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samedi, 26 janvier 2019

Bernard-Henri Lévy : « Mais arrêtons de sacraliser le peuple. En Europe, le peuple ne doit pas être le seul souverain ! »

Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2019

Par  le 25/01/2019 
 

[…]

Le Temps: «Looking for Europe» est le titre de la pièce que vous produisez et dans laquelle vous allez jouer, du 5 mars au 20 mai, dans la plupart des grandes villes d’Europe. Un homme seul, sur scène, pour dire l’importance de l’Europe unie, face aux vents populistes et nationalistes qui soufflent sur le continent, ce n’est pas un combat perdu d’avance?

Bernard-Henri Lévy: La campagne pour les élections européennes est lancée. Et moi, je pars en croisade européenne. J’utilise le mot à dessein. Dans 20 villes emblématiques, dont Genève le 15 mars, je serai sur scène pour porter la parole de l’Europe unie, au contact de ceux qui veulent sa mort. J’irai chez Salvini en Italie, chez Orban en Hongrie, chez Kaczynski en Pologne… Voilà quelques jours que, dans ce pays, le maire de Gdansk a été assassiné. Je le connaissais depuis des années. C’est lui qui m’avait aussitôt convié à venir présenter le spectacle dans sa ville. Ce sera, maintenant, une soirée de deuil et de commémoration. Mais mon vœu le plus cher est de faire aussi du chagrin de cette mort une célébration de la cause européenne. Il faut refaire de l’Europe une idée romantique, une idée porteuse d’espoir. Donc je compte me battre, oui, sur scène et de toutes mes forces.

On vous a connu très interventionniste. Dans les Balkans au secours de la Bosnie, puis en Libye pour convaincre la France d’entrer en guerre contre le régime de Kadhafi. On sait que, depuis, les résultats de ces interventions ont été pour le moins mitigés. Aujourd’hui, il faut intervenir pour sauver l’Union européenne?

Il faut que les Européens de cœur arrêtent de se sentir seuls, isolés, démunis face à l’assaut des populismes et des nationalismes. L’idée de cette pièce m’est venue à Londres, en pleine tourmente du Brexit. Un groupe d’écrivains britanniques, et la Hexagon Society, m’avaient convié à interpréter mon autre pièce Last Exit before Brexit.

J’ai réalisé le sentiment d’impuissance qui les gagnait. J’ai compris qu’il nous fallait tous, à ce moment de notre vie, porter la parole européenne. Qui le fait? Qui réveille cette fierté européenne? Je suis fédéraliste par conviction mais aussi par réalisme. Car les solutions aux défis du monde de demain ne peuvent être trouvées qu’à l’échelle d’une Europe unie. Notre agora démocratique sera européenne ou ne sera plus.

[…]

Dans populisme, il y a la référence au peuple. Le fait est que les peuples, on le voit en France avec les «gilets jaunes», ne comprennent plus l’Europe et prennent leurs distances. L’appétit pour le référendum, que l’on pratique abondamment en Suisse, est de plus en plus fort. Ne faut-il pas davantage écouter les peuples, y compris si cela remet en cause certains dogmes, comme celui de l’intégration communautaire?

Le populisme est d’abord une forme de découragement démocratique. Nos démocraties sont devenues folles et beaucoup de gens sont déboussolés. Mais arrêtons de sacraliser le peuple. En Europe, le peuple ne doit pas être le seul souverain! Ou, s’il l’est, il doit l’être comme tous les autres souverains: avec des limites, des bornes à sa toute-puissance. La démocratie a besoin de transcendance.

L’athée que je suis croit à la force des religions, à la force de l’inspiration, à ce qui dépasse les hommes. Si l’on répète: le peuple, le peuple, le peuple… on va tout droit vers une crise de civilisation. Le peuple a aussi ses caprices et les leaders démagogues flattent son bon plaisir.

[…]

En France, la colère des «gilets jaunes» est loin d’être éteinte. Elle vous ébranle?

