Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 05 novembre 2014

Bernard Cazeneuve a demandé à Boubakeur de l’aider à « établir la sécurité en France »…

Publié par Guy Jovelin

Interrogé ce matin par le Figaro, Dalil Boubakeur, président du Conseil Français pour le Culte Musulman livre des réponses intéressantes…

Il nous apprend d’abord que Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur a demander de l’aide aux autorités musulmanes pour « établir la sécurité en France » lors d’une visite pendant le mois du Ramadan… Etonnant n’est-ce pas pour un ministre qui répète que la délinquance n’a rien à voir avec l’immigration ou que l’islamisme n’a rien à voir avec l’islam ? Etonnant pour un ministre qui n’a que la République « laïque, une et indivisible » à la bouche… Que veut monsieur Cazeneuve ? Une police musulmane qui fasse respecter le bon ordre républicain dans les quartiers sensibles ?

Dalil Boubakeur aborde ensuite la question du djihad un peu embarassé… Mais contrairement à nos ministres auto-proclamés exégètes d’une religion dont ils ignorent tout, il confie : « dans l’islam il y a une variété, je dirais même une liberté mais aussi un certain nombre d’éléments qui peuvent aller vers la violence et le danger ». Le sujet est clos : il n’y a qu’un islam, plus ou moins radicalement interprété.

Boubakeur affirme qu’il condamne les actes mais explique que si aucun « conservateur » ne siège au CFCM, il reste en relation avec ceux qu’il appelle ses« frères » parce qu’ils « ont la même vision spirituelle de l’islam ». Conclusion ? « L’unité des musulmans est plus importante que nos idées parfois différentes ».

Mais qu’en sera-t-il donc si les djihadistes reviennent de Syrie et décident de mener ici le même combat que là-bas ? Les réponses de Dalil Boubakeur laissent pour le moins perplexe…

Source : http://www.contre-info.com/

Grand remplacement, sionisme, islamisation, lobby gay : le revirement du Front mariniste

 

Publié par Guy Jovelin

Les tenants de la dédiabolisation du FN ont passé un cap ces derniers jours après une série de décisions internes largement médiatisées. Les partisans de Marine Le Pen à l’instar Fdesouche.com et son animateur Pierre Sautarel – qui ont longtemps applaudi aux exclusions de militants historiques jugés « trop radicaux »– ne décolèrent pas devant ce qu’ils considèrent comme un reniement sur le fond . Ils doivent cependant en convenir : les identitaires de “FDS” pas plus que les “antisionistes” d’Alain Soral n’ont leur place au sein de l’ancien parti de Jean-Marie Le Pen. Le FN est désormais un parti républicain “comme les autres” : pro-israélien, multiculturel, économiquement socialiste et pro-gay.

Grand Remplacement ? « Une théorie complotiste ! »

Souvent employé par son camp, le concept de « grand remplacement » ne plaît pas à Marine Le Pen. Elle l’a fait savoir dans une interview au JDD.

Théorisée par Renaud Camus et popularisée par Fdesouche.com, l’idée d’un «grand remplacement» des Européens de souche par l’immigration africaine et musulmane faisait son chemin auprès de la base sympathisante du FN. Dans le Journal du dimanche , Marine Le Pen s’en est démarquée. « Le concept de grand remplacement suppose un plan établi. Je ne participe pas de cette vision complotiste », dit la patronne du FN.

Une position rapidement défendue par le nouveau chef de file du FNJ, Gaëtan Dussausaye, un chevènementiste antiraciste : « Pour clarification : le "grand remplacement" relève davantage d'un fantasme racialiste que d'une réalité. Il innocente ainsi les politiques »

Lire la suite

François Bayrou inaugure une « allée Abd El-Kader »

 

Publié par Guy Jovelin

Dans un élan de clientélisme et de mépris de soi, le politicien et maire de Pau François Bayrou a inauguré le 25 octobre une « allée Abd El-Kader ».

