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lundi, 17 juillet 2017

La guerre froide du gaz et les inacceptables sanctions des États-Unis contre l’Europe !

Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2017

 

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Marc Rousset

Que ne feraient pas les États-Unis pour exporter leur gaz de schiste nouveau et contrer la puissance stratégique de la Russie aussi bien en Europe qu’au Moyen-Orient !

Le russe Gazprom (Газпро́м) veut construire un nouveau gazoduc (Nord Stream 2) de 9,5 milliards d’euros dans la Baltique, qui augmenterait d’un tiers en 2019, soit de 55 milliards de m3, le gazoduc sous-marin Nord Stream 1 déjà existant entre Vyborg (Выборг, Russie) et Greifswald (Allemagne).

Suite à l’opposition de l’Ukraine et de la Pologne, dont les gazoducs continentaux Yamal et Brotherhood passant par leurs territoires sont court-circuités, Gazprom a été amené à être le seul actionnaire du projet. Le français Engie, les allemands Uniper (ex-E.ON) et Wintershall (BASF) ainsi que l’anglo-néerlandais Shell ont décidé d’être seulement des financiers à hauteur de 10 % chacun, et non plus des actionnaires, ce qui était initialement prévu. Nord Stream, passant sous la mer, échappe à la juridiction de Bruxelles ; les Allemands considèrent ce projet comme strictement commercial.

Mais le 15 juin 2017, le Sénat américain a décidé, au grand dam de l’Europe, d’envisager des sanctions contre les entreprises européennes « du fait des effets préjudiciables de Nord Stream 2 sur la sécurité énergétique européenne ». Bref, l’Amérique est plus royaliste que le roi Europe, alors qu’il s’agirait bien au contraire de diminuer la sécurité énergétique de l’Europe et de nous obliger à acheter du gaz de schiste américain transporté sous forme liquéfiée à partir des États-Unis jusqu’à des ports terminaux européens. À noter qu’aux États-Unis mêmes, l’idée d’exporter du gaz de schiste est considérée par l’Industrial Energy Consumers of America comme stupide car contribuant à augmenter la cherté du gaz dans les industries manufacturières porteuses de valeur ajoutée.
 
Selon Isabelle Kocher, directrice générale d’Engie, « il s’agit d’une ingérence spectaculaire et inacceptable dans les affaires européennes », après les sanctions financières des États-Unis contre BNP Paribas, Alstom et les contraintes imposées à Renault, PSA et Total pour investir en Iran. Cette implication est d’autant plus surréaliste, impérialiste et inacceptable que Nord Stream est un projet non américain avec des entreprises non américaines et un financement sans dollars américains.

L’Europe ne peut, au contraire, que se réjouir de diversifier son approvisionnement en gaz naturel pour 40 % en provenance de la Russie, pays frère continental européen, d’autant plus que la production chute au Royaume-Uni (mer du Nord) et au Pays-Bas.

La folle agressivité américaine se comprend d’autant mieux que la Russie, suite à son intervention victorieuse en Syrie, est devenue le maître du jeu au Moyen-Orient pour le gaz en provenance du Qatar et d’Iran. Le projet « Turkish Stream » prévoit la construction en Turquie par la Russie de deux conduites d’une capacité de 15,75 milliards de m3 par an chacune, qui formeront un gazoduc sous la mer Noire, évitant encore une fois l’Ukraine, pour fournir l’Europe. Le Qatar a dû passer sous les fourches caudines russes et renoncer au projet initial « sunnite » évitant l’Irak, passant par l’Arabie saoudite et une Syrie non Bachar el-Assad. La Russie devient le pivot central pour que le gaz tant iranien que qatari transite vers l’Europe sans déposséder Moscou via le futur gazoduc russo-turc « Turkish Stream ». À quand une Europe européenne et enfin libre ?

