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lundi, 14 décembre 2015

Pourquoi Louis Aliot (FN) n'a-t-il pas été élu au nouveau conseil régional ?

Cinquième sur la liste FN dans les Pyrénées Orientales, le leader du FN dans la région n'a pas été élu dimanche. Ce n'est pas un hasard ou un échec, mais une stratégie : il n'est ainsi pas frappé par le cumul des mandats. 

 
© AFP

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Louis Aliot, dont la liste FN est arrivée en deuxième position des élections régionales en Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon, ne siègera pas au futur conseil régional, car il n'a tout simplement pas été élu.

Il ne s'agit pas là d'un accident électoral mais de l'aboutissement d'une stratégie.Louis Aliot, qui est déjà député européen et conseiller municipal de Perpignan, ne pouvait pas détenir un troisième mandat. Il aurait donc fallu qu'il démissionne, sachant qu'on ne peut démissionner du dernier mandat acquis.

Tout au long de la campagne, le leader FN a indiqué que s'il était dans cette position, il choisirait de laisser le mandat de conseiller municipal de Perpignan. 

Mais il s'agissait en fait d'une stratégie : placé en 5ème position sur la liste départementale des Pyrénées-Orientales, il n'avait de chance d'être élu qu'en cas de victoire du FN dans la région. Ce qu'il a d'ailleurs confirmé dimanche soir sur le plateau de France 3.

Les calculs avaient été bien faits au FN : avec près de 44 % dans ce département le FN n'obtient que... quatre élus, Louis Aliot étant le premier des non-élus de sa propre liste.

Louis Aliot n'a donc pas à démissionner de l'un de ses mandats. Mais reste au Front National, qui compte 40 élus dans la nouvelle assemblée, à se trouver un nouveau leader. 
 

L’Université du Tennessee recommande de fêter Noël sans aspect religieux !

Publié par Guy Jovelin le 14 décembre 2015

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Etats-Unis – L’Université du Tennessee à Knoxville veut bannir l’aspect religieux et même culturel des célébrations de Noël. Ni crèche ni souvenir que c’est la Nativité du Christ qui est fêtée… « Vous avez le droit de célébrer Noël pour autant que ça ne soit ni religieux ni culturel. » Mais que fêteront-ils dans ce cas ? La fête des sapins ? La célébration des boules ? La société de consommation ? La promotion de Coca-Cola ? L’obsession de déchristianisation est de plus en plus évidente aux Etats-Unis, comme en Europe, alors même que Barack Obama célébrait il y a quelques jours à la Maison Blanche la fête juive de Hanouccah.

L’Université du Tennessee a donc publié 10 recommandations sur son site Web pour aider les employés à célébrer Noël… sans parler de culture ni de religion. Recommandation 5 : «Encouragez les employés à apporter de la nourriture qui reflète leur religion et leur culture. Utilisez ces célébrations comme une opportunité pour partager nos différentes cultures. » Ce qui signifie qu’à Noël les musulmans ont le droit de célébrer leur culture, les bouddhistes ont le droit de célébrer leur culture, les juifs ont le droit de célébrer leur culture… mais pas les Américains de souche chrétiens ! 

Source : http://www.medias-presse.info/

dimanche, 13 décembre 2015

Un parti musulman a dépassé les Verts en Ile-de-France et prépare les présidentielles de 2017

Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2015

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Le score du Front National au premier tour des élections régionales a totalement éclipsé le résultat non négligeable d’un parti communautaire musulman en Ile-de-France.

L’Union des Démocrates Musulmans Français (UDMF) a déposé une seule liste aux élections régionales : en Ile-de-France. Certes, ce parti n’a pas obtenu un résultat suffisant pour se qualifier pour le second tour. Mais l’UDMF a tout de même dépassé les Verts d’EELV à Mantes-la-Jolie avec 5,90 % des voix.

 

Au programme de ce parti : le halal dans les cantines scolaires, l’apprentissage de l’arabe à l’école, la défense de la finance islamique,…

Et ce parti n’entend pas s’arrêter à l’échelon local mais affirme se préparer à présenter un candidat musulman à l’élection présidentielle de 2017.

 

Source : http://www.medias-presse.info/

samedi, 12 décembre 2015

ÉDUCATION : LE LATIN EN MIETTES

Éducation : le latin en miettesLe projet d'enseignement des langues anciennes se précise : malgré les dénégations de Najat Vallaud-Belkacem, il est tout simplement fou. Chaque fois qu'elle est interrogée sur les périls qui planent sur l'enseignement du latin et du grec au collège, Najat Vallaud-Belkacem prend un air fatigué devant tant de critiques ignorantes, avant d'assurer qu'au contraire, la réforme améliore la situation et assure l'accès aux langues anciennes pour tous les élèves.


À mesure que ses projets se précisent, il apparaît que c'est pour le moins inexact. Le Conseil supérieur des programmes a reçu il y a quelques jours les représentants des enseignants de lettres classiques pour leur présenter les nouveaux contenus de latin et de grec à partir de la rentrée 2016. 
Rappelons que la ministre a transformé le latin et le grec en « enseignement pratique disciplinaire » (EPI), au même titre que des thématiques telles que « corps, santé, bien-être et sécurité », « monde économique et professionnel », ou encore « transition écologique et développement durable ». Puis, devant le tollé, elle a condescendu à lui adjoindre des heures d' « enseignement de complément » que les chefs d'établissement seront priés de puiser dans leur dotation horaire globale. De toute façon, les heures de cours sont amputées de 50 % en classe de cinquième, et de 30 % en quatrième et en troisième.

