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mercredi, 04 janvier 2017

La carte des violences et des cambriolages en Occitanie

Publié par Guy Jovelin le 04 janvier 2017

Sécurité - Criminalité

La carte des violences  et des cambriolages en Occitanie
La carte des violences et des cambriolages en Occitanie

D'après une étude de l'Observatoire de la délinquance, près de 3,7 millions de crimes et délits ont été commis en France en 2016. En Occitanie, la Haute-Garonne , le le Tarn-et-Garonne e t l'Hérault sont les départements les plus concernés .

Cambriolages, escroqueries, violences physiques, sexuelles… En 2016, la police et la gendarmerie ont enregistré près de 3,7 millions de crimes et délits sur le territoire français, d'après une récente étude de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales. Avec 400 000 faits déclarés, soit une augmentation de 4 % par rapport à 2015, la violence n'a jamais été aussi forte dans les départements. Les atteintes aux biens stagnent au niveau national mais restent nombreuses. La région Occitanie n'est pas épargnée par les statistiques…

Plus de violence, beaucoup de cambriolages

Ce sont l'Hérault, la Haute-Garonne et les Pyrénées-Orientales qui sont sur le podium avec respectivement 9, 8,74 et 8,31 actes de violence pour 1 000 habitants.

Au total, 1,4 million d'atteintes aux biens (abus de confiance, extorsion, recel, dégradations, abus de faiblesse…) ont été recensés dans les moyennes et grandes villes de France, tandis que 200 000 cambriolages y ont été commis.

Le département du Rhône remporte la triste médaille d'or du plus grand nombre de vols avec effraction : 17 000 comptabilisés. Et juste derrière, on retrouve la Haute-Garonne, où presque 9 cambriolages pour 1 000 habitants ont été recensés, un chiffre bien au-dessus des moyennes régionale et nationale. Le Tarn-et-Garonne, le Lot-et-Garonne et l'Hérault sont également très touchés.Au niveau national , c'est sans conteste en Guyane que l'on compte le plus de crimes et délits, avec près de 23 agressions pour 1 000 habitants. En France métropolitaine, la Seine-Saint-Denis détient le record avec 18 agressions, suivie par Paris, ville traitée de manière indépendante. Les Bouches-du-Rhône avec leur trentaine de morts par arme à feu en 2016, talonnent la capitale

Lueur d'espoir, les atteintes dites «crapuleuses» comme les vols avec violences ont diminué de 7 % par rapport à 2015 au niveau national. Hélas, les violences physiques et sexuelles ont quant à elles augmenté dans les mêmes proportions.

D'autre part, d'après la Direction générale de la police nationale, le nombre d'escroqueries et infractions économiques et financières a augmenté de manière fulgurante : 250 000 faits commis en 2016, soit 30 % de plus qu'en 2015. Par ailleurs, le taux d'élucidation des affaires par la police est lui, loin d'atteindre des records. En 2016, seuls 12 % des vols avec violence ont été élucidés. C'est à peine 1 % de plus que l'année précédente.Et concernant les cambriolages, 9 affaires sur 10 n'aboutissent pas. Toutefois, la police s'en sort mieux pour les infractions graves (coups et blessures, homicides), où une affaire sur deux est résolue, même si en tenant compte de la gravité des faits, la marge de progression reste importante.

Consultez notre carte interactive pour savoir comment se situe votre département par rapport aux moyennes nationales des violences et des cambriolages.

Berlin : Joyeux Noël de Daesh. Si ce n’est pas une guerre de religion, cela lui ressemble

Publié par Guy Jovelin le 04 janvier 2017

Berlin Eglise Du Souvenir

Berlin : Joyeux Noël de Daesh. Si ce n’est pas une guerre de religion, cela lui ressemble

Jean Bonnevey

♦ La compassion pleurnicharde et médiatique a atteint Berlin

Au lendemain d’une attaque à la niçoise contre un marché de Noël, on a assisté à un scénario bien rodé et assez répugnant. La compassion et la douleur sont matérialisées par des fleurs et des bougies.

Les médias recueillent le sentiment exclusif de ceux qui veulent continuer le vivre-ensemble et le « pas d’amalgame ».


