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samedi, 26 septembre 2015

40 millions d’euros pour les 233 membres du CESE qui débattent… sur la liberté d’expression et la censure !

Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2015

40  millions d’euros pour les 233 membres du CESE qui débattent… sur la liberté d’expression et la censure !

 

Je rebondis sur l’article de bvoltaire concernant un obscur couloir de la démocratie dont j’avoue n’avoir jamais entendu parler, le C.E.S.E.

http://www.bvoltaire.fr/annesophiedesir/cese-debat-libert...

Cette assemblée, si j’en crois Anne-Sophie Désir qui a signé l’article de BVoltaire, serait la 3ème assemblée de la République dont le rôle est de débattre sur la liberté d’expression et la censure. Quelque part, c’est donc notre ministère de tutelle à nous sites de ré-information. Il convient donc de connaître les rouages et surtout les membres de cette illustre assemblée.

http://www.bvoltaire.fr/annesophiedesir/cese-debat-libert...

Le C.E.S.E

Le Conseil Economique Social et Environnemental comprend 233 membres  désignés pour un mandat de 5 ans. Comme toute assemblée qui se respecte, celle-ci comporte également des assemblées plénières, des sections, des délégations, des commissions…  tout comme notre Assemblée nationale.

Le CESE est chargé d’émettre des avis à destination des membres du gouvernement dans le cadre de sa mission qui est fixée par décrets. Comme les 233 membres permanents ne suffisent pas à la tâche, le gouvernement peut demander à un collège de 46 personnalités extérieures d’apporter leur compétence aux membres des commissions de travail. Je rappelle que la fonction du C.E.S.E est de porter des avis sur « la liberté d’expression et la censure ». En fait, comme aurait pu dire Coluche :

  «  Ils donnent leur avis sur tout, mais ils ont surtout des avis ».

Combien ça nous coûte ?

Cet obscur couloir de la République nous coûte… 40,9 M€  par an inscrit au budget à la ligne « Conseil et contrôle de l’Etat ». Je suis rassuré, il ne s’agit pas de nous contrôler, il s’agit de contrôler l’Etat ! Pour ce faire, les 233 membres sont bien entendu rémunérés, pardon, ils ne touchent que des indemnités qui s’élèvent à un total mensuel brut de 3.786,76 € pour participer à deux assemblées plénières par mois- ! (sauf pour les membres des sections, des délégations, etc.. qui eux travaillent plus.). Il ne faut pas non plus oublier les 141 agents qui bossent pour eux à longueur d’année, eux.

Le Président de cette obscure cour des miracles (pour les membres) perçoit quant à lui  7.573,52 € bruts mensuels.

Les extras, pardon les 72 personnalités associées ne touchent que 946,69 € par mois, qu’ils travaillent ou pas d’ailleurs.

 

Qui sont donc ces conseillers ?

Le site (http://www.lecese.fr/) nous renseigne à leur sujet. A tout Président tout honneur, ce dernier n’est autre que Jean Paul DELEVOIE, ministre de la Fonction Publique de 2002 à 2004  dans les deux gouvernements Raffarin.  De 2004 à 2011, il est le médiateur de la République. Il préside le C.E.S.E depuis 2010.

Parmi les 233 conseillers on peut relever :

Anne BALTAZAR, Secrétaire confédérale de CGT-FO

Jean Paul BASTIAN, Vice-président FNSEA

Dominique BARREAU, Secrétaire général FNSEA

Christiane BASSET, Vice-présidente de l UNAF

Thierry Baudet, Président de la MGEN

Luc BERILLE, Secrétaire général de l UNSA qui appelle sur son site à souscrire à la solidarité avec les immigrés

Patrick BERNASCONI, Vice-président du MEDEF

Didier BERNUS, Secrétaire général FO

Anne DE BETHENCOURT, Relations extérieures fondation Nicolas Hulot

Monique BOUTRAND, secrétaire nationale CFDT Cadres

Henri BRICHARD, 2ème vice président de la FNSEA

Thierry CADART, secrétaire National de la CFDT

Marie-Claire CAILLETAUD, secrétaire fédérale CGT

Michel COQUILLON, Vice-président de la CFTC

Carole COUVERT, Présidente de la CGC

Jean Claude DELAGE, secrétaire général du syndicat Alliance Police Nationale

Azraw DJEBARA, ancien vice-président de l UNEF

Christian DUPUIS, secrétaire nationale UNSA

Bertrand FARRIOL, vice- président UNAF

Alain FERETI, administrateur de l UNAF

Laura FLESSEL- COLOVIC,  Présidente du comite de lutte contre les discriminations au ministère des sports