Encore du jargon !

Dans sa lettre de saisine, Najat Vallaud-Belkacem demandait au Conseil supérieur des programmes, prié de s'arranger avec ces restrictions, de mettre « en dialogue l'ensemble des points d'appui dont doivent disposer les enseignants pour dispenser leur enseignement ». Une nouvelle illustration du jargon en vigueur rue de Grenelle…
Le résultat ? Un morcellement de l'enseignement des langues anciennes, divisé en trois volets, dispensés le cas échéant par des professeurs différents. En français, les élèves seront invités à « découvrir des systèmes graphiques et syntaxiques différents ». En EPI, ils pourront partir à la « chasse aux expressions latines ou grecques encore utilisées aujourd'hui » et se lancer dans la « fabrication d'un glossaire illustré ». Et l'enseignement de complément ? C'est une version allégée, très allégée même, restrictions horaires obligent, de ce qui se pratique aujourd'hui. Il faut bien couper dans le programme pour le faire entrer dans les cases !
La merveilleuse réforme a donc réussi à mettre le latin et le grec en miettes : évoqués dans plusieurs matières, par plusieurs enseignants, mais plus considérés comme des disciplines à part entière.
Le progrès fait rage !

source : le point.fr

vendredi, 11 décembre 2015

Les trucs d’Erdogan-le-Turc

Publié par Guy Jovelin le 11 décembre 2015

DAVOS-KLOSTERS/SWITZERLAND, 29JAN09 - Recep Tayyip Erdogan, Prime Minister of Turkey, gives a press conference after Erdogan had walk out of the session 'Gaza: The Case for Middle East Peace' at the Annual Meeting 2009 of the World Economic Forum in Davos, Switzerland, January 29, 2009.
Copyright by World Economic Forum
swiss-image.ch/Photo by Andy Mettler

DAVOS-KLOSTERS/SWITZERLAND, 29JAN09 - Recep Tayyip Erdogan, Prime Minister of Turkey, gives a press conference after Erdogan had walk out of the session 'Gaza: The Case for Middle East Peace' at the Annual Meeting 2009 of the World Economic Forum in Davos, Switzerland, January 29, 2009. Copyright by World Economic Forum swiss-image.ch/Photo by Andy Mettler
 
Soutien économique et militaire au terrorisme islamique le plus radical associé aux commerces illégaux et juteux de sa propre famille, alliances stratégiques avec l’occident à travers l’OTAN et l’Union Européenne, chantage aux migrations massives de populations exogènes dont il s’est constitué un réservoir inépuisable, paralysie des opinions publiques frappées par des attentats meurtriers, Erdogan joue les classiques de l’État voyou qui s’enrichit du pétrole des autres.

Combien de temps cela pourra t-il durer ? Car enfin, tout cela a été rendu possible sous le couvert de l’ignorance des agissements d’Erdogan-le-Turc. Les trucs du turc sont de plus en plus visibles et cousus de fils blancs. Le missile décoché contre un avion de combat russe pourrait bien avoir été le truc de trop. C’est ce qu’affirme président Russe Vladimir Poutine : «La Turquie regrettera plus d’une fois d’avoir abattu un chasseur-bombardier russe», devant les deux chambres du Parlement.

Or, à travers la destruction de l’avion russe, Erdogan a manifesté sa volonté de protéger le réseau de contrebande syro-irako-turc qui parvient à exporter du pétrole malgré les embargos internationaux. En effet, quelques mafieux turcs appartenant au clan d’Erdogan profitent du statut de la Turquie pour normaliser le pétrole illégal et le transformer ainsi en une marchandise honorable. Mais faire cela est précisément agir en Etat-voyou. Cela peut-il durer ?

A ce jour, les clients de ce pétrole de contrebande, auquel se mêle le sang des populations massacrées ou déplacées par millions, ne sont pas encore connues. Mais il devient urgent de mettre à jour les filières de son écoulement, singulièrement en Europe, car selon le Figaro reprenant les déclarations de l’ambassadrice de l’Union européenne en Irak, Jana Hybaskova, «malheureusement, des Etats membres de l’Union Européenne achètent le pétrole de l’État Islamique», affirmation confirmée par Marie-Claire Aoun, directrice du Centre Energie de l’Ifri (l’Institut français des relations internationales), pour qui «techniquement, c’est possible». Qui sont-ils ?

Le dernier truc éculé d’Erdogan sera de jouer les pucelles effarouchées, ce dont il ne se prive pas en réponse aux accusations russes qu’il a qualifiées «d’immorales». Jouant d’une effronterie des plus classiques, le président turc a promis de «révéler au monde» l’implication russe dans le trafic pétrolier de l’État Islamique.

Il est devenu manifeste que la Turquie trompe son monde. Combien de temps encore ?

 

Source : http://24heuresactu.com/