Il n’y a pas de trêve des confiseurs pour la désinformation. Il faut le dire clairement, nous ne voulons pas vivre avec les tueurs religieux de nos enfants ; nous voulons qu’ils meurent ou soient mis hors d’état de nuire définitivement. Ce sentiment de plus en plus partagé en Europe et aux Etats-Unis, c’est celui que les médias, collabos du terrorisme par antiracisme, veulent étouffer dans des reportages et des témoignages orientés ou bidons.

C’est Noël tout de même qu’ils veulent assassiner. Si ce n’est pas une guerre de religion, alors qu’est-ce que c’est ?

Noël est, pour les islamistes, un défi. En effet, c’est avant tout la fête des enfants et elle a été intégrée depuis longtemps par la population issue de l’immigration musulmane. Le sapin fait partie de tous les foyers, mais ses racines sont européennes, sinon chrétiennes, et cela les islamistes ne le supportent pas. Ils s’attaquent à nos traditions surtout celles partagées. L’objectif est clair. Et dans le même temps, au nom d’un laïcisme qui est un Cheval de Troie de l’antiracisme complice de l’islamisation, certains idiots utiles veulent interdire les crèches. On n’a pas besoin d’être chrétien pour apprécier la beauté des crèches ou l’enchantement de la messe de minuit.

L’Allemagne, frappée au cœur de sa principale tradition historique, ne va certainement pas se contenter de pleurer. Le sentiment anti-Merkel va croître au profit des partis qui défendent le peuple allemand. La madone des migrants persiste dans une ligne politique intenable qui se révèle de plus en plus comme une trahison au nom de « l’étranger au-dessus de tout » par antinazisme conformiste et alignement suspect sur les intérêts américains. Cette chancelière qui venait de l’Est et au passé assez flou pendant la période marxiste est tenue sinon par la CIA en tout cas par l’idéologie mondialiste dont elle est au cœur de l’Europe, pour la gouvernante la plus funeste. Hollande suit.

Cet attentat de Noël vient nous rappeler que des musulmans mènent une guerre de religion à notre civilisation et à ses racines. Tous les Européens sont concernés, où qu’ils soient dans le monde, de Washington à Sydney en passant par Paris et Berlin… et Moscou.

Nous devons faire la guerre et pas seulement en Irak et en Syrie mais sur nos territoires et si nos institutions démocratiques en sont incapables, il faut changer ces institutions.

« Le nationalisme c’est la guerre », disait Mitterrand qui s y connaissait dans sa jeunesse en nationalisme. Aujourd’hui, le mondialisme islamiste c’est la guerre et contre lui une seule arme efficace : le retour des nations armées et combattantes pour leurs peuples et leurs cultures.

Il ne faut pas, même à Noël, tendre la joue droite, mais sortir l’épée du fourreau.

Jean Bonnevey
23/12/2016

 

Source : polemia

Streaming illégal : activité plébiscitée par nos enfants, non sans risque

Publié par Guy Jovelin le 04 janvier 2016

Rédigé par notre équipe le 03 janvier 2017

 
 
 
Ah, l’enfance : passer ses après-midi au cinéma ou à admirer un spectacle, à dessiner, à peindre pour les plus artistes des bambins, à s’adonner à des jeux de société ou à apprendre à jouer d’un instrument de musique… Il se pourrait bien que cette image d’Epinal soit à ranger définitivement au placard d’une époque révolue. Aujourd’hui, nos enfants consacrent davantage de temps à regarder des vidéos sur des sites illégaux qu’à chacune de ces activités. Une habitude qui n’est pas sans risques.

Des enfants en roue libre sur la toile

 Voici une nouvelle qui n’étonnera pas les parents. Selon une étude, menée par l’institut de sondage OpinionWay pour le compte de l’association Ennocence, regarder des vidéos sur des sites de streaming ou de téléchargement illégaux figure parmi les principaux loisirs des enfants. Le sondage révèle ainsi que 55% des parents interrogés estiment que leurs enfants regardent des vidéos – films, séries ou matchs de sport – sur des sites illégaux. Un parent sur trois déclare même que ses enfants le font plusieurs fois par semaine.

