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vendredi, 13 novembre 2015

ATTENTAT DÉJOUÉ À TOULON : ON L’A EMPÊCHÉ DE PARTIR EN SYRIE, IL A DÉCIDÉ D’AGIR ICI !

Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2015

Un acte terroriste grave a pu être évité de justesse à Toulon. Ce n’est pas le premier et ce ne sera pas le dernier. Mais demain ou un autre jour il y aura un attentat en France, des morts, des blessés, une émotion nationale et de vaines paroles de condoléances pour ceux qui les pleurent, etc.


Attentat déjoué à Toulon : on l’a empêché de partir en Syrie, il a décidé d’agir ici !

Qui sera responsable ? Bien entendu le terroriste, auteur de cet acte sauvage, mais avec la complicité de ceux qui l’ont contraint, malgré sa volonté, à rester dans le pays.

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LE "GRAIN DE SEL" HEBDOMADAIRE DE JEAN-CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2015

COLLEGES : MIXITE SOCIALE OU MIXITE RACIALE ?
Le gouvernement veut brasser de force des populations hétérogènes, mixer les élèves de collèges réputés calmes où l’on travaille et s’instruit, avec ceux d’établissements en grandes difficultés. En quelque sorte, exporter le cancer et ses métastases. Et cela dans la plus pure hypocrisie : aucun des enfants de nos hiérarques, ou prétendus tels, n’iront dans des collèges de « quartiers difficiles » et autres « zones de non droit » , les cache-nez sémantiques pour désigner les quartiers ethniques.


LE "GRAIN DE SEL" HEBDOMADAIRE DE JEAN-CLAUDE ROLINAT
 
« Raciale », mixité « raciale » ? Cachez ce vilain mot qui désignerait, au demeurant, une « chose » qui n’existe plus, «  couvrez ce mot que je ne saurais voir » pour paraphraser Molière dans son célèbre Tartuffe, et substituons lui le vocable plus aimable de « social ».  Après  l’aggravation des sanctions prévues à l’article 55 de l’inique loi SRU –« solidarité et renouvellement urbain »  – pour les communes de plus de 3500  habitants qui ne rempliraient pas l’obligation d’avoir au moins 20% de logements sociaux (1), le gouvernement de la République socialiste française  vient de lancer le 10 novembre un nouveau plan expérimental pour en finir, parait-il, avec les « collèges-ghettos ».
LE REEL REPRENDRA LE DESSUS : « CHASSEZ LE NATUREL, IL REVIENT AU GALOP…. »
En fait, de quoi s’agit-il ? En apparence l’idée vendue semble généreuse et partir d’un bon principe dans l’offre égalitaire d’un enseignement de qualité.  L’idée de Najat Vallaud Belkacem, ministre de l’éducation dite « nationale », est d’impliquer les collectivités territoriales concernées  dans le brassage des élèves des collèges issus de différents quartiers, en partant du principe que certains de ces derniers  répondraient  bien à une typologie sociale spécifique. Or, il n’est pas toujours évident que les quartiers réputés « défavorisés » n’hébergent que des enfants en grandes difficultés, ni que ces derniers soient obligatoirement tous issus de milieux pauvres. Et jadis,  nombre de « pauvres » se sont  extraits de leur milieu d’origine   grâce notamment aux bourses et à leurs qualités personnelles. De même qu’un humoriste voulait mettre les villes à la campagne, Dame Belkacem veut mettre les effectifs d’enfants difficiles dans des collèges réputés calmes. Déplacer les problèmes en quelque sorte au lieu de tenter de les résoudre à la base, in situ. En fait, la carte scolaire sera redessinée en faisant déplacer quotidiennement des enfants sur de longs parcours      avec toutes les nouvelles contraintes horaires entrainées pour les parents. Il était quelque peu croustillant à cet égard de visionner un reportage télévisé , je ne sais plus sur quelle chaine, dans lequel on pouvait voir et entendre des mamans  visiblement d’origine maghrébine par leur tenue, souhaiter que leur progéniture soit mélangée  « à des Français » ce qui, en passant,  révèle deux choses : une, si elles ont la nationalité française, elles ne se considèrent pas comme telles, deux, elles se rendent compte que dans des classes où cohabitent des enfants issus des « quatre coins du monde », les élèves peuvent difficilement s’intégrer, à plus  forte raison s’assimiler à la société d’accueil. La ministre s’imagine-t-elle que des parents ayant la chance d’avoir une situation sociale disons « normale » ou aisée vont, de gaité de cœur, accepter que leurs marmots soient scolarisés dans d’improbables collèges, loin de chez eux, où l’anarchie, la violence et la drogue s’imposent en  toute impunité ? Combien de  structures scolaires où les enseignants vont au boulot la peur au ventre en rasant les murs ?  Dans un récent article de France TV info on pouvait relever avec intérêt cette déclaration : « - Céline (le prénom a été changé), mère d’une jeune lycéenne scolarisée dans le 12 ème arrondissement de Paris, a toujours respecté la carte scolaire .Lorsque sa  fille est entrée au collège, l’établissement accueillait des classes d’enfants plutôt favorisés. En quatre ans, son quartier est devenu plus populaire et le collège est désormais  en zone d’éducation prioritaire. Avec 37 élèves par classe, le personnel encadrant est complètement dépassé, raconte la mère. Les élèves perturbateurs ont fait craquer certains professeurs qui ne pouvaient pas tenir leurs  classes. Ma fille n’a pas eu de cours d’anglais pendant trois ans faute d’enseignant avec les nerfs suffisamment solides ». Edifiant…La démonstration est faite que ce n’est pas forcément le lieu géographique qui détermine la mauvaise ambiance scolaire,  mais le manque de moyens rationnels mis à la disposition d’une véritable Education réellement NATIONALE. Les recettes ? une discipline appliquée avec intransigeance par des maîtres bien formés – pas des jeunes que l’on envoie au casse-pipe sans préparation, rappelez-vous l’excellent film « La jupe » avec Isabelle Adjani - l’implication physique et financière des parents d’élèves difficiles avec , s’il le fallait, l’internement  des trublions   dans  ce que l’on appelait jadis des « Maisons de correction », Sans oublier  une rénovation des bâtiments et de leurs équipements qui donnent envie d’apprendre, l’enseignement des valeurs de base indispensables à la vie en société, le port d’un uniforme identifiant l’élève à son école selon le modèle britannique, et arrêter de surcharger les classes en ouvrant toujours et toujours plus les vannes de l’immigration, voici quelques pistes pour freiner l’un des maux français. Car, même si les dérogations à la carte scolaire seront plus encadrées, rien ne pourra empêcher papa et maman de faire preuve d’imagination pour que leur jeune progéniture échappe aux collèges-ghettos des cités du même tabac. On n’arrête pas l’eau des rivières qui débordent, l’eau s’infiltrera toujours par tous les interstices.
 
