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jeudi, 22 février 2018

Al-Arabiya interdit d’antenne en Europe : bon débarras !

Publié par Guy Jovelin le 22 février 2018

Rédigé par Notre équipe le 21 février 2018. 

Al-arabiya-fake-news

A la suite de différents scandales de déontologie, la chaîne saoudienne Al-Arabiya a perdu sa licence de diffusion au Royaume-Uni et, de fait, dans le reste de l’Europe. Une décision logique quand on sait que cette dernière était en délicatesse avec les codes de diffusion de l’autorité britannique.

Le Royaume-Uni a-t-il finalement pris ses responsabilités ?

Après des années de soutien inconditionnel aux postures wahhabites les plus extrêmes, Londres vient (enfin !) de faire preuve de fermeté vis-à-vis d’Al-Arabiya, une chaîne saoudienne d’« information » connue pour ses écarts déontologiques à répétition.

Après une première amende de 120 000 livres infligée par l’Ofcom, le gendarme de l’audiovisuel britannique, Londres a finalement franchi le Rubicon en retirant sa licence à la chaîne d’informations saoudienne Al-Arabiya.

Ou plus exactement, c’est cette dernière qui aurait pris peur et remis sa licence alors qu’une enquête allait être ouverte contre elle pour diffusion de fake news.

Des fake news à l’origine de la sanction ?

L’information nous vient directement d’un concurrent et rival de l’Arabie saoudite : l’émirat du Qatar. Tout commence avec la lutte fratricide lancée par les pétromonarchies l’an passé. Fustigeant Doha pour ses positions trop indépendantes à son goût, l’Arabie saoudite, les Émirats Arabes Unis et plusieurs autres pays de la région décident d’imposer un blocus à l’émirat rebelle.

Les raisons officielles ont de quoi faire sourire : financement du terrorisme d’une part, et soutien à l’Iran d’autre part. Si la première tient davantage de la plaisanterie quand on se rappelle que l’Arabie saoudite a été le berceau de Ben Laden, la seconde se base sur des informations… fausses.

Car en mai 2017, l’agence de presse Qatar National Agency a subi un piratage informatique d’ampleur. Piratage au cours duquel les attaquants ont intégré un faux article attribuant au dirigeant du Qatar des propos qui glorifiaient l’Iran, ennemi éternel de Riyad. Par la suite, Al-Arabiya a repris ses informations, qu’elle savait pertinemment fausses, et les a diffusées en masse en Europe.

C’est sur ces bases que l’Ofcom avait décidé de lancer une enquête qui semblerait avoir contraint Al-Arabiya à remettre sa licence. La chaîne quant à elle s’en défend et prétend être partie de son plein gré, sans pour autant apporter la moindre justification à son départ.

Pour l’Europe, bon débarras !

 Au-delà de la guerre fratricide que se livrent l’Arabie saoudite et le Qatar, la perte de licence d’Al-Arabiya est indubitablement une bonne nouvelle pour l’Europe. Il est en effet inadmissible que le continent soit le jouet de pouvoir entre deux États, dans une crise qui ne le concerne pas.

En outre, la chaîne Al-Arabiya, quoi qu’on en dise, n’en est pas à son coup d’essai. Cette dernière avait déjà été sanctionnée pour avoir diffusé, sans son consentement, une vidéo d’un militant des droits de l’homme retenu en prison. L’amende avait été de 120 000 livres. Avec la suspension de la licence d’Al-Arabiya, c’est toute l’Europe qui peut souffler, dans la mesure où les droits de diffusion sur le continent étaient associés à la licence anglaise.

Alors que des chaînes comme Russia Today ont le plus grand mal à émettre sur les ondes, la perte de licence d’Al-Arabiya est enfin un signe de la fin du deux poids, deux mesures qui règne en Occident. La condamnation d’une chaîne historiquement connue pour ses accointances avec le pouvoir et récemment passée sous la coupe de l’impétueux MBS, prince héritier de Riyad, laisse entrevoir le retour d’une valeur oubliée par les médias de nos jours : la déontologie.

