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dimanche, 16 septembre 2018

Rencontre Orban-Salvini : Nous allons repositionner l’Europe sur de nouvelles bases spirituelles et morales et nous allons résoudre les problèmes sur place

Publié par Guy Jovelin le 16 septembre 2018

 

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Viktor Orban a déclaré lors de la conférence de presse : « Matteo Salvini est le premier politicien méditerranéen qui veut stopper les migrants et la Hongrie le soutient dans cette volonté. »  Il a ajouté : « Il est mon héros, et aussi mon compagnon de lutte, et je peux partager avec lui certaines de mes expériences. »

La foule qui les attendait sur la place San Babila a pu entendre la conférence de presse témoignant de la confiance et de l’aide mutuelles que les deux politiciens se sont promises.

Orban a précisé que la collaboration avec le gouvernement précédent était très difficile, la Hongrie était sans cesse attaquée et le peuple hongrois offensé. Il a ajouté : « Les Hongrois ont subi des attaques parce qu’ils ont prouvé qu’il est possible de défendre les frontières terrestres, alors que Bruxelles affirmait qu’il est impossible de stopper les migrants et que, par conséquent, il faut les laisser entrer.

Matteo Salvini a ajouté qu’il va prouver que l’on peut défendre non seulement les frontières terrestres mais aussi les côtes maritimes. Dans cette volonté, la Hongrie soutient l’Italie et conseille à Salvini de tenir bon. En effet, il est déshonoré, sali, on raconte des choses affreuses sur son compte, mais s’il tient bon, il prouvera à ses adversaires qu’il est possible de défendre les côtes italiennes.

Viktor Orbán a précisé que la politique de Bruxelles, de la France, de l’Allemagne, de l’Espagne parle de gestion des flux migratoires. Les V4 ne veulent pas les gérer mais les stopper. Le devoir n’est plus la redistribution des migrants, mais leur renvoi d’où ils viennent. Les redistribuer signifierait que les trafiquants de migrants ont gagné la guerre et amènerait de nouvelles vagues migratoires. La seule façon de les sauver des noyades, c’est d’empêcher tout départ. Et ceci n’est possible que s’ils ont la certitude qu’ils ne pourront plus fouler le sol européen.

La gauche italienne a manifesté en masse sur la place San Babila durant la conférence de presse, avec des migrants, arborant des panneaux comme : « L’Italie n’est pas Salvini, Orban n’est pas l’Europe », accusant Orban d’être « antisémite » et de « refuser le moindre morceau de pain aux migrants », criant « honte à Salvini » parce qu’il traite avec lui, et revendiquant une Europe « sans frontières ».

[…]

Photo : La Stampa

[…]

Il y aura les votations du Parlement européen en mai, et nous avons besoin d’un Parlement européen qui arrête la migration. L’Europe a besoin de nouvelles bases spirituelles et morales et les formes de coalitions qui vont se dessiner sont de la musique d’avenir pour après les votations.

Salvini a précisé que la collaboration avec la Hongrie se passerait sur des bases stables avec une authentique identité de vues.

Orban a parlé de la division de l’Europe en deux conceptions opposées. D’un côté les immigrationnistes, avec comme figure de proue Macron, qui veulent faire exploser le Parti Populaire Européen. De l’autre, nous, qui voulons arrêter la migration illégale. Néanmoins, il y a un point où les positions italienne et hongroise sont divergentes : Salvini attend que les migrants sur son sol soient distribués entre les pays européens, Orban n’en veut pas du tout. Salvini a ajouté que la Hongrie a le droit de refuser totalement les migrants et de défendre ses frontières.

[…]

Concernant les expulsions, Salvini a souligné que la Libye ne veut pas reprendre les clandestins partis de son territoire, mais il pense qu’il sera possible d’établir un accord avec le Bangladesh, le Pakistan, la Tunisie. […]

Les élites européennes actuelles sont financées par les fondations Soros, et les dirigeants « dernier cri » comme Macron représentent cette élite. Mais les peuples du continent européen sont devant un tournant historique.

Orban a conclu en disant que la question la plus importante en Europe demeure la migration et le renvoi de tous ceux qui sont venus sans autorisation.

Salvini a conclu en rappelant le grand respect qu’il a pour Victor Orban.

Source : https://pestisracok.hu/orban-salvini-uj-szellemi-alapokra...

