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dimanche, 14 août 2016

Haute-Corse : Cinq jeunes blessés dans une rixe à Sisco

Publié par Guy Jovelin le 14 août 2016

Par le 13/08/2016

Deux groupes de jeunes sont impliqués dans une rixe qui a éclaté en début de soirée samedi 13 août, à la sortie Nord de Sisco (Haute-Corse).

Une altercation a éclaté entre deux groupes de jeunes en début de soirée, vendredi 13 août à Sisco. © Claudia Ledezert/France 3 Corse ViaStella

© Claudia Ledezert/France 3 Corse ViaStella Une altercation a éclaté entre deux groupes de jeunes en début de soirée, vendredi 13 août à Sisco.

 
Une rixe a éclaté aux alentours de 17h30 sur une plage au niveau de la sortie Nord de Sisco, samedi 13 août.

Deux groupes de jeunes sont impliqués dans l'altercation : des Corses résidant dans la commune de Sisco et de jeunes Maghrébins.

Parmi les deux groupes, cinq jeunes ont été blessés à l'arme blanche, deux Corses, dont l'un touché au harpon au niveau des côtes, et trois Maghrébins.

Ils ont été transportés à l'hôpital. L'un des jeunes Maghrébins est en état d'urgence vitale. Le pronostic vital des autres victimes n'est pas engagé.

Apprenant la nouvelle de cette rixe, une centaine d'habitants de Sisco se sont attroupés sur les lieux, provoquant d'importants mouvements de foule.

Une trentaine de personnes ont mis le feu à trois véhicules appartenant aux jeunes Maghrébins.
© Claudia Ledezert/France 3 Corse ViaStella

© Claudia Ledezert/France 3 Corse ViaStella


40 gendarmes et 20 CRS ont été dépêchés sur place pour contenir la foule et l'empêcher de lyncher le blessé grave qui était en train d'être évacué. La circulation a été coupée dans les deux sens au niveau de Sisco avant de reprendre normalement à 22h.

Aucune interpellation n'a eu lieu pour le moment, l'état physique des agresseurs n'ayant pas permis de les placer en garde à vue.

D'après des témoins de la scène, l'altercation aurait été provoquée par une photo, prise par des touristes, alors qu'un groupe de dix Maghrébins, dont une femme enceinte et des enfants, se trouvait sur la plage.

Ces derniers auraient fait comprendre aux touristes qu'ils n'avaient pas à prendre de photos. Des Corses de Sisco se seraient ensuite mêlés à la dispute qui aurait alors dégénéré en affrontement.

Une enquête va être confiée à la gendarmerie.pour déterminer les causes exactes de cette rixe.
 

Arthur Kemp : « Qu’est-ce que l’ethnonationalisme ? »

Publié par Guy Jovelin le 14 août 2016

Arthur Kemp : « Qu’est-ce que l’ethnonationalisme ? »

Arthur Kemp : « Qu’est-ce que l’ethnonationalisme ? »

Toute société multiculturelle est multiconflictuelle et l’Europe qui, par esprit de lucre puis faiblesse, a laissé se constituer sur son territoire des communautés allogènes de plus en plus importantes et donc de plus en plus revendicatrices, a ainsi semé les germes des crises à venir, et dont le terrorisme islamique ne donne qu’une idée parcellaire. Pour tenter d’éviter les guerres ethnico-civiles de demain, Arthur Kemp estime que « l’ethnonationalisme — ou l’exigence des peuples à s’autogouverner dans les zones géographiques qui leur sont propres — fournit la seule vraie réponse au cauchemar international ».
 
 Les djihadistes qui sèment la terreur en Europe ne sont pas tous des migrants. Au contraire, beaucoup sont, de par le droit du sol, des citoyens belges et surtout français comme Adel Kermiche, l’égorgeur « normand» du Père Hamel et son complice Abdelmalik Petitjean né de parents maghrébins mais reconnu à l’âge de six mois par Franck Petitjean, le second mari de sa mère Yamina, laquelle obligeait l’enfant à faire le ramadan. L’origine, la religion ancestrale et l’atavisme ont ainsi primé sur le lieu de naissance, la civilisation du pays d’accueil et l’éducation donnée par l’école. Comme le répétait Jean-Marie Le Pen, dans l’un de ces dérapages qui lui furent tant reprochés mais reflétaient si bien la réalité, il ne suffit pas à des vaches de naître dans une écurie pour être de fringants coursiers.

