

De nos jours, les nouveaux codes admettent une « Justice » infiniment plus politisée, en ce sens que la sociologie et la psychologie de bazar (telle la supercherie psychanalytique) surajoutent leurs méfaits au crétinisme des années 1968 sq. De ce fait, un voyou est devenu une victime de malchances sociales et d’un défaut d’instruction, puisque, c’est bien connu, l’instruction rend honnête. Manifestement, les socio-machins ne connaissent pas trop certains milieux hautement intellectualisés de la finance, du négoce de haut vol, des hauts-fonctionnaires, du monde médical – je l’évoque en connaissance de cause- etc.

Selon que vous serez nés dans un milieu « défavorisé » ou non, les jugements de cour vous rendront ou tout blanc ou tout noir (sans connotation raciale… on ne fait que paraphraser ce bon La Fontaine). Bref, il vaut mieux être un petit voyou, un immigré ou rejeton de cette « chance nouvelle », plutôt qu’un agriculteur, un commerçant, un propriétaire qui tente de défendre son bien ou son gagne-pain.

Il existe, depuis le XVIIIe siècle et les plaidoyers du marquis de Beccaria, un autre principe : celui de la proportionnalité de la peine et du délit ou du crime. Excellent principe… hélas fort mal suivi par nos Codes et, partant, par nos magistrats.

En l’absence de peine de mort, comment juger en équité celui qui volontairement a tué ? Comment éviter la récidive d’un violeur (la perversité sexuelle étant, comme tous les comportements animaux, génétiquement induite, donc programmée pour la récidive), si l’on refuse la castration… d’ailleurs pas toujours efficace, car un castrat peut « s’ériger », grâce aux androgènes surrénaliens (et les anti-androgènes actuels sont d’une efficacité aléatoire chez certains sujets). Comment faire payer les petites crapules, bonnes à rien faire d’autre que détruire, qui incendient, saccagent et pillent lors des émeutes raciales ? Et l’on pourrait multiplier longuement les rubriques où crimes et peines sont hors de toute proportion dans un système épouvantablement laxiste.

Moins que jamais, le citoyen français lambda – le contribuable-électeur, dont l’assemblée générale est théoriquement le seul souverain légitime de l’État – peut se sentir en sécurité chez lui ou dans les rues. Il lui faut également savoir que, dans son pays, le Droit n’a plus qu’une très lointaine parenté avec l’Équité, soit la stricte Justice qui est de donner à chacun ce qu’il mérite : réparation, pour la victime ; châtiment pour le délinquant et le criminel.

En période de surpopulation, d’une dangerosité majeure pour la survie des sociétés, l’on pourrait penser qu’il est utile de privilégier les gens honnêtes plutôt que les voyous et la lie de l’humanité. L’actualité démontre qu’il n’en est rien.

 

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

vendredi, 18 décembre 2015

Affaire AWF : ouverture d'une information judiciaire contre X par le parquet national financier

Publié par Guy Jovelin le 18 décembre 2015

Après plus d'un an d'enquête préliminaire, le parquet national financier a de confié l'instruction de l'affaire "AWF" à deux juges d'instruction. L'affaire porte sur des soupçons de favoritisme au Conseil régional de Midi-Pyrénées et au ministère de la Défense, au profit de proches de Kader Arif.

 
Kader Arif © AFP

© AFP Kader Arif

 
Le parquet national financier (PNF) de Paris a ouvert le 25 novembre dernier une information judiciaire contre X dans le cadre de l'affaire "AWF" et confié le dossier à deux juges d'instructions, a indiqué le porte-parole du PNF à France 3 Midi-Pyrénées.

Une enquête très large

L'information judiciaire est ouverte des chefs de favoritisme, prise illégale d'intérêts par une personne dépositaire de l'autorité publique, abus de bien social, blanchiment notamment de fraude fiscale, banqueroute, gestion de société par une personne condamnée judiciairement, faux et usage de faux ainsi que pour complicité de recel de toutes ces infractions.

Des soupçons de favoritisme

L'affaire avait démarré en septembre 2014 quand deux conseillers régionaux d'opposition, Vincent Terrail-Novès et Elisabeth Pouchelon, avaient transmis au procureur de la République à Toulouse puis à la presse leurs interrogations sur des contrats passés par la Région avec AWF Music, une société appartenant au frère de Kader Arif, alors secrétaire d'Etat aux anciens combattants. Une plainte avait été déposée au nom du groupe d'opposition au Conseil Régional, présidé alors par Jacques Thouroude.
Des soupçons de favoritisme qui ont conduit le parquet de Toulouse à ouvrir une enquête préliminaire, transmise dans la foulée au parquet national financier, qui a compétence en matière d'affaires "politico-financières". 

Martin Malvy s'était insurgé

Dès la révélation de l'affaire par le Canard Enchaîné, Martin Malvy, le président PS de la région, avait rejeté toute accusation de favoritisme. Kader Arif avait alors indiqué ne pas être concerné, car il n'était pas élu à la Région. Soutenu dans un premier temps par le premier ministre Manuel Valls, il avait ensuite été "lâché" après des révélations indiquant qu'il avait aussi fait travailler cette société pour le ministère de la Défense, notamment concernant des cours de "média training" et avait été contraint à la démission du gouvernement.

