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mardi, 30 mai 2017

Squats, vols, violences… des migrants terrorisent les habitants de Montpellier

Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2017

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/ Lundi 29 mai 2017 
Les forces de l'ordre sont débordées par les mineurs clandestins. Photo © SIPA

Immigration. Des mineurs clandestins, toujours plus nombreux, multiplient les actes de délinquance en ville. Avant d’être souvent relâchés dans la nature.

Une véritable épidémie. Les cas de vols s’enchaînent à un rythme inquiétant dans les rues de Montpellier ces dernières semaines, rapporte Le Midi Libre. En cause : des mineurs non accompagnés (MNA), entrés illégalement sur le territoire depuis des pays méditerranéens. Non contrôlés par les forces de l'ordre, ils échappent aussi aux centres d’accueil, toujours saturés, et s’abritent dans des squats.

Des mineurs délinquants relâchés faute de preuves

Plusieurs d’entre eux, de 13 et 14 ans, ont ainsi été interpellés ces derniers jours en possession de portables volés ou de bijoux. Au cours d’un vol en réunion, l’un d’eux a sorti un couteau face à ses victimes. Mais faute de preuves ou de flagrant délit, les jeunes délinquants sont souvent libérés avant une éventuelle convocation judiciaire.

 

Le quotidien régional rapporte même le cas de trois adolescents, dont l’un prétend avoir 10 ans, surpris en train de fracturer à coups de pioche une maison du quartier de Celleneuve, à l’ouest de la ville. Ils ont été appréhendés et passeront prochainement devant le juge.

 

Source : valeursactuelles

vendredi, 07 avril 2017

13 millions d’euros par an pour les 180 « mineurs » étrangers qui sèment la terreur à Montpellier

Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2017

Par le 06/04/2017  

Officiellement 180 dans l’Hérault, la sécurité publique les estime à trois cents. Dont certains sont en fait majeurs.

Vendredi 31 mars, vers 4 h, un homme s’est fait dérober son portable après avoir été abordé par un groupe de cinq jeunes gens. Une heure et demie plus tard, c’est une jeune femme qui, à son tour, a été dépouillée boulevard Victor-Hugo. Dimanche, vers 0 h 25, deux autres ont subi une tentative de vol rue de la Loge.
Puis, quelques minutes plus tard, une troisième s’est fait déposséder de son sac à l’arrêt de tramway de la Comédie. Le point commun entre ces faits ? À chaque fois, les équipages de police appelés sur les lieux ont interpellé des adolescent(es)s. Des mineurs non accompagnés (ex-mineurs étrangers isolés) dans le jargon administratif.

Des jeunes migrants dont la Direction départementale de la sécurité publique de l’Hérault (DDSP 34) note une recrudescence ces derniers mois, particulièrement à Montpellier. Parmi ceux-ci, une partie est livrée à elle-même car non chaperonnée par le Département et les différents services et associations idoines. Des arrivées dont certaines ont entraîné une accentuation du nombre de faits délictueux.
Principalement commis en fin de semaine, à des heures avancées ou matinales. Et dont les victimes ne sont bien évidemment pas choisies au hasard.Parce qu’à la limite de la vulnérabilité (victime seule et/ou physiquement démunie, alcoolisée…).
Certains fonctionnaires du commissariat central, confrontés de plein fouet à cette forme de délinquance, n’hésitant désormais plus à parler, hors champ, de « carnage ». Excessif ? Peut-être bien. Mais mâtiné à un sentiment d’insécurité bien réel.
Et dû à l’exaspération croissante d’une partie des policiers affectés aux missions de voie publique. Lesquels procèdent, certains week-ends, jusqu’à douze interpellations pour des actes délictuels identiques. Et sont aussi parfois exaspérés face à la réponse pénale apportée, insuffisante selon eux. Un sentiment contradictoire à celui du parquet.

Le Midi Libre

► Le chiffre : 13. C’est, en millions d’euros par an, la somme consacrée aux mineurs non-accompagnés.Soit un peu moins de dix pour cent du budget dédié à la protection de l’enfance dans l’Hérault (135 M€).

Le Midi Libre

 

vendredi, 24 février 2017

« Burn out » dans la police : le commissariat de Montpellier touché

Publié par Guy Jovelin le 24 février 2017

MALAISE. L’épidémie de « burn out » qui frappe les effectifs de police de la Sécurité publique des commissariats de Sète et d’Agde se propage depuis ce jeudi à l’hôtel de police de Montpellier.

Seuls 7 gardiens de la paix, seuls 4 étaient en piste avec 3 adjoints de sécurité (ADS) en début d’après-midi sur les 25 que compte la brigade de roulement de police-secours, jusqu’en soirée.

Des policiers ont été requis dans différents services du commissariat central pour pouvoir assurer les interventions. Et il est fait appel aux réservistes.