LA VOIE ROYALE PAR LE PRIVE ?
Najat et ses sbires du ministère ont même imaginé une répartition des effectifs dans des collèges situés sur un même axe, une ligne de tramway par exemple, qui chargerait des élèves, pas tous, du collège A pour les emmener au collège B ! Outre la fatigue  supplémentaire entrainée par ces heures passées dans les transports, les élèves devraient sans doute  s’acquitter du coût de cette prestation. Une sorte de busing en vogue aux Etats-Unis il y a déjà quelques lustres et qui, par cars entiers, faisait se déverser des élèves noirs dans des écoles blanches….Les Américains en sont revenus, car l’ethnie d’origine ne recoupe pas toujours le niveau social des familles. Qui connait les Etats du Sud, sait qu’il y a de nombreux « petits blancs » comme une  émergente et dynamique bourgeoisie noire ! Ce n’est pas Obama qui dirait le contraire…Si d’immenses casernes sans âme où s’entassent des populations diverses encerclent nos villes, nous le devons à des dirigeants qui n’ont pas mesuré les conséquences de leurs actes, le regroupement familial étant l’un des plus maléfiques, n’est-ce pas messieurs Chirac et Giscard d’Estaing ?  Le fameux « bien vivre ensemble »  à la mode française ou « l’accommodement raisonnable » à la sauce québécoise  sont conditionnés avant tout par une question de seuil, de « dosage » et, surtout, de volonté de la part de toutes les parties.  Nous en sommes loin. Aujourd’hui le vin est tiré, il faut le boire. Mais pas aux dépends des enfants, de tous les enfants, à commencer par les petits Français. Le privé a de beaux jours devant lui !

Jean-Claude ROLINAT
 

Liban : double attaque suicide meurtrière dans un fief du Hezbollah à Beyrouth

Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2015

Des secouristes sur le site d'un double attentat à Burj al-Barajneh dans la banlieue surd de Beyrouth le 12 novembre 2015

 

Selon la Croix-Rouge locale et le ministère de l’Intérieur, au moins 37 personnes ont été tuées et 180 blessées dans un double attentat suicide ce jeudi dans le sud de Beyrouth, fief du Hezbollah, le mouvement radical chiite libanais proche de l’Iran et dirigé par Hassan Nasrallah.

 

Source : http://www.contre-info.com/

jeudi, 12 novembre 2015

Les premiers réfugiés sont arrivés mardi soir en Aveyron

Publié par Guy Jovelin le 12 novembre 2015

André Drubigny, coordonnateur départemental pour l’accueil des réfugiés.

