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vendredi, 10 février 2017

INSEE : 1,1 million de Français sont d’origine algérienne

Publié par Guy Jovelin le 10 février 2017

Par le 09/02/2017 
 Une étude de l’Institut national français des statistiques et études économiques (Insee), publiée mercredi 8 février, révèle les proportions et origines des immigrants et de leur descendance dans la population française. Il en ressort que 15% des 7,3 millions d’enfants d’immigrés sont originaires d’Algérie, soit près de 1,1 million de personnes, selon les chiffres de l’Insee.

[... L’Algérie, avec 15%, représente le 1er pays de la liste, suivie par le Maroc (11%) et la Tunisie (5%). Ces personnes descendantes d’immigrés maghrébins sont, en grande majorité (59%), des jeunes de moins de 24 ans. 17% ont entre 25 ans et 34 ans, alors que 19% sont âgés de 35 à 49 ans. Le reste, soit 5% ont 50 ans et plus, détaille l’Insee. [...]

TSA Algérie et INSEE

samedi, 07 janvier 2017

Etude exclusive : le taux de prénoms musulmans département par département

Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2017

Par le 06/01/2017

Chaque début d’année, l’INSEE publie les chiffres de l’Etat Civil relatifs aux prénoms attribués aux enfants nés en France depuis 1900.

https://www.insee.fr/fr/statistiques/2540004#consulter

L’étude qui suit présente la popularité spécifique des prénoms musulmans comparée aux autres prénoms aux niveaux national et départemental.

Méthodologie :

Il a été nécessaire de créer de toutes pièces un « référentiel » des prénoms musulmans.

Si le Coran indique que le prénom du musulman consiste en « une marque distinctive nécessaire pour faciliter la communication entre son porteur et les autres », pas évident de les identifier parmi les 31000 prénoms de la base de l’INSEE…

Plusieurs listings disponibles sur les sites communautaires suivants ont été passés au crible : www.halalbook.fr, www.prenommusulmanrare.com, www.pageshallal.com, www.katibin.fr.

Un référentiel des étudiants du monde, par pays d’origine www.studentsoftheworld.info a également été utilisé.

Certains prénoms, bien que très populaires dans la communauté musulmane, peuvent parfois être attribués à des enfants non musulmans. Il a été pris la décision de ne qualifier de prénom musulman que les prénoms qui n’induisent AUCUNE AMBIGUÏTE sur la question. Les chiffres présentés par la suite sont donc nettement modérés au regard de la réalité.

Exemples de prénoms de filles non catégorisés musulmans : Sarah, Ines, Lina, Sofia, Sabrina, Lydia, Selma, Camelia, Célia, Lisa, Myriam et autres Lilia, exemples chez les garçons : Adam, Aaron, Abel, Eden, Adem, Ismael, Elyes, Liam et de nombreux prénoms à origine hébraïque.

Cette ambigüité plus importante sur les prénoms de fille est vérifiée sur le fait que les garçons portant un « prénom musulman » représentent plus de 55% de l’échantillon, contre 51% pour les prénoms « non musulmans » (oui, 1% de spermatozoïdes sont sexistes).

NB : Une liste des 100 prénoms musulmans les plus populaires est présentée en fin de document.

Etude au niveau national

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Jusqu’à la fin de la seconde guerre, c’est le calme plat… Moins de 1 naissance sur 1000 en France est concernée par l’attribution de prénoms musulmans… NB : l’Algérie, alors département français, n’est pas comptabilisée, idem pour les autres colonies.

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Phase 1 : Les choses commencent à changer à partir de 1946, première année ou plus de 1000 enfants nés en France porteront un prénom musulman.
1958, De Gaulle obtient les pleins pouvoirs constitutionnels, c’est également cette année-là que le taux de prénoms musulmans donnés aux enfants  français dépasse pour la première fois les 1%. Ce taux augmente de façon faible mais régulière pendant les 30 glorieuses, avec une croissance moyenne de 0,1 points chaque année.

Phase 2 : 1973, le « baby-boom » est déjà loin, la crise pétrolière éclate, le taux chômage bondit et Giscard arrive au pouvoir. Il décide de faciliter le regroupement familial. La loi Veil sur l’IVG est votée (pour rappel, l’Islam bannit plus que toute autre religion l’avortement). On constate une accélération sensible du taux de prénoms musulmans qui augmente de 0,3 points chaque année.

