Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 17 février 2017

Soupçons d'emplois fictifs FN à Bruxelles : le rapport qui charge Marine Le Pen

Publié par Guy Jovelin le 17 février 2017

L’Office européen de lutte antifraude a transmis récemment à la justice française son rapport sur l’activité des assistants parlementaires de Marine Le Pen. Dans ce document confidentiel que révèlent ce jeudi 16 février "Marianne" et Mediapart, le gendarme de l’Europe soupçonne un possible "contrat d’emploi fictif" en faveur de Thierry Légier, le garde du corps de l’eurodéputée FN. Les enquêteurs font notamment référence à un bulletin de salaire de l’ancien assistant parlementaire qui, selon eux, "constituerait un faux"…
Marine Le Pen entourée de Thierry Légier (à gauche) et Catherine Griset (à droite), lors du lancement de sa campagne présidentielle à Lyon, le 4 février. - CHAMUSSY/SIPA

Marine Le Pen traverse une zone de turbulences. Depuis deux mois, la présidente du Front national est au cœur d’une tempête dont elle ne connaît pas l’issue. Le 15 décembre 2016, le parquet de Paris a ouvert pour « abus de confiance », « faux et usage de faux », « travail dissimulé » et « escroquerie en bande organisée » dans le cadre des investigations sur les activités, réelles ou fictives, d’une vingtaine d’assistants des eurodéputés FN au Parlement européen. Cette procédure, qui découle d’une enquête préliminaire entamée le 23 mars 2015, s’intéressait initialement au mandat des députés européens élus en mai 2014. Mais, depuis décembre, les enquêteurs de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (Oclciff) ont étendu le champ de leurs investigations aux années 2010-2014. A l’origine de ce changement, un document déposé sur le bureau des juges il y a sept mois : le « rapport final » de l’enquête ouverte le 27 juin 2014 par l’Office européen de lutte antifraude (Olaf).

Ce document de 28 pages, que Marianne et Mediapart se sont procuré après plusieurs semaines d’enquête (voir extraits ci-dessous), détaille par le menu les recrutements de Marine Le Pen entre 2009 et aujourd’hui, soit la 7e et la 8e législature. Transmise le 26 juillet 2016 à la justice française, cette pièce de l’enquête en cours pourrait se révéler embarrassante pour l'eurodéputée FN, qui bénéficie de la présomption d’innocence, ainsi que toutes les personnes concernées par les faits ici dévoilés.

Une rémunération « extrêmement élevée »

Sur les deux mandatures examinées par l’Office antifraude, l'élue de la circonscription Nord-Ouest a embauché pas moins de douze assistants (trois assistants accrédités et neuf assistants locaux). Selon les enquêteurs de l’Olaf, la réalité du travail fourni pose véritablement question pour deux d’entre eux : Thierry Légier et Catherine Griset. Comme nous le , le Parlement européen, sur la base de ce rapport, avait engagé une procédure de recouvrement concernant les salaires versés à ces deux collaborateurs de Marine Le Pen, pour un total de 339 946 euros.

Après un premier contrat de quatre mois, en 2009, Thierry Légier, qui assure la sécurité rapprochée de Marine Le Pen depuis son élection à la tête du FN, en janvier 2011, en a signé un second du 1er octobre au 31 décembre 2011. Il bénéficiait alors d’une rémunération mensuelle de 7.237 euros net pour un trois quart temps. L’équivalent de « 9.649 euros net à temps plein », précisent les enquêteurs de l’Olaf, qui ont tiqué sur cette rémunération qualifiée d’« extrêmement élevée ».

(…)

« Ce contrat de travail ne correspond pas à la réalité »

Pour l’Office antifraude, « ce contrat de travail à durée déterminée signé par Mme Le Pen ne correspond pas à la réalité. De ce fait, le bulletin de salaire établi pour le mois d’octobre 2011 et versé au dossier du [Parlement européen] pour justifier les remboursements au tiers payant [la personne chargée de verser le salaire aux assistants locaux, ndlr] constituerait un faux ». Et les auteurs du rapport de souligner dans leurs conclusions (voir extrait ci-dessous) que « les faits en question pourraient être constitutifs d’infractions pénales d’abus de confiance, voire d’escroquerie ainsi que de faux et d’usages de faux, selon les dispositions respectives du code pénal français ».  Joint par Marianne, l’avocat de Marine Le Pen, MMarcel Ceccaldi, qualifie ces allégations de « sornettes ! ». Marine Le Pen nous a invités par SMS à « être très prudents avec ce genre d’assertion diffamatoire ». La justice doit encore faire le tri dans les faits susceptibles d'être poursuivis ou non. En attendant, la présidente du Front national a jusqu'au 28 février pour rembourser les 41 554 euros que lui réclame toujours le Parlement européen pour l'embauche de Thierry Légier.

