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dimanche, 06 décembre 2015

Institutrice menacée de mort : les dérisoires réponses de sa hiérarchie et des syndicats !

 Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2015

Institutrice menacée de mort : les dérisoires réponses de sa hiérarchie et des syndicats !

Institutrice menacée de mort : les dérisoires réponses de sa hiérarchie et des syndicats !
 
C’est insupportable !

http://www.midilibre.fr/2015/12/03/vias-l-institutrice-du...

Cette institutrice est menacée de mort par une mère d’élève (carrément, hein, il ne faut pas se gêner, et 99 chances sur 100 qu’il s’agisse d’une Chance pour la France… Qui d’autre, actuellement, a le réflexe menace de mort systématique pour le moindre désaccord ?

Selon nos informations, l’institutrice aurait simplement réprimandé une enfant pour un problème de discipline. La petite aurait alors quitté l’établissement et se serait plainte à ses parents. La mère serait alors venue à l’école et aurait menacé de mort la fonctionnaire de l’Education nationale. « La prochaine fois, on te met une balle dans la tête »

Déjà, en septembre, il y avait eu des menaces du même ordre, dans la même école, avec sans doute, déjà, une mère appartenant aux Chances pour la France…

Déjà, lors de la rentrée de septembre, un incident du même type avait entraîné des violences dans ce même établissement. L’élève avait finalement été changé d’école pour ramener le calme dans celle de Vias.

Quelles réponses sont apportées ? Que se passe-t-il ?

En septembre, on a changé le gamin d’école… Autant dire qu’on a fait un cadeau empoisonné à une autre institutrice, à une autre école… mais qu’on n’a pas résolu le problème.

En décembre… On met l’institutrice à l’abri (c’est un minimum), congé de maladie, aide administrative, assistante sociale… gageons qu’on lui proposera un autre poste, moins exposé… Pendant que son remplaçant serrera les fesses en attendant le coup de couteau qui viendra de la mère en question ou d’une autre…

Depuis les faits, l’institutrice n’aurait pas regagné son poste et serait suivie médicalement et assistée par son employeur. 

De son côté le rectorat a lui aussi pris en charge la victime. « Elle est suivie médicalement et assistée. Une assistante sociale se charge de ce dossier car l’institutrice a été très touchée par ces menaces de mort. Par ailleurs, nous avons missionné sur place des spécialistes de la sécurité. Ils resteront dans l’école tant que nécessaire. Ce sont des spécialistes des gestions de crise de l’éducation Nationale. Nous soutiendrons l’institutrice dans toutes ses démarches et nous l’assisterons tant qu’elle en aura besoin.

Quid de la mère ? Quid de l’enfant ? Quid de la nationalité de l’un et de l’autre ? Etrangers ? Ils sont expulsables immédiatement. Bi-nationaux ? C’est la même chose.

Quid de l’islam qui les anime sans doute ? Toujours pas de commission parlementaire pour en étudier la nocivité et l’interdire ?

Quid de Taubira et des tribunaux ? L’excuse de l’immigration, du « dérangement », la peur de l’émeute  peut nous faire parier que l’auteur des menaces et du désordre n’aura aucun souci. D’ailleurs si elle avait une amende à payer, comme elle est sans doute insolvable…  Il y a pourtant des tas de travaux ingrats, difficiles et indispensables à faire dans ce pays. Pourquoi ne pas les faire faire à ces dangers publics, en attendant que des politiques courageux les expulsent ?

Quant aux syndicats enseignants…

Le SNE condamne avec force ces agissements et apporte tout son soutien à notre collègue. Nous avons sollicité un rendez-vous avec l’inspectrice d’académie pour exprimer nos revendications et si rien n’est réellement mis en place nous envisagerons alors des actions fortes. »

Le syndicat invite tous les enseignants victimes de violences ou d’insultes en lien avec leur profession à déposer plaintes et à réaliser des signalements auprès de la hiérarchie.

