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jeudi, 16 août 2018

Qu’est-ce qu’un envahisseur ?

Publié par Guy Jovelin le 16 août 2018

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 Bernard Plouvier

Dans l’imaginaire collectif d’Européens trop sensibles aux fééries hollywoodiennes - tellement schématiques en matière d’histoire qu’elles ne sont que caricatures -, l’invasion est une affaire sanglante, « pleine de bruit et de fureur », de viols et de rapts, de pillages et d’incendies.

Il est exact que l’invasion des hordes d’Attila fut en grande partie cela, et bien davantage encore la déferlante mahométane en Ibérie, en Aquitaine et dans toute la moitié sud de la France ou en Italie méridionale. Puis la barbarie mongole s’abattit sur l’Europe orientale et centrale, et la turque en terres danubiennes. Tout ce la fut sanglant, raciste et ignoble, nul ne le conteste.

L’actualité, en Europe occidentale et scandinave, prouve la persistance et la vivacité de ce type de comportement chez nombre de sauvageons africains, et leurs confrères proches et moyen-orientaux. Si les attentats individuels et collectifs ne défraient la chronique que de façon mensuelle, le vandalisme dirigé contre les installations publiques, les lieux de culte chrétien, les propriétés privées est affaire quotidienne, comme le sont les actes de racket, les vols, les viols et les agressions physiques… et si l’on en venait à dénombrer les manifestations verbales de racisme anti-Blancs, l’on devrait compter en secondes. Tout cela est bien connu – sauf de la presse gaucho-socialo-friquée.

Il est une autre forme d’invasion, moins spectaculaire dans ses manifestations, mais infiniment plus pernicieuse : celle de la mendicité et du service rendu ou soi-disant tel. « Le Barbare peut franchir la frontière en suppliant ou en auxiliaire aussi bien qu’en agresseur… Il use de la prière ou du service plus souvent que de la violence » (Joseph Calmette, in Le monde féodal, 1934).

Il est de fait que les Germains se sont initialement implantés dans l’Empire romain d’Occident comme auxiliaires ou comme réfugiés repoussés par les Slaves puis par les Huns. Ils ont d’ailleurs remarquablement aidé les Gallo-Romains à écraser l’envahisseur hunnique au Vesiècle. En outre, même lorsqu’ils se comportaient en pillards, ils régénéraient les populations occidentales par un fort utile apport génétique : on restait au sein de la même race continentale, l’européenne.

De nos jours, le spectacle des réfugiés africano-asiatiques, chassés de chez eux par la barbarie islamique ou les jeux pervers des dirigeants US, est indéniablement pitoyable. Seulement, après avoir nourri et formé à un métier utile ces extra-Européens, n’avons-nous pas le devoir de les rendre à leurs continents d’origine, pour que ces ex-réfugiés, secourus et convertis à la technicité occidentale, civilisent leurs Nations d’origine ?

Les agents de désinformation clament l’intérêt de la mixité des races et des civilisations pour assurer l’avenir de notre Europe, en complet désaccord avec les faits observés dans les pays multiraciaux : USA, Mexique, Brésil, pour prendre quelques exemples simples où fleurit la violence interraciale de façon quotidienne. On peut prendre ces bêlements de propagande pour ce qu’ils sont : la soumission aux intérêts de la grande distribution.

De fait, les mêmes immigrés-réfugiés-envahisseurs consommeraient infiniment moins s’ils étaient restés chez eux. Accueillis par des États occidentaux, ils jouissent d’une multitude de lois à caractère social (même les immigrés clandestins ont droit à une allocation spécifique en France), en plus d’usages, pas toujours conformes à la loi, des organismes publics locorégionaux, enfin de dons issus de la charité privée. Pourquoi retourneraient-ils dans leurs gourbis insalubres alors qu’ils bénéficient de jouissances matérielles infiniment plus grandes que dans leur continent d’origine et contre un travail nettement moins harassant, voire pas de travail du tout ?     

Or une question simple se pose. Qu’ont-ils à donner en contrepartie de tout ce que nous leur offrons ? De façon trop fréquente, ils nous font présent de rejetons peu doués, souvent délinquants, presque jamais courtois, en sus d’une religion conquérante, aux usages médiévaux adaptés à des continents où la rudesse et une conception très particulière des rythmes de travail sont opposées aux nôtres. L’esclavage et l’intolérance religieuse qui devient facilement meurtrière, le mépris intégral de la femme : de tout cela nous n’avons guère besoin.

Les empires hellénistique et romain ont tenté d’amalgamer l’Afrique du Nord et le Proche-Orient à l’Europe - du moins celle qui était étendue de l’Atlantique et de la Méditerranée au Rhin et au Danube -, et cela fut un échec intégral.

Pourquoi voudrait-on récidiver dans l’erreur ? Si c’est pour satisfaire l’esprit de lucre des très curieux « humanistes » de Wall Street, de la City londonienne et des multinationales, ou pour communier à la niaiserie, plus ou moins intéressée, des affairistes (souvent repris de justice) du Charity business, d’un pape étonnant et de politicien(ne)s toqué(e)s, ce n’est peut-être pas nécessaire.