         

Source : marianne

Nouvelle manifestation contre la police à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 17 février 2017

Une nouvelle manifestation a eu lieu ce mercredi soir sous l’invitation du site d’extrême Gauche IAATA. Elle n’a rassemblé que quelques dizaines de personnes mais a entraîné la fermeture de la station de métro St Cyprien et une forte mobilisation policière. Le défilé s’est dirigé jusqu’à Arnaud-Bernard, encadré par la BAC et les policiers en tenue.

Les manifestations de soutien à Théo ne prennent toujours pas à Toulouse. Après avoir rassemblé 300 personnes samedi, une nouvelle édition s’est tenue hier soir ne rassemblant qu’une cinquantaine de personnes. A l’appel du site d’extrême gauche IAATA, le rassemblement a débuté timidement à 18 heures dans le quartier Saint-Cyprien, entonnant quelques slogans bien connus : « Flics : violeurs, assassins » ou encore « un flic, une balle, justice sociale ».

Le quartier était bouclé et la station de métro du quartier fermé par crainte de débordements. La préfecture de police a mobilisé plusieurs dizaines de fonctionnaires pour sécuriser les lieux. Certains sont en tenue anti-émeute, d’autres en civils ou en moto. La décision de ne plus desservir la station Saint-Cyprien a été prise par la Préfecture, redoutant  « que les manifestants s’engouffrent dans le métro pour se déplacer anarchiquement dans la ville ». Le cortège s’élancera finalement sur les allées Charles de Fitte, rejoignant le centre-ville par le pont des Catalans. Bien entouré par les forces de l’ordre, la manifestation s’est dispersée dans le calme après quelques contrôles d’identité préventifs.

 

Source : infos-toulouse

« Les Danois doivent rester majoritaires dans toutes les villes danoises » déclare le Parlement du Danemark

Publié par Guy Jovelin le 17 février 2017

Par le 16/02/2017

Le Folketing (Assemblée du peuple), le parlement du Danemark, a adopté une résolution la semaine dernière déclarant que les Danois ne devaient pas vivre en minorité dans des quartiers où le taux d’immigrés ou de descendants d’immigrés non-occidentaux dépassaient les 50%.

Danish-640x480

 Proposition à adopter

« Le Parlement note avec préoccupation qu’aujourd’hui il y a des zones au Danemark, où la proportion d’immigrés et de descendants d’immigrés de pays non occidentaux est de plus de 50 pour cent.

Le Parlement estime que les Danois ne devraient pas être minoritaires dans des quartiers au Danemark.

Le gouvernement et le parlement ont mis en œuvre un certain nombre de mesures visant à limiter l’asile de manière significative, empêchant l’apparition de sociétés parallèles.

Le Parlement demande au gouvernement de procéder à un objectif politique de réduire le nombre des demandeurs d’asile et réduire le nombre de personne pouvant profiter du regroupement familial au Danemark.

Résolution adoptée : 55 voix pour la proposition (DF, V, LA, KF) 54 voix contre la proposition (S, EL, ALT, RV, SF) »

Cette résolution, proposée par le Parti populaire danois, a été promulguée après que des chiffres aient été publiés récemment indiquant que les « personnes d’origine étrangère » étaient devenus majoritaires dans certains quartiers comme dans celui de Brøndby Strand ou Odense. »

Folketinget Express.co.uk

ASSISTANTS PARLEMENTAIRES DU FN : UN RAPPORT ACCABLE MARINE LE PEN

Publié par Guy Jovelin le 174 février 2017

Garde du corps et assistant parlementaire, les deux fonctions ne seraient pas incompatibles. Marianne et Mediapart révèlent, jeudi 16 février, un rapport de l’Office européen de lutte contre la fraude (OLAF), dans lequel Marine Le Pen est soupçonnée d’avoir établi « un faux contrat de travail » pour son ex-assistant et garde du corps Thierry Légier.


