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jeudi, 18 août 2016

Une banque européenne brise un tabou en taxant les dépôts de ses clients

Publié par Guy Jovelin le 18 août 2016

PAR LE

« Facturer les dépôts pourrait inciter les consommateurs à sortir leur argent de leurs comptes et priver le système bancaire de la stabilité des dépôts, ce qui pourrait générer une crise de très forte ampleur » : Cet article des Echos omet de préciser que c’est l’une des raisons pour lesquelles on se dirige vers l’abolition de l’argent liquide OD

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« La banque coopérative Raiffeisenbank de Gmund va facturer les dépôts de particuliers au-delà de 100.000 euros. Les banques européennes sont tentées de répercuter les taux négatifs de la BCE.

Josef Paul, patron de la petite banque coopérative Raiffeisenbank à Gmund, une bourgade nichée au sud de la Bavière, se serait bien passé de cette soudaine célébrité. Suite à une indiscrétion relayée par Reuters, le grand public a appris qu’il était le premier banquier allemand à avoir brisé un tabou, en s’apprêtant à réclamer une commission de 0,4 % sur les dépôts à vue de particuliers. Du moins les plus aisés, dont l’avoir dépasse 100.000 euros. Il y a deux mois, 140 clients ont été prévenus que leurs dépôts – il y en a pour 40 millions d’euros – seront bientôt taxés. Certains ont commencé à placer leur argent ailleurs, pour 2 millions d’euros à ce jour. Quant aux confrères, parmi le millier de banques du mouvement coopératif, une poignée d’entre elles ont adressé à Josef Paul un message pour saluer son « courage ».

Appel à la prudence

D’autres établissements européens sont-ils prêts à lui emboîter le pas ? Depuis que la BCE a instauré un taux de dépôts négatif (- 0,4 %) sur les liquidités que les banques déposent à ses guichets, tous les établissements cherchent à adapter leur modèle et à compenser cette taxe, qui pénalise leurs revenus. Mais, jusqu’à présent, les établissements n’avaient osé répercuter le taux négatif de la BCE qu’à leurs grands clients institutionnels, et, pour quelques-unes, à leurs clients entreprises. En France, le groupe BPCE a été le premier à assumer, au printemps, cette facturation des dépôts « quand la taille de la trésorerie est significative ». Cet été, Royal Bank of Scotland est allé un cran plus loin, en préparant le terrain à une facturation de certains clients de son réseau. La banque a en effet envoyé une lettre à sa clientèle de professionnels, les avertissant qu’elle pourrait taxer les dépôts des commerçants indépendants, associations et clubs, si la Banque d’Angleterre décidait d’imposer des taux négatifs.

une banque européenne brise un tabou en taxant les dépôts de ses clients

Si le patron de la Raiffeisenbank de Gmund ne voit pas pourquoi « il y aurait une différence entre imposer un taux négatif à des clients particuliers qui disposent de gros dépôts » et taxer ses clients entreprises, les superviseurs appellent le secteur bancaire à la plus grande prudence. Les banques « ne peuvent appliquer des taux négatifs sur les dépôts car il y a toujours l’alternative du cash chez l’épargnant », soulignait en début d’année Robert Ophèle, sous-gouverneur de la Banque de France. Facturer les dépôts pourrait inciter les consommateurs à sortir leur argent de leurs comptes pour le mettre à l’abri sous leur matelas. « Ce serait très problématique du point de vue de la stabilité financière », indiquait en mai dernier aux « Echos » l’économiste Natacha Valla (« fellow » de Paris School of Economics), soulignant que « ce risque de « bank run », que l’on pensait purement théorique, devient aujourd’hui une discussion sérieuse ». Priver le système bancaire de la stabilité des dépôts pourrait générer une crise de très forte ampleur. La plupart des grandes banques en ont conscience et ont préféré, jusque-là, contourner la facturation des dépôts en tarifant des services autrefois gratuits. En France, BNP Paribas, Société Générale et LCL ont décidé de mettre en place cette année des frais de tenue de compte. Même stratégie en Allemagne, où les établissements commencent à facturer le compte courant et les retraits d’argent au distributeur ».

Les Echos.fr, le 16 août 2016

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2016/08/16/une-...

 

Source : leblogalupus

En Corse c’est la population qui a désormais l’initiative contre les racailles et les islamistes

Publié par Guy Jovelin le 18 août 2016

Burkini

Ici les racailles font la loi

Ici, sur le continent, les racailles et les casseurs font la loi, notamment dans les banlieues prétendumentsensibles, zones de non-droit où les forces de l’ordre n’osent quasiment plus intervenir, obéissant aux consignes d’une hiérarchie tétanisée à l’idée du retour des émeutes de 2005. Alors pas de vagues !