François FONDARD, Administrateur de l UNAF

Sébastien GENEST, Président d’honneur de France nature environnement

Bruno GENTIL, Président de France nature environnement

Jean GROSSET, secrétaire général adjoint UNSA

Jocelyne HACQUEMAND, Secrétaire fédération nationale  agroalimentaire

Françoise Henri,  administratrice de la FNSEA

Régis HOCHART, Ancien porte parole Confédération paysanne

Bernard IBAL, conseiller spécial du président CFTC

Jean Louis JAMET, Vice-président CGPME

Christine LAMBERT, Première vice-présidente FNSEA

Philippe LOUIS, Président de la CFTC

Cécile MESQUIDA, Administratrice de France Nature Environnement

Alain OBADIA, Membre du comité exécutif du PCF

Laurence PARISOT, vice-présidente du directoire de l’IFOP

Philippe PINTA, Trésorier de la FNSEA

Didier RIDORET, Président de la fédération française du bâtiment

Jean François ROUBAUD, Président de la CGPME

Geneviève ROY, Vice-présidente GCPME

Pascale VION, Vice-présidente de la mutualité française.

…/…

On y retrouve donc pas mal de personnalités ainsi honorées par le Gouvernement pour services rendus à la nation, notamment des membres du MEDEF, de la FNSEA, de la CFTC, de l’UNSA de la CGC et même de l’IFOP en la personne de… Laurence PARISOT.

« ELLE EST PAS BELLE LA FRANCE ! »

 

Si vous avez quelques compétences en matière de liberté d’expression et de censure et si la perspective de toucher 3.786,76 € par mois vous sourit, je vous engage à postuler au Conseil Economique Social et Environnemental.

Pour vous faire élire : http://www.lecese.fr/

A lire en complément l’article de Philippe Jallade sur le même sujet

http://resistancerepublicaine.eu/2014/le-conseil-economiq.../

Hoplite

Source : http://resistancerepublicaine.eu/2015/40-millions-deuros-...

Castres : les socialistes ne veulent pas d’une école catholique, ils préfèrent sans doute coranique

 Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2015

Castres : les socialistes ne veulent pas d’une école catholique, ils préfèrent sans doute coranique

 

Reprenons les choses dans l’ordre

  • Une association catholique se propose d’ouvrir une école privée hors contrat.
  • Elle demande à louer un local municipal libre et situé au Centre ville
  • Le Maire accepte et signe un bail de 9 ans,  trois ans pour un loyer de 500 euros par mois contre travaux à charge de l’association puis 900 euros par mois ensuite.
  • Il a droit à une véritable scène au Conseil municipal où les élus de gauche se révoltent parce que l’association catholique serait « intégriste », défendrait des « principes d’obscurantisme », contreviendrait aux « principes de laïcité » et, cerise sur le gâteau, ferait partie des principes contre lesquels tout le monde était dans la rue le 11 janvier. Bref, cette association catholique est renvoyée dos à dos, avec son « programme pédagogique effrayant », avec les assassins de Charlie hebdo… La gauche, au Conseil municipal de Castres, n’a peur de rien...

 

Ce qui justifie amplement cette phrase du Maire : «Comparer les terroristes qui ont assassiné ces dessinateurs et les activités de cette association est un raccourci sidérant, excessif et déplacé qui pourrait vous amener à vous expliquer devant les tribunaux».

http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/23/2182928-une-no...

Tout cela mérite bien de se pencher sur ce cours Sénévé en passant à la loupe son site !

Effectivement ce n’est pas une école publique, neutre et laïque, c’est une école créée par des parents chrétiens désireux de transmettre à leurs enfants, en même temps que l’instruction obligatoire, les principes de la foi et des préceptes évangéliques :

« au Cours Le Sénevé, la transmission de la foi a une place prépondérante, dans la fidélité à l’Eglise catholique. L’élève apprend à connaître et à aimer Dieu à travers l’instruction religieuse, la prière, l’amour et le respect du prochain.« 

Le Sénevé se fixe pour but la formation de la personne dans toutes ses dimensions : esprit, âme, cœur et corps.

Chaque enfant est uniqueLes professeurs sont attentifs à découvrir en chaque élève les talents qu’il peut développer et exprimer.

La vie de l’établissement se déroule sous le regard et avec l’aide de Dieu, la foi compléte le travail de la raison pour éclairer les intelligences et les cœurs.

C’est clair. Je conçois que cela puisse chagriner des laïques pur jus, nous sommes aux antipodes de la conception qui a donné naissance à l’école publique laïque.

Mais le lieu choisi est l’ancien presbytère de l’église Saint-Jacques…

Mais…

Mais quand on voit ce qu’est devenue l’école publique…

Mais quand on voit les écoles coraniques et même musulmanes pulluler avec l’approbation et même l’aide des municipalités, notamment de gauche…

Mais quand on voit des écoles musulmanes devenir des écoles sous contrat… grâce, entre autres, à notre gouvernement « de gauche »…

On reste interpellé par la violence de l’attaque des anti-cathos de Castres.