Assistants parlementaires du FN : un rapport accable Marine Le Pen
La réalité du travail fourni pose également question pour une deuxième collaboratrice de Mme Le Pen : Catherine Griset. L’OLAF estime que le « préjudice total subi » par le Parlement européen s’élève à 339 946 euros. 

Le document confidentiel de 28 pages analyse minutieusement la situation des douze assistants (trois assistants accrédités et neuf assistants locaux) « embauchés successivement par la présidente du FN à Strasbourg  sous la précédente et l’actuelle mandature (2009 à 2014 et depuis 2014). Leurs contrats, rémunérations, fonctions »détaille Mediapart.Lire aussi :   Marine Le Pen refuse de restituer 300 000 euros au Parlement européen

Si l’OLAF ne fait que des recommandations et n’a pas de pouvoir  judiciaire pour enclencher  des poursuites, il a néanmoins transmis le 26 juillet son rapport à la justice française qui, elle, enquête depuis mars 2015 sur des soupçons d’emploi  fictif du parti d’extrême droite au Parlement européen.

ENQUÊTE OUVERTE À PARIS

Le parquet de Paris a ainsi ouvert le 15 décembre une information judiciaire  pour « abus de confiance »« recel d’abus de confiance »« escroquerie en bande organisée »« faux et usage de faux » et « travail dissimulé ».

Dans un premier temps, l’enquête concernait une quarantaine de personnes, avant d’être circonscrite. Une dizaine de perquisitions ont été menées dans ce cadre. Les soupçons qui concernent Louis Aliot et Florian Philippot « n’ont pu être  confirmés », précise notamment le rapport.

En revanche, selon le document de l’OLAF, « les allégations initiales de conflits d’intérêts et d’emplois fictifs » concernant M. Légier et Mme Griset sont constituées. Marine Le Pen est ainsi soupçonnée d’avoir produit à l’automne 2011 « un contrat de travail apparemment faux pour l’emploi fictif de M. Légier », son garde du corps, relève le rapport.

Concernant Catherine Griset, amie et collaboratrice de longue date de la candidate à l’élection présidentielle, l’OLAF écrit : « L’enquête a également montré que Mme Le Pen [l’]avait fait employer par le Parlement européen sur un poste d’assistante parlementaire accréditée à Bruxelles alors qu’elle était son assistante personnelle au siège de son parti en France. »

Source : lemonde

Lombaerts: "Beaucoup d'immigrés à Bruxelles ne respectent pas les femmes"

Publié par Guy Jovelin le 17 février 2017

Michaël Bouche
16/02/17 - 14h58  Source: Match TV et Proximus 11

© Instagram.

Nicolas Lombaerts aurait pu porter le maillot anderlechtois ce soir, mais c'est bel et bien sur le banc du Zenit qu'il commencera la rencontre de seizièmes de finale d'Europa League. Depuis quelques semaines, le Diable Rouge est de plus en plus cité du côté d'Ostende, où Marc Coucke lui fait les yeux doux.

© photo news.
© photo news.

L'une des raisons pour lesquelles il pourrait plutôt privilégier une aventure chez les Côtiers qu'à Anderlecht réside peut-être dans son manque d'estime pour la capitale belge. Dans une interview à Match TV, un média russe, le défenseur central n'a pas dressé un portrait très flatteur de Bruxelles, dont il juge certains quartiers peu sûrs.

"Beaucoup d'immigrés à Bruxelles ne respectent pas les femmes", confie Lombaerts à Match TV, cité par Proximus 11.

"Ma femme se sent plus en sécurité à Saint-Pétersbourg que là-bas. Si elle veut se promener seule à Molenbeek ou à Anderlecht, elle risque fortement de se faire harceler ou violer, ce n'est pas normal. (...) Les gens arrivent dans un pays étranger et vivent d'allocations du chômage. On leur paie des milliers d'euros. D'après moi, c'est plus que ce touchent en moyenne les travailleurs en Russie. Moi, ça m'inquiète", continue-t-il.

Le défenseur du Zenit dénonce également l'immigration non contrôlée au sein de l'Union européenne.

"Pour prendre une décision dans l'UE, il faut l'accord des 28 pays. Mais voyez ce qui se passe dans le monde: Poutine, Trump, Erdogan et les Chinois prennent des décisions sur le Moyen-Orient et la Syrie. L'Europe ne décide rien, mais c'est elle qui prend sur elle la vague d'émigrés", peste-t-il encore.

 

Source : 7sur7