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jeudi, 05 février 2015

À la demande d'Esther Benbassa, le Sénat étudie la légalisation de la vente de drogues

 

 Publié par Guy Jovelin

Après le combat pour l’avortement porté par Simone Veil, le combat contre la peine de mort porté par Robert Badinter, le combat pour la légalisation des drogues est désormais porté par Esther Benbassa.

Ce mercredi, à son initiative, le Sénat examine une proposition de loi réclamant l’instauration d’un usage« contrôlé » (sic) du cannabis. Dans les faits, il s’agit de permettre la vente au détail de cette drogue, c’est-à-dire non seulement en légalisant un produit connu pour ses effets extrêmement nocifs, tout particulièrement chez les jeunes, mais encore en apportant la caution de l’État à la diffusion du poison. À l’image de la vente de cigarette, ce sont en effet des revendeurs agréés par le gouvernement qui seraient chargés de distribuer la drogue à la population.

Esther Benbassa sait que le vote sera probablement négatif, mais l’essentiel n’est pas là. Il ne s’agit pour elle que d’une « étape » dans la destruction de la société française, comme l’ont été la destruction de toutes les petites barrières depuis des décennies, toutes les petites attaques menées par les ennemis de la France pour conduire finalement à ce que les digues lâches sur de nombreux sujets : la pédérastie, l’ouverture des frontières, le métissage, l’industrialisation à outrance, la marchandisation de tout, y compris du corps humain.

C’est pour cela que ce premier texte inclut des mesures de « protection », comme l’interdiction de la vente aux mineurs, alors que les études ont montré que les interdictions de vente d’alcool ou de cigarette aux mineurs n’ont jamais, bien au contraire, empêché la diffusion des fléaux de l’alcoolisme et du tabagisme dans la jeunesse, l’interdiction de se droguer dans les lieux publics (!) ou d’en faire la publicité. Des propositions hypocrites qui n’ont vocation qu’à fixer les prochaines limites à abattre dès que le premier pas aura été franchi.

C’est ainsi que les suppurateurs ont procédé avec l’homosexualité, perversion enlevée de la liste des maladies, dépénalisée, objet de mesures spécifiques (PACS), avant qu’ils n’imposent le « mariage » (sic), puis des lois de protection spécifique (homophobie), avant de réclamer l’adoption et autres abominations. C’est ce qu’entend Esther Benbassa quand elle évoque un « processus de sensibilisation » par « étapes ». Il est évident qu’après les drogues « douces » (sic), autorisées puisque déjà largement diffusées, viendra l’acceptation des autres drogues, déjà largement propagées dans certaines classes de la société et objets, médiatiquement notamment, d’une opération de normalisation similaire à celle adoptée pour le cannabis..

Le texte ne devrait pas être adopté lors du vote au Sénat, mais de premiers indices montrent que l’activisme des corrupteurs a déjà bien fait avancer les choses : lors de son passage devant la commission des affaires sociales du Sénat, le texte, s’il a été rejeté, a vu les représentants du Parti Socialiste et de l’Union des démocrates et indépendants (UDI) s’abstenir. « Ce texte pose de bonnes questions » avait même osé le sénateur UDI Gérard Roche. « Il faut sans doute voir comment réguler le système [sic] » avait renchéri la sénatrice PS Catherine Génisson.

Il avait été précédé de précédentes mesures, comme les « salles de shoot » que veut imposer dans toute la France Marisol Touraine. L’ancien ministre de l’Intérieur Daniel Vaillant avait, il y a quelques mois, tenu des propos extrêmement favorables à la diffusion de la drogue avec l’aide de l’État.

Le laboratoire d’idées lié au PS Terra Nova, financé par les plus importants trusts en France (Casino, EADS, Areva, Sanofi – le laboratoire pharmaceutique pourrait sans doute gagner de colossales sommes d’argent si ce projet criminel aboutissait –, mais aussi internationaux comme Ernst & Young et même des établissements publics ou contrôlés par l’État comme la Caisse des Dépôts et consignations, la SNCF, EDF, GDF, etc.), a participé à cette offensive antisociale en dévoilant une « enquête » en décembre, dithyrambique sur les effets de la dépénalisation de la drogue, notamment en matière d’économie. Il est à noter que ce sont les mêmes experts qui avaient annoncé que Maastricht créerait trois millions d’emplois en France, que les 35 heures résorberaient le chômage en France, que la mondialisation et l’invasion permettraient à la France de sortir de la crise, des arguments repris, aujourd’hui, toujours pour masquer leurs attaques contre les fondements de l’identité et de la société françaises, pour obtenir la généralisation de l’esclavage le dimanche et la légalisation de la vente de la drogue. Le Monde avait lui-même activement participé à ces attaques en publiant quasiment un numéro spécial à ce sujet concomitamment à la parution du « rapport » de Terra nova.

Seul un contexte social général pourrait permettre à ces fléaux d’être éliminés ; c’est exactement l’inverse que préparent Esther Benbassa et les siens : un contexte favorisant les pires penchants de l’humanité.

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Liberté d’expression : le journal Valeurs actuelles condamné pour une couverture

 

 Publié par Guy Jovelin

Le 22 septembre 2013, l’hebdomadaire Valeurs actuelles publiait en couverture une photo montrant notamment une Marianne voilée avec le titre « Naturalisés l’invasion qu’on nous cache ». Plusieurs sous-titres étaient également présents : « Deux Français sur trois contre les naturalisations massives de Valls »,« Islam, immigration : comment la gauche veut changer le peuple »« Le poids des musulmans n’a cessé d’augmenter ».

