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dimanche, 30 octobre 2016

Toulouse: manifestation de quelque 400 policiers, soutien des pompiers

Publié par Guy Jovelin le 30 octobre 2016

MP + AFP Publié le

Plusieurs centaines de policiers et leurs familles se sont rassemblés samedi après-midi place du Capitole à Toulouse, où les pompiers leur ont apporté un bruyant soutien

 
Les policiers ont reçu le soutien des pompiers © France 3

© France 3 Les policiers ont reçu le soutien des pompiers

Les manifestants, en civil et au nombre d'environ quatre cents, selon un officier de police en tenue, ont chanté la Marseillaise avant de prendre la direction de la préfecture.

Les pompiers en renfort
Treize véhicules de pompiers, dont certains portaient la mention "pompiers en colère", sont arrivés sur la place du Capitole toutes sirènes hurlantes et sont
passés sous les applaudissements nourris des policiers.
"Les pompiers ont aussi besoin de sécurité et de respect lors de leurs interventions", a commenté un fonctionnaire du commissariat central de Toulouse,
rappelant que les "interventions des secours dans les quartiers sensibles sont toujours appuyées" par les forces de l'ordre.

Mercredi, l'État a annoncé une enveloppe de 250 millions d'euros et un ensemble de mesures comprenant la livraison de nouveaux matériels, dont 21.700 gilets capables d'arrêter les balles de kalachnikov, 8.000 casques, 4.700 boucliers balistiques, 3.080 nouveaux véhicules dès 2017, ou la réfection des commissariats et casernes de gendarmerie.

Insuffisant pour les manifestants
Mais, pour les manifestants, interrogés par l'AFP, toutes ces mesures prises pour calmer la grogne "ne répondent pas aux besoins".
"On a essayé avec un gros chiffre de faire taire la protestation. Seulement, on ne sait pas comment cet argent sera employé", a affirmé un fonctionnaire de la Brigade de nuit, réclamant sous le couvert de l'anonymat "par peur des sanctions", comme ses collègues, des "moyens matériels et humains" ainsi que "des ordres clairs et de la considération de la part de la hiérarchie".
"Ce sont des mesurettes, pas précises. Nous, nous voulons exercer sereinement notre métier", a fait valoir un membre d'une Compagnie d'intervention, déplorant qu'on demande aujourd'hui à "la police de la quantité plutôt que de la qualité".
Son collègue et ami a lui dénoncé "le sous-effectif": "Ça fait 30 ans que je suis dans la police. Je la vois se déliter. Dans notre compagnie, nous étions 80, nous ne sommes plus que 40", a-t-il dit.
 

jeudi, 20 octobre 2016

Ras-le-bol des policiers: Une manifestation nocturne a aussi eu lieu à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2016

SOCIETE Une trentaine de fonctionnaires de police a aussi manifesté dans la nuit de mardi à mercredi à Toulouse. Avec trois voitures de patrouille

Un véhicule de police. Illustration.
Un véhicule de police. Illustration. - B. Colin - 20 Minutes

Helene Menal 

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  • Mis à jour le

 

Le malaise fait tache d’huile. A l’instar de leurs collègues parisiens qui avaient manifesté la nuit précédente sur les Champs-Elysées, des policiers toulousains ont participé à un rassemblement nocturne mercredi.

De source policière justement, une trentaine de fonctionnaires, pour la plupart hors service, mais aussi trois voitures de patrouille, ont convergé vers le Monument aux Morts, situé sur les boulevards, au centre-ville.

Après 4 manifestations nationales en 4 ans, des actions et rassemblements agréés sans écoute, sans résultat, ce qui devait arriver arriva !

Comme à Paris, cette mobilisation ne répondait à aucun mot d’ordre syndical. « Nous n’aurions jamais appelé à une action qui risque de faire encourir des sanctions disciplinaires, mais nous comprenons qu’ils aient eu envie d’une action plus percutante pour être entendus puisque les manifestations officielles ne sont pas suivies d’effets », commente Didier Martinez, le secrétaire régional du syndicat Unité-SGP police.