Pour rappel, l’émir Abd El-Kader est ce chef local d’Algérie qui a mené de 1832 à 1847 une guerre farouche à l’armée française (et à d’autres tribus algériennes d’ailleurs).

Il faut souligner qu’Abd El Kader, présenté comme un lettré tolérant, se battait pour permettre sur place la perpétuation des harems et de l’esclavage. Durant ces quinze années de guérilla antifrançaise, il y eut quelques trêves ; et au cours de l’une d’elles, les Français acceptèrent de rendre à l’émir une centaine de ses esclaves noirs, qui avaient cru trouver la liberté en se réfugiant sous notre drapeau. Abd el-Kader les fit tous décapiter. De même, un certain nombre de soldats français capturés ont fini égorgés.

François Bayrou a choisi de procéder à l’inauguration en compagnie d’Azouz Begag, ancien ministre à « l’égalité des chances », qui déclarait en 2005 au magazine Respect (sic), à destination de ses congénères : «Il faut traverser le périphérique, aller chez les indigènes là-bas, les descendants de Vercingétorix… Il faut casser les portes, et si elles ne veulent pas s’ouvrir, il faut y aller aux forceps. Partout où la diversité n’existe pas, ça doit être une invasion de criquets, dans les concours de la fonction publique, dans la police Nationale. Partout de manière à ce qu’on ne puisse pas revenir en arrière. »

Source

mardi, 04 novembre 2014

Entretien avec Renaud Camus Non, le Grand Remplacement n’est pas une « vision complotiste » !

Publié par Guy Jovelin

Le 4 novembre 2014

Non, le Grand Remplacement n’est pas une « vision complotiste » !
 
 
 
 
 
 
 
Entretien avec Renaud Camus
Ecrivain
Fondateur du NON

 

Marine Le Pen, dans une interview au JDD parue ce dimanche, estime que « le concept de grand remplacement suppose un plan établi. Je ne participe pas de cette vision complotiste ». Fait-elle, selon vous, une interprétation erronée de votre analyse ?

Totalement erronée, en l’occurrence ; et ce n’est pas « selon moi », parce que mon analyse, je la connais, et il n’y est nulle part question du moindre complot. J’ai beaucoup de respect pour Marine Le Pen, j’admire son courage, sa détermination, son patriotisme et son sens politique mais, sur ce point particulier, c’est son sens politique qui lui joue des tours. Elle aura voulu, j’imagine, par prudence, ne pas paraître assumer un syntagme, Grand Remplacement, dont elle a craint qu’il ne parût trop radical. Hélas, ce n’est pas l’expression Grand Remplacement qui est radicale, c’est la sinistre réalité de ce qu’elle désigne. Le Grand Remplacement n’est pas une théorie, ce n’est pas un concept, à peine une notion, moins encore un fantasme, comme dit la presse remplaciste, ou une « vision complotiste ». Plût au ciel que ce fût tout cela, et rien d’autre ! C’est ce que nos yeux constatent tous les jours et que les sociologues de cour s’acharnent à nier : le simple fait que dans nos rues, nos rames de métro, nos écoles, nos écoles maternelles et nos maternités surtout, sur des pans entiers du territoire, il y avait un peuple et que, à sa place, il y en a un ou plusieurs autres.

Accuser tel ou tel d’entretenir une « théorie du complot » ou une « vision complotiste », c’est un vieux procédé rhétorique de journalistes qui ne connaissent pas leur dossier pour déconsidérer des thèses qu’ils veulent étouffer. Je regrette de voir Marine Le Pen y avoir recours, comme si elle voulait se concilier les remplacistes : une tâche impossible. Je n’ai jamais parlé de complot. On me reproche au contraire, en général, d’être flou sur lescauses du Grand Remplacement. Et là c’est moi qui suis prudent, car j’essaie d’unir, pas de diviser. En fait je crois à un faisceau convergent d’intérêts et d’interdits qui, tous, tendent à la fabrique de l’homme remplaçable, interchangeable à merci. Mais si je ne devais nommer qu’une seule cause elle me vaudrait un point Godwin, car je dirais : Hitler. À force d’opérer et de réopérer l’Europe du cancer hitlérien, on lui a enlevé la plupart des organes indispensables à sa survie.