Un juge rouge a condamné pour cela à 2.000 euros d’amende le directeur de la publication Yves de Kerdrel coupable de « provocation à la discrimination envers les musulmans » (sic). Ce sont quatre associations antifrançaises qui avaient porté : l’Union des étudiants Juifs de France (UEJF), la Maison des Potes, SOS-Racisme et la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA).

mercredi, 04 février 2015

L’État islamique a brûlé vif le pilote jordanien qu’il détenait

 

 

L’organisation islamiste a annoncé que Moaz al-Kassasbeh, l’otage jordanien pilote de chasse, avait été brûlé vif. L’exécution d’une cruauté rare est montrée dans une vidéo revendiquée par le groupe djihadiste.

On y voit le prisonnier dans une cage, sa tunique imbibé de liquide inflammable de même que le sol de sa cage, puis le feu est mis par une trainée de liquide et le captif est brûlé vif. Plus tard, les djihadistes exhibent le corps brûlé.

La semaine dernière, deux otages japonais avaient été décapités à quelques jours d’intervalle.

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Trois militaires, dont le gouvernement a fait des cibles, attaqués au couteau à Nice : merci Estrosi et Valls

 

 

Trois militaires qui étaient affectés à la surveillance de lieux juifs à Nice ont été attaqués à coups de couteau par un criminel africain mardi après-midi. « Moussa » venait de sortir du tram, après avoir été contrôlé sans billet, quand il s’est dirigé vers les militaires qui patrouillaient devant un immeuble occupé par diverses associations, notamment l’antenne locale du consistoire juif, une radio de propagande israélienne et diverses associations judaïques.

Il a alors sorti au moins un long couteau qu’il portait sur lui, sans qu’il soit possible de savoir s’il a fait usage du second couteau qu’il transportait, et frappé les militaires. Deux d’entre eux ont été blessés, au visage et au bras, légèrement selon le représentant du gouvernement socialiste, qui envoie des Français veiller à la sécurité exclusive d'une communauté, non seulement au détriment de la sécurité des Français, mais encore en transformant nos soldats en cibles pour les étrangers islamistes.

Après son attaque, il a été interpellé avec l’aide de deux agents du tramway passant à proximité et d’un troisième homme.

L’individu qui a agressé les militaires s’appellerait Moussa Coulibaly, mais sans lien avec le tueur de l’Hypercacher. Il a tenté de rejoindre la Syrie et a été expulsé la semaine dernière de Turquie ; il avait été signalé par les autorités françaises, après avoir été repéré à l’aéroport d’Ajaccio (Corse). Signalé pour son comportement prosélyte agressif, il avait été entendu par la DGSI (Direction générale de la Sécurité intérieure). Entendu libre, il était reparti libre, sans la moindre charge retenue contre lui. Les enquêteurs n’ont pas trouvé le moindre indice pouvant laisser penser qu’il était dangereux. Il n’a fait qu’être« entendu » par les services de renseignements avant d’être libéré et de pouvoir préparer cette attaque. Ces faits démontrent une nouvelle fois la totale inadaptation des services de la République qui traquent les nationalistes mais laissent les terroristes les plus dangereux en liberté.

Moussa Coulibaly est un multirécidiviste, condamné à six reprises entre 2006 et 2011 (refus d’obtempérer, vol, outrage et rébellion, usage de stupéfiants, dégradation), sans jamais faire un jour de prison. Il habite dans le quartier envahi du Val-Fourré à Mantes-la-Jolie où il est né en 1984, et où la police mène des perquisitions ce soir.

Un deuxième individu, avec lequel il se trouvait peu avant l’agression, a été arrêté.

Cette attaque a été perpétrée alors que les chiffres de la délinquance à Nice ont été publiés, révélant une très forte hausse des crimes et des délits dans les « zones de sécurité [sic] prioritaires (ZSP) », avec, au total, une hausse de +22,6 %, avec une hausse des violences volontaires de 10 %. Une criminalité quotidienne qui touche, parfois mortellement, les Français et qui n’est habituellement pas même évoqué dans les médias locaux.

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mardi, 03 février 2015

Razzy Hammadi avoue que le PS a négocié des mosquées contre des voix

 Publié par Guy Jovelin

 

 

Le député socialiste Razzy Hammadi est revenu sur la lâcheté et les petits arrangements des élus locaux de la gauche plurielle, qui font construire sur leurs territoires des mosquées en échange du vote des communautés musulmanes.

Invité à s’exprimer aux micros d’Olivier Galzi, sur I-Télé, le député de Seine-Saint-Denis et ancien président du Mouvement des jeunes socialistes a donc dénoncé les « lâchetés » des élus locaux face à la montée du communautarisme, avant d’avouer que « certains (élus locaux) ont négocié les mosquées contre des voix. »

Il n’est un secret pour personne, puisque de nombreux sondages l’avaient déjà démontré, que François Hollande est arrivé au pouvoir grâce aux votes des musulmans. Cette fois c’est un député socialiste en personne qui a décrit ces petits arrangements entre le PS français et la communauté musulmane : les élus locaux offrent des mosquées aux musulmans qui en échange votent pour eux. Le laxisme permanent des responsables de gauche face aux agressions et viols causés par les membres de cette communauté font certainement partie du package.

Comme les Français non-musulmans commencent à comprendre ce manège et ne veulent plus entendre parler du PS, nos bons socialos essayent d’ouvrir au maximum les frontières et font tout pour que les musulmans soient rapidement majoritaires en France. Tout s’explique…

La république islamique, c’est bientôt !

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