>> A lire aussi : Nouveau tag anti-police: Un phénomène en «recrudescence», selon Alliance

Rébellions et refus d’obtempérer

Selon le syndicaliste, les violences envers les policiers ont augmenté « de 10 à 15 % àToulouse comme au niveau national cette année ». Les actes de rébellion se multiplient, les conducteurs, non contents de refuser d’obtempérer, foncent de plus en plus souvent sur les fonctionnaires.

« Sans compter l’hostilité de plus en plus violente dans les quartiers, le plus souvent pour protéger l’économie souterraine », ajoute Didier Martinez.

Une marche citoyenne le 26 octobre

La marche citoyenne des policiers, annoncée pour le mercredi 26 octobre, aura sa déclinaison toulousaine. Elle doit partir à midi du commissariat central de l’Embouchure. Les forces de l’ordre défileront en civil, sans drapeau ni logo, et il n’y aura pas de prise de parole.

Elles appellent d’ailleurs les habitants à marcher à leurs côtés pour « dire stop à la haine anti-flics ». 

 

Source: 20minutes

samedi, 03 septembre 2016

Calais : « les routiers se font agresser chaque nuit depuis 6 mois » (Màj)

Publié par Guy Jovelin le 03 septembre2016

Par le 02/09/2016

« Plus on démantèle, plus il y a de migrants »



Le ras-le-bol des chauffeurs routiers se fait de plus en plus ressentir à Calais. Inquiets, les conducteurs de poids-lourds qui passent par Calais pour traverser la Manche vivent avec la peur au ventre. Des barrages de migrants ralentissent les camions pour que ceux-ci puissent monter à bord des camions. Les chauffeurs désemparés sont obligés de chercher le soutien de CRS, trop peu nombreux.

Lundi, une manifestation des chauffeurs routiers aura lieu à Calais. Les conducteurs sont à bout de nerfs, après 6 mois d’agressions quasi-quotidienne des poids-lourds et de multiples alertes à la préfecture pour obtenir des moyens. Ils dénoncent une indifférence totale de la part des autorités.

 

Source : fdesouche

mercredi, 20 avril 2016

Ils réclament la libre immigration, mais seulement à la France et à l’Europe

Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2016 

Cercle

Il y a quelques jours, je suis passée place du Palais Royal où se tenait une étrange manifestation en faveur de l’accueil immodéré des clandestins.

Enfant-qui-dort-dehors

Quelques personnes se tenaient debout, faisant un « cercle de silence » devant le Conseil d’Etat, tandis que quelques mètres plus loin étaient disposés des panneaux de propagande. Sur l’un d’eux on pouvait apprendre qu’un enfant blanc dormant dans la rue était « insuportable » (sic) tandis que quand il s’agissait d’un enfant noir cela ne dérangeait personne. On ne sait d’où sort cette affirmation gratuite si ce n’est de l’esprit imaginatif de ses auteurs.

 

Clochard-Palais-Royal

Le propos était d’autant plus frappant qu’à un mètre dudit panneau était allongé un pauvre hère à la peau blanche devant l’indifférence manifeste des tenants du Bien. Seuls deux policiers passant par là se sont arrêtés pour venir lui demander s’il avait besoin d’aide.

Dessin-enfants-cage

Une affichette dénonçait les examens de la pilosité et des parties génitales et un dessin d’enfant signé Beslan, 4 ans, était également accroché et représentait des enfants et des adultes en cage. Fichtre ! On veut voir la vraie photo de la cage !

Un prospectus était également distribué sur lequel est signifié que la France devrait être transformée par des humains venus du monde entier. Mais pourquoi transformée ? Pourquoi vouloir transformer la France et pas le Mali, la Chine ou l’Algérie ? Il y a un problème avec la France ? Qu’on nous dise lequel !