J’y vois surtout un inquiétant nihilisme. Je ne vois pas, au-delà des mesures sociales immédiates, ce que veulent ces manifestants. Je ne vois pas leurs leaders se battre pour la conquête démocratique de nouveaux droits. S’ils sont vraiment désireux de changer les choses, les «gilets jaunes» devraient participer en masse au grand débat national lancé par Emmanuel Macron. Cela s’appelle la démocratie. Dans Looking for Europe, j’entends défendre sur scène cette démocratie européenne.

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Le Temps via fdesouche

mercredi, 05 décembre 2018

L’Union européenne contre les peuples

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

 
POSTÉ LE 04 DÉCEMBRE , 2018, 3:23

hongrie,italie,populisme,ue

À la veille des élections européennes, l’Union européenne rappelle aux peuples qu’ils ne sont plus indépendants.

Le 12 septembre 2018, le Parlement européen a voté une résolution dénonçant une violation grave par la Hongrie « des valeurs sur lesquelles l’Union européenne est fondée ».

La veille, le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, était venu dénoncer « l’insulte faite à l’honneur de la nation hongroise ». Et il ajoutait : « Nous ne céderons pas au chantage des forces qui soutiennent les migrants contre la Hongrie. La Hongrie défendra ses frontières et défendra ses droits, y compris contre vous, s’il le faut. »

Le principal grief vise la politique de fermeture des frontières décidée par la Hongrie, et dénoncée comme « une atteinte grave aux droits fondamentaux des migrants, des demandeurs d’asile, et des réfugiés ».

Il est également reproché à la Hongrie de supprimer le programme d’études sur la théorie du genre à l’université fondée par le milliardaire George Soros, et de défendre dans sa constitution, dans ses lois et dans ses écoles, une « conception conservatrice de la famille ».

Au nom de prétendues « valeurs européennes », l’Union européenne dénie à la Hongrie sa souveraineté.

Cette résolution confirme l’effort des dirigeants européens pour imposer un super-État se substituant aux souverainetés nationales. Elle s’inscrit dans un mouvement plus vaste qui affecte les nations occidentales.

L’encouragement des mouvements migratoires, la théorie du genre, le changement climatique, la mondialisation heureuse, sont les axes principaux de la « gouvernance mondiale » qui cherche à s’imposer.

Mais la résolution qui vient d’être votée contre la Hongrie risque, à terme, de se retourner contre l’Europe. Lorsque viendront les débats sur des sanctions contre la Hongrie, la Hongrie peut compter sur les veto de la Pologne, de la Slovaquie, de la République tchèque, auxquels s’ajouteront ceux de l’Autriche et de l’Italie.

Il ne pourra qu’en résulter une fragmentation de l’Europe, venant aggraver les effets délétères du Brexit.

En octobre, la Commission européenne a rejeté le projet de budget de l’Italie qui prévoit un déficit de 2,4 % de son PIB – alors qu’elle a validé le budget de la France qui prévoit un déficit de 2,8 % de son PIB.

Mais, surtout, le peuple italien vient de porter au pouvoir un gouvernement « populiste » qui, comme le gouvernement hongrois, s’oppose à l’entrée de migrants. C’est là une manifestation de rébellion que l’Union européenne se devait de sanctionner.

Le 21 novembre la Commission européenne a rejeté à nouveau le budget de l’Italie et mis en route une procédure de sanctions. Cette procédure est longue et, pour aboutir, elle doit être approuvée par la majorité des pays de la zone euro.

En retour, l’Italie qui est un pays contributeur net à l’UE pourrait suspendre le versement de sa contribution. C’est donc un bras de fer qui s’engage.

L’Italie est d’autant plus vexée de ce refus que :

1. D’autres pays ont des dettes encore supérieures aux 130 % du PIB de la dette italienne.

2. La France, avec son déficit annoncé de 2, 8 % au lieu de 2,4 % pour l’Italie, est absoute.

Pour le moment, le gouvernement italien refuse de s’engager dans une politique d’austérité « à la grecque » et répond à l’Europe « Me ne frego » (Je m’en fous).

