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mercredi, 05 décembre 2018

Carl Lang : Les victoires politiques en Europe se font sur l’esprit de résistance des peuples.

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

GILETS JAUNES, LA CONTAGION : LA BELGIQUE, LA BULGARIE ET L’ALLEMAGNE S’Y METTENT !

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

LE PRINTEMPS (L'AUTOMNE) EUROPÉEN ?

Le mouvement des Gilets jaunes, qui a poussé dans les rues de France des millirs de manifestants s’exporte au-delà des frontières de l’Hexagone.

En Belgique, les Gilets jaunes ont bloqué des ronds-points et des dépôts de carburant, surtout en Wallonie, bloquant le trafic.

En Bulgarie , des milliers de Gilets jaunes Bulgares ont bloqué dimanche les principaux axes routiers et les postes-frontière pour protester contre la flambée du prix des carburants et des taxes dans un contexte de mécontentement dû au faible niveau de vie dans le pays, le plus pauvre de l’Union européenne.

En Allemagne, le symbole du gilet jaune a été repris par des allemands en colère sur la politique fiscale et migratoire d'Angela Merkel.

La publication allemande a déjà été partagée plus de 6000 fois sur Facebook en 24h et prévoit un rassemblement à Kandel le 12 janvier à 14h.

L’Italie qui a vu naitre son propre mouvement « 5 étoiles », né d’une même colère populaire.

Des embryons d’appels à manifestation naissent également dans d’autres pays de l’UE. Ce qui se passe donc en France pourrait bien s’ancrer dans le temps grâce à la participation de nos voisins européens. Une chose est sûre, la manifestation du 17 novembre a fait suffisamment de bruit pour impressionner et faire des émules à l’étranger.

 

Source : le-lorrain.fr via alsace-actu

Arc de Triomphe : De simples amendes pour Mohamed, Oualid et Miloud de Bondy, jugés pour recel suite au pillage du monument

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

Par  le 05/12/2018

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Le 3 décembre, 57 manifestants ont comparu à Paris. Les plus violents courent-ils toujours?

(…)

Trois receleurs de l’Arc de triomphe

Il y a aussi la délinquance d’opportunité de jeunes franciliens, comme l’a signalé le nouveau procureur de Paris Rémy Heitz. Profil qui semble correspondre à un trio d’habitants de Bondyâgés de 21 ou 22 ans, Mohamed, Oualid et Miloud. Ils sont poursuivis pour recel du vol de six pièces dorées issues du pillage au sein de l’Arc de triomphe. Ils ont été interpellés Porte de Pantin, à 3 heures du matin, à bord d’une BMW roulant à vive allure.

C’est à ce moment-là que les policiers sont tombés sur les pièces rangées dans le vide-poches d’une portière. « J’ai acheté ces six pièces pour 60 euros à Bondy, vers 20 heures« , soutient Mohamed, menuisier en intérim payé 1900 euros par mois. Les magistrats ont eu du mal à comprendre le périple de leur soirée. « On s’est garé Porte Maillot, car je voulais m’acheter une paire de pompes à 800 €, rue de Rivoli » , expose, un peu gêné, Oualid, chauffeur-livreur payé 1500 euros par mois, qui vit chez ses parents. La présidente ne cache pas sa surprise. Que l’on puisse investir plus de la moitié de sa paye dans une paire de chaussures lui semble déraisonnable.

« On est bien loin des idées révolutionnaires, c’est un délit aussi sordide qu’opportuniste, lâche le procureur. Le trio de receleurs ne pouvait pas ignorer d’où provenait le vol. Ils avaient même une batte de baseball dans leur voiture afin de protéger leur butin« . « Ces trois jeunes n’ont rien à voir avec les violences de samedi dernier, plaide leur avocate. Ils aiment les boîtes, draguer et acheter des vêtements de luxe. Et seuls deux d’entre eux se sont rendus à Paris ce soir-là. » Le tribunal a pris en compte cet argument : seuls Mohamed et Oualid sont condamnés à 90 jours-amendes, de respectivement 20 et 15 euros.