Phase 3 : Les années Mitterrand…  Contrairement aux idées reçues, ces 14 années ne vont pas constater une accélération du taux d’octroi de prénoms musulmans. Celui-ci, qui est de 6,5%, en 1983 décroit même légèrement jusqu’à la fin du second mandat. Ce taux ne sera ré-atteint qu’en 1998, la fameuse année « Black Blanc Beur ».

Phase 4 : De 1995 à aujourd’hui. La 2ème génération issue du regroupement familial des 70’s est en âge de procréer. Une nouvelle immigration, issue notamment d’Afrique sub-saharienne se développe. Cette communauté, culturellement fertile, conserve souvent un mode de vie traditionnel.

Ces 20 années présentent une croissance impressionnante du taux de prénoms musulmans donnés aux enfants nés en France, aussi bien par son importance que par sa régularité avec 0,65 points chaque année.

Etude au niveau départemental

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2 départements n’ont pas eu de naissances avec des prénoms musulmans en 2015 : Creuse et Lozère, ils étaient 7 en 1995 : Creuse et Lozère, mais aussi Manche, Nièvre, Gers, Cantal et Meuse…

Sur les 37 départements ayant enregistré  plus de 5000 naissances en 2015, 9 présentent un taux de prénom musulman inférieur à 10% :

56 Morbihan : 4,4%, 29 Finistère : 5,4%, 14 Calvados : 6,0%, 64 Pyrénées Orientales : 6,2%, 62 Pas de Calais : 6,8%, 51 Marne : 7,2%, 49 Maine-et-Loire : 8,0%, 35 Ile et Vilaine : 8,0%, 44 Loire Atlantique : 8,3%

Sur les 16 départements dont le taux de prénoms musulmans dépassait les 5% en 1995, 2 voient une croissance du taux sur 20 ans inférieure à 10 points:

  • Paris, qui passe de 9,4% à 17,1% (+7,7 pts)
  • Les 2 départements corses, passant de 8,5% à 10,8% (+2,3 pts)

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Annexe :

Exemples de prénoms musulmans retenus pour l’étude (principaux effectifs en nombre de naissances 2015):

MOHAMED, YOUNES, IMRAN, RAYAN, ASSIA, INAYA, MANEL, AYA, MEHDI, YASMINE, IBRAHIM, ISSA, YOUSSEF, NAEL, AMINE, AYOUB, NOUR, NAHIL, AMIR, SOAN, WASSIM, BILAL, SOHAN, ASMA, TESSA, MARYAM, ALI, NASSIM, KENZA, ANAS, FARES, HAMZA, YASSINE, ZAKARIA, SANA, AYDEN, AYMEN, AHMED, AMINA, LEILA, MELLINA, NORA, IZIA, SAFA, MERYEM, HANNA, YUNA, KAIS, MOHAMMED, IMRANE, WAEL, IDRISS, NEYLA, RAYANE, FATIMA, SOFIANE, TASNIM, NAHEL, AMIRA, TESS, ANIS, MARWA, DJIBRIL, NAWEL, MOUSSA, YACINE, KHADIJA, MERIEM, SAMI, ISMAIL, HANAE, MARIAM, ALIYAH, SOUMAYA, CHAHINE, ISRA, SHANA, HIND, OMAR, NORAH, HAROUN, MAISSA, SOULEYMANE, ABDALLAH, HAYDEN, MALAK, ELIF, ISSAM, WALID, NAYLA, HANA, SANAA, ANISSA, HAFSA, FATOUMATA, EMNA, AISHA, ISHAQ

(merci à Jean Robert pour son étude)

 

Source : fdesouche

mercredi, 05 octobre 2016

Quand l’INSEE valide le Grand remplacement

Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2016

La Femme Voilee

Alain Nueil, professeur de lettres agrégé

♦ Le « fantasme » est bien une réalité chiffrée.