André Drubigny, coordonnateur départemental pour l’accueil des réfugiés. (José A. Torres / CPA)


André Drubigny, coordonnateur départemental pour l’accueil des réfugiés, l’avait annoncé dans nos colonnes : l’Aveyron s’est mis en mesure d’accueillir les premiers réfugiés ayant fui les zones de conflits au Proche-Orient, Moyen-Orient et de la Corne de l’Afrique. Comme à Villefranche-de-Rouergue, Naucelle, Saint-Affrique ou Decazeville qui avaient répondu favorablement au plan national d’accueil, Rodez va recevoir quatre familles irakiennes dans les prochains jours.

Ayant obtenu le statut de réfugié, valable dix ans, leur donnant le droit de travailler sur le sol français et d’y scolariser leurs enfants, cinq hommes sont d’ores et déjà arrivés mardi soir dans la préfecture aveyronnaise.


Trente familles en Aveyron

En attendant leur famille, ils devraient être logés dans un centre provisoire d’hébergement que gère le centre communal d’action sociale (CCAS) ou directement dans un logement social de la ville, avait expliqué le coordonnateur départemental. Trente familles originaires de Syrie, d’Érythrée ou d’Irak sont attendues dans les prochaines semaines.

Leur arrivée marque la concrétisation pour l’Aveyron des accords européens du 22 septembre, sur la répartition au sein de l’Union de 120000 migrants venus de Grèce, Italie ou Hongrie, pays d’entrée sur le Vieux Continent. Au total, ils devraient être 30000 à s’établir dans l’Hexagone ces deux prochaines années.

Source : http://www.centrepresseaveyron.fr/2015/11/12/les-premiers...

La coordination des médecins libéraux de l'Ariège debout contre la réforme Touraine

Publié par Guy Jovelin le 12 novembre 2015

Crédit photo: Kurhan

Les médecins ne décolèrent pas depuis de longs mois. Et pour cause le projet de loi sur la modernisation du système de santé adopté par le sénat le mois dernier aggrave leur situation.

À la veille d’un mouvement national (du 13 au 17 novembre et plus si nécessaire) d’opposition à la loi de réforme de la santé dite «Loi Touraine» un collectif de médecins libéraux ariégeois entendent eux aussi communiquer sur cette loi considérée comme «dangereuse, délétère, déshumanisée et peu adaptée aux problèmes de démographie médicale».

Ils organisent samedi sur le marché de Pamiers un évènement ludique et iront à la rencontre des Ariégeois pour échanger sur ce «projet inique».

«Nous entendons répondre ainsi à la déclaration de la ministre qui est davantage dans la communication que dans la réalité du terrain» explique le Dr Philippe Monlouis médecin à Pamiers qui fait partie de ce collectif (ils sont une trentaine).

D’ici quelques mois ce professionnel de santé redoute les choix qui vont lui être imposés et qu’il devra subir notamment de la part de la CPAM qui l’obligera à respecter certains indicateurs: «nous sommes victimes de la propagande du ministère de la Santé, notamment concernant la gratuité du tiers payant…

C’est un marqueur de gauche, un marqueur social qui a tout d’un crédit plus que d’un cadeau. Le gouvernement serait davantage inspiré d’alléger les franchises médicales, reclasser les actes contraints au dépassement d’honoraires…

Si l’État devient payeur et contrôleur à la fois où est la liberté médicale? On prive les médecins de leur déontologie en leur imposant des pratiques qui ont pour objectif final d’engraisser les mutuelles ou leur permettre d’acheter des stades de foot
».


Le généraliste appaméen, comme 80% de ses collègues au niveau national, s’oppose à cette réforme qui impose aux professionnels de santé un texte jacobin, instaure une étatisation de la santé et ignore les personnels de santé libéraux.

«Traditionnellement il est très difficile de nous faire fermer nos cabinets mais aujourd’hui nous sommes dans une situation où l’État nous y oblige».

Et sans être grand vizir, le Dr Monlouis redoute un vote précipité de ces mesures avant le début de la campagne électorale: «c’est la stratégie du gouvernement de la faire passer entre le 25 décembre et le 1er de l’An».

Une loi aux forceps qui mécontente les médecins libéraux qui se positionnent contre la marchandisation de la maladie, de la médecine et des soins.

«Ce n’est pas du corporatisme, se défend le praticien, mais de la clairvoyance: l’État se désengage progressivement du réseau de soins au profit des mutuelles, le patient n’est plus en mesure de choisir son médecin ni le médecin d’exercer sa liberté d’exercice…

Si cette réforme passe, on bascule dans l’Union soviétique de l’époque. En tout cas ce projet de loi bénéficie de toute la propagande du gouvernement pour le faire avaler au français!
»


La colère monte et pour s’opposer à ce projet, les professionnels de la santé organisent dès vendredi des blocages routiers en province et des actions locales dans les grandes villes avant les grandes manifestations du 14 novembre devant le siège du PS et le 15 devant l’Assemblée Nationale où les médecins rejoignent les paramédicaux.

Source : http://www.ariegenews.com/ariege/jeunesse_societe/2015/96...