Traduction libre Cenator pour LesObservateurs.ch

mardi, 04 septembre 2018

Le Premier ministre tchèque approuve les manifs anti-immigration de Chemnitz et déclare : « Nous ne voulons pas vivre en Afrique ! »

Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2018

Par  le 03/09/2018

 

D’après Andrej Babis, les manifestations de Chemnitz dans l’ex-Allemagne de l’Est pourraient constituer un déclencheur en Europe. Face à la crise migratoire, la République tchèque ne veut toujours pas entendre parler de répartition européenne.

Commentant les manifestations anti-immigration qui ont lieu dans l’est de l’Allemagne, le chef du gouvernement tchèque Andrej Babis s’en est vivement pris à la politique migratoire de l’Union européenne. «Chemnitz, est là, au coin de la rue !», s’est-il exclamé le 2 septembre sur un plateau de télévision tchèque, cité par le média Parlamentni Listy«J’ai expliqué en long et en large qu’il s’agit d’un combat pour préserver notre civilisation européenne et notre culture. Nous ne voulons pas vivre en Afrique ou au Moyen-Orient», a-t-il poursuivi, dénonçant les efforts menés par la Commission européenne pour faire accepter par Prague l’accueil de migrants.

(…)

RT via fdesouche

mardi, 28 août 2018

Europe : Macron veut mener le combat contre les «nationalismes»

Publié par Guy Jovelin le 28 août 2018

Par  le 27/08/2018

 

Devant les ambassadeurs français réunis lundi à l’Elysée, le chef de l’Etat a plaidé pour une Union européenne forte et autonome. Critiquant le premier ministre hongrois, Viktor Orban, et le ministre italien de l’Intérieur, Matteo Salvini, il a dénoncé les « extrêmes et les nationalismes ».

[…] L’Europe est au point de rencontre des stigmates et des solutions de cette crise. «Ce combat européen ne fait que commencer, il sera long, il sera difficile», a insisté le chef de l’État, en ouvrant la traditionnelle conférence des ambassadeurs – et, désormais, «des ambassadrices».

C’est que les élections européennes de l’an prochain se profilent déjà. «Nous sommes au milieu d’une crise européenne», a souligné Emmanuel Macron, citant le Brexit, l’essor politique des extrêmes, les divisions Nord-Sud sur les questions économiques et Est-Ouest sur les questions migratoires.

Dans le constat, le chef de l’État s’est voulu pédagogue: tant l’isolationnisme de Donald Trump que la radicalisation de certains pays européens apparaissent moins comme une cause que comme le symptôme d’une mondialisation dysfonctionnelle et source d’inégalités. «Les identités profondes des peuples ont resurgi avec leur inconscient collectif», a expliqué le chef de l’État. «Les extrêmes ont progressé et les nationalismes se sont réveillés. Est-ce une raison pour abandonner? Certainement pas […]. Il faut en réalité redoubler nos efforts», a déclaré le président qui s’envole mardi pour trois jours de visite officielle au Danemark et en Finlande. […]

Le Figaro via fdesouche

L’Europe bruxelloise en guerre : la police recule partout devant les migrants

Publié par Guy Jovelin le 28 août 2018

Police Recule Migrants Guerre Europe Bruxelloise

La « crise des migrants » engendre logiquement une guerre en Europe. Alors que l’Est résiste à l’envahisseur, dans les pays sous influence bruxelloise la police recule devant des migrants de plus en plus sûrs d’eux et dominateurs. Au point que c’est aux militaires d’être attaqués.
 
En 2014, les médias dominants dans l’Europe bruxelloise ont nommé « crise des migrants », l’intrusion brutale, en sus de l’immigration habituelle, tant officielle que « clandestine », de centaines de milliers d’immigrés supplémentaires inassimilables, en majorité mâles et jeunes, par un abus manifeste de deux mots attachés à deux droits très anciens et respectables, l’asile à terre et la détresse en mer. Cet abus était conscient et organisé, afin de subvertir et d’exploiter, en vue d’une invasion planifiée par l’ONU, la compassion pour le malheureux, et le vieux devoir de solidarité humaine que souffle à chacun sa conscience.
 