D’autant que le message chétien, qui est celui des évangiles n’est, effectivement, que paix et amour. Jésus ayant répété ad nauseam qu’il fallait pratiquer amour et pardon. Certes les enfants recevront un certain endoctrinement, mais il risque peu de les pousser à couper des têtes, eux…

Est-ce que, vraiment, le programme pédagogique est « effrayant « ?

L’instruction religieuse comprend chaque semaine une heure de catéchisme et chaque quinzaine une heure d’histoire biblique. La référence pour l’instruction religieuse est le Catéchisme de l’Eglise Catholique et les manuels qui lui sont conformes.

La classe commence par une prière du matin pour mettre la journée de travail sous le regard de Dieu. LeBenedicite est récité ou chanté avant le repas de midi. Chaque semaine un moment de l’emploi du temps est consacré à la pratique religieuse (messe, ou adoration, ou chapelet, ou confessions…). Les professeurs, parents et amis peuvent se joindre aux élèves pour ce temps de prière.

Ce n’est pas ma tasse de thé. Je serais gênée, si j’avais des enfants à scolariser, qu’ils soient dans un tel univers, mais je vais vous faire un aveu, ô lecteur.  Je suis athée, laïque, adoratrice du principe de l’école publique… Pourtant, si j’habitais Castres, si j’avais des enfants à scolariser, je crois que je les inscrirais au cours Sénévé en leur demandant de faire abstraction de « l’environnement/endoctrinement catholique », d’attendre que ça passe… Parce que le programme, tudieu qu’il me plaît, sans parler de l’organisation de la semaine, aux antipodes des monstruosités initiées par Sarkozy et développées par BelKacem :

  • Le français s’attachera à former la sensibilité et l’intelligence par une analyse fine des grands textes de la littérature. De nombreux exercices de rédaction développeront l’aisance dans l’expression écrite. L’orthographe sera travaillée par des dictées régulières. La syntaxe et la grammaire donneront lieu à des exercices d’analyse.
  • Les mathématiques seront enseignées avec le souci d’apprendre aux élèves la pertinence d’une réflexion rigoureuse et bien rédigée.
  • L’histoire sera présentée de façon chronologique.

  • Le latin, commencé dés la 6ème, aidera à structurer l’esprit et à éclairer la langue française et la culture.

  • L’emploi du temps, moins chargé que dans les autres établissements, s’étale sur quatre journées de cours avec un rythme régulier : 4 heures le matin, et 3 heures l’après-midi. Les cours débutent et finissent tous les jours à la même heure.

    Les matinées sont consacrées aux savoirs fondamentaux (français, mathématiques), les après-midi sont réservés aux activités de découverte (sciences, histoire biblique et histoire de l’Art), aux disciplines artistiques (musique et chant, théâtre, dessin), et à l’éducation physique et sportive.

    Deux fois par semaine en début d’après-midi, les CM2 bénéficient d’études encadrées pendant que les 6ème s’initient au latin.

    http://cours-seneve.e-monsite.com/pages/questions-reponse...

Voilà où on en est… L’école publique est gangrénée et devenue un outil à massacrer nos enfants. Les dirigeants de notre pays tapent sur le christianisme et favorisent l’implantation d’une idéologie mortifère et dangereuse. Alors nous devons encourager la création d’écoles privées, catholiques ou non, pour échapper à l’horreur.

Christine  Tasin 

Entretien avec Jacques Bompard

Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2015

 
Maire d'Orange depuis 1995 - Député du Vaucluse
« « Nous n’avons pas à soutenir la désintégration de notre pays » »

Vous voulez supprimer l’enseignement de culture et de langue d’origine. Pourquoi ?

Je veux que la France arrête d’accepter et de financer partiellement un dispositif qui permet à 100.000 élèves d’être entretenus dans la conscience linguistique et culturelle de leur pays d’origine. Que les parents ou familles veuillent préserver une part de l’identité d’origine leur appartient, mais nous n’avons pas à soutenir la désintégration de notre pays.

Comparez un peu le mépris pour les langues régionales, partagé par messieurs Philippot ou Mélenchon, et toute cette attention à des langues parfois hostiles au génie européen, vous verrez que le système préfère dégénérer les organes de la conscience française que de résister à la déréliction de ce que nous sommes.

J’ajoute que les enseignants de ces langues sont choisis depuis les pays d’origine. Cela me pose problème qu’un gouvernement étranger puisse enseigner sur notre territoire. Je ne crois pas que nous partagions avec eux une histoire apaisée et identique.

Que faut-il imposer à ces enfants de cultures, de religions et d’origines différentes, en France ?

Aux enfants, il faut apprendre à connaître et à aimer la langue française et notre civilisation.

