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lundi, 09 novembre 2015

Malgré l'interdiction de la manifestation et la présence pathétique de quelques collabos de l'islamisation, Carl Lang était à Pouilly-en-Auxois samedi pour prendre la parole....

Publié par Guy Jovelin le 09 novembre 2015

12208400_730058367127648_8181243706119937749_n.jpgSamedi 7 novembre, malgré la scandaleuse interdiction du rassemblement du Parti de la France à Pouilly-en-Auxois contre l'immigration clandestine, un entretien avec la presse a tout de même été organisé dans la commune afin de faire entendre la voix de ceux qui refusent la colonisation migratoire et la dictature socialiste. Carl Lang, Président du PdF, Thomas Joly, Secrétaire général, Sandrine Debode et Benjamin Lematte, cadres bourguignons, Christophe Devillers, Délégué régional pour la Franche-Comté, ont pu ainsi s'entretenir avec la presse locale et nationale.

Carl Lang a notamment déclaré, à propos de cette interdiction : « C’est une atteinte aux droits fondamentaux de la démocratie. Il y a deux poids deux mesures. C’est un excès de pouvoir du préfet qui a pondu un arrêté idéologique. Liberticide. »

Un dispositif de sécurité totalement délirant a été mis en place par les services préfectoraux, particulièrement fébriles : plus de 100 gendarmes mobilisés (les militaires de Côte d'Or avaient été renforcés par l’escadron mobile de Dole, et un hélicoptère était prêt à décoller) !

Pendant que les cadres du Parti de la France déjeunaient avec une vingtaine de solides militants bourguignons et du FdF, un rassemblement de gauchistes pro-migrants, plus caricaturaux les uns que les autres, se réunissaient Place la Libération à Pouilly, alors même que leur manifestation n'avait pas été déclarée en préfecture. Monsieur Delzant, servile représentant de la République socialiste, se justifie en arguant que le rassemblement des crasseux d'extrême-gauche était « pacifique » contrairement à celui du Parti de la France qu'il qualifie de « haineux ».

Pour l'anecdote, et pour preuve de la complicité active des autorités publiques avec l'immigration clandestine, un sans-papiers, non hébergé à Pouilly et venu manifester avec les collabos gauchistes, a été interpellé, car il était sous le coup d’une OQTF (Obligation de quitter le territoire français). Il a été relâché, sur ordre de la directrice de cabinet du Préfet, sous les applaudissements des manifestants...

Enfin, Carl Lang a indiqué que la commune restait une priorité pour les militants locaux du PdF : « Des actions seront très rapidement entreprises par nos militants. On va travailler pour informer avec du boîtage, du tractage dans la commune. »

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Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

REPORTAGE DE FRANCE 3 BOURGOGNE À POUILLY-EN-AUXOIS

Publié par Guy Jovelin le 09 novembre 2015

Reportage de France 3 Bourgogne à Pouilly-en-Auxois

REPORTAGE DE FRANCE 3 BOURGOGNE À POUILLY-EN-AUXOIS

samedi, 07 novembre 2015

C’est dit : moins de bébés = plus d’immigrés

Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2015

La vie, ça n’est pas compliqué. C’est même simple comme une équation. La preuve par l’information du jour et les commentaires qui l’accompagnent.
 

On a tort de se prendre le chou : la vie, ça n’est pas compliqué. C’est même simple comme une équation. La preuve par l’information du jour et les commentaires qui l’accompagnent.

Donc, les Françaises, cette année, ont fait moins de bébés : la natalité a baissé de 2,75 % sur les neuf premiers mois de l’année, ce qui constitue, paraît-il, le chiffre le plus bas depuis 1999. Là, je glisse une petite parenthèse : si les chiffres étaient bas en 1999, c’est parce que les Français ont majoritairement sauté en marche, réservant leurs gamètes pour le passage à l’an 2000… À corréler sans doute avec le boom sur la vente de préservatifs, mais c’est une donnée qui n’intéresse pas nos statisticiens.

Donc, disais-je, on a entendu ce matin sur les radios cette information alarmante : bien que demeurant en tête (ex æquo avec l’Irlande) des nations fécondes en Europe, la France fait moins de bébés.

Avec 569.000 nouveaux petits Français, notre pays serait donc en grave péril. Toutefois, comme l’explique au Parisien la dame de l’INSEE, « il faut se méfier des données brutes, surtout provisoires ». J’allais le dire. D’autant qu’on n’est jamais à l’abri d’un effet Charlie, et que les Français, s’étant consolés sous la couette après les ouragans compassionnels du début d’année, pourraient nous valoir un baby-boom post-traumatique dans les semaines qui viennent.

Qu’importe, les médias – et le gouvernement ? – ont déjà tiré de ces chiffres la conclusion qui s’impose. Car notre pays, s’il a enregistré cette année moins de naissances, a vu aussi augmenter ses morts. Les anciens ont en effet en plus grand nombre abandonné la partie :

1) À cause de la grippe contre laquelle ils n’avaient pas voulu se faire vacciner (ouh, les vilains !) avec un vaccin dont il convient de rappeler qu’il était inefficace.