Boulevard Voltaire cliquez ici

vendredi, 30 juin 2017

6,6 millions de migrants attendent de passer en Europe (Vidéo)

Publié par Guy Jovelin le 30 juin 2017

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Vidéo de Beatrix von Storch, vice-présidente de l’Alternative für Deutschland (AfD).

Traduction anglaise ici

http://gatesofvienna.net/2017/06/beatrix-von-storch-this-...

D’après les autorités de sécurité allemandes, il y a 6,6 millions de migrants en Afrique du Nord, Jordanie et Turquie qui attendent de continuer leur route vers l’Europe. Depuis fin janvier, leur nombre a augmenté de 7400 par jour.

En septembre 2015, A. Merkel a capitulé devant 15'000 migrants parce que, pendant quelques jours, il y a eu des photos difficiles à faire passer. Elle a actionné un aimant, que jusqu’aujourd’hui elle a toujours refusé de désactiver. Par son acte inconstitutionnel et insensé d’ouverture des frontières, elle a demandé au monde entier de venir chez nous.

6,6 millions ont entendu cet appel, et ce n’est qu’un début.

Je n’arrive pas à comprendre comment un continent entier peut se jeter dans l’abîme les yeux ouverts, comment une grande partie de la société applaudit à cela, comment beaucoup trop continuent à se taire. Comment les politiciens et la presse accusent de haine ceux qui tirent la sonnette d’alarme. Comment les Eglises participent à ce crime moral. Oui, crime, contre notre pays, notre culture, et aussi contre ces gens qui sont incités par de fausses promesses à traverser les mers.

Ce n’est pas de l’humanité que de pousser tant de monde à entreprendre un voyage dangereux en leur promettant le paradis. D’ailleurs, nous ne ponvons pas sauver le monde entier. Cette politique n’est pas « humaine », elle est mégalomane.

Les élites politiques allemandes et européennes ont perdu la raison. Un monde sans frontières, c’est une folie sans limites. La paix et la sécurité en Europe vont s’effondrer si nous ne faisons pas demi-tour rapidement.

Traduction (abrégée) : Cenator

 

Source : lesobservateurs

jeudi, 22 juin 2017

La multinationale Starbucks annonce embaucher 2.500 réfugiés en Europe

Publié par Guy Jovelin le 22 juin 2017

21 juin 2017 par Pierrot

Starbucks est l’emblème de la multinationale mondialiste militante « made in USA ». Après la promotion du « mariage homosexuel », la suppression des références à la fête de Noël dans ses boutiques, la firme américaine explique vouloir offrir un point de chute aux clandestins. Soyons acteur de notre consommation , en évitant de donner notre argent à ce genre de fanatiques.

Mardi soir, l’enseigne fondée à Seattle a annoncé qu’elle allait embaucher 2.500 réfugiés en Europe pour travailler derrière ses comptoirs en France, Suisse, Allemagne, Autriche, Portugal, Pays-Bas, Espagne et Grande-Bretagne.

A terme, 10.000 réfugiés travailleront pour Starbucks

Lire la suite : contre-info.com

samedi, 27 mai 2017

Ces voies détournées par lesquelles les attentats favorisent l’islamisation de l’Europe Partager sur Facebook

Publié par Guy Jovelin le 27 mai 2017

bougies attentat

Le discours post-attentat est désormais tellement bien rodé qu’un ordinateur pourrait écrire les articles à la place des journalistes. Seuls les noms et les dates sont à changer.

Le récit se répète comme une ritournelle : l’islam n’y est pour rien, les terroristes sont une poignée de fous radicalisés sans lien avec l’islam ; ils lui font même un tort considérable ; d’ailleurs, les musulmans figurent aussi parmi les victimes, même si ce ne sont jamais les lieux ou les symboles musulmans qui sont visés. Et face à ces actes odieux, il faut certes prendre des mesures sécuritaires, y compris en détruisant les bases des terroristes à l’étranger, mais la meilleure réponse est surtout de ne rien changer, de continuer à vivre comme avant, de préserver nos valeurs et nos libertés, et surtout de rester unis en s’aimant les uns les autres car les pays européens n’ont pas d’ennemis.