Or se rendre sur des sites de live streaming ou de téléchargement illégaux ne donne pas seulement accès aux vidéos et évènements sportifs : les enfants y sont souvent les victimes de publicités agressives. Ainsi, 42% des parents estiment que leurs enfants ont été exposés à des images à caractère violent et 23% à des images à caractère pornographique. Un accès d’autant plus facilité par le manque de surveillance des parents qui, selon la même étude, sont une majorité (52%) à reconnaître ne pas surveiller la navigation de leur progéniture sur Internet.

Selon l’association Ennocence, fondée en 2015 afin de protéger les enfants contre les risques d’exposition à la pornographie en ligne, la situation nécessite l’intervention des pouvoirs publics. « A l’approche de l’élection présidentielle, nous souhaitons interpeller nos femmes et nos hommes politiques sur la nécessité de tout mettre en œuvre pour protéger nos enfants et jeunes adolescents de ces nouveaux risques », déclarent ainsi Gordon Choiseul et Brigitte Lahaie, respectivement président et ambassadrice de l’association. « Les parents se sentent démunis face à cet accès libre et sans contrôle réglementaire. Comme il est impensable d’afficher dans nos rues et librement pornographie et images violentes, il est grand temps de considérer le web comme l’Agora qu’elle est. Un espace public à encadrer pour protéger nos concitoyens, jeunes ou moins jeunes ».

Un appel en accord avec les préoccupations des parents, qui sont près de sept sur dix (66%) à considérer que les pouvoirs publics ne prennent pas de mesures assez efficaces pour protéger leurs enfants et huit sur dix (79%) à estimer que cette question n’est pas suffisamment abordée par la classe politique. Ainsi, « Ennocence milite pour la mise en place d’une véritable politique de prévention contre les dangers des sites financés notamment par des publicités déplacées », selon Gordon Choiseul. Si les enfants sont en première ligne, les dangers du live streaming illégal ne se limitent pas à la diffusion intempestive de publicités à caractère violent ou pornographique.

Les dangers du live streaming illégal

 Selon l’OCDE, le streaming vidéo représenterait 91% du trafic Internet mondial. Or les sites illégaux proposant ce type de service seraient un repère de hackers, qui profitent de ce flux pour pirater, infecter les ordinateurs et voler les données personnelles de leurs utilisateurs – les pirates informatiques seraient à l’origine de la création de quelque 160 000 malwares par jour. Si les internautes qui fréquentent ce genre de sites ne risquent pas grand chose de la part des autorités de leur pays, il n’en est de même concernant leur matériel informatique et leur vie privée.

Les chiffres publiés, en 2014, par un rapport de l’AISP (Association of Internet Security Professionals) font froid dans le dos : 500 millions d’ordinateurs de par le monde seraient infectés, soit un sur trois ; 80% des sites de streaming hébergeraient des malwares sans le savoir ; 445 milliards de dollars auraient été perdus, en 2013, en raison de la criminalité sur Internet.

Et dans cette jungle online, les amateurs de streaming sportif sont les plus exposés : souvent pris par l’urgence d’une retransmission en direct, ils s’avèrent moins vigilants que les autres lorsqu’ils se connectent à des sites illégaux. Une précipitation qui peut coûter cher. Lors de la coupe du monde de football organisée au Brésil, 20 millions de personnes auraient visionné les matchs de manière illégale, s’exposant ainsi à l’appétit des hackers, mais également à la vigilance des autorités. Près de 4 000 interceptions de flux illicites auraient été opérées par les services spécialisés.

Surfer sur des sites illégaux n’est donc pas sans risque. Pour quelques euros économisés, les conséquences sur les enfants ou en termes de sécurité du foyer peuvent être longues à réparer.

Lucie Mallet

 

Source : 24heuresactu

Migrants : alerte sur le sud-ouest

 Publié par Guy Jovelin le 04 janvier 2017

frontière espagnole,migrants,sud-ouestLa frontière espagnole ne nous amène pas encore les hordes de migrants, musulmans pour la plupart, que connaît la frontière italienne. La raison en est simple : les enclaves espagnoles de Ceuta et Mellila, en Afrique du Nord, résistent opiniâtrement à l’invasion des Africains qui tentent de les submerger. Ces territoires de l’Europe en Afrique sont sous la pression quotidienne de ces miséreux qui exigent leur part de l’Europe. Depuis 2016, le mouvement s’est encore accéléré et augure mal pour 2017.