« Des revendications »… Je crains le pire. J’imagine qu’il faut entendre « des moyens », des sous, des gens… quand les mêmes syndicats, irresponsables, défendent les clandestins, l’immigration sauvage et l’islamisation de la France, les seuls responsables de la situation tragique de nombre d’enseignants et d’élèves. Quant aux plaintes, voir ci-dessus la justice Taubira et son efficacité…

La mort de Fabienne en juillet 2014 n’a pas suffi, ils n’ont toujours rien compris. D’ailleurs, les proches de celle-ci n’ont rien trouvé d’autre à demander que la régularisation d’une famille de clandestins dont elle s’occupait…

http://resistancerepublicaine.eu/2014/albi-institutrices-...

http://resistancerepublicaine.eu/2014/nous-ne-voulons-ni-...

Je reprendrai ici ce que je disais dans l’article consacré à la mort de Fabienne, http://resistancerepublicaine.eu/2014/enseignante-dalbi-a...  :

Comment une société qui ferme les yeux devant le développement de la violence pourrait-elle éviter cela ? 

Comment une société qui ouvre l’école pour en faire un territoire qui ressemble à la rue et empêche ses professeurs de se faire respecter des parents et des élèves pourrait-elle éviter cela ? 

Taubira, et les ministres de la justice précédents qui, à coups de réformes, ont permis que de véritables dangers humains demeurent en liberté ? Coupables.

Le Ministre de l’EDucation nationale,  Benoît Hamon et ses devanciers, qui imposent depuis  1988 (merci Jospin) le pédagogisme à l’école publique, devenue une immense garderie où les enfants sont rois, et leurs parents  califes ? Coupables.

Bien entendu on peut actualiser et mettre Belkacem à la place de Hamon, cela ne change absolument rien, on peut même se demander si ce n’est  pas pire avec le Ministre actuel de l’Education nationale.

La FCPE qui impose ses diktats de bobos dégénérés afin que baisse chaque année davantage le niveau pour permettre non pas la réussite de tous, mais que chacun, fainiasse ou illettré, se croie un petit génie ?Coupables.

Les syndicats de l’Education nationale qui ont oublié depuis longtemps que pour défendre les leurs, les enseignants, il fallait défendre des contenus et des méthodes capables de faire émerger des élites en favorisant l’ascenseur républicain et non défendre l’indéfendable et utiliser leurs décharges, leurs subventions et leur possibilité de nuisance pour les sans-papiers ou les terroristes du Hamas ?Coupables.

Les enseignants qui, depuis des lustres, voient se dégrader l’école, leur autorité, la  qualité de vie des élèves qui leur sont confiés et la culture qu’ils sont censés transmettre et accélèrent le mouvement en étant plus royalistes que le roi, en militant dans les établissements contre la notation, contre les punitions et exclusions, pour une école ouverte… ?Coupables.

Les associations droidelhommistes qui, depuis des décennies, entrent à l’école et font de la propagande pour mener notre peuple à l’abattoir tout en menant dans les tribunaux une guerre impitoyable contre la liberté d’expression, contre le respect de nous-mêmes, contre tout ce qui est français ?Coupables.

Les stars et starlettes de la chanson, du cinéma ou du sport qui, parce qu’elles déclament bien des dialogues parfois vides et absurdes, chantent avec une belle voix des chansons parfois insipides ou donnent de bons coups de pied dans un ballon se croient inspirées par une voix divine et prétendent donner des leçons de politique et de savoir penser aux Français qui se lèvent tôt, qui aimeraient que leurs enfants ne soient pas traités d’intellos  et qui font tout pour inscrire leurs enfants ailleurs que dans les quartiers où on ne peut plus enseigner ?Coupables.

Les journalistes qui font l’omerta sur les faits-divers concernant l’école, qui relaient les demandes des mères voilées, de ceux qui contestent les notes reçues…et ne font, au mieux, que relativiser, parler de cas isolés, de déséquilibrés, sans donner la parole à tous ceux qui, tels Brighelli, tirent la sonnette d’alarme depuis des années ?Coupables.   