Ce discours apaisant, centré sur la lutte contre le terrorisme, peut évidemment se justifier par la volonté d’éviter les violences intercommunautaires. Cette crainte a pu sembler d’autant plus sérieuse que, d’après Gilles Kepel, les violences interreligieuses sont justement supposées faire partie du plan des théoriciens de l’Etat islamique.

Toutefois, cette grille de lecture est-elle la bonne ? Pire : ne conduit-elle pas à faire fausse route ? Le scénario noir des affrontements communautaires ne s’est pas réalisé. La répétition la régularité des attaques sanglantes permettent maintenant d’avoir un peu de recul. La démonstration a été faite : dans aucun pays, les Européens ne sont descendus dans la rue pour s’en prendre aux musulmans. C’est même tout le contraire. En France, les actes islamophobes ont baissé et l’image des musulmans s’est plutôt améliorée. Et chaque nouvel attentat renforce un peu plus les appels à l’amour, rejetant encore plus loin tout débat sur les causes des problèmes, et sur l’islam en général. Que ce soit par crainte d’un basculement dans la guerre civile, ou par empathie envers une population musulmane qui est vue sous l’angle de la seule victimation, les pouvoirs publics s’attachent prioritairement à écarter tout débat de fond pour se cantonner éventuellement aux problèmes d’organisation institutionnelle, ce qui paraît aussi dérisoire qu’inefficace. La critique de l’islam est découragée, voire sanctionnée, au moins moralement. Critiquer l’islam devient un sport de combat. A-t-on encore le droit de dire que l’on n’aime pas l’islam ? Ne pas être en admiration suffit à rendre suspect. Et ne parlons pas de la dénonciation de l’obscurantisme religieux, qui n’est manifestement plus d’actualité au pays de Descartes et de Voltaire.

Mais le problème ne s’arrête pas là. En partant du principe que l’islam ne pose aucun problème, voire que les musulmans sont eux-mêmes aux premières loges des victimes du terrorisme, une réponse coule de source : il faut faciliter son développement. C’est tout le paradoxe de notre temps : loin d’avoir provoqué un rejet de l’islam, le terrorisme favorise  un processus d’accommodement et d’encouragement. Proposer un moratoire sur la construction de mosquées relèverait purement et simplement de l’hérésie, à l’heure où le discours institutionnel ne tarit pas d’éloges sur la civilisation islamique, à laquelle la civilisation européenne apparaît tellement redevable.

(...)

Source et article complet

mardi, 23 mai 2017

Les scientifiques estiment que « l’Europe est le berceau de l’humanité, et non l’Afrique » (The Telegraph)

Publié par Guy Jovelin le 23 mai 2017

Par le 23/05/2017 

L’histoire de l’évolution humaine a été réécrite après que les scientifiques aient découvert que l’Europe était le berceau de l’humanité, et non l’Afrique.

À l’heure actuelle, la plupart des experts estiment que notre lignée humaine s’est séparée des singes il y a environ sept millions d’années en Afrique centrale, où les hominidés sont restés pour les cinq millions d’années suivantes avant de s’aventurer plus loin.

Mais deux fossiles d’une créature semblable à un singe qui avaient des dents humaines ont été trouvés en Bulgarie et en Grèce, datant de 7,2 millions d’années.

La découverte de la créature, appelée Graecopithecus freybergi et surnommée «El Graeco» par les scientifiques, prouve que nos ancêtres commencent déjà à évoluer en Europe 200 000 ans avant le premier hominidé africain.

Une équipe internationale de chercheurs affirme que les résultats changent entièrement le début de l’histoire humaine et placent le dernier ancêtre commun des chimpanzés et des humains – le soi-disant lien manquant – dans la région méditerranéenne.

(…)

The Telegraph

 

Source : fdesouche