Arthur Kemp : « Qu’est-ce que l’ethnonationalisme ? »

Ce n’est pas Arthur Kemp, auteur de « Bâtir le foyer blanc » et dont le dernier livre est un plaidoyer pour l’ethnonationalisme, qui s’inscrira en faux contre cette idée. Britannique né en Rhodésie (occurrence qui n’a pas fait de lui un Bantou, pas plus qu’« un Africain qui a appris le mandarin et s’habillerait à l’orientale ne deviendrait chinois » !), lui aussi estime que le fait de s’installer dans un pays ne transforme pas automatiquement les nouveaux arrivants et leurs descendants en natifs. Cette nouvelle population a un inné que ne contrebalance pas l’acquit, et c’est justement en raison de cette impossibilité qu’on s’acharne à nous « vendre » la « diversité » en nous en serinant les supposés bienfaits.

Mais justement, s’interroge Arthur Kemp, pourquoi les plus exaltés thuriféraires de la diversité sont-ils aussi les adversaires résolus de l’ethnonationalisme ? Ou, plutôt, pourquoi n’acceptent-ils celui-ci que lorsque cette affirmation est « d’origine extra-européenne », rejetant comme racistes les aspirations des nations (au sens latin du terme) leucodermes ? Contradiction absurde et surtout injuste car, soutient notre auteur, qui rejette la notion de gradation entre les races, chacune étant la mieux armée pour son milieu d’origine, « rien ne justifie ces deux poids deux mesures. La population européenne — et ses différents États-nations — a tout simplement autant le droit à l’autodétermination que n’importe quel autre peuple de la planète ». Elle a donc le droit de refuser une submersion qui conduirait à sa propre dilution, de refuser des systèmes scolaire et de santé « pour tous » préjudiciables à ses propres enfants, de refuser les croyances — et leurs formes d’expression souvent ostentatoires, qu’il s’agisse des prières de rue ou de la fête du dieu Ganesh — totalement étrangères sinon antagonistes à sa propre foi.

Toute société multiculturelle est multiconflictuelle

Alors, au nom de quoi ostraciser l’ethnonationalisme qui « n’entend pas éliminer, opprimer, pénaliser ou dominer qui que ce soit, mais plutôt se libérer de toutes ces contraintes » ? Et comment ceux qui sanglotent sur le génocide des Aborigènes, la disparition des peuples premiers et le déclin des nations Peaux-rouges peuvent-ils rester aveugles devant le Grand Remplacement en cours du tsunami migratoire et des différentiels démographiques. S’adressant à un public britannique, Arthur Kemp cite des statistiques effarantes sur le Royaume-Uni où, d’ici à 2021, donc demain, les écoliers allogènes seront majoritaires. Mais n’en va-t-il pas de même dans de nombreuses métropoles françaises ou belges où le prénom Mohamed souvent décliné en turc (Mehmet) ou en bambara (Mamadou) est également le plus donné ?

L’ethnonationalisme est tout simplement la préférence nationale que le Front populaire privilégia d’ailleurs en France (voir les décrets Ramadier dont Bruno Mégret préconisa de s’inspirer), à l’opposé du « nationalisme civique défendu par la droite » — que Kemp a raison de critiquer car il accorde les mêmes droits à tous les citoyens, qu’ils soient de souche ou de papiers, et qui n’est rien d’autre que le multiculturalisme encouragé par la gauche.

Or, l’histoire contemporaine le prouve partout à la surface du globe : plus une société est multiculturelle et plus elle est multiconflictuelle. Bref mais dense, l’argumentaire d’Arthur Kemp sur l’ethnonationalisme — qui, soutient-il, « est le véritable porte-drapeau de la diversité car qu’est-ce que la diversité sinon la préservation et la valorisation de chaque identité ? » — montre qu’il est temps de réfléchir à cette solution pour échapper au cataclysme.

 

Source : polemia

Après Black M, c’est Pokemon Go qui vient perturber les lieux de mémoire de la Bataille de Verdun

Publié par Guy Jovelin le 14 août 2016

douaumont_ossuaire

Il est hélas bien difficile de maintenir le respect et la dignité dans les lieux de mémoire de la Première guerre mondiale en ce centenaire de la bataille de Verdun. Après la polémique autour de l’annonce d’un concert du rappeur Black M à Verdun et celle des adolescents invités à courir entre les tombes lors de la cérémonie de commémoration, c’est une nouvelle controverse qui a fait son apparition : celle de l’incursion du jeu Pokemon Go à Douaumont à laquelle il a fallu mettre fin.