Plus de 50 gardes-frontières marocains et espagnols ont été blessés, dimanche, en tentant de défendre une clôture-frontière de l’enclave espagnole de Ceuta, en Afrique du Nord, contre l’assaut d’un millier de migrants africains.
Deux migrants ont réussi à atteindre le sol espagnol. Blessés en tentant d’escalader la clôture de six mètres de haut, ils ont été emmenés à l’hôpital par la police espagnole. Cent autres migrants avaient escaladé la clôture, mais les forces de l’ordre espagnoles avaient réussi à les repousser.

Le mois dernier, plus de 400 migrants avaient réussi à franchir la clôture de Ceuta, à l’occasion d’un des plus grands assauts de ces dernières années. Des centaines de migrants africains subsahariens, qui vivent illégalement au Maroc et lui posent un problème de sécurité redoutable, tentent, chaque année, d’entrer à Ceuta et Melilla, les deux enclaves espagnoles en Afrique du Nord, dans l’espoir d’arriver en Europe.

La plupart des migrants qui tentent de traverser sont interceptés et retournés au Maroc. Ceux qui sont interceptés sur les clôtures sont, soit rapatriés vers le Maroc, soit relâchés. Des milliers d’autres tentent d’atteindre l’Europe en traversant la mer Méditerranée, souvent dans de petites embarcations trop fragiles pour affronter la haute mer. Dimanche également, un navire du service de sauvetage maritime espagnol avait dû secourir 52 migrants qui tentaient d’atteindre la cote sud de l’Espagne dans un de ces trop frêles esquifs.

Ces vagues de migrants, deviennent de plus en plus agressifs dans leur volonté d’investir l’Europe. Décidément, leur action, qui demande la force et la vigueur d’hommes jeunes, ressemble autant à celle d’une armée en marche qu’à l’exode de désespérés fuyant leurs pays ravagés dont nous abreuvent les ONG et les instances dirigeantes de l’Europe. Les appels au Djihad en provenance de l’État Islamique, qui prêchent ce type d’invasion sur l’Europe, confirment de plus en plus cette sombre intuition.

Source : The Associated Press

 

Source : medias-presse.info

En Suède, des migrants se plaignent de leurs conditions de vie et de la difficulté à trouver une petite amie

Publié par Guy Jovelin le 04 janvier 2017

Suède migrants plaignent conditions vie difficulté petite amie
 
On n’y pense pas assez. Les Syriens qui ont fui la guerre pour venir grossir les rangs des demandeurs d’asile et des clandestins dans les pays européens, rassemblés dans des centres, objets de surveillance, ont du mal à trouver du travail, une petite amie, et n’ont même pas une maison à eux. En Suède, plusieurs d’entre ont décidé de parler de leur mal-être. Les migrants se plaignent de leurs conditions de vie. Leurs difficultés sont même telles qu’ils se sentent « tués une seconde fois »… Ces lamentations sur un rêve qui s’écroule témoignent des attentes démesurées des migrants qui considèrent que tout leur est dû, et aussi des motivations réelles de leur « fuite » : il semblerait que le souvenir des privations, des dangers, des bombes ne compensent pas les inconforts qu’ils trouvent dans un pays aussi développé que la Suède, et dont ils attendaient tout – monts et merveilles, et de l’argent de poche pour en profiter. Voilà qui donne à réfléchir.
 
Premier point : les migrants présents en Suède sont largement financés par les Suédois eux-mêmes, leurs allocations, leurs logements, leurs traitements médicaux étant financés par le contribuable local.
 