Patrick Kanner, le ministre de la Ville, a courageusement affirmé qu’il y avait « aujourd’hui, on le sait, une centaine de quartiers en France qui présentent des similitudes potentielles avec ce qui s’est passé à Molenbeek » (1).

Oui, « on le sait », mais on… le tolère. Mieux encore : on finance une apparence de paix urbaine en payant les caïds pour qu’ils calment les jeunes : cela s’appelle la politique de la Ville, sorte de contribution dhimmie payée par le contribuable sefran ou babtou pour que les jeunes n’aient pas « la haine ».

Mais cela marche de moins en moins et, à la première interpellation qui tourne mal, ce sera l’émeute ; et bien sûr, aussi, l’enquête immédiatement diligentée pour vérifier si, des fois, la police ne serait pas coupable de violences injustifiées, comme aux Etats-Unis. Cela se passe toujours ainsi sur le continent, pour le plus grand profit des racailles.

La culture de l’excuse

Car ici les racailles sont toujours des victimes qui font pleurer les bobos et le Syndicat de la magistrature : des victimes du chômage, du racisme ou des « provocations » policières. Sur le continent on en tient pour la culture de l’excuse dès lors que ce n’est pas un Français de souche qui commet un délit ou un crime. D’ailleurs, le racisme antifrançais ou la christianophobie, la justice ne connaît pas.

Sur le continent la population se tait et rase les murs. Car si d’aventure elle s’exprimait, alors la répression « antiraciste » s’abattrait sur elle. Les ligues de vertu bien pensantes, également financées par le contribuable, sont là pour y veiller.

Et la classe politicienne, qui ne cesse de courir après le vote communautariste, emboîte le pas : lorsqu’une violence, un crime ou un attentat sont commis, leur première réaction consiste à proclamer « Pas d’amalgame » ! C’est ce qu’Alain Juppé appelle « garder son sang-froid » (2). En clair : la fermer et se soumettre.

 L’impunité c’est fini

Dans l’Ile de Beauté, où, à la différence du continent, on veille à préserver son identité et sa famille, les choses se passent désormais différemment, comme on le voit depuis quelques mois. En Corse, on ne tolère plus, par exemple, que les « jeunes » caillassent ou agressent les pompiers en toute impunité, comme on l’a vu à Ajaccio en décembre 2015.

Le journal Le Monde titrait alors « Ajaccio sous le choc après les manifestations xénophobes » (3), jouant ainsi son rôle de pleureuse attitrée défendant les malheureux jeunes. Et le préfet, incapable de protéger les pompiers, d’en appeler évidemment à la « sérénité ». Bref, le bla-bla habituel.

Mais ce rideau de fumée politico-médiatique sur fond d’impuissance gouvernementale ne produit plus en Corse les mêmes effets soporifiques que sur le continent.

En Corse, le message d’Ajaccio était clair : l’impunité pour les racailles c’est fini. On ne va pas continuer à se laisser faire.

En Corse on désigne les choses par leur nom

La réaction aux événements qui se sont produits récemment à Sisco est également significative.

Car pour la première fois dans notre pays les autorités de la collectivité de Corse n’ont pas hésité à désigner les choses par leur nom : « Ce sont des comportements provocateurs et des actes violents de la part de personnes étrangères à la commune qui sont à l’origine des faits… assortis d’une revendication explicitement communautariste voire religieuse. Ces faits ont inéluctablement entraîné une intense émotion et une réaction forte de la part de la population de Sisco » (4).

Cette déclaration, qui non seulement désigne les responsables des affrontements mais exprime aussi sa compréhension de la réaction populaire, tranche avec le pathos bisounours et padamalgam que les élus nous assènent habituellement sur le continent après chaque fait similaire.

En Corse on n’a pas peur de désigner l’ennemi : donc on sait encore faire de la vraie politique et on sait encore faire la guerre – alors que sur le continent, déjà en voie de Soumission, on a la trouille de le faire.

En Corse le pathos bisounours et padamalgam ne marche plus

Le ministre de l’Intérieur a, bien sûr, comme d’habitude, « condamné les violences », posture officielle et cynique consistant à mettre sur le même plan agresseurs et victimes. On est habitué ici à ce type de fausse symétrie, mais en Corse cela ne marche plus.

La presse bien pensante cite ainsi avec effroi des déclarations comme celles-ci : « Les agresseurs habitent ici. On veut montrer à leurs frères, à leurs amis et à tous ceux qui les connaissent que nous ne tolérerons jamais ce genre d’actes sur notre terre ! » ; ou bien encore « Agresser un seul Corse, c’est comme agresser toute la Corse. Depuis plusieurs mois, François Hollande nous répète que nous sommes en guerre. Et dans une guerre, quand on est attaqué, il faut répondre. Et pas seulement en allumant des bougies… » (5).