Les peuples commencent à se rendre compte que l’Union européenne leur dénie le droit d’exister en tant que tels, les oblige à se fondre dans un magma cosmopolite ouvert à tous les vents, et les vassalise face au super-État européen qu’elle veut leur imposer.

Les populismes, qui montent partout en Europe, traduisent l’inquiétude des peuples qui se sentent menacés et ne veulent pas mourir.

 

Source : les4verites

mercredi, 21 novembre 2018

Retrouvons nos libertés concrètes !

Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2018

Auteur

Guillaume de Thieulloy

démocratie,liberté,populisme

Emmanuel Macron va sans doute entrer dans l’histoire par la grande porte. Après avoir été le porte-drapeau du « dégagisme » qui agite profondément le peuple français, il est en passe de devenir la caricature de cette oligarchie totalement déconnectée du peuple qu’elle est censée représenter et gouverner.

Un récent sondage Via Voice montre que 34 % seulement des Français estiment que la démocratie fonctionne bien.

En janvier dernier, 54 % répondaient positivement à cette question.

Autrement dit, les dix derniers mois, et l’accumulation des bourdes arrogantes de la part du chef de l’État, ont entraîné une chute vertigineuse de la confiance dans la démocratie de la part des Français.

Dans le détail, 3 % des Français estiment que la démocratie fonctionne très bien chez nous, 31 % qu’elle fonctionne assez bien, 40 % qu’elle fonctionne assez mal et 21 % qu’elle fonctionne très mal (et il y a de sérieuses raisons de penser que les 5 % qui ne se prononcent pas ne sont pas enthousiastes devant la situation !).

Même au plus fort du désamour à l’égard de François Hollande, en septembre 2016, les chiffres étaient moins catastrophiques : 36 % des Français estimaient alors que la démocratie française fonctionnait bien.

On pourrait penser que M. Macron pousserait un soupir de soulagement en regardant les questions suivantes, puisque l’on y constate que la crise de la démocratie n’est pas seulement française, mais européenne.

On l’imagine même fort bien remonter sur son cheval et haranguer les peuples de l’Est de revenir aux sources de la démocratie représentative et d’abandonner le populisme, comme il s’apprête visiblement à le faire lors de la prochaine campagne européenne.

Las, 60 % des Français estiment que la France n’est pas un modèle démocratique à suivre pour les autres pays européens !

Il faut dire qu’avec la chasse aux libertés publiques organisée par l’actuel gouvernement, il serait difficile qu’il en soit autrement.

Une partie de la mobilisation des gilets jaunes, aussi anarchique soit-elle, tient à ce sursaut des vieux Français, non seulement surtaxés, mais ligotés par des réglementations idiotes.

Mais revenons aux sources. La démocratie a été conçue en 1789 sur le modèle rousseauiste, catastrophique abstraction, en vertu de laquelle nous abandonnerions tous nos antiques libertés privées pour nous fondre dans le corps social qui nous offrirait en échange une liberté civique.

Ladite liberté civique n’est, cependant, disponible que pour ceux qui soutiennent le Pouvoir, puisque la loi étant supposée l’expression de la volonté générale et celle-ci étant supposée être la volonté de chacun, ceux qui ne sont pas d’accord avec la loi sont réputés ne pas même savoir ce qu’ils veulent, c’est-à-dire qu’ils sont réputés purement et simplement fous.

C’est au nom de ce principe délirant (et, hélas, toujours d’actualité sous Marianne V) que l’on a pu clamer : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté » ou que les communistes, en fidèles disciples des jacobins de 1793, ont pu « rééduquer » les dissidents dans leurs hôpitaux psychiatriques.

L’arrogance d’Emmanuel Macron et de ses confrères oligarques vient, notamment, de cette superstition selon laquelle ils sont le peuple et selon laquelle le peuple peut changer à volonté la nature des choses.