Officiel : pour le HCR de l’ONU les migrants ne sont pas des réfugiés 

 
Aujourd’hui l’imposture est éventée. Le HCR, le Haut comité aux réfugiés de l’ONU, confirme ce que le téléspectateur pouvait voir sur son écran : 75 % au moins des migrants sont des hommes, d’âge compris entre vingt et quarante ans, les « mineurs », quand on parvient à leur donner un âge, ont souvent 35 ans, ils viennent de pays qui ne sont pas en guerre pour la plupart, et même dans le cas contraire, on a vu des Syriens, par exemple, retourner chez eux le temps des vacances avec l’argent du contribuable allemand. En d’autres termes, ces migrants ne sont, dans l’ensemble, pas des réfugiés, ce sont pour une part des immigrés « économiques », les autres étant des prédateurs, comme l’actualité nous le montre.
 

A Ceuta, l’attaque d’une horde de mâles en guerre

 
Les 116 migrants qui viennent d’envahir l’enclave espagnole de Ceuta étaient tous jeunes, en bonne santé, sportifs, n’ayant visiblement été brimés ni maltraités par personne. Ils ont escaladé les grilles vivement, et, pour repousser la police, lui ont jeté des excréments et de la chaux, causant pas mal de blessures. La police a reculé. Ils sont passés, faisant des V de la victoire et pour certains remerciant Allah, le grand, le miséricordieux, de la victoire qu’il leur avait donnée. On peut tourner les mots dans tous les sens, on n’empêchera pas la chose d’être un acte de guerre. Une guerre d’un genre nouveau puisqu’au lieu de planter leur drapeau en terre espagnole et européenne, ils ont brandi les drapeaux de l’Espagne et de l’Europe bruxelloise. Cela signifie plus que : nous vous vainquons. Cela signifie : nous sommes vous demain, nous vous éliminons, nous vous remplaçons.
 

Les dépouilles de l’Europe bruxelloise : argent, tueries, femmes

 
Sans doute Pedro Sanchez a-t-il renvoyé au Maroc, deux jours plus tard, ces envahisseurs victorieux (Pourquoi au Maroc ? C’est chez eux qu’il fallait renvoyer ces migrants, avec une sévère admonestation à leur gouvernement), mais le mal était fait. La police avait reculé. Comme partout en Europe bruxelloise. Et ce recul est un appel à tous les envahisseurs : vous pouvez y aller, une fois entrés vous jouirez sans entrave des grasses dépouilles de l’Europe bruxelloise, ses allocations, ses foyers d’accueil, ses répartitions administratives, ses distributions de nourriture (prévoir toutefois ses propres épices, la cuisine manque parfois de piment, à Calais par exemple), ses femmes faciles à attraper et à violer sur la voie publique.
 

La police recule devant la synergie migrants-immigrés plus anciens

 
La guerre en Europe bruxelloise est en effet fraîche et joyeuse pour ces jeunes mâles aux appétits de conquête non inhibés par le politiquement correct : tout est butin, les promeneuses de la Saint-Sylvestre à Cologne, les passants que l’on poignarde en criant – ou pas -Allahou Akbar, et bien sûr le bien d’autrui, droit d’aubaine pris sur les infidèles. De la Suède à la Sicile, les migrants ont changé l’insécurité en Europe bruxelloise, ils font une guerre de rapine, un gigantesque rezzou pour une gigantesque razzia. Et la police dans tout ça ? Eh bien, la police recule. Car, en bagarre avec les migrants, mais en synergie avec eux lorsqu’il s’agit des keufs, il y a les bandes de banlieue. La police se fait caillasser et tabasser dans les « quartiers ». Chacun a en mémoire les policiers lynchés pour la Saint-Sylvestre (encore ! C’est le patron de l’immigration turbulente) à Champigny-sur-Marne. Ou les policiers cramés dans leur voiture à Viry-Châtillon. Et l’on ne compte plus ceux qui sont tués par les terroristes, déséquilibrés et loups solitaires issus de l’immigration.
 

La police recule : la grande trouille du grand rezzou

 
Résultat, la police a peur. Devant la foule allogène et criminogène, elle recule. Ses voitures s’enfuient. Ses membres reculent en tâchant de rester groupés. Ce n’est pas propre à la France. En Italie, en Espagne, la consigne est de reculer jusqu’à l’arrivée de moyens supérieurs du type canon à eau. L’héroïsme est déconseillé. En Belgique, à Spa, un policier vient de se faire abattre pour être intervenu par une dispute. La vraie guerre arrive. Elle se fait de moins en moins au cocktail Molotov improvisé ou au couteau, plus à l’arme à feu. Récemment à Marseille, un petit rezzou s’est offert une fantasia à la Kalachnikov. 
 