 

Source : 24heuresactu

mardi, 20 février 2018

Viktor Orban : le danger vient de l’Ouest, de politiciens à Bruxelles, Berlin et Paris

Publié par Guy Jovelin le 20 février 2018

Unknown-4Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a souhaité la constitution d’une grande alliance de pays contre l’immigration, dimanche à l’occasion du lancement par son parti, le Fidesz, de la campagne en vue des élections législatives du 8 avril. Il a estimé qu’une divergence fondamentale séparait les pays d’Europe centrale et l’ouest de l’Europe, devenu une « zone immigrée, un monde à la population mixte qui prend une direction différente de la nôtre ». 

Les pays de l’ouest de l’Europe cherchent à imposer leurs vues.

« Aussi absurde que cela puisse paraître, le danger que nous affrontons vient de l’Ouest, de politiciens à Bruxelles, Berlin et Paris ».

« Le V4 (les pays de Visegrad: Hongrie, Slovaquie, Pologne, République tchèque) est ferme, la Croatie se laisse convaincre, l’Autriche a pris une direction patriotique et en Bavière, la CSU (Union chrétienne-sociale) a créé une résistance« .

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

mardi, 13 février 2018

Migrants : La route des Balkans à nouveau la porte pour entrer en Europe

Publié par Guy Jovelin le 13 février 2018

ansa,balkans,europe,migrantsSelon la presse croate, reprise par l’Agence de Presse italienne, l’ANSA,  le nombre de migrants qui essayent de rejoindre l’Europe orientale en traversant l’Albanie, le Monténégro, la Bosnie, la Croatie et la Slovénie serait en augmentation.

Nonobstant le pacte de 6 milliards d’euros entre Bruxelles et Ankara pour contenir le flux de migrants et intégrer 3,7 millions de « réfugiés » syriens en territoire turc, les débarquements sur les côtes de la Grèce continuent.

Syriens, Afghans, Pakistanais, défient les contrôles pour arriver en Europe. Le but de leur voyage est toujours le même, seul l’itinéraire change. Ce n’est plus la vieille route balkanique, inaccessible depuis 2016, mais un nouveau parcours qui de la Grèce passe par l’Albanie, le Monténégro, la Bosnie, la Croatie et la Slovénie. Un tracé inédit qui cependant, assure le quotidien croate Jutarnji List (La feuille du matin),  serait toujours plus utilisé par les « migrants », y compris ceux de nationalité algérienne et marocaine. Et ce afin d’éviter d’être bloqués en Serbie ou en Macédoine et d’atteindre la Slovénie.

Les quotidiens locaux n’ont pas hésité à la rebaptiser « la nouvelle route balkanique ».

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

mercredi, 24 janvier 2018

Effondrement de la mortalité enfantine (hors avortement) en Europe

Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2018

En 1980, nous avons :

  • Moins de 0,99 % de morts : aucun
  • Entre 1 et 1,99 % de morts: Islande, Royaume-Uni, France, Belgique, Luxembourg, Pays-Bas, Danemark, Norvège, Suède, Finlande et Suisse
  • Entre 2 et 2,99 % de morts : Irlande, Espagne, Allemagne, Autriche, République socialiste tchèque, Pologne, R.S.S. d’Estonie, R.S.S. de Lettonie, R.S.S. de Lituanie, R.S.S. de Biélorussie, Chypre et Malte.
  • Entre 3 et 3,99 % de morts : S.S. de Russie, R.S.S. d’Ukraine, Bulgarie, Grèce, R.S. Slovaque et Hongrie.
  • Entre 4 et 4,99 % de morts : Portugal
  • Plus de 5 % de morts : Roumanie, Turquie, R.S.S. de Moldavie.
  • Pas de données : Yougoslavie, Albanie, Andorre, Monaco, San Marin et Vatican.

En 2015, nous avons :

  • Moins de 0,99 % morts : tous les pays d’Europe sauf ceux-ci-dessous.
  • Entre 1 et 1,99 % de morts : Moldavie, Roumanie, Bulgarie, Turquie.
  • Pas de données : Vatican

C’est bien la peine de faire des progrès pour sauver les enfants en santé délicate si c’est pour en exterminer 20 % dans le ventre de leur mère…

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 19 janvier 2018

Un nouveau migrant… est arrivé !

Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2018

 

Ce nouvel immigrant arrive en général d’Afrique transsaharienne ou du Moyen Orient, transitant depuis l’Europe de l’est où des populations rélictuelles, fruits d’invasions plus anciennes, ont été identifiées depuis des siècles, notamment dans les Balkans.

De ce fait, on distingue aujourd’hui assez facilement deux types de ces populations suivant leur coloration moyenne, l’une étant globalement plus foncée que l’autre.

(Considération qui sera évidemment dénoncée, et stigmatisée par les officines antiracistes.)

Pourtant, la carte de répartition d’origine de ces migrants est particulièrement éclairante :

 

On en trouve même maintenant parvenus en Scandinavie !

Depuis les années 80, ces nouveaux migrants sont devenus beaucoup plus fréquents en Occident, où ils s’organisent en microsociétés locales grâce à la généralisation de leur regroupement familial.

Ils sont connus pour leur capacité d’intégration, notamment à notre mode de vie urbain, tout en s’affichant comme farouchement hostiles à toute tentative d’assimilation.

Ils restent fondamentalement et viscéralement communautaristes.

Ce sont d‘abord des opportuniste qui se nourrissent des rapines qu’ils commettent. Ils n’hésitent, pas pour ce faire, à voler les communautés de riverains avec lesquels ils sont en contact, et montrent beaucoup d’audace, seuls ou en groupes, pour parvenir à leurs fins.

Les rixes qu’ils provoquent sont fréquentes, même à l’intérieur de leurs propres clans, ce qui contribue à créer un climat d’insécurité régulièrement dénoncé par les médias dans les zones qu’ils ont investies.

Vis-à-vis des autorités, nationales comme locales, ces nouveaux migrants n’ont pas de statut juridique propre, mais ils jouissent d’un niveau de protection européen reconnu, qualifié de « modéré » par les médias.

Niveau qui est jugé évidemment insuffisant par les associations de protection des pays où ils s’installent, mais déjà considéré comme trop permissif, notamment par les souchiens locaux, aussitôt qualifiés de « petits blancs hostiles, repliés sur eux-mêmes, adeptes d’une vision figée de leur monde d’où toute intrusion doit être bannie» par les commentateurs engagés qui mettent en avant « l’enrichissement du territoire que ces populations nouvelles ne manqueront pas d‘apporter ».

Ils font déjà l’objet d’un programme spécifique de protection en Grèce.

Ils sont balkaniques, maghrébins, subsahariens : ce seront donc de nouvelles chances pour la France !

Qu’on se le dise…

Ils arrivent maintenant à travers les Alpes : leur présence est attestée depuis un moment déjà en Suisse et en Autriche, comme en Italie.

Certains viennent d’être repérés s’infiltrant en Haute Savoie !

François Moutou, spécialiste de ces populations, interrogé sur cette nouvelle vague migratoire, a été très clair et n’a pas semblé particulièrement étonné de la présence de ce nouveau type de migrants :

« On savait qu’il était déjà en Italie et en Suisse. Qu’un individu ou deux passent la frontière, cela faisait partie des choses assez probables. L’espèce est en expansion depuis les Balkans, depuis la fin du XXe siècle. Elle est partie depuis le centre de l’Europe vers les pays Baltes, puis vers l’ouest…. »

https://www.francetvinfo.fr/animaux/chacal-dore-repere-en...

Ne nous méprenons pas sur ce nouveau migrant car les apparences pourraient être trompeuses, surtout après ce qu’on vient de lire …

Ce nouveau migrant, c’est lui : le chacal !

 

Mais aujourd’hui, cela nous interroge sur un plan eschatologique…

Ce migrant originellement transsaharien connaît une explosion démographique en Europe de l’ouest, tandis que le chien viverrin, migrant pourtant considéré aussi comme invasif, mais originaire d’Asie et d’Europe nord-orientale, s’implante lui beaucoup plus lentement en Occident…

Claude Timmerman

 

Source : medias-presse.info