Contrôles médicaux

Par ailleurs, selon Bruno Bartocetti, délégué régional du syndicat Unité SGP Police FO, des contrôles des policiers restés à leur domicile par le médecin réquisitionné par la hiérarchie sont mal perçus : « Ce n’est évidemment pas la solution attendue et surtout adaptée pour répondre au mal-être des fonctionnaires de police. Ce n’est pas en agissant de la sorte que le profond malaise sera réglé ».

L’épidémie gagne des commissariats d’autres départements d’Occitanie.

 

Source : e-metropolitain

samedi, 29 octobre 2016

Montpellier : nouvelles agressions commises par des migrants mineurs isolés.

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2016

Par le 28/10/2016
 
Les mineurs isolés étrangers hébergés dans le département de l’Hérault depuis ces derniers mois continuent de défrayer la chronique. Deux adolescents de 16 ans et de 17 ans ont ainsi été interpellés par les policiers de la Sécurité publique de Montpellier, après des vols avec violences, perpétrés mardi soir.

Peu après 22h, rue Maguelone, entre la place de la Comédie et la gare SNCF Saint-Roch, un piéton a été encerclé par des jeunes gens, dont l’un lui a violemment arraché sa chaîne en or qu’il portait autour du cou. La victime a appelé police-secours via le 17 et a donné une description précise du trio, dont de celui ayant arraché le bijou. Vers 23h, deux des trois suspects ont été repérés par un équipage de la brigade anticriminalité (BAC) dans le centre-ville et conduits au commissariat central.

Chaîne dans une poche
Pendant que les deux mineurs étaient en garde à vue, un Montpelliérain se présentait à l’accueil pour déposer plainte après une agression commise sur l’Esplanade Charles de Gaulle, quelques heures plus tôt. On lui avait également arraché sa chaîne en or du cou. En voyant les deux adolescents en rétention à l’hôtel de police, il reconnaissait formellement l’un d’eux comme étant l’auteur. La fouille du jeune homme permettait de découvrir dans une poche le bijou en question et un téléphone portable, également volé mardi soir à un piéton dans l’Écusson, lequel a été identifié, puisqu’il est venu signaler ce vol à la tire.

[...]

E-metropolitain

jeudi, 21 avril 2016

Six mois de prison requis contre un imam

Publié par Guy Jovelin le 21 avril 2016

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Six mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve ont été requis mercredi contre l'imam Mohamed Khattabi qui comparaissait devant le tribunal correctionnel de Montpellier pour recel de fraudes aux allocations et "travail dissimulé".  Trois mois de prison avec sursis avec mise à l'épreuve ont été également requis contre Nadia Mallem, sa compagne et la mère de quatre de ses enfants, notamment pour avoir mis en avant auprès de la Caisse d'allocations familiales (Caf) une "fausse qualité de parent isolé". Le jugement a été mis en délibéré au 18 mai.

 Jacques-Philippe Redon pour le ministère public a estimé qu'il y avait "communauté de vie et d'intérêt financier" entre M. Khattabi et Mme Mallem et a parlé d'une "fraude volontaire", assurant que ce dossier et les condamnations qu'il réclamait étaient "tout à fait ordinaires". Me Florence Rosé, assurant la défense de Mme Mallem a contesté la communauté de vie et s'est dit "estomaquée par le nombre d'actes d'enquête au regard des faits reprochés". Elle a demandé la relaxe de sa cliente. "On a forcé un dossier en demandant à la CAF de rechercher une infraction", a renchéri Me Arié Alimi pour la défense de l'imam Khattabi. "Les services du parquet vous instrumentalisent pour des questions politiques", a-t-il lancé au président du tribunal Marcel Tastevin. Mme Mallem, âgée de 44 ans, est accusée d'avoir perçu indûment des allocations de parent isolé et des aides au logement. Il est reproché à Mohamed Khattabi, âgé de 54 ans, le "recel" de ces sommes, représentant un préjudice de quelque 20.000 euros pour la Caf de l'Hérault.

L'imam est également accusé de "travail dissimulé" et de "blanchiment", liés à des toilettes mortuaires. Venant témoigner calmement dans une djellaba blanche, appuyé sur une canne, l'imam Khattabi a contesté les accusations. Il a notamment expliqué qu'il ne vivait pas avec la mère de ses enfants à Saint-Georges d'Orques mais lui avait proposé de venir de temps à autre alors qu'elle réside dans un autre quartier. "Elle vient, elle s'installe, elle repart, c'est très irrégulier", a-t-il dit. Dans cette affaire, la garde à vue de l'imam de la mosquée Aïcha, située dans le sud de Montpellier et de sa compagne était intervenue moins d'une semaine après l'abrogation le 11 décembre 2015 par le ministère de l'Intérieur de l'assignation à résidence à laquelle le religieux était soumis dans le cadre de l'état d'urgence depuis le 22 novembre. Il avait contesté ces mesures en justice.