De nombreuses vidéos circulant sur le net mettent en image les effets de cette terreur sur le moral des policiers, de la Grèce à la Scandinavie. Les équipes de deux ou quatre policiers en voiture sont systématiquement prises à partie. Comme l’usage de leur arme leur est interdit, les policiers se font repousser, insulter, molester par des adversaires supérieurs en nombre ou simplement en agressivité, et ne reçoivent naturellement aucune aide de la population, au contraire.
 

Terrorisme et migrants font partie d’une même guerre d’invasion

 
Il y a trois ans, Daech menaçait de pousser 500.000 migrants à envahir l’Europe. Il y en a deux, le président tchèque Milos Zeman accusait les Frères musulmans d’avoir provoqué le début de la crise des migrants. Ces informations, parues dans le Point et le Figaro, n’ont pas été démenties. Il y a une guerre dont l’Europe bruxelloise est le théâtre, une guerre d’invasion où s’articulent immigration et terrorisme. Dans cette guerre, les militaires de l’opération sentinelles sont souvent attaqués eux aussi. Leur bilan est meilleur que celui de la police. Mais, même quand ils ont le droit d’ouvrir le feu comme tout récemment à Lille, ils laissent leurs agresseurs s’enfuir sans trop de mal. Les consignes données par l’Etat sont de ne pas s’opposer aux envahisseurs. Ce qui a pour effet, visible sur toutes les vidéos, que les migrants et certains immigrés plus anciens ne considèrent pas les forces de l’ordre comme les représentants de la loi d’un pays qu’ils respectent, mais comme une bande ennemie, contre laquelle il est loisible de se battre, et qu’il est gratifiant d’humilier.
 

Europe bruxelloise : guerre civile entre orthodoxes et hérétiques

 
C’est là qu’entre en jeu la guerre civile qui enflamme l’Europe bruxelloise entre les orthodoxes, Allemagne, Benelux, Espagne, Grande-Bretagne, et les hérétiques, c’est-à-dire le groupe de Višegrad auquel s’ajoutent depuis peu l’Autriche et l’Italie. Là-bas, la police ne recule pas, ou plus, devant les migrants, et les frontières sont défendues. C’est pourquoi Macron et Philippe morigènent Salvini : il est coupable de deux choses, d’agir et d’être populaire, à l’inverse d’eux, et, à l’inverse d’eux, de s’opposer au diktat du mondialisme qui a décidé la léopardisation de l’Europe. 
 
A preuve les récentes déclarations de Josep Borell, le ministre espagnol des affaires étrangères, considérant les migrants comme le « sang neuf » de l’Europe, confirmées par celles du leader wallon André Antoine qui fait le « choix démographique » de l’immigration, et par celles du président allemand Franz-Walter Steinmeier, lui aussi favorable à la poursuite de l’immigration, qui nie l’existence « d’Allemands de souche ». Pour ces fanatiques de l’Europe bruxelloise, l’ennemi c’est Salvini, Orban, c’est Kurz, ce ne sont pas les migrants envahisseurs ni les immigrés délinquants ou criminels : et c’est pourquoi la police recule, laissant les citoyens sans défense.
 

Pauline Mille

https://reinformation.tv/police-recule-migrants-guerre-eu...

 

Source : leblogalupus

jeudi, 16 août 2018

Qu’est-ce qu’un envahisseur ?

Publié par Guy Jovelin le 16 août 2018

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 Bernard Plouvier

Dans l’imaginaire collectif d’Européens trop sensibles aux fééries hollywoodiennes - tellement schématiques en matière d’histoire qu’elles ne sont que caricatures -, l’invasion est une affaire sanglante, « pleine de bruit et de fureur », de viols et de rapts, de pillages et d’incendies.

Il est exact que l’invasion des hordes d’Attila fut en grande partie cela, et bien davantage encore la déferlante mahométane en Ibérie, en Aquitaine et dans toute la moitié sud de la France ou en Italie méridionale. Puis la barbarie mongole s’abattit sur l’Europe orientale et centrale, et la turque en terres danubiennes. Tout ce la fut sanglant, raciste et ignoble, nul ne le conteste.