France-transformee

Frontieres-maillage

Divers documents étaient collés les uns à côté des autres, des cartes, des poèmes. Sur l’un d’eux on pouvait lire que les contrôles des frontières, pratiqués par tous les pays normaux du monde, constitueraient un acte de « guerre » avéré, lesquels sont critiqués pour leur trop grande efficacité en matière de rétention. On aurait envie de leur demander comment il se fait que rien que dans la seule jungle de Calais on dénombre 5 000 clandestins si le maillage est si « étroit » pour les empêcher d’entrer. Ils réclament de simplifier l’émigration des déserteurs, notamment syriens, par la délivrance systématique de visas. Il n’est pas précisé comment ces derniers pourraient ensuite vivre chez nous : qui les nourrirait ? Qui les logerait ? A quel prix pour le contribuable ? Avec quelles conséquences en termes d’écologie compte tenu de la nécessité pour ce faire de leur construire aux frais des Français des centaines de milliers de logements ? Et comment leur fournir un travail alors que 6 millions de Français n’ont déjà pas accès eux-mêmes à un emploi ?

Voyage

Et quelles conséquences pour la Syrie ? Comment inciter à déserter un pays entier quand celui-ci aurait au contraire besoin de toutes ses forces vives pour se reconstruire ? Comment encourager les hommes à fuir en laissant sur place, pour l’immense majorité d’entre eux, femme et enfants dans un pays… en guerre ?! Et comment leur fournir de quoi assouvir leurs besoins physiologiques si ce n’est en leur fournissant des femmes françaises en guise de compensation ? Ces bonnes âmes qui faisaient ce « cercle de silence » sont-elles prêtes à donner de leur personne pour satisfaire les besoins sexuels de ces mâles débarquant par milliers, à leur offrir leurs propres filles en cadeau de bienvenue ou bien comptent-elles réclamer que d’autres le fassent en jouant sur la corde fantasmatique de leur culpabilité ?

Europe-assassine

Car bien sûr « l’Europe assassine », dont on devine qu’il s’agit ici de ces nations européennes faites de peuples ostensiblement honnis et non du machin bruxellois lui-même destructeur de ces nations dont il rejette l’idée même de frontières, est montrée du doigt et accusée de refuser de se voir disparaître noyée sous des flots magmatiques de citoyens du monde déracinés par des mondialistes fous faiseurs de « cercles de silence », des gauchistes aussi toqués de développement durable que d’anéantissement de siècles d’existence d’espèces humaines endémiques.

La contradiction, c’est comme le ridicule, cela ne tue pas.

On jugera de la pudeur ou de la mauvaise foi, au choix, consistant à ne pas évoquer cette sordide histoire relatée au printemps 2011 par des témoins visuels mais rapidement étouffée par les médias, les politiques et les organisations tant humanitaires que féministes, de femmes tunisiennes jetées à la mer par les hommes pour délester la charge du bateau et mortes noyées. Une femme, parce qu’elle est femme, restera toujours dans l’imaginaire collectif un être humain d’importance moindre que les autres catégories d’humains. La femme, c’est celle qu’il est permis de discriminer du moment que cela peut disculper une culture rétrograde où l’homme machiste est censé apporter la rédemption, au contraire de toutes les autres formes de discriminations brandies jusqu’au suicide.

Imaginez des blancs jetant des noirs par dessus bord, cinq ans après, des plaques de rues auraient fleuri partout aux noms des victimes. Mais des hommes noyant des femmes pour alléger le poids d’un bateau, cela n’a généré qu’une seule phrase perdue et passablement ignorée au beau milieu d’articles outrageusement condescendants.

Et il faudrait que collectivement, nous culpabilisions ? Que collectivement, nous portions le poids de la volonté d’enrichissement de quelques oligarques destructeurs de peuples et d’identités, d’oligarques mondialistes arrosant de Round Up empoisonné les racines de nos peuples pour leurs propres bénéfices avec l’aide servile des faiseurs de « cercles de silence » ?

