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mercredi, 11 février 2015

« LA « MARINÏTE » DANGEREUX POISON DEMAGOGIQUE !»

 

Franck.jpegCet article s’adresse à tous ceux et celles qui de près ou de loin se laissent tenter par le discours lyrique et mensonger de Marine le Pen, qu’ils se méfient du chant des sirènes car l’espoir donné à leurs rêves  pourrait vite devenir une désillusion, voire un cauchemar…

Nous nous expliquons, quel est la trajectoire du FN newlook ? Encore faut-il parler d’un axe, car en matière de ligne directrice, la route à suivre est biscornue !!!

La faute est due sans commune mesure, à l’esprit «  tactique » de la présidente du Front National, qui affirme tout et son contraire, séduit et rameute à elle des transfuges de gauche, de droite, du centre et même d’extrême –gauche du NPA ! En privilégiant un de ces anciens membres !!!

Dans le même temps, elle purge tout ce qui ressemble de prés ou de loin à un nationaliste, pour tout dire les anciens frontistes attachés aux fondamentaux du parti ! La ligne policée du nouveau FN, genre pantalon de flanelle, fils de bonne famille, jeunes loups « maniérées (sic) » s’en trouve ragaillardie !

Quelles sont les perspectives de ce FN d’un nouveau genre, dévirilisé, qui parle du peuple avec grandiloquence, mais qui ne connait, ni ne sait ce qu’est véritablement le peuple et son quotidien !

La politique ne se fait pas dans des salons avec des petits fours et le petit doigt en l’air, nous alimentons cet état de fait par le constat suivant : beaucoup de militants FN crient et hurlent du fait de l’état de déliquescence de notre pays, ils critiquent la politique d’immigration menée par les différents pouvoirs de droite comme de gauche qui se sont succédés, mais ils sont les premiers à accepter dans leurs rangs musulmans et fraichement convertis !

Certains élus FN vont jusqu'à approuver la construction de mosquées ou du moins les tolérer ! Le Front National pactise avec le sionisme, le lobby gay  et le communautarisme musulman, la compromission est sans limite, il en oublie ses propres fondamentaux et pousse l’escroquerie jusqu'à se renier lui-même !

Devant un tel reniement idéologique, nous ne pouvons que nous opposer, le Front National n’est plus le Front National, mais un conglomérat d’individus sans foi, ni idéal ! Nous refusons la colonisation de notre patrie, la charia, les minarets n’ont pas leurs places ni en France, ni en Europe !

Nous, nous clamons au Parti de la France : LA FRANCE AUX FRANÇAIS !!

 

Franck Pech

Délégué Départemental Adjoint du PDF 31

 

 

 

lundi, 05 janvier 2015

Sortie de l’euro : gare à la démagogie ! (par Bernard Mitjavile)

 

 Publié par Guy Jovelin

L’année passée n’a pas été trop brillante pour l’euro, qui a vu sa valeur baisser d’environ 12 % par rapport à son principal rival, le dollar, ce qui ne lui était pas arrivé depuis 2005.

Or, un grand argument des partisans d’un retrait de la zone euro est que pour redonner de la compétitivité à nos entreprises il faut quitter l’euro car il est surévalué, tiré vers le haut par l’économie allemande, et ceci sans qu’il soit nécessaire d’entreprendre de douloureuses réformes de structure (réforme de l’État, diminution du nombre de fonctionnaires, réforme des retraites et plus généralement diminution des prélèvements obligatoires).

La dépréciation de l’euro par rapport au dollar a un effet semblable pour les produits français hors de la zone Union européenne à un retour à un franc plus faible qui se dévaluerait de 15 ou 20 % par rapport à l’euro selon les dirigeants du FN (pour dire la vérité, on n’en sait rien et cela dépendrait largement du contexte politique).

Pour autant, le déficit de nos échanges commerciaux hors énergie s’est creusé en 2014, selon les chiffres publiés en novembre par les Douanes, passant de 9 à 14 milliards sur les neuf premiers mois de l’année. Cela devrait amener certains à s’interroger sur l’effet coup de fouet pour l’économie d’un retour au franc censé conduire à relancer les exportations et la production industrielle française.

