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La grande idée stratégique de Daesh, fondée sur la guerre psychologique, c’est de susciter un syndrome de Stockolm généralisé en Occident au terme d’une stratégie de la terreur mentale ou sidération.
Cette stratégie de la sidération utilise le terreau favorable du politiquement correct et de la repentance puis de la culpabilisation post-coloniale. L’illustration récurrente de ce phénomène réside dans le fait qu’à chaque attentat (11 septembre, Merah, Charlie Hebdo, Bataclan, etc.), toute la classe politique, intellectuelle et médiatique (exceptés quelques récalcitrants diabolisés comme « islamophobes »), se lève d’un seul corps pour dénoncer « l’amalgame » entre djihadistes et musulmans en France, et refuse de désigner l’ennemi et la menace pour ce qu’ils sont, c’est-à-dire de nature islamiste.
La préfecture accorde des « ausweis » aux Calaisiens pour qu'ils puissent circuler dans leur propre ville
10 Décembre 2015, 06:51am |
Publié par Thomas Joly
Voici le laisser-passer que la « préfète » (sic) du Pas-de-Calais, par l'intermédiaire du sous-préfet, a accordé à Nadine Guerlach qui vit au Chemin des Dunes, à côté de la « New Jungle » (bidonville infâme où grouillent plus de 6.000 clandestins). Cette dame est d'ailleurs en passe de se faire expulser de son domicile par la mairie pour faire place à des bureaux de l’Office français de l’immigration et de l’intégration !
Selon RTL, Foued Mohamed-Aggad, le troisième kamikaze du Bataclan qui vient d'être identifié, a vécu à Toulouse avant de partir pour la Syrie. Il avait également tenté de rentrer dans l'armée. Comme Mohamed Merah.
Le jeune homme de 23 ans a vécu "près de Toulouse" indique RTL, en compagnie d'une jeune femme. Leur relation a duré 4 ans. Selon ses propos rapportés par la radio, la jeune femme décrit un homme qui "sortait souvent, consommait de l'alcool et aimait faire la fête".
Leur relation s'est arrêtée en 2013 lorsqu'il est partie pour la Syrie. Elle était sans nouvelle depuis 2 ans.
Cette révélation de ce passé toulousain établit-elle un lien entre ce terroriste du Bataclan et la mouvance salafiste à Toulouse dans la région, notamment à Artigat en Ariège ? Il est encore trop tôt pour le savoir. Mais d'après ce témoignage, Foued Mohamed-Aggad aurait donc vécu à Toulouse en 2012, au moment des attentats de Merah.
Sur nos billets de banque une carte de l’Europe est dessinée. Sur les anciens billets (de 20 € et plus) ne figurait qu’une petite partie de la Turquie.
Sur les nouvelles coupures de 5 € et 10 €, c’est la quasi-totalité de la Turquie qui est dessinée. Nous sommes déjà trahis.
On peut malgré tout appliquer la consigne des patriotes en mettant un X au crayon sur la Turquie dans les deux cas. Cela signifie que l’on vote contre l’entrée de la Turquie en Europe. Ceci n’enlève aucune valeur au billet qui conserve sa validité puisqu’il y a la signature du banquier et un numéro de billet. Cela ne change rien, mais cela peut donner à nos gouvernants une indication de la colère populaire qui monte, peu à peu mais ineorablement.
INSOLITEUne compagnie de CRS, venue de Bordeaux pour sécuriser la frontière, s'est mis en arrêt maladie après avoir découvert son hébergement dans un cantonnement...
Illustration de CRS. - A. GELEBART / 20 MINUTES
Mais où est donc passée la 14e compagnie ? Ce groupe de CRS vient d’en faire voir de belles à sa hiérarchie en refusant d’être hébergé en cantonnement lors de sa mission dans le Nord, raconte Le Point. Les 84 policiers étaient censés surveiller une partie de la frontière franco-belge.
Tout commence le 3 décembre lorsque la Compagnie républicaine de sécurité numéro 14 débarque à Lille pour sécuriser la frontière après les attentats à Paris. Or quand les CRS découvrent leur logement, les voilà qui protestent contre les conditions de logement spartiates.
Réduire les factures d’hébergement
Pour réduire les factures, le ministère de l’Intérieur a remplacé les traditionnelles nuits d’hôtel par un hébergement en cantonnements à Lambersart, en banlieue lilloise. Résultat, ils refusent "de partager leur piaule avec un collègue" et réclament une chambre individuelle dans un hôtel. Après avoir passé la nuit dans leurs cars, ils se mettent en arrêt maladie le lendemain, jusqu’au 10 décembre, date de fin de leur mission.
Incapables de se rendre au travail, les policiers sont alors rapatriés en train, dès le 4 décembre, jusqu’à leur caserne bordelaise.
Une zone vacante sur la frontière
Les armes et véhicules, abandonnées sur place, seront récupérés par des conducteurs de la CRS 14 non grévistes envoyés sur place en train, mais dans l’autre sens. Visiblement, ces conducteurs ont, pour leur part, accepté de dormir une nuit dans le cantonnement de Lambersart.
Reste à remplacer cette compagnie pour éviter de laisser vacante une zone de la frontière de plusieurs dizaines de kilomètres.
Une autre compagnie de CRS sétait déjà insurgée contre son mode d’hébergement dans le Nord. En avril 2014, la CRS 6 de Saint-Laurent du Var avait refusé de s’installer dans un cantonnement. Ils avaient fini par être hébergés dans un hôtel quatre étoiles.