Aux parents, il faut imposer une réalité : l’immigration zéro, plus aucun membre de leur parentèle ne doit pouvoir les rejoindre sur le territoire français.

300.000 immigrés légaux par an, 2 millions d’étrangers accueillis sous Sarkozy, un coût annuel qui oscillerait entre 60 et 90 milliards d’euros, c’est indéniablement insupportable pour notre peuple. Nous devons en revenir aux Français d’abord et préciser clairement que le peuple français ne veut pas être remplacé !

À ceux qui sont là, nous devons faire comprendre qu’ils sont accueillis dans une civilisation millénaire, à l’identité chrétienne, romaine, celte, et dont la raison fut formée entre Athènes et Villers-Cotterêts.

Confondre Tombouctou ou La Mecque et les sources les plus historiques de ce que nous sommes, c’est insulter l’avenir de notre peuple mais aussi ceux que nous accueillons.

En revenir à une nation forte, qui pense clair et qui marche droit, voilà notre horizon.

Peut-on encore, selon vous, espérer que ces populations nombreuses et extra-européennes s’intègrent un jour à la culture française ?

Les gouvernements ne font rien pour cela. L’urgence sur les questions migratoires, c’est de préparer une politique de remigration cohérente et de défendre les territoires occupés par des représentants communautaires ou anti-français.

La France compte 5,5 millions d’immigrés et plus de six millions de descendants d’immigrés : aucun pays ne peut se conserver et se préserver devant un tel afflux qui va s’accélérant.

En revanche, il faut être aux côtés des Français dont la vie est fracassée par le Grand Remplacement. Il existe une France périphérique qui fuit la dégradation de ses conditions de vie et qui veut protéger ses filles et ses fils. Ceux-là, victimes d’une immense précarité, n’ont le droit ni au fonctionnement d’un État qui se délite, ni à la solidarité d’une société châtrée qui finit par accepter tout et n’importe quoi. Je rappelle, dans un article récent, qu’il y a des régions françaises avec plus de 20 % de taux de pauvreté ; c’est à peu près le niveau dans le Vaucluse.

Si l’on ne combat pas pour encadrer les vies de ceux-là, alors personne n’est à la hauteur de la mission sociale et historique du Français responsable.

Alors oui, quelques-uns s’assimileront par le sang versé ou par un extraordinaire effort de volonté et auront toute leur place dans notre pays. Mais la politique n’est pas l’art des cas limites, c’est celui du service du bien commun.

Vous parlez de Grand Remplacement, l’Europe est donc menacée de mort ?

Les dirigeants politiques et ecclésiastiques d’Europe centrale le redisent sans cesse : les déferlements migratoires que connaissent leurs territoires depuis des années et leur renforcement récent avec la crise dite « des migrants » ne sont que la répétition de conflits passés.

Nous sommes face à des pays du Sud. Certains se sont enfermés dans la misère avec le socialisme et la décolonisation, d’autres ont vu leurs équilibres fragiles brisés par la pression atlantiste. D’autres, enfin, instrumentalisent les flots de réfugiés comme moyen de pression sur l’Europe qu’ils veulent anéantir.

Beaucoup de ces migrants proviennent d’une civilisation qui n’est pas soluble dans la nôtre.

Ce questionnement identitaire, dont l’urgence pour les peuples et les nations européennes est partout ressentie, est de première importance car il aura des conséquences irréversibles.

L’Europe peut mourir, laissant la place à des magmas aussi barbares qu’indéfinis.

Propos recueillis par Charlotte d’Ornella

Source : http://www.bvoltaire.fr/

jeudi, 24 septembre 2015

Immigration – « Epidémie de gale et présence probable du virus de l’herpès » parmi les réfugiés de la porte St Ouen

Publié par Guy Jovelin le 24 septembre 2015

Immigration – « Epidémie de gale et présence probable du virus de l’herpès » parmi les réfugiés de la porte St Ouen

Les risques santiraires liés à la déferlante migratoire restent un sujet tabou. Mais la réalité s’impose…  (adsbygoogle = window.adsbygoogle ||...

 

 

 

Lire la suite : http://www.medias-presse.info/immigration-epidemie-de-gal...

CAF : il vit au Maroc et touche le RSA et probablement la CMU

Publié par Guy Jovelin le 24 septembre 2015

23 septembre par Pierrot

Résultat de recherche d'images pour "caf du"Non, ce n’est pas une vision de l’esprit… Des dizaines de milliers d’escrocs étrangers touchent l’argent de nos cotisations sociales, impôts et autres taxes par la faute des dirigeants de notre pays… Car si les clandestins sont responsables de leurs actes, il ne faut pas se tromper d’ennemi. C’est l’Establishment (presse, politiques, lobbies etc…) qui est responsable et coupable !

Le magazine Capital enquête sur la CAF pour M6 :

Source : http://www.contre-info.com/