L’actualité, en Europe occidentale et scandinave, prouve la persistance et la vivacité de ce type de comportement chez nombre de sauvageons africains, et leurs confrères proches et moyen-orientaux. Si les attentats individuels et collectifs ne défraient la chronique que de façon mensuelle, le vandalisme dirigé contre les installations publiques, les lieux de culte chrétien, les propriétés privées est affaire quotidienne, comme le sont les actes de racket, les vols, les viols et les agressions physiques… et si l’on en venait à dénombrer les manifestations verbales de racisme anti-Blancs, l’on devrait compter en secondes. Tout cela est bien connu – sauf de la presse gaucho-socialo-friquée.

Il est une autre forme d’invasion, moins spectaculaire dans ses manifestations, mais infiniment plus pernicieuse : celle de la mendicité et du service rendu ou soi-disant tel. « Le Barbare peut franchir la frontière en suppliant ou en auxiliaire aussi bien qu’en agresseur… Il use de la prière ou du service plus souvent que de la violence » (Joseph Calmette, in Le monde féodal, 1934).

Il est de fait que les Germains se sont initialement implantés dans l’Empire romain d’Occident comme auxiliaires ou comme réfugiés repoussés par les Slaves puis par les Huns. Ils ont d’ailleurs remarquablement aidé les Gallo-Romains à écraser l’envahisseur hunnique au Vesiècle. En outre, même lorsqu’ils se comportaient en pillards, ils régénéraient les populations occidentales par un fort utile apport génétique : on restait au sein de la même race continentale, l’européenne.

De nos jours, le spectacle des réfugiés africano-asiatiques, chassés de chez eux par la barbarie islamique ou les jeux pervers des dirigeants US, est indéniablement pitoyable. Seulement, après avoir nourri et formé à un métier utile ces extra-Européens, n’avons-nous pas le devoir de les rendre à leurs continents d’origine, pour que ces ex-réfugiés, secourus et convertis à la technicité occidentale, civilisent leurs Nations d’origine ?

Les agents de désinformation clament l’intérêt de la mixité des races et des civilisations pour assurer l’avenir de notre Europe, en complet désaccord avec les faits observés dans les pays multiraciaux : USA, Mexique, Brésil, pour prendre quelques exemples simples où fleurit la violence interraciale de façon quotidienne. On peut prendre ces bêlements de propagande pour ce qu’ils sont : la soumission aux intérêts de la grande distribution.

De fait, les mêmes immigrés-réfugiés-envahisseurs consommeraient infiniment moins s’ils étaient restés chez eux. Accueillis par des États occidentaux, ils jouissent d’une multitude de lois à caractère social (même les immigrés clandestins ont droit à une allocation spécifique en France), en plus d’usages, pas toujours conformes à la loi, des organismes publics locorégionaux, enfin de dons issus de la charité privée. Pourquoi retourneraient-ils dans leurs gourbis insalubres alors qu’ils bénéficient de jouissances matérielles infiniment plus grandes que dans leur continent d’origine et contre un travail nettement moins harassant, voire pas de travail du tout ?     

Or une question simple se pose. Qu’ont-ils à donner en contrepartie de tout ce que nous leur offrons ? De façon trop fréquente, ils nous font présent de rejetons peu doués, souvent délinquants, presque jamais courtois, en sus d’une religion conquérante, aux usages médiévaux adaptés à des continents où la rudesse et une conception très particulière des rythmes de travail sont opposées aux nôtres. L’esclavage et l’intolérance religieuse qui devient facilement meurtrière, le mépris intégral de la femme : de tout cela nous n’avons guère besoin.

Les empires hellénistique et romain ont tenté d’amalgamer l’Afrique du Nord et le Proche-Orient à l’Europe - du moins celle qui était étendue de l’Atlantique et de la Méditerranée au Rhin et au Danube -, et cela fut un échec intégral.

Pourquoi voudrait-on récidiver dans l’erreur ? Si c’est pour satisfaire l’esprit de lucre des très curieux « humanistes » de Wall Street, de la City londonienne et des multinationales, ou pour communier à la niaiserie, plus ou moins intéressée, des affairistes (souvent repris de justice) du Charity business, d’un pape étonnant et de politicien(ne)s toqué(e)s, ce n’est peut-être pas nécessaire.

 

Source : synthesenationale