L’Obs via fdesouche

L’Union européenne contre les peuples

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

 
POSTÉ LE 04 DÉCEMBRE , 2018, 3:23

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À la veille des élections européennes, l’Union européenne rappelle aux peuples qu’ils ne sont plus indépendants.

Le 12 septembre 2018, le Parlement européen a voté une résolution dénonçant une violation grave par la Hongrie « des valeurs sur lesquelles l’Union européenne est fondée ».

La veille, le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, était venu dénoncer « l’insulte faite à l’honneur de la nation hongroise ». Et il ajoutait : « Nous ne céderons pas au chantage des forces qui soutiennent les migrants contre la Hongrie. La Hongrie défendra ses frontières et défendra ses droits, y compris contre vous, s’il le faut. »

Le principal grief vise la politique de fermeture des frontières décidée par la Hongrie, et dénoncée comme « une atteinte grave aux droits fondamentaux des migrants, des demandeurs d’asile, et des réfugiés ».

Il est également reproché à la Hongrie de supprimer le programme d’études sur la théorie du genre à l’université fondée par le milliardaire George Soros, et de défendre dans sa constitution, dans ses lois et dans ses écoles, une « conception conservatrice de la famille ».

Au nom de prétendues « valeurs européennes », l’Union européenne dénie à la Hongrie sa souveraineté.

Cette résolution confirme l’effort des dirigeants européens pour imposer un super-État se substituant aux souverainetés nationales. Elle s’inscrit dans un mouvement plus vaste qui affecte les nations occidentales.

L’encouragement des mouvements migratoires, la théorie du genre, le changement climatique, la mondialisation heureuse, sont les axes principaux de la « gouvernance mondiale » qui cherche à s’imposer.

Mais la résolution qui vient d’être votée contre la Hongrie risque, à terme, de se retourner contre l’Europe. Lorsque viendront les débats sur des sanctions contre la Hongrie, la Hongrie peut compter sur les veto de la Pologne, de la Slovaquie, de la République tchèque, auxquels s’ajouteront ceux de l’Autriche et de l’Italie.

Il ne pourra qu’en résulter une fragmentation de l’Europe, venant aggraver les effets délétères du Brexit.

En octobre, la Commission européenne a rejeté le projet de budget de l’Italie qui prévoit un déficit de 2,4 % de son PIB – alors qu’elle a validé le budget de la France qui prévoit un déficit de 2,8 % de son PIB.

Mais, surtout, le peuple italien vient de porter au pouvoir un gouvernement « populiste » qui, comme le gouvernement hongrois, s’oppose à l’entrée de migrants. C’est là une manifestation de rébellion que l’Union européenne se devait de sanctionner.

Le 21 novembre la Commission européenne a rejeté à nouveau le budget de l’Italie et mis en route une procédure de sanctions. Cette procédure est longue et, pour aboutir, elle doit être approuvée par la majorité des pays de la zone euro.

En retour, l’Italie qui est un pays contributeur net à l’UE pourrait suspendre le versement de sa contribution. C’est donc un bras de fer qui s’engage.

L’Italie est d’autant plus vexée de ce refus que :

1. D’autres pays ont des dettes encore supérieures aux 130 % du PIB de la dette italienne.

2. La France, avec son déficit annoncé de 2, 8 % au lieu de 2,4 % pour l’Italie, est absoute.

Pour le moment, le gouvernement italien refuse de s’engager dans une politique d’austérité « à la grecque » et répond à l’Europe « Me ne frego » (Je m’en fous).

Les peuples commencent à se rendre compte que l’Union européenne leur dénie le droit d’exister en tant que tels, les oblige à se fondre dans un magma cosmopolite ouvert à tous les vents, et les vassalise face au super-État européen qu’elle veut leur imposer.