2) À cause de la chaleur estivale qui-prouve-bien-le-réchauffement-climatique et patati et bla-bla-bla, justifiant au passage le licenciement de l’affreux climato-sceptique Philippe Verdier.

Alors ? Ah ah ! Alors c’est bien simple, comme le disait Adeline François ce mercredi matin sur RTL : s’il y a moins de naissances et plus de morts, c’est bien la preuve qu’il nous faut accueillir en masse des immigrés ! Parce que la vie, hein, c’est simple comme une soustraction. Et que pour revenir à zéro, il faut ajouter ici ce qu’on a retiré là. CQFD.

Cette opération-là porte un nom : d’aucuns l’appellent le « Grand Remplacement ». Ils se sont même retrouvés au tribunal pour avoir osé l’employer.

Si l’on dit « substitution de population », est-ce qu’on évite la prison ?

 

Le procès des réfugiés syriens encore renvoyé

Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2015

L'association pour le droit au logement (DAL) a souhaité la bienvenue aux réfugiés hier devant le tribunal d'instance de Toulouse. /Photo DDM X de Fenoyl.
L'association pour le droit au logement (DAL) a souhaité la bienvenue aux réfugiés hier devant le tribunal d'instance de Toulouse. /Photo DDM X de Fenoyl.

Après un premier renvoi à la requête des avocats des prévenus pour préparer la défense de leurs clients, et un autre sollicité par le conseil d'Habitat Toulouse, le procès en référé intenté par l'office HLM de la ville contre treize chefs de famille de réfugiés syriens installés depuis le printemps dans un immeuble en partie désaffecté du quartier des Izards à Toulouse, a de nouveau été renvoyé hier. Cette fois à la demande

 

de Maître Cerdan, qui représente Habitat Toulouse.

Pour justifier ce nouveau report dans une procédure en référé qu'il souhaitait au départ voir traiter en urgence, le conseil de l'office municipal de HLM évoque neuf nouvelles assignations délivrées à l'encontre de familles supplémentaires qu'il fera délivrer le 20 novembre prochain. Il faudra donc attendre le 8 janvier 2016, date de la nouvelle audience fixée hier matin par les magistrats du tribunal d'instance de Toulouse, pour que les réfugiés syriens toulousains soient enfin fixés sur leur sort.

«Nous avons transmis nos conclusions à la partie adverse lors de la dernière audience et notre dossier de plaidoirie est prêt depuis cette date», se désole Maître Agnès Casero à la sortie du tribunal. Comme les deux autres avocats qui défendent les familles de réfugiés, Maîtres Julien Brel et Michel Avenas, elle regrette ce troisième report dans un dossier qui, à son avis, aurait pu être jugé en l'état. Pour étoffer son dossier, Maître Cerdan, l'avocat d'Habitat Toulouse, a de son côté transmis hier à Maître Casero une expertise qui, selon lui, indiquerait «qu'un branchement sauvage sur le réseau électrique a été réalisé par une des familles de réfugiés».

Comme début octobre, plusieurs familles installées dans l'immeuble de la place des Faons ont reçu ce mois-ci de la part du bailleur social une nouvelle «quittance de squat», qui leur fait obligation de payer une indemnité d'occupation des logements. Mais les premières procédures de régularisation sont désormais engagées. Dix-neuf familles de réfugiés se sont récemment vues proposer par les services de la préfecture un hébergement en Cada (Centre d'accueil pour demandeurs d'asile) ou en UHDA (Unité d'hébergement pour demandeurs d'asile), dans lesquels elles bénéficieront d'un encadrement social et d'aide à l'insertion durant la période d'instruction de leurs demandes d'asile. Quatorze d'entre elles, qui ont accepté d'être relogées en Ariège, à Montauban, dans l'Allier ou en Haute-Garonne, ont obtenu une autorisation provisoire de séjour. Les six familles qui ont refusé ces offres n'ont en revanche pas accédé à ces documents provisoires. Au cours des dernières semaines, d'autres familles de réfugiés syriens se sont installées dans le quartier d'Empalot à Toulouse mais, n'ont pas encore été recensées, selon Frédéric Rose, directeur de cabinet du préfet de la Haute-Garonne.

Deux profanations anti-chrétiennes commises par des musulmans en Andalousie

Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2015

 

CaptureLe quotidien espagnol El Mundo signale deux cas de sacrilèges commis par des musulmans : l’un dans une église de Malaga, l’autre contre un lieu de dévotion.

Le premier cas a été découvert le 1er novembre au soir par le curé de la chapelle du Carmel « Torre de Benagalbón » (commune de Rincón de la Victoria, Malaga). Le tabernacle a été forcé mais n’a pu être ouvert, des objets du culte et des images pieuses ont été abimés ou brisés. Les auteurs du sacrilège ont laissé peint à la peinture noire « Allah » à l’intérieur du lieu de culte. Une plainte a été déposée auprès de la Guardia Civil de Malaga.

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