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samedi, 28 octobre 2017

Chronique de l’anti-France : illustration par des affiches de la SNCF

Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2017

 Ecrit par Pierre-Alain Depauw

Dans les transports Medard, Ahmed et Khalid veillent sur vous pendant que Charles, Julie et Jean fraudent…

Affiches officielles SNCF.

Source : medias-presse.info

mercredi, 14 juin 2017

La novlangue s’empare des transports

Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2017

Rédigé par notre équipe le 13 juin 2017.

 
 
 
La SNCF et la RATP sont entrées dans une nouvelle ère. Celle où les mots ne veulent plus rien dire et où les changements de noms doivent cacher une réalité qui ne fait plus rêver. La SNCF peine à maintenir son réseau qui faisait la fierté de tout un pays et transforme le TGV en InOui… La RATP, quant à elle, ne veut plus parler de RER, mais de train… Les agences de communication font du sacré bon boulot !

Fin mai, la SNCF annonçait fièrement qu’à partir du 2 juillet 2017, les TGV allaient faire peau neuve et devenir InOui. Plus de train à grande vitesse, il est désormais de bon ton de s’extasier devant une technologie qui à plus de 30 ans d’âge. Un nom vide de sens qui est un bon rappel de l’époque dans laquelle nous vivons. Il ne manque plus qu’un pouce levé comme sur Facebook pour que la SNCF entre pleinement dans le train de la modernité.

 Qu’est-ce qu’un train ?

InOui c’est aussi des rames rénovées où il sera possible de se connecter au Wifi et même de choisir son siège ! La belle affaire ! Sous prétexte de rattraper son retard sur les autres grandes compagnies ferroviaires européennes, la SNCF tente de faire croire à une révolution technologique sans précédent grâce à un coup de peinture et du Wifi pour les clients près à payer plus. Comme la ficelle est un peu grosse, on recrute une agence de communication chargée de trouver un nom assez minable pour que toute l’attention se porte dessus. Et contrairement aux affirmations de la SCNF, InOui se limite bien à un changement de nom.

Malheureusement, la novlangue fait des émules dans le domaine des transports et on apprend que la RATP songe sérieusement à changer les fameux « RER » (Réseau Express Régional) en « train ». Désormais, prendre le train signifiera faire le trajet entre Paris et Trappes. De quoi faire baisser drastiquement le nombre de voyageurs si on s’en tient au nouveau fantasme linguistique du STIF (Syndicat des Transports d’Ile-de-France). Ce dernier explique cette réflexion (qui n’aurait pas dû fuiter) par le fait que les gens ne comprendraient pas toujours la distinction entre le RER et les trains.

Une farce qui va coûter cher car il va falloir changer tous les panneaux de signalisation et la communication qui va avec. En d’autres mots, certaines agences vont rafler des millions pour un lifting totalement inutile. A qui profite le crime ? Apparemment à beaucoup, car cette mesure insensée a été prise sous la direction du PS Jean-Paul Huchon et la pseudo réflexion se poursuit sous celle de la Républicaine Valérie Pécresse. Les échanges de bons mots sont pour les caméras, mais lorsque certains intérêts sont à défendre, ils sont tous dans le même panier !

Pourquoi cette déferlante de novlangue ? Uniquement pour donner l’illusion que les choses changent, que le progrès est en marche et que les gros mastodontes comme la SNCF se modernisent. Un cache-sexe bien ridicule qui coûte affreusement cher et que les élites ne remettent pas en question. Il faut suivre la ligne du foutage de gueule et bercer sans cesse un peuple qui ne demande qu’à être convaincu. Il s’agit de changer la réalité en la désignant autrement. Un RER est un train, un TGV est un InOui. A ce rythme là, les mauvaises langues pourraient bien qualifier En Marche d’UMPS ! Mais chut ! Ceci n’est pas une vérité officielle.

 

Source : 24heuresactu

samedi, 03 juin 2017

La SNCF offre des billets de TER à 5 euros le jour de la Gay Pride de Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 03 juin 2017

Le samedi 10 juin, les habitants de la région Occitanie qui se rendront à Toulouse, bénéficieront de tickets de transport au prix de 5 euros. Un tarif exceptionnel qui a pour but d’encourager les utilisateurs à se rendre à la 23ème édition de la Gay Pride, qu’ils habitent à Tarbes ou à Nîmes. 

La ville rose n’a peut-être jamais aussi bien porté son surnom. Après le vandalisme d’une salle municipale où devait se tenir une réunion de la Manif Pour Tous par des militants d’Act Up, la SNCF a choisi ses chouchous !
En effet, sur le site du service public, une page entière est consacrée à l’offre exceptionnel de tickets de transport au prix de 5 euros, afin de permettre à tous les habitants de la région (de Tarbes à Nîmes) de se rendre à la 23ème édition de la Gay Pride.