Grand Remplacement : il convient de mettre des majuscules, non par goût du sensationnel, mais parce qu’il s’agit d’un événement historique singulier, un changement important dans la population française qui se déroule sous nos yeux. C’est donc un nom propre. On a d’abord cru qu’il s’agissait d’un fantasme d’extrême droite. Un ami professeur en Sorbonne me disait : « Le Grand Remplacement, je connais la théorie, mais je n’y crois pas ». On disait aussi que cette hypothèse était « trop logique » pour se produire. Objection bien curieuse : si la récolte de blé est mauvaise, faudra-t-il s’attendre à ce que le prix du pain baisse, parce que le contraire serait « trop logique » ?

À moi, l’intuition me suggérait, en voyageant dans les RER parisiens, en voyant les nombreux Comoriens implantés en Dordogne par le conseil général socialiste précédemment aux manettes, que cette théorie se transformait en réalité. Mais il faut se méfier de l’intuition comme de la peste.


Des statistiques ethniques déguisées

Tous ces doutes ont laissé la place, le 30 septembre 2016, à une certitude scientifique grâce à la publication par l’INSEE des résultats de son étude sur les naissances en France. On lit dans le rapport sur les évolutions de la population française en 2015 : « Depuis 2011, les naissances d’enfants issus de deux parents nés en France diminuent (de 580 756 à 535 302 en 2015, soit une baisse de 7,8%), celles d’enfants dont l’un ou les deux parents sont nés à l’étranger sont en hausse de 6,07%. » Ce qui appelle plusieurs remarques.

Il existe encore en France, à l’INSEE, des fonctionnaires assez courageux et inventifs pour contourner l’interdiction (stupide et dangereuse à mon avis) des statistiques ethniques. Le lieu de naissance de la mère ou du père ? Où voyez-vous de l’ethnicité dans cette question ? Le devoir d’un scientifique est de cerner la réalité au plus près, bravo à ces mathématiciens à qui le réel ne fait pas peur.

« Deux parents nés en France » : c’est déjà le cas de beaucoup de descendants d’immigrés dont il faudrait défalquer le nombre de naissances en le soustrayant des 535.302 nouveaux-nés pour avoir une idée du chiffre des naissances chez les blancs de type européen (l’usage du mot « caucasien », racialement neutre, serait bien pratique, mais la langue française ne l’admet pas, on croirait qu’il s’agit d’une multiplication des Tchétchènes et autres Ossètes dans l’hexagone.) Chez ceux-ci, le pourcentage de naissances par femme doit être de 1,3 ou 1,4, en berne comme chez les Allemandes ou les Italiennes (revoir l’épisode triste et amusant de « L’île des enfants uniques » dans Journal intime de Nanni Moretti). Dans mon coin de France rurale, je vois beaucoup de jeunes couples avec un seul enfant et beaucoup de seniors dont la famille se termine en queue de poisson. Après le décès des derniers baby-boomers, il y aura beaucoup de jolies maisons vides où l’on pourra loger les migrants.

Le Bras désavoué par la réalité

Une guéguerre oppose deux grands démographes, Michèle Tribalat (une femme de gauche) et Hervé Le Bras à propos des naissances chez les immigrés et leurs descendants. Ces statistiques viennent de prouver que c’est la première qui a raison. Hervé Le Bras apparaît désormais pour ce qu’il est : le porte-parole du Mensonge Officiel sur la démographie. Il nous a expliqué pendant des années que les jeunes couples d’origine immigrée se mettaient tout de suite à la natalité à la française et faisaient environ deux enfants, comme les Français « de souche ». « Paroles, paroles… » comme chantait Dalida.

Je n’ai pas entendu une seule présentation, un seul commentaire sur les grands médias à propos de la publication avant-hier de ces statistiques sérieuses du très sérieux INSEE. Certes, je n’écoute et ne lis pas tout, mais internet est tout de même un bon moyen de scruter ce qui se dit dans les médias. Là encore, Mensonge Officiel par dissimulation. Quand Jules César est arrivé en Gaule avec la ferme intention de conquérir le pays, il n’était question sur les télévisions gauloises que du risque que le ciel ne tombe sur la tête des habitants de ce malheureux pays. L’Yves Calvi de l’époque arbitrait des débats passionnés sur tombera ou tombera pas et personne ne parlait de Jules et de ses projets menaçants. Vous voyez bien que les Gaulois sont nos ancêtres.