Même pas en rêve !

Caroline Alamachère

 

Source : http://ripostelaique.com/

samedi, 16 avril 2016

Etat d’urgence pour quoi faire ? Les casseurs-pilleurs de gauche s’en donnent à cœur joie dans Paris

Publié par Guy Jovelin le 16 avril 2016

Deux Franprix

Hier soir une partie de la manifestation de « Nuit debout » autorisée malgré l’état d’urgence, a quitté la place de la République suite à l’intervention télévisée de François Hollande, pour se diriger vers les Xe et XIXe arrondissements, où elle a pu casser et piller à son aise. Ainsi qu’en témoignait sur BFMTV aujourd’hui un concessionnaire automobile dont le commerce a été ravagé: « qu’est-ce que ça aurait été s’il n’y avait pas eu d’état d’urgence? » Ils étaient en foule ainsi que le montre la prise d’assaut d’un des Supermùarché Franprix.

Et surtout pas d’amalgame! Tenus à bout de bras par les gros médias (donc de gauche!), « Nuit debout » a surtout pour résultat de mettre Paris à sac, sans que les forces de police n’interviennent alors que l’Etat nous impose par ailleurs un état d’urgence au nom duquel le général Piquemal a été arrêté parce qu’il avait osé prendre la parole dans une manifestation pacifique qui avait le tort de dénoncer l’immigration/invasion. Il est vrai que « Nuit debout » est un mouvement gauchiste, inspiré de Podemos en Espagne, qui espère sauver la gauche du fiasco. Donc pas de poursuites contre les amis du système, même quand ils cassent les outils de travail des honnêtes gens. Par contre, ces casseurs pilleurs ont été gentiment détournés de l’Elysée, où ils comptaient se rendre, loin des centres du pouvoir où il leur a été laissé tout loisir de saccager et de piller ainsi que le montrent les vidéos.

A 4″29′ dans la vidéo ci-dessus, prise d’assaut du supermarché Franprix qui a été pillé, mais la police estime que cela n’est rien: 

« Il n’y a pas de notion de dégradation. Il s’agit simplement de vols », ajoute cette source policière interrogée par Metronews.

Les propriétaires apprécieront au moment de payer leurs nombreuses et diverses taxes! Mais pas d’amalgame!

Le cortège composé d’environ 300 personnes selon la police – a brisé plusieurs vitrines, abribus ou encore véhicules Autolib sur leur passage :

Selon le Hufftington Post: « Tout le monde déteste la police! », « la rue elle est à nous! », criaient des manifestants, défiant la police. Certains manifestants ont jeté des pavés, d’autres récupéré dans les poubelles des bouteilles en verre et autres projectiles. Peu avant 23h, ils étaient vers la mairie du 19e, où la police leur intimait l’ordre de se disperser. (Source)

Le Figaro précise: 

Des forces de police ont été déployées en nombre et les manifestants se sont dispersés par petits groupes. La police a ensuite indiqué avoir procédé à divers contrôles d’identité. 

Donc, aucune arrestation, les copains de gauche peuvent tout se permettre, sauf menacer le Président de la République, bien sûr! l’état d’urgence ne les concerne pas du tout, les bobos sont au-dessus des lois, il ne faudrait tout-de-même pas les confondre avec de vulgaires « sans-dents ». Les commerçants qui ont subi les pillages et la casse de ces gentils manifestants – quand on est de gauche on est forcément gentil-, ne seront pas dispensés pour autant de régler leurs différents impôts et taxes.

Mais qu’on se rassure, aujourd’hui Cazeneuve a donné de la voix, désormais, la police sévira!

Ce n’est pas en ménageant quelques centaines de copains d’extrême gauche, après avoir matraqué et gazé les centaines de milliers d’opposants à l’union Gay, que François Hollande va faire remonter sa côte de sympathie.

Emilie Defresne

emiliedefresne@medias-presse.info