 

Source : synthesenationale

vendredi, 29 septembre 2017

Murs et frontières

Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2017

envahisseur,frontières,mursIl est de bon ton de critiquer l’idée de fermer le territoire français (et européen) aux masses d’allochtones qui s’invitent chez nous. Je reconnais pour commencer qu’il est vain de comparer strictement le fonctionnement d’un pays et celui d’un particulier mais tout de même osons une projection.

Vous vivez dans une ville, possédez une maison pour l’achat de laquelle vous avez usé de l’héritage légué par vos parents. Votre vie familiale est harmonieuse, votre maison vivante par la grâce de quelques voisins et amis invités le week end ou à l’occasion des vacances à partager un bon repas sur la terrasse qui bien sûr ne saurait se terminer sans le « pousse café » et le cigare. Bref un petit paradis qui vous appartient, et qui justifie les efforts déployés le reste du temps pour en assumer les charges et en jouir pleinement. 

Avez-vous suffisamment confiance dans le comportement de tous ceux d’alentours pour ne pas fermer la porte lorsque vous partez ? Dit autrement, ne craignez-vous pas que le premier malandrin venu, constatant que la porte n’est pas verrouillée, en profite pour s’installer, dormir dans votre lit, se nourrir de vos victuailles conservées dans votre frigo ? Imaginons dans un premier cas qu’après ses frasques il se retire : c’est un vandale ou un malappris. Dans un deuxième cas, imaginons qu’il vous contraigne à partager : c’est un envahisseur.

L’envahisseur n’est pas différent du « migrant ». A ceci près que généralement les citoyens se liguent contre l’envahisseur. Ici le « migrant » a toutes les excuses. Qu’attendre de lui ? Rien. Il est une victime et vous un pauvre con.

C’est à cause de ce genre de parallèle qu’on nous dit que la comparaison entre un pays et un particulier n’est pas valable. Il y aurait une légitime protection du foyer mais un espace extérieur non privatif, qui n’appartiendrait donc pas au peuple qui l’a aménagé, dans le cas de la France, à quelques exceptions prêt on pourra même dire magnifié.

Soit, mais alors que penser de l’usage patrimonial de notre état qui est restreint à la jouissance de particuliers dont le seul mérite est d’avoir été élu ? Pourquoi ne pas partager plus constamment qu’avec les seules journées du patrimoine ? Ne sont-ce pas les biens nationaux décrétés sous la Révolution ? Ces gens là ne se sont ils pas faits les parangons du partage ?

Un autre sujet où le parallèle particulier-état n’est pas admis est celui de la dette. Aucun particulier ne peut s’endetter (licitement) au-delà d’un tiers de ses revenus. Comment expliquer que la dette du seul état français se chiffre à 2 200 milliards d’euros (100 % du PIB) alors même que ses « revenus » ne sont que les recettes fiscales acquises sur ce PIB ? Je comprends certes qu’il puisse être nécessaire de se surinvestir à un instant T pour financer une infrastructure très coûteuse, le fonctionnement général de l’état pendant une disette, ou la guerre face à un risque d’occupation étrangère. Mais comment justifie-t-on un endettement de cette proportion ?

La réponse est simple : ce n’est pas moi, c’est l’autre ! A chaque élection on continue l’irresponsabilité passée mais on s’acquitte de la dette en en rejetant l’origine au prédécesseur.

Je voudrais alors proposer quelques pistes pour chercher une solution. D’abord utiliser au maximum les ressorts du financement « participatif ». Si chacun épargne et en fait profiter le voisin, il est possible de sortir de la spirale du prêt à usure, tout en renforçant les liens entre nous. Le Peuple dixit Jean-Yves Le GALLOU citant Ernest RENAN : « c’est avoir fait de grandes choses ensemble et vouloir en faire encore voilà les conditions essentielles pour être un peuple ». Faisons déjà les petites choses du quotidien. Deuxièmement la restauration de l’autorité ne pourra se faire que si nous, les autochtones, témoignons d’une parfaite exemplarité en matière de vie sociale, de respect des voisins, de moralité. Exit les faillis qui abaissent la représentation française par leurs frasques répétées. Enfin le village gaulois. Les celtes considéraient qu’un chef ne régnait que sur le territoire sur lequel se posait son regard. Que des communautés de franco-français, francophiles et franco-féconds se peuplent de leurs semblables comme le furent les villages jusqu’à ce que le désastreux exode rural fasse mourir la France profonde.

Rédigé par Marc-Antoine Hennet

Le parti de la France du Gers

mercredi, 26 août 2015

Un rabbin : « c’est une bonne nouvelle que l’islam envahisse l’Europe »

Publié par Guy Jovelin le 26 août 2015

rav-touitounote : Machia’h est un mot que les juifs talmudistes utilisent pour « Messie ». Pour eux, le vrai messie est le peuple juif lui-même. Dans leur tradition Edom désigne l’Europe.

Source : http://www.contre-info.com/