Tous les islamo-collabos qui laissent un système totalitaire violent, qui génère de la violence et notamment l’usage intensif du couteau pour attaquer, l’islam, s’installer et se développer en France,coupables.On ne sait pas encore si la mère d’élève, connue des services de police, habitant le quartier islamisé où se trouve l’école, est musulmane, mais même si elle ne l’était pas, il est clair que la violence liée à toutes les manifestations islamiques ( ou liées à des pays musulmans) sur la voie publique   ne peut que développer un réflexe barbare et l’usage du couteau pour régler ses comptes soi-même.

L’homme est un loup pour l’homme. Les Romains le savaient et le disaient déjà. Mais qu’est devenu l’héritage de nos ancêtres gréco-romains, qui ont laissé des milliers de pages de philosophes pour nous éviter ce que nous sommes en train de vivre. Le retour à l’état de nature, le retour à la loi du plus fort, par la dictature des minorités. 

Relisez, il est plus que temps, Farhenheit 451, de Bradbury. Nous y sommes. Les pompiers brûlent les livres et les maisons afin d’interdire la pensée, l’intelligence, la remise en cause d’un ordre totalitaire en train de s’installer. 

Et une enseignante est morte ce matin, par leur faute. 

 

Et d’autres enseignants vont travailler chaque jour la peur au ventre, par leur faute. Et d’autres enseignants,hélas, seront encore blessés et tués par des barbares venus d’ailleurs que l’on encourage à venir sur notre terre.

Source : http://resistancerepublicaine.eu/

Exclusif : Bouteflika hospitalisé à nos frais, état de siège à Grenoble

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2015

AV BOU P
Hier après-midi, l’entrée de la clinique d’Alembert de Grenoble : ne pas entrer et ne pas déranger Bouteflika et ses gardes du corps….
 
Difficile pour les Français malades d’accéder hier à la clinique d’Alembert de Grenoble où le « président-dictateur » algérien Abdelaziz Bouteflika, 78 ans, est hospitalisé depuis l’après-midi du 3 décembre. Des forces de sécurité françaises, mais aussi des gardes du corps Algériens contrôlaient tous les accès. Abdelaziz Bouteflika a tellement peur des islamistes intégristes en Algérie et des médecins algériens qu’il préfère se faire hospitaliser en France, mais pas à Paris, ville devenue peu sûre à son goût depuis les attentats du 13 novembre dernier.
 

Selon une infirmière de la clinique d’Alembert de Grenoble, jointe hier soir par téléphone, mais qui préfère conserver l’anonymat, « Abdelaziz Bouteflika restera hospitalisé à Grenoble jusqu’à vendredi soir, voire samedi matin, car il doit subir une série d’examens dans le service de cardiologie du docteur Jacques Monségu, qui le suit depuis une dizaine d’années : au Val-de-Grâce tout d’abord, et depuis 2014 au Groupe hospitalier mutualiste de notre hôpital…. »

Contactée par téléphone, l’ambassade d’Algérie à Paris nous a fait parvenir la copie d’un court communiqué de la présidence de la République algérienne qui annonce que « le président Bouteflika a quitté le pays, ce jour, pour une courte visite privée en France, durant laquelle il effectuera des contrôles médicaux périodiques, sous la direction de ses médecins traitants ».

AV BOUTEFLICôté rue : la crainte qu’un terroriste islamique passe par les fenêtres….

 

Visiblement, la santé du « président-dictateur » d’Algérie s’aggrave, car Bouteflika était déjà hospitalisé à Grenoble le 14 novembre 2014. A cette époque, le président algérien était déjà venu en urgence dans le service de cardiologie dont le responsable travaillait auparavant au Val-de-Grâce, à Paris, et qui aurait sauvé Abdelaziz Bouteflika en 2013 suite à un AVC, qui aurait pu être mortel.

AV BOUT PR2Côté bloc opératoire : cette photo devrait réjouir de nombreux démocrates Algériens….

 

La nouvelle de l’hospitalisation s’est répandue à Grenoble vers 16 h, en raison de l’état de siège mis en place autour la clinique d’Alembert, qui appartient au Groupe hospitalier mutualiste de Grenoble.