Et le populisme, c’est aussi cette volonté du peuple de sortir d’une abstraction mortifère et de revenir à des libertés concrètes, en lieu et place de cette pseudo-représentativité dont le mot d’ordre, outre la spoliation fiscale, semble : « Tout ce qui n’est pas obligatoire est interdit ! »

 

Source : les4verites

jeudi, 07 décembre 2017

L’Europe Unie du grand remplacement : comment en est-on arrivé là ?

Publié par Guy Jovelin le 07 décembre 2017

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 Bernard Plouvier

Durant les Golden Sixties, il y a avait du travail et même beaucoup de travail, plus que les Européens ne pouvaient en assumer. En outre, le « peuple éternellement martyr » voulait assurer ses arrières en introduisant des cibles potentielles, en cas de nouveau déchaînement xénophobe.

Le résultat ne se fit pas attendre. On introduisit massivement des travailleurs, soit des hommes faits, provenant de Turquie (Allemagne), du Maghreb (France, où les Noirs ne sont arrivés que secondairement), d’Afrique noire et maghrébine (Belgique), d’Insulinde et de Guyane (Pays-Bas), des Antilles, des Indes et d’Afrique noire (Grande-Bretagne).

Là-dessus, se produisit un phénomène imprévu, tant il est vrai que les experts ne servent strictement à rien : ils ne prévoient jamais que ce qui ne se produit pas ! Dès le premier choc pétrolier et la montée en flèche de toutes les matières premières, en 1973, les Européens – qui n’étaient pas, alors, des réplicons de Nord-Américains -, réduisirent leur consommation et en revinrent aux ancestrales habitudes d’économie.

La grande distribution d’Europe occidentale, qui rêvait aux superbénéfices des cousins d’Amérique du Nord, se lança dans une opération de propagande humanitaire : il fallait absolument, au nom du Seigneur et des Droits de l’Homme réunis, regrouper les familles des pauvres travailleurs immigrés.

En France, deux politiciens très sensibles aux ukases des hommes d’argent, les sieurs Giscard d’Estaing et Chirac, édictèrent le Décret 76-383, du 29 avril 1976 (paru au JO du 2 mai), légalisant le regroupement familial. Et affluèrent femmes, enfants & vieillards ; coran, mosquées & imams ; jeunes (et moins jeunes) délinquants-racketteurs-vandales-violeurs ; trafiquants de haschich (Maroc), d’héroïne (via la Turquie), ecstasy, méth-amphétamine, cocaïne et autres merveilles de la chimie parfois casher (si, si !).

Il ne manquait plus que quelques guerres néocoloniales, induites par les maîtres des USA et imposées à leurs valets des États européens, pour que surgisse le Djihâd et ses attentats aveugles, prouvant que l’on peut tuer beaucoup d’innocents avec des moyens rudimentaires.

En résumé, l’on en est arrivé là, parce que les opinions publiques européennes se sont laissé berner par de faux sentiments humanitaires. On avait besoin de travailleurs et on importa la misère, sous-douée & sous-productive, du Tiers-Monde. S’enrichit beaucoup la grande distribution, tandis que la foule des glorieux parasites d’associations humanitaires trouvait à s’occuper de façon particulièrement flatteuse pour l’égo de ses membres.

Manifestement, au moins 45% des citoyens des États d’Europe occidentale et scandinave ont compris l’origine de leur malheur, mais beaucoup n’osent s’affranchir de la propagande niaise et catastrophiste : que vont devenir nos gentils immigrés et notre économie si compliquée, lorsque les méchants populistes seront arrivés démocratiquement au pouvoir ?

C’est à répondre à ces questions que les populistes doivent s’attacher. Les remèdes existent, puissants, impitoyables, car adaptés à la situation très périlleuse des Européens. Il importe de les faire connaître en assurant les Nations autochtones qu’ils seront appliqués dans toute leur rigueur.