Cette évolution est plus marquée depuis 2011, souligne l’INSEE. Impossible de ne faire un rapprochement avec la politique antinataliste des divers gouvernements de la présidence Hollande. Réduction des allocations familiales, abaissement du quotient familial, abaissement des prestations d’accueil au jeune enfant, tout a été mis sous condition de revenus, c’est-à-dire qu’il s’agissait d’une attaque en règle contre la natalité des classes moyennes, qui sont pour l’essentiel formées de « caucasiens ». Décidément, ce quinquennat aura été catastrophique sur tous les plans.

Dernière remarque sur cette passionnante statistique : les mathématiciens de l’INSEE ne sont pas des futurologues, mais on peut déduire de leurs chiffres qu’il s’agit là d’une tendance lourde, dont on ne voit pas ce qui pourrait la freiner ou a fortiori l’arrêter. Il y aura forcément une année X du XXIe siècle où ceux qui sont nés en 2015 étant enfants d’un ou de deux parents nés à l’étranger et leurs descendants deviendront plus nombreux que ceux qui sont nés en 2015 de deux parents nés en France. Durant une année postérieure Y, ils deviendront plus nombreux sur les listes électorales et la loi de la démocratie leur permettra de pouvoir prendre de bonnes décisions, mais aussi de mauvaises comme imposer la charia en France, rattacher le pays au Qatar ou forcer les dernières chrétiennes à porter le voile.

Il s’agit là d’un scénario très logique, trop logique peut-être, les surprises de l’Histoire peuvent bien sûr l’enrayer, ce dont je serai ravi dans ma tombe. Mais j’attends qu’on me démontre que ce scénario n’a aucune chance de se produire, les événements logiques ayant la stupide habitude de se produire plus souvent que les événements illogiques.

Une contre-société patriarcale

Un dernier mot sur les femmes, principales actrices de la natalité. Dès lors que coexistent dans un même pays deux mentalités très différentes chez les femmes elles-mêmes et chez les hommes dans leurs rapports avec elles, il se produit un déséquilibre grave. Dans la France actuelle, l’une des deux classes de femmes proclame « un enfant si je veux quand je veux » et les hommes n’osent pas protester et réfuter cette assertion tout de même extravagante qui détruit le père et fait du mâle un simple fournisseur de sperme. Les hommes se taisent, ils sont terrorisés par des décennies de lutte acharnée contre le Père, des décennies de divorces impitoyables déclenchés à 80 % par les épouses, des décennies de destruction de toute figure de domination masculine, le juge grave, le professeur autoritaire, le curé sévère et tant d’autres. Le président de la République élu en 2012 est d’ailleurs emblématique de ce refus de toute autorité masculine. Pendant ce temps, dans un autre segment de la population française, c’est : « autant d’enfants que je le voudrai, moi le père » et « surtout mets ton voile pour aller au supermarché ». En dépit de ce que disent les têtes creuses, le voile est avant tout la preuve de la soumission des femmes aux hommes, qui décideront seuls du nombre de grossesses que l’épouse subira. J’espère bien que la majorité des familles musulmanes de France ne fonctionne pas sur ce modèle étroitement machiste et patriarcal, mais qu’il en existe une certaine proportion est suffisant pour modifier les statistiques démographiques. Conséquence de cette dualité dans les conditions féminines : une supériorité numérique croissante du second segment de la population sur le premier.

La France a des chances (ou des risques) prouvées et vérifiées désormais par l’INSEE de connaître en une centaine d’années ce que le Kosovo a connu en un millénaire : la lente submersion d’un peuple par un autre peuple plus prolifique. Rappelons que le Kosovo est le berceau de la nation serbe, que tous ses noms de lieu sont d’étymologie serbe, les noms albanais n’en étant que des adaptations. A commencer par Kosovo qui signifie en serbe le champ des merles, lieu d’une célèbre bataille contre les Turcs. Les historiens du futur seront un peu étonnés par la cause de cet effacement du peuple français d’origine : un excès de grandeur d’âme et une naïveté phénoménale. Et puis on en rira, on classera cette disparition dans les histoires de morts ridicules, ainsi que les affectionne les petites séries thématiques qu’on trouve sur les sites d’information de la Toile (les dix stars tombées dans la misère, les dix îles sublimes qu’il faut visiter avant de mourir etc…) On rira de la disparition des anciens Français comme on rit de la mort ridicule de ce Japonais en safari, dévoré par un lion pour lui avoir donné un grand coup de pied pendant sa sieste afin qu’il ait l’air plus vif sur la photo-souvenir.