Une polémique était née, voici quelques mois, suite à l’absence de paiement, par l’Etat algérien des honoraires médicaux et d’hospitalisation du « président-dictateur » algérien Abdelaziz Bouteflika. Des sommes assez vertigineuses ! Ont-elles été reglées à ce jour ? Ou le contribuable Français doit-il encore mettre la main à la poche pour sauver Bouteflika ?

 

Une enquête de Francis GRUZELLE

samedi, 05 décembre 2015

Régionales : consignes du Parti de la France

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2015

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Communiqué du Parti de la France :

Dans le cadre du 1er tour des élections régionales du dimanche 6 décembre, le Parti de la France appelle ses sympathisants à voter pour les listes auxquelles participent ses cadres et ses militants : celle menée par Jacques Bompard en PACA et celle menée par Jean-Claude Martinez en Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon.

Dans les autres régions, le Parti de la France ne donne aucune consigne de vote et laisse ses militants et sympathisants libres de leur choix afin qu'ils puissent s'exprimer au cas par cas en leur âme et conscience.

vendredi, 04 décembre 2015

Calais : Nadine est expulsée de son domicile pour installer les locaux de l’Office français de l’immigration et de l’intégration

Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2015

avis d'expulsion

Tout le monde se souvient de la vidéo poignante de Nadine Guerlach expliquant en larmes son sort de Calaisienne harcelée par des hordes d’immigrés illégaux sans recevoir aucun secours de la police ou de la mairie.

Etape suivante : Nadine Guerlach est maintenant expulsée de son domicile pour faire place à des bureaux de l’Office français de l’immigration et de l’intégration !

Nadine a reçu cette semaine l’avis d’expulsion de son domicile situé Chemin des Dunes, à quelques mètres de la « New Jungle », le camp de migrants. La mairie, propriétaire des lieux, écrit « la municipalité souhaite procéder à la récupération du logement sis 99, route de Gravelines, que vous occupez par convention. » et ajoute sans pitié « Conformément à l’article 1er de ladite convention, le locataire s’engage à libérer les lieux à toute époque ». 

Nadine Guerlach louait ce logement depuis plusieurs dizaines d’années. Il semble qu’elle soit devenue, pour la municipalité, un symbole embarrassant dont il faut se débarrasser.

Sur les réseaux sociaux, la famille et les sympathisants se mobilisent pour soutenir Nadine. «Cela fait plus de 40 ans que j’habite dans cette maison. J’y ai tous mes souvenirs. Les cendres de mon mari se trouvent dans le garage, juste là. Je ne veux pas quitter cette maison, je ne partirai pas. », dit-elle.

De nombreux Calaisiens en colère ont déjà promis qu’ils s’opposeraient physiquement à cette expulsion.

La mairie de Calais, à l’image du gouvernement français, pratique la préférence étrangère. Cela doit cesser !

La vidéo qui avait fait connaître Nadine :

Source : http://www.medias-presse.info/

Le groupe chinois Boyalife se dit prêt à passer au clonage humain

Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2015

Dans une déclaration relatée par l’AFP, le président du conseil d’administration du groupe chinois Boyalife, Xu Xiaochun, assure qu’il dispose de la technologie suffisante pour cloner les humains. Seule la peur des réactions adverses de l’opinion réfreine la mise en application du clonage humain, ajoute-t-il. Le clonage est déjà une affaire de gros sous en dépit des controverses. Boyalife, avec sa filiale Sinica, construit la plus grande usine de clonage au monde, sur le port de Tianjin, au nord de la Chine, pour un montant de 31 millions de dollars. Boyalife et son partenaire coréen Sooam avaient déjà ouvert leur première usine de clonage à but commercial en 2014, dans la province de Shandong. L’usine de Tianjin produira jusqu’à 1.000.000 d’embryons clonés de bétail, de chevaux de courses ou d’autres animaux.