- Retour intégral des extra-Européens dans leurs continents d’origine, une fois terminées leurs études et leurs stages de formation.

- Retour à une politique économique de préférence continentale en matière d’emploi, de ré-industrialisation européenne, d’accords commerciaux négociés de pays à pays.

- Indépendance totale des États européens, avec abandon des tutelles de New York (Finance) et de Washington (Ukases politiques et militaires).

- Union intime de l’Europe occidentale et scandinave avec l’Europe danubienne et l’immense Russie.

En France, on en est loin, voire même à des années-lumière ! Le personnel politique est vieux, usagé, bon à mettre, très poliment, à l’hospice. C’est à la jeune génération de créer le nouveau populisme européen.

 

Source : synthesenationale

mardi, 23 février 2016

"JEAN-LUC MELENCHON, DANS L’ÉMISSION " ON N'EST PAS COUCHE" DE RUQUIER, HOMME PROVIDENTIEL OU BATELEUR DE FOIRE?"

Rédigé par Franck Pech le 23 février 2016

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Comme d'habitude, nous avons eu droit à un show politique digne des années 80 avec un Jean-Luc Mélenchon, nouveau Georges Marchais, en pleine forme! Nous ne pouvons qu'apprécier ce spectacle qui a le mérite de réveiller une certaine forme  de populisme fut-ce t'il de gauche.

Les prises de position du leader du parti de gauche sur le conflit en Syrie ont été radical, il se déclare contre la guerre et veut en finir avec DAESH, qui peut le contredire sur ce point? Car cela revient à dire qu’il vaut mieux le beau temps que la grisaille, quelle évidence!
Mr Mélenchon a également apporté son soutien à Vladimir Poutine et ce malgré les ruades  des deux animateurs de la pensée unique: Léa Salamé et Yann Moix, de plus il  a fustigé le président américain Barack Obama, jusque là rien à redire.
Là ou le bât blesse, et nous ne pouvons que nous opposer à cette vision géopolitique des évènements, c est le point de vue de Jean-Luc Mélenchon sur les migrants, notamment la jungle de Calais.
En effet, l'humanisme universel, l'internationalisme, transparait dans  son discours, nous aimerions la même compassion pour nos concitoyens de Calais, de France et de Navarre, qui subissent chaque jour les méfaits d'une immigration massive.
Nous aimerions voir  la même ferveur se manifester, lorsqu'il s'agit de dénoncer les injustices dont sont victimes les travailleurs pauvres, les retraités, les français de souche !
Non, Mr Mélenchon, nous n'avons pas à gérer toute la misère du monde, nous avons un devoir moral de s'occuper des nôtres, c'est à dire des Français et notamment ce que l'on appelle vulgairement: les Français de souche!
Vous savez ces abandonnés du système, que vous appelez dans votre jargon marxiste, " les damnés de la terre"!
Ceux qui sont qualifiés par votre ancien ami François Hollande: "les sans-dents"!
Il est vrai que vous êtes embué  et conditionné par vos théories universalistes qui vous empêchent d'ouvrir les yeux sur la réalité des Français qui souffrent dans leur quotidien.
Ce peuple de France, dont l'identité est bafouée, dont les traditions sont vouées aux gémonies, dont la langue va être amputée du fait d'une réforme de l'orthographe, aussi ridicule, qu'abjecte.
C'est pour cela que vos vues sont courtes à défaut d'être larges, la priorité des priorités c'est de rendre la France aux Français!
Nous n'essaierons pas d’infléchir votre point de vue car un jour viendra où les évènements et l'évolution de la situation de la société  française, nous donnerons raison.
Car depuis la nuit des temps, ce sont les hommes de bonne volonté qui font l'histoire et non l'inverse.
Alors, bateleur de  foire ou homme providentiel? A vous de juger, mais il semblerait que Jean-Luc Mélenchon parle de la misère du peuple Français sans en connaitre la réalité!

Le Parti de la France Midi-Pyrénées