Une initiative qui en fera sourir certains, mais qui montre clairement les préférences politiques de l’entreprise envers cette manifestation noyautée par l’extrême gauche. Sur le même site, la SNCF appelle ses utilisateurs à “afficher la fierté d’être différent, passer un message d’engagement citoyen, d’égalité et de tolérance”, en insinuant que “les personnes homosexuelles, bisexuelles et transgenres ne disposent toujours pas des mêmes droits que les autres en France et subissent toujours la haine de certains.”

Rappelons que les TER sont sous l’autorité du Conseil Régional d’Occitanie, présidé par Carole Delga, qui soutient, de fait cette opération, étant partenaire, au même titre que la Mairie de Toulouse de la manifestation.

Les chrétiens qui se rendront au pèlerinage de Chartres ne bénéficieront assurément pas d’opération spéciale et subiront les tarifs pleins, en ce week-end de Pentecôte.

 

Source : infos-toulouse

mercredi, 17 mai 2017

Agression sexuelle dans un train : des agents SNCF tentent d’empêcher l’arrestation de l’agresseur et la victime est expulsée du train !

Publié par Guy Jovelin le 17 mai 2017

Le Parisien de vendredi 12 mai rapporte qu’une jeune femme agressée sexuellement dans un train de la ligne J entre Les Mureaux et Mantes-la-Jolie (Yvelines), non seulement n’a trouvé aucun secours mais a été prise à partie par le conducteur et les agents du train pour avoir tiré le signal d’alarme !

Les faits datent du jeudi 11 mai. La victime est une jeune femme de 21 ans et a subi une agression sexuelle de la part d’un garçon de 15 ans. La victime a appelé la police pour empêcher son agresseur de descendre du train lorsque celui-ci était à l’arrêt. Des agents de médiation sont alors intervenus et ont simplement demandé à l’adolescent agresseur de présenter des excuses. Estimant que cela suffisait ainsi, ces agents d’un genre douteux ont ensuite demandé à la victime d’accepter de laisser partir son agresseur. Outrée, la jeune femme a tiré le signal d’alarme pour s’assurer que le train reste à quai.

Loin d’obtenir la moindre compassion, la victime de cette agression sexuelle a dû encaisser la colère du conducteur du train. Pire encore,  un passager pressé de voir la rame repartir s’est permis d’expulser la malheureuse jeune femme du train et la poussée hors du wagon.

Mais le plus hallucinant était encore à venir. Des policiers arrivés sur place ont essayé d’interpeller l’agresseur sexuel mais les agents de médiation de la SNCF se sont interposés entre eux et l’agresseur !

Sans aucune gêne, le conducteur du train a ensuite refermé les portes du train laissant les forces de l’ordre sur le quai.

L’adolescent agresseur sexuel a finalement été interpellé et placé en garde à vue à Mantes-la-Jolie.

 

Source : medias-presse.info

mardi, 06 septembre 2016

Terrorisme : des agents armés dans les trains à partir de début octobre

Publié par Guy Jovelin le 06 août 2016

INFO RTL - Cette mesure, prise après l'attaque du 21 août 2015 dans un train Thalys, prévoit que des agents de sûreté puissent assurer la sécurité des passagers.

Terrorisme : des agents armés dans les trains à partir de début octobreCrédit Image : JACQUES DEMARTHON / AFPCrédit Média : Jean-Alphonse Richard / RTL


Ces hommes et ces femmes, appartenant exclusivement aux polices de la SNCF et de la RATP, la Surveillance générale (SUGE) et le Groupe de protection et de sécurisation des réseaux (GPSR), seront présents dans les voitures de manière discrète. Ces agents, en civil au milieu des usagers, auront pour mission de sécuriser les convois, notamment lors de l'embarquement des passagers. Ils pourront donc être capables d'intervenir très rapidement en cas de problème à bord d'un train.

Rassurer les usagers

La loi encadre strictement leur mission. Ces agents, qui patrouilleront deux par deux, pourront par exemple maintenir un individu qui refuse un contrôle d'identité, ou qui a une attitude menaçante. Ils devront cependant le remettre au plus vite à un officier de police judiciaire, policier ou gendarme. Quant à l'utilisation de leur arme de poing, elle est strictement réservée aux situations d'urgence ou d'attentat. D'une manière générale, leur présence sert avant tout à rassurer les usagers.

Le nombre exact de ces marshalls ferroviaires, formés spécifiquement à ces missions, restera secret. Idem pour leurs affectations, en priorité les trains régionaux et les TGV. Ils seront également présents sur les trains de banlieue.

 

Source : rtl