En ce début du mois d’août, le directeur de l’ossuaire de Douaumont avait remarqué un étrange manège ; de plus en plus de visiteurs déambulaient le regard fixé sur leur smartphone. L’explication a vite été connue : les concepteurs du jeu Pokemon Go avaient fait de Douaumont une arène de leur jeu, un lieu où les équipes de chasseurs de Pokemon pouvaient s’affronter. Et tout ce petit monde de jouer aux adolescents attardés sans songer un seul instant à ce que représente le lieu dans lequel ils s’amusaient.

Fort heureusement, Élodie Farcage, chargée de la communication de l’ossuaire de Douaumont, vient d’annoncer que les Pokémon ont disparu de Douaumont et que le lieu devrait retrouver sa quiétude.

Cependant, d’autres lieux de mémoire de la bataille de Verdun sont encore incommodés par cette épidémie virtuelle. La direction du Mémorial de Verdun confirme être affectée :  «Il y a une arène dans le musée, mais pas de réseau, donc les joueurs ne peuvent pas l’utiliser». Idem au village détruit de Fleury-devant-Douaumont, où une arène est apparue sur le monument aux fusillés.

De nouvelles interdictions de chasses aux Pokemon devraient être obtenues dans les prochaines heures.

Mais tout cela en dit long sur le niveau de la population occidentale…

 

Source : medias-presse.info

Le communiqué qui nie la notion d'immigration illégale

Publié par Guy Jovelin le 14 août 2016

Par Alexis Théas

FIGAROVOX/OPINION - Une communiqué du ministère de l'Intérieur et du Logement nie de fait la distinction entre immigration régulière et immigration illégale. Alexis Théas redoute l'appel d'air que pourrait suciter cette évolution de la politique d'immigration française.


Alexis Théas est universitaire et juriste.


Le 1er août 2016, les ministres de l'Intérieur et du Logement ont publié un communiqué passé totalement inaperçu dans la torpeur de l'été mais d'une importance capitale sur le plan de l'évolution des mentalités et de l'idéologie politique française. Ce texte marque une inflexion de la conception française de l'immigration. Jusqu'alors, celle-ci était fondée sur la distinction entre l'immigration régulière et l'immigration illégale. La première, conforme à la loi, était destinée par exemple à accueillir des travailleurs dont la France peut avoir besoin, à former des étudiants dans l'intérêt de la France ou du pays d'origine, ou bien à assurer le principe d'unité familiale. Elle était évaluée à environ 200 000 personnes par an. En revanche, les migrants en situation irrégulière, entrés ou séjournant en infraction avec la loi, devaient impérativement repartir dans leur pays, volontairement ou par la contrainte. Tel était le principe. Cette différence, pour la première fois depuis que l'immigration est devenue un sujet politique au début des années 1980, semble désormais ni par l'Etat. Le migrant en situation irrégulière n'a plus vocation à être reconduit dans son pays, mais à être accueilli en France et pris en charge par la puissance publique, au même titre qu'un étranger en situation régulière ou qu'un citoyen français en difficulté.