Les populismes, qui montent partout en Europe, traduisent l’inquiétude des peuples qui se sentent menacés et ne veulent pas mourir.

 

Source : les4verites

Pendant la spoliation, le bradage continue !

Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2018

 

Auteur

Guillaume de Thieulloy

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Emmanuel Macron a quel­que chose de fascinant.

Alors même qu’il est acculé par la colère populaire, alors même que ses principaux soutiens semblent prendre leurs distances (de Jacques Attali faisant, pour la première fois, l’éloge de la nation, à Gérard Collomb, quittant le ministère de l’Intérieur et multipliant les déclarations fracassantes, en passant par « Le Monde », naguère « Moniteur de la Macronie » en pointe sur l’affaire Benalla), il continue de dérouler imperturbablement son programme de démantèlement de la France.

Tout d’abord, il y a cette déclaration sur notre « partage de souveraineté » avec l’Allemagne.

Il serait question de « partager » notre dissuasion nucléaire et notre siège au conseil de sécurité de l’ONU.

En bon français, cela s’appelle une forfaiture : abandonner les marques de la souveraineté française à une puissance étrangère, c’est exactement l’inverse de ce que le chef de l’État est tenu de faire. L’article 5 de la constitution de 1958 déclare, au contraire : « Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire et du respect des traités. »

Lui, il ferait rigoureusement l’inverse. Cela seul devrait justifier une procédure de destitution, si le parlement n’était pas devenu une chambre d’enregistrement.

Quand on pense que M. Macron se permet de donner des leçons à la terre entière, alors qu’il brade notre souveraineté, et que son arrogance et son mépris mettent le feu à Paris …

Dans un autre ordre d’idées, il vient d’annoncer que la France allait « restituer sans tarder » 26 œuvres d’art au Bénin.

Restituer ? Vraiment ? Mais le Bénin n’existait pas avant la colonisation française. Il n’existait que des royaumes tribaux, en guerre les uns avec les autres.

D’ailleurs, ces œuvres d’art n’auraient jamais été conservées, ni même identifiées comme artistiques, sans la France.

En Afrique, plus encore qu’en Asie, c’est le regard de l’Occidental qui a littéralement « créé » l’art local. Sans nous, Angkor serait un tas de pierres oubliées. Sans nous, l’art du Dahomey serait tout simplement inconnu.

Passons sur le « sans tarder », qui fixe à la majorité de « godillots » la feuille de route de voter sans rechigner un nouveau bradage du patrimoine français.

Mais rappelons que le droit international assurait – avant que les barbares post-modernes ne le ravagent pour imposer leur conception pseudo-morale – que ces œuvres étaient légitimement détenues dans les musées des anciennes métropoles.

Si ce funeste projet parvenait à son achèvement, nous pourrions fermer le Louvre. Quasiment rien n’y échapperait, des collections égyptiennes aux collections antiques, en passant par celles d’Extrême-Orient. Une large part vient de nos campagnes et de notre colonisation.

Quand on voit le sort des musées de Bagdad ou Kaboul, comment le regretter ? Et pense-t-on sérieusement que les œuvres d’art seront mieux mises en valeur à Porto-Novo, Cotonou ou Harare qu’à Londres, New York, Saint-Pétersbourg, ou Paris ?

Sous couvert de bons sentiments, M. Macron prépare un pillage sans commune mesure avec ce que les siècles précédents ont connu. En attendant, il brade scandaleusement le patrimoine français, comme s’il lui appartenait. Il ne nous appartient même pas à nous tous, collectivement, Français vivants. Il appartient tout autant aux Français morts et aux Français à naître que les démagogues oublient systématiquement.

Qu’au moment où il cherche à parlementer avec les gilets jaunes en lutte contre la spoliation fiscale, il évoque une spoliation de souveraineté et de patrimoine plus grave encore, voilà qui dépasse l’entendement – et qui justifierait amplement sa destitution.

 

Source : les4verites