Du clonage animal au clonage humain, il n’y a qu’un pas

 

D’après Boyalife, les scientifiques se livrent au clonage animal depuis l’an 2000, pour la production de bœufs, de moutons ou de porc en vue de leur consommation. L’apport de la technologie moderne a permis de raccourcir considérablement le long processus de sélection dans l’élevage. De plus le clonage, par la sélection des gènes désirés, rend possible la production immédiate d’animaux répondant aux caractéristiques souhaitées. Des propriétaires de chiens ont déjà eu recours au clonage de leur animal de compagnie préféré. C’est d’ailleurs la société Sooam, partenaire coréen de Boyalife, qui s’est spécialisée dans cette activité avec Snuppy, le premier chien cloné en 2005. Sooam se penche maintenant avec intérêt sur la réplication des primates. Or, du primate à l’homme, il n’y a qu’un pas. D’ailleurs, le Daily Mail avait rapporté l’année dernière que des scientifiques chinois avaient cloné 30 embryons humains en guise de réserves de cellules pour des traitements médicamenteux.
Les arguments bienveillants de la justification du clonage à l’œuvre
Arguant de la perfectibilité des produits, Xu Xiaochun a fait le choix d’améliorer l’offre de la production alimentaire : « Nous voulons [des produits] uniformes, très consistants et de toute première qualité. », sans oublier l’argument économique de rentabilité pour la filière d’abattage. Après tout, pourquoi s’en priver ? Et pourquoi faudrait-il également se priver des possibilités qu’offre le clonage d’éliminer les risques génétiques à la naissance, tels le bec de lièvre, la trisomie 21 ou encore le spina bifida. La banque génétique de l’usine de Tianjin contiendra jusqu’à 5 millions de gènes cryogénisés, un catalogue qui pourrait bien, un jour, s’enrichir de gènes humains. C’est d’ailleurs l’une des raisons qui a présidé à l’implantation de l’usine sur le sol chinois, la Corée s’opposant aux pratiques du clonage humain sur son territoire.

Xu Xiaochun déplore d’ailleurs que « malheureusement, pour l’instant, la seule façon d’avoir un enfant est de le concevoir pour moitié d’un père et pour l’autre moitié d’une mère. » et d’ajouter « Peut-être aurons-nous trois possibilité à l’avenir, soit une conception à 50-50, soit une conception génétique issue à 100% du père ou de la mère. Ce n’est qu’une affaire de choix. »

Le clonage humain proposé par Boyalife en butte aux réticences sociétales

Toutefois, le clonage animal soulève pour sa part la controverse quant à la question de la sécurité alimentaire pour l’homme. Le Parlement européen a interdit la consommation de produits clonés alors que la FAO doit émettre un avis en la matière. Han Lanzhi, spécialiste des questions de sécurité relatives aux OGM à l’Académie chinoise des sciences de l’agriculture remet en cause la vraisemblance des allégations de Boyalife quant à la sécurité, l’étendue et la chronologie de leurs manipulations : « Le processus de certification relatif à la sécurité du clonage animal doit être très long ».

Les propos du président de Boyalife traduisent clairement sa volonté de servir les intérêts propres au développement de sa société, dans une Chine très peu regardantes quant aux trafics de « pièces détachées » humaines. Il n’est qu’à observer la vente d’organes ou de parties du corps des condamnés à mort chinois pour s’en convaincre.

Dès lors, quid de l’embryon humain dès la première seconde après sa conception ? Est-ce aussi une « pièce détachée » comme une autre, un bras ou une jambe par exemple ? La position de Boyalife et de son président laisse clairement entrevoir ce que risque de devenir notre société : une société dans laquelle ceux qui auront les moyens pourront s’offrir la progéniture de leur choix la plus parfaite qui soit, et les autres qui devront vivre avec les « tares génétiques » de leur hérédité – ou se voir interdire de procréer.

Une telle perspective n’est pas sans rappeler la folle idée du projet de sélection raciale Lebensborn de l’Allemagne nazie dans le cadre duquel 20.000 enfants de la « race supérieure des germains nordiques » sont nés dans les maternités SS.

Rappelons la sentence de Rabelais : « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme. » Et que Dieu pardonne aux contempteurs prométhéens de sa création.
Nicklas Pélès de Saint Phalle pour Reinformation.tv