Alain Nueil
3/10/2016

Alain Nueil est romancier et enseignant agrégé de lettres.

Source : Causeur.fr

mercredi, 14 octobre 2015

SELON L'INSEE, IL Y A 5 868 000 IMMIGRÉS EN FRANCE

Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2015

L'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) vient de publier son dernier bilan démographique sur les «populations française, étrangère et immigrée en France depuis 2006».


Selon l'Insee, il y a 5 868 000 immigrés en France

Un «immigré» désigne «une personne née de nationalité étrangère à l'étranger et résidant en France». 

Un «étranger» qualifie «une personne qui réside en France et ne possède pas la nationalité française». 

Lire la suite sur Le Salon Beige 

mercredi, 07 octobre 2015

La délinquance continue d’augmenter selon l’INSEE

Publié par Guy Jovelin le 7 octobre 2015 

Le nouvel outil statistique, présenté comme « plus fiable et impartial », montre que tous les indicateurs étudiés, hormis les homicides, sont à la hausse. Ce panorama, encore parcellaire, ne prend pas en compte les viols, les actes de vandalisme ou les délits économiques et financiers. Personne ne sera surpris de ces statistiques, tant la politique actuellement menée par Valls-Taubira est ahurissante, politique de permissivité qui vise à chercher systématiquement des excuses aux délinquants et surtout qui vise, sous le verbiage de réinsertion, à leur octroyer toutes les faveurs.

C’est ainsi qu’un braqueur a ouvert le feu contre un policier de 36 ans, le blessant très grièvement (celui-ci est toujours entre la vie et la mort), avant de se faire abattre. Mais qui donc était ce braqueur ? Dans la presse, il est présenté comme un évadé « en cavale ». La réalité est quelque peu différente : Pour être « en cavale », ce braqueur n’a jamais dû escalader d’enceintes, n’a jamais dû fausser compagnie à ses geôliers. S’il était en cavale, c’est après être sorti par la porte de la prison qui lui avait été grande ouverte. En effet, dans le but de réinsérer les détenus (véritable obsession de Valls-Taubira), ceux-ci obtiennent des permissions (alors que déjà tout détenu n’effectue jamais la totalité de sa peine). Or, au terme de sa permission, le braqueur n’avait jamais regagné sa prison. Voilà comment notre braqueur s’était, paraît-il, évadé… Ainsi donc, si évasion il y a, elle a eu des complicités au plus haut sommet de l’Etat. Cela est d’autant plus ahurissant qu’il avait été fiché pour radicalisation islamique, puisqu’une fiche « S » avait été établie le concernant, exactement comme pour Mohamed Merah, les frères Kouachi, etc. Mais qu’est-ce que l’Etat ne ferait-il pas pour réinsérer ? Aujourd’hui, une famille française vit l’angoisse de l’annonce de la mort à cause de la politique criminelle de l’actuel gouvernement. Quand donc une véritable politique sécuritaire, qui passe par le rétablissement de la peine de mort, et qui permettra de combattre la délinquance et la criminalité, sera-t-elle mise en place ? Quand donc les gouvernements auront à coeur de défendre le bien commun plutôt que de vouloir systématiquement réinsérer des déviants, fussent-ils les plus abominables criminels ?

PS : Hier, Imad Chafouk, caïd de Vitry-sur-Seine (94) et trafiquant de drogue s’est évadé lors d’un tournoi de boxe, organisé à Agen. Il était libérable en 2022 (et donc condamné à une peine allant bien au delà). Il s’était déjà évadé en 2009.Merci, peuvent dire tous ces gens, à Valls-Taubira pour cette politique deréinsertion. Les honnêtes citoyens, eux, comptent leurs victimes.

Source : http://www.contre-info.com/