Mohammad Jumaa, migrant, dénonce des conditions de vie qui le « tuent une seconde fois »

 
Mohammad Jumaa, réfugié syrien, n’en accuse pas moins la Suède de l’avoir condamné, lui et ses congénères, à une « vie misérable ». Sa tribune a été accueillie par un média public suédois, où il a donc pu exprimer son insatisfaction vis-à-vis des pouvoirs publics locaux. Cela fait plus d’un an, dit-il, que lui-même et d’autres migrants attendent de se voir proposer « une vie bonne et naturelle », emploi bien rémunérateur à la clé. « Nous sommes des êtres humains, pas des animaux qui ont seulement besoin de manger et de dormir ! », se plaint-il.
 
En Suède, les migrants sont « obligés d’attendre » dans de mauvaises conditions, notamment en ce qui concerne le logement. « Je suis un homme honnête et honorable. De nombreux réfugiés maudissent le jour où ils sont arrivés ici. Je n’arrive pas à croire que c’est la Suède ! », écrit Juuma, accusant le pays de se vanter à tort d’être une « superpuissance humanitaire » : « Pourquoi nous avez-vous ouvert la porte en tant que réfugiés, si vous ne pouvez pas nous aider à vivre une vie digne, respectable et bien remplie ? »
 
Lorsque l’on sait dans quelles conditions sont arrivés des centaines de milliers de migrants qui se sont imposés en Europe sans demander s’il y avait de la place pour eux, cela ne manque pas de sel.
 

La Suède accueille mal ses migrants, et tant pis s’il y en a trop

 
Mais Mohammad Jumaa ne veut même pas en entendre parler : « Ne me dites pas que c’est parce que vous avez tant de réfugiés en Suède. Je le sais. Mais je ne comprends pas pourquoi vous voulez nous tuer une seconde fois. Ce temps d’attente, c’est la même chose que de nous tuer… Attendre c’est la même chose que de mourir… Cela provoque beaucoup de stress… Beaucoup de ressentiment… » Et de mettre en garde : beaucoup de réfugiés pensent comme lui et c’est aux Suédois de leur montrer leur vraie préoccupation à leur égard, de les traiter « comme des êtres humains et non comme les animaux ou des numéros ».
 
Mardi dernier, un autre Syrien, réfugié comme lui, avait la parole sur la radio publique suédoise : Mahmoud a une revendication simple. « Je veux une maison », a-t-il répété, parce qu’il est en appartement et que cela réduit ses chances de trouver une petite amie. La journaliste Katarina Gunnarsson ose observer que la chambre où il lui vit – payée par le contribuable suédois – « ressemble à une chambre d’hôtel ». Mahmoud s’attendait à autre chose, et il veut le faire savoir :
 
« J’espérais fortement avoir ma propre maison particulière. Et alors ils me donnent cet appartement. C’est comme un camp de réfugiés. Quelle est la différence ? », tempête cet ancien habitant de Damas. « J’ai 25 ans et je n’ai jamais eu de petite amie. Je suis encore vierge. Je cherche une petite amie, je cherche une femme. Mais c’est impossible, comment vais-je pouvoir vivre dans cette chambre ? »
 

De la difficulté à trouver une petite amie, un bon emploi, une maison de rêve…

 
La journaliste lui a quand même rappelé que beaucoup de Suédois seraient ravis de disposer d’un tel appartement à Stockholm à l’heure où le pays est aux prises avec une grave crise du logement. Réponse : « Je suis venu en Suède et j’avais le fort espoir de pouvoir me créer une vie ici. Mais après avoir vécu ici pendant un an et huit mois, j’ai commencé à perdre espoir. » Réfugié ou migrant économique ? Pas besoin d’être devin pour répondre…
 
Dans le complexe d’appartements modulaires spécialement construits pour les migrants à Norrtälje, Mahmoud n’est pas le seul à se plaindre. De nombreux migrants – près de la moitié des habitants de l’ensemble – ont participé à une manifestation en août pour faire comprendre qu’ils s’attendaient à se voir attribuer des appartements indépendants et permanents, des logements à part entière, plutôt que de devoir partager une cuisine avec les autres migrants. Certains d’entre eux souffrent de dépression et même de pensées suicidaires, ont fait savoir leurs porte-parole.
 
Mais pourquoi ne rentrent-ils pas en Syrie ? Il auraient au moins la satisfaction d’être chez eux.
 

Anne Dolhein

 

Source : reinformation