En fait, la question du retrait ou non de l’euro est mal posée et, en l’occurrence, comme pour bien d’autres choses, l’important est dans les détails. La question n’est pas tellement de quitter ou non l’euro mais dans quelles conditions cela se ferait.

Une France à l’économie dynamique, tirée par ses exportations et dont la dette servirait à financer des investissements tournés vers l’avenir, n’aurait pas grand-chose à craindre économiquement en quittant la zone euro, indépendamment des difficultés politiques et institutionnelles.

Une France souffrant de déficits structurels, dont la dette sert à financer les dépenses de fonctionnement d’un État obèse plutôt que des investissements pour les futures générations, ne verrait pas ses problèmes résolus par un retour au franc mais ajouterait un facteur d’instabilité financière à sa situation.

Quand le FN s’oppose au recul des dates de départ en retraite, à la diminution du nombre de fonctionnaires (Marine Le Pen dans sa campagne de 2012), quand Florian Philippot soutient les grévistes de la SNCF à l’automne contre le « diktat » de Bruxelles, quand le FN promet des augmentations des aides aux agriculteurs et nous assure que tout se passera bien grâce à un État « intelligent et stratège » puisqu’il sera au pouvoir, il ne crée pas les conditions optimales pour quitter la zone euro.

On comprend que le FN cherche à « ratisser large », gagnant des voix de fonctionnaires, d’agriculteurs et autres catégories qui s’étaient tenues loin de lui, mais un langage de vérité serait mieux adapté à la situation actuelle.

La démagogie est peut-être une bonne chose pour gagner une élection mais, comme toutes les bonnes choses, il ne faut pas en abuser. Nous sommes nombreux à l’apprendre en ces lendemains de réveillon…

Source

mercredi, 01 octobre 2014

« Nicolas Sarkozy, un scénario prévu ! »

Franck.jpegNous avons assisté à une belle démonstration de communication en politique.

M. Nicolas Sarkozy, humble et sûr de lui en même temps ; nous avons senti tout de même une maturité naissante.

Hormis ce constat réaliste, soyons pragmatiques, nous avons pu constater le côté manœuvrier de M. Sarkozy.

Nous nous en expliquons, quand il parle de référendum. A aucun moment il a mis en application ce procédé sur des sujets sociétaux ; en matière d’insécurité ou d’immigration.

Par exemple quand il était au pouvoir, en ce qui concerne l’emploi, son bilan avant de laisser la place à son successeur M. Hollande, a été calamiteux.

En outre il ose dire que l’alternative à ses propositions, et là il se place comme candidat en 2017 pour la pseudo droite, faisant fi de ses concurrents, serait le laxisme ou l’isolationnisme.

En gros le changement dans la continuité sauce Hollande et le repli sur soi sauce Le Pen.

Pour nous, il s’agit d’un schéma somme toute réducteur.

Bien sûr M. Hollande ne redressera jamais le gouvernail, Me Le Pen non plus, tant elle circule à l’aveuglette et à tâtons, en exploitant sans vergogne la colère et le désarroi du peuple français.

Le PS et le FN n’offrent comme perspectives que l’immobilisme et l’aventurisme.

Nous sommes dans un tunnel, voir un puits sans fond.

Il nous faut un guide. Le peuple français désire une oreille, une écoute et un leader qui ne se contente pas de belles prestations et de gesticulades.

Entre un homme spectateur de la vie économique française, un ancien Président de la République bateleur de foire et une Présidente de parti frôlant la caricature, n’ayant que l’invective à la bouche, les Français ne peuvent qu’être écœurés, perturbés, dégoûtés.

Assez de mensonges, de démagogie, de propos acerbes et abjects.

Soyons humbles et pragmatiques pour le bonheur du peuple français.

C’est ce que nous proposons au Parti de la France ! Rejoignez-nous !

Franck Pech

Responsable communication du Parti de la France 31