Son directeur de cabinet, Philippe Martel, répondant à Aymeric Caron, a tweeté que « le grand remplacement n’est pas une théorie, c’est un phénomène démographique ». Cela ne peut pas être les deux choses en même temps ?

Je suis, comme d’habitude, entièrement d’accord avec mon vieil ami Philippe Martel, ou lui avec moi. Parler de « théorie » ne sert qu’à se rassurer. La conquête coloniale de l’Afrique au XIXe siècle, le Grand Dérangement des Acadiens au XVIIIe, l’Occupation de la France par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale, ce ne sont pas des théories : ce sont des phénomènes historiques.

Pour contester vos propos, ou ceux qui déplorent les conséquences d’une immigration massive, on cite toujours les statistiques de l’INSEE. Christophe Dumont, chef de la division des migrations internationales à l’OCDE, estime qu’en terme de « flux récents d’immigration », la France est parmi « les pays occidentaux où les niveaux sont les plus bas ». Qui a tort, qui a raison ?

J’ai eu souvent l’occasion de le dire : sociologie et statistiques sont au remplacisme ce que la biologie lyssenkiste était au stalinisme. Il faudra un jour se demander pourquoi l’expression sociologue de cour est devenue un pléonasme, pourquoi il n’y a pratiquement plus de sociologie qu’au service du pouvoir et non seulement du mensonge mais de la négation acharnée de la réalité, qu’il s’agisse de l’École ou de l’État : le niveau monte et il y de moins en moins d’immigrés. Au citoyen hébété, aveuglé par la glu statistico-sociologique, il faut hurler, comme Féofar-Khan à Michel Strogoff :

« Regarde de tous tes yeux ! regarde ! »

Source : http://www.bvoltaire.fr/

De Toulouse à Nantes : tous les casseurs d’extrême gauche relâchés

 

Publié par Guy Jovelin

Alors que Manuel Valls et son gouvernement tentent de ménager son extrême gauche sur le plan politique – Ségolène Royal a invité les opposants au barrage de Sivens à une vaste concertation – , la justice fait soudain preuve d’un laxisme extraordinaire. Alors que des Français ont fait plusieurs semaines de prison après leur arrestation arbitraire dans le cadre de la Manif pour tous, durant laquelle il n’y avait eu ni dégât, ni blessé, tous les – rares – casseurs d’extrême gauche arrêtés, qui ont commis d’innombrables crimes et délits ces derniers jours, ont été relâchés.

À Nantes, sur les 21 racailles interpellées samedi, aucune n’a été jugée en comparution immédiate. Sept ont fait l’objet d’un simple rappel à la loi et sept seront – devraient être – convoquées devant un tribunal correctionnel pour divers délits, mais aucun n’a été maintenu en détention avec que les faits retenus « outrages », « port d’armes » et « violences sur policiers » sont plus graves que ceux retenus contre des militants de LMPT qui ont fait plusieurs semaines de prison. Trois mineurs seront convoqués devant un juge pour enfants.

À Toulouse où de nombreux incendies criminels ont été perpétrés et où les violences ont fait plusieurs blessés, quatre extrémistes ont été jugés. Deux racailles qui ont caillassé des policiers ont écopé de six mois de prison, dont quatre avec sursis et quatre mois, dont trois avec sursis ; ils sont repartis libres du tribunal.

Un autre individu qui a reconnu avoir jeté des parpaings sur les policiers a obtenu le renvoi de son procès et devrait obtenir une peine encore plus clémente. Le quatrième individu jugé, qui portait une arme factice, a été relaxé.

Source