Plus d'un an d'enquête préliminaire 

La révélation de l'ouverture de cette information judiciaire intervient quelques jours seulement après les élections régionales. L'enquête préliminaire aura duré plus d'un an, un délai "raisonnable" explique une source judiciaire proche du dossier, en raison des "très nombreuses pièces saisies lors des perquisitions" et du nombre d'actes importants produits durant l'enquête. 
Cette ouverture d'information judiciaire va permettre de placer des personnes en garde à vue et de prononcer éventuellement des mises en examen. 

La campagne de François Hollande en 2012 visée ?

Cette information judiciaire est un premier pas vers des placements en garde à vue de personnes impliquées ou proches du dossier. La société AWF Music avait égalementtravaillé un temps avec le candidat François Hollande avant l'élection présidentielle de 2012. Mais le Parquet National Financier a refusé de préciser ce jour si les investigations des juges allaient remonter jusqu'à la campagne présidentielle. 

"Pas de commentaire" au Conseil Régional​ ou chez AWF

Sollicité par nos soins, la région Midi-Pyrénées a indiqué ne pas avoir de commentaire à faire sur l'ouverture de cette information judiciaire. Même son de cloche chez l'avocat de AWF Music, Maître Patrick Roumagnac, qui indique lui aussi ne pas vouloir commenter cette information. 
 

Hausse des demandes pour intégrer la compagnie des réservistes du 8e RPIMa

Publié par Guy Jovelin le 18 décembre 2015

Depuis les attentats du 13 novembre à Paris, le 8e RPIMa de Castres enregistre une hausse des demandes pour intégrer la compagnie des réservistes. Le nombre d'appel au bureau de recrutement a doublé en un mois. 

 
L'armée de réserve concerne les jeunes entre 17 et 35 ans. © France 3 Midi-Pyrénées

© France 3 Midi-Pyrénées L'armée de réserve concerne les jeunes entre 17 et 35 ans.

"Je veux servir la France, assurer la sécurité de mon  pays et celle de mes concitoyens" : voilà quelques-unes des phrases que le conseiller recruteur du 8e RPIMa de Castres entend chaque jour depuis les attentats du 13 novembre à Paris.
Depuis un mois en effet, le nombre d'appels au bureau de recrutement a doublé. Des jeunes, pour la plupart, qui souhaitent intégrer la "réserve". 

Au 8e RPIMa (régiment de parachutistes d'infanterie de marine), il existe une compagnie de réservistes. Elle compte 123 militaires, 10 officiers, qui sont notamment engagés sur l'opération Sentinelle, à Paris, Bordeaux ou Toulouse. 

Pour les responsables militaires, ces réservistes sont indispensables au bon fonctionnement non seulement de l'armée mais également de la société.
"Le pendant d'une armée professionnelle efficace, c'est une réserve formée, efficace, à même de conduire des missions opérationnelles", explique Frédéric Danigo, chef de corps du 8e RPIMa. 

Une campagne de recrutement est en cours. Elle concerne tout citoyen âgé de 17 à 35 ans. La Journée nationale du réserviste 2016 aura pour thème : "Une nouvelle réserve militaire pour de nouvelles menaces". Elle se déroulera sur la période allant du 7 mars au 2 avril 2016.

Voir ici le reportage de Miryam Brisse et Sylvain Duchampt, de France 3 Tarn : 
Et puis, clin d'oeil, cette photo de militaires du 8e RPIMa de Castres, à Paris, en compagnie d'un touriste (presque) comme les autres...

© Eric Feferberg/AFP

© Eric Feferberg/AFP

 Source : http://france3-regions.francetvinfo.fr/

Toulouse : 2 ans de prison pour avoir trouvé "magnifiques" les attentats de Paris

Publié par Guy Jovelin le 18 décembre 2015

Le jeune homme qui avait téléphoné à plusieurs reprises à la gendarmerie, aux pompiers et à la police pour se féliciter des attentats de Paris du 13 novembre dernier a été condamné ce jeudi à 2 ans de prison par le tribunal correctionnel de Toulouse. 

 
© AFP

© AFP


Présenté une première fois en comparution immédiate le 16 novembre devant les juges,il avait obtenu un délai pour préparer sa défense et avait été placé en détention provisoire.

A la barre ce jeudi, il s'est excusé, a dit regretter ce geste. Mais le parquet a requis 2 ans d'emprisonnement et 5 ans de privation des droits civiques. Il a été suivi par les juges. Le jeune homme est retourné en prison et son avocate a annoncé faire appel. 

En vidéo, le reportage de Karine Pellat et de JL Pigneux :
2 ans de prison pour apologie du terrorisme

Il avait téléphoné aux gendarmes, aux pompiers et à la police pour se réjouir des attentats du 13 novembre à Paris. Un jeune homme de Muret a été condamné à 2 ans de prison

 

Source : http://france3-regions.francetvinfo.fr/