Communiqué du 1er août 2016 : «Créé le 25 février dernier à l'initiative de Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur, et d'Emmanuelle Cosse, ministre du Logement et de l'Habitat durable, le comité de suivi du plan de mise à l'abri des migrants sans-abri s'est à nouveau réuni mardi 26 juillet 2016. Présidée par Emmanuelle Cosse, en présence de représentants du Ministère de l'Intérieur, du Ministère de la Famille, de l'Enfance et des Droits des Femmes et de la Préfecture du Pas- de-Calais, cette séance a rassemblé une trentaine d'associations engagées dans l'accompagnement des migrants. Les pouvoirs publics ont tenu à saluer leur travail et leur mobilisation pour faire face à cette crise migratoire sans précédent. A cette occasion, le ministère de l'Intérieur et le ministère du Logement et de l'Habitat durable ont présenté aux associations la Charte de fonctionnement des Centres d'Accueil et d'Orientation (CAO). Répondant à un souhait partagé de l'Etat et des acteurs associatifs, et rédigée au terme de plusieurs semaines de dialogue avec les opérateurs des CAO, cette charte édicte des règles claires de fonctionnement et décrit les principales prestations délivrées aux migrants sans-abri qui y sont accueillis: conditions d'accueil et de localisation, taux d'encadrement, restauration, évaluation - juridique, sociale et médicale - de la situation des personnes accueillies et accompagnement adapté, sécurité, etc. La prise en charge en CAO doit ainsi permettre aux personnes migrantes sans-abri de bénéficier d'un temps de répit et d'engager, si elles le souhaitent, une démarche de demande d'asile. Elle leur permet également d'avoir accès à une offre de soins adaptée et d'être orientées rapidement vers des structures qui correspondent à leur situation (CADA pour les demandeurs d'asile, etc.). Depuis le 27 octobre dernier, 148 Centres d'accueil et d'orientation ont été ouverts sur l'ensemble du territoire national pour un total de près de 2000 places qui ont permis de mettre l'abri plus de 4700 personnes dans des délais très resserrés.»

Ce communiqué enterre donc de fait toute notion d'immigration irrégulière. Il abolit le clivage entre légalité et illégalité en matière d'immigration. Il va dans le sens de la loi du 7 mars 2016, dont les dispositions reviennent à rendre très difficiles l'application des mesures d'éloignement. Il proclame que la France a le devoir d'accueillir et de prendre en charge tout étranger sur son territoire, qu'il soit autorisé à entrer et à séjourner ou qu'il ne le soit pas. De facto, le principe ainsi proclamé abroge l'idée de frontière ou de respect du droit de l'entrée et de séjour. Les associations humanitaires, les idéologues, les partisans de la liberté totale d'immigrer en rêvaient depuis au moins quarante ans. M. Cazeneuve et Mme Cosse l'ont fait. La question est de savoir quel sera l'ampleur de l'appel d'air que cette transformation profonde de tous les fondements de la politique d'immigration française est susceptible provoquer à terme. Le communiqué annonce une France ouverte, qui n'éloigne plus ses migrants illégaux mais au contraire les accueille. Le potentiel d'émigration est élevé: des centaines de millions de personnes déshéritées et désœuvrées, dans ce monde en ébullition, ne songent qu'à trouver un point d'accueil. Reste à savoir si la France, qui compte cinq millions de chômeurs, de gigantesques problèmes de logement, des centaines de milliers de personnes vivant sous le seuil de pauvreté, un millier de cités sensibles dévastées par la violence, l'exclusion, le communautarisme, l'islamisme radical, si cette France a les moyens d'accueillir une immigration supplémentaire. Mais pour M. Cazeneuve et Mme Cosse, c'est une autre affaire. Et ce n'est visiblement pas la leur.

 

Source : lefigaro

samedi, 13 août 2016

L’Etat Islamique : « imposer la loi d’Allah par l’épée est une obligation fondée sur le Coran »

Publié par Guy Jovelin le 13 août 2016

dabiq15

Dans son magazine de propagande Dabiq, l’État islamique publie un article intitulé « Par l’épée », qu’il faut faire lire aux promoteurs du « vivre ensemble », aux politiciens qui œuvrent au grand remplacement, à leurs complices journalistes et à ceux qui, dans le clergé catholique, trahissent la doctrine de l’Eglise en faveur d’un syncrétisme mondialiste.

Le rédacteur djihadiste se moque de la « naïveté » du pape.

« Le Pape combat contre la réalité quand il s’efforce de présenter l’islam comme une religion de paix, alors que celui-ci enjoint aux vrais croyants de tirer l’épée du djihad. C’est même leur plus grand devoir : imposer la loi d’Allah par l’épée est une obligation fondée sur le Coran, parole de notre Seigneur. »

« Même si vous arrêtiez de nous bombarder, de nous jeter en prison, de nous torturer, de nous abêtir et d’usurper nos terres, nous continuerions de vous haïr ; même si vous nous payiez le jizyah [l’impôt pour les infidèles, ndlr] et viviez humiliés sous l’autorité de l’islam, nous continuerions de vous haïr. Pourquoi ? Parce que le Coran nous commande de le faire. Nous ne cesserons donc de vous haïr que lorsque vous aurez embrassé l’islam. »

 

Source : medias-presse.info