Face à l’islamisme la dissidence a l’initiative en Corse

En Corse ce sont désormais les dissidents hors Système qui ont l’initiative face à l’islamisme et aux racailles : c’est-à-dire les indépendantistes et la réaction spontanée de la population.

Car, en Corse, la réaction populaire l’emporte sur celle des autorités, dépassées parce qu’enfermées, comme en métropole, dans la doxa politiquement correcte.

Comme l’a montré le FNLC dans sa déclaration diffusée dans Corse Matin le 27 juillet dernier, c’est la dissidence qui incarne désormais la grande politique car elle tient un langage de vérité qui rencontre un large écho dans la population.

Le FNLC dénonce ainsi une « radicalisation croissante dans le sud de la Corse » correspondant à la volonté des salafistes de « mettre en place chez nous la politique de Daesh ». Les indépendantistes préviennent aussi (6) que toute attaque contre les Corses fera l’objet « d’une réponse déterminée sans état d’âme ». Ils réclament aussi que les musulmans qui vivent en Corse prennent position clairement contre l’islamisme. Enfin, ils affirment qu’ « il faudra que la France cesse sa propension à intervenir militairement et vouloir donner des leçons de démocratie à la terre entière si elle veut éviter que les conflits qu’elle sème à travers le monde ne reviennent comme un boomerang sur son sol ».

On n’est pas forcé d’approuver en tout le FNLC ni le vocabulaire « anticolonialiste » propre à cette organisation, mais, en quelques mots, tout est dit.

Où sont les hommes ?

En Corse on sait manifestement que ce n’est pas en se soumettant à la violence ou en commémorant ses victimes, comme ne cesse de nous le dire l’oligarchie, qu’on retrouve sa liberté et sa dignité, mais en lui opposant la force, qui seule garantit le droit.

Mais où sont donc passés les derniers hommes ? En Corse manifestement.

Michel Geoffroy
16/08/2016

 

Source : polemia

mercredi, 17 août 2016

Racisme anti-Blanc: Une étudiante noire ne veut que des camarades de chambre noirs. Elle accuse les Blancs de racisme.

Publié par Guy Jovelin le 17 août 2016

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Christian Hofer: A noter les commentaires racistes de ces étudiants de couleur. Un véritable florilège de discriminations, d'amalgames et de généralisations contre les Blancs.

Voilà sur quoi a débouché l'antiracisme à sens unique! Il convient pour nous de reprendre ce droit "à la survie" qui est bien plus légitime que ces âneries d'étudiants, spécifiquement à la vue de l'immigration de masse que nous subissons en Europe.

Visiblement le multiculturalisme n'est une obligation que lorsqu'il s'agit des Blancs et de leurs terres!

**********

Kare Urena, 20 ans, a suscité l'indignation avec son message sur Facebook disant qu'elle n'a pas "envie de vivre avec des gens blancs".

Elle a écrit "POC (personnes de couleur) seulement" et a ajouté plus tard "Je ne veux vivre avec aucun Blanc."

Le message a été supprimé de la page Facebook du collège Pitzer, classe 2018 forçant le président du collège à faire un commentaire.

Le président du Pitzer College, Melvin Oliver, a déclaré: "Alors que Pitzer est une communauté d'individus passionnément engagés dans l'établissement d'espaces intraculturels sûrs pour les groupes marginalisés, le message posté sur Facebook et plusieurs commentaires ultérieurs sont incompatibles avec notre mission et nos valeurs. (...)"

Les étudiants ont été prompts à commenter la page Facebook, certains taxant Urena de racisme.

Un étudiant a écrit: «la ségrégation du logement est illégale."

Selon le journal de l'université The Clarmemont Independent, AJ Leon a déclaré: "C'est directement afin de protéger les personnes de couleur. Il ne faut pas le voir comme étant raciste du tout."

Sara Roschdi a déclaré: "Les personnes de couleur sont autorisées à créer des lieux sécurisés réservés aux POC. Ce n'est pas du racisme inverse ou de la discrimination, c'est de l'autoprotection."

Une autre étudiante, Nina Lee déclare "Nous ne voulons pas devoir marcher sur la pointe des pieds à cause des sentiments fragiles des Blancs dans un espace où nous voulons juste nous détendre et être confortables."

"Je peux vivre avec des personnes blanches, mais je serais bien mieux avec d'autres personnes de couleurs."

Mademoiselle Urena et sa camarade de chambre Mademoiselle Jefferson ont défendu le message posté.

Parlant au Washington Post, elles disent: "Lorsque vous comprenez le contexte, il devient clairque ces étudiants de couleur qui cherchent un lieu pour vivre exclusivement avec d'autres gens de couleur n'est pas seulement raisonnable, c'est une nécessité."

"Nous vivons dans un monde où les conditions de vie des personnes de couleur sont ancrées dans les structures sociales racistes dont nous ne pouvons pas nous dégager."

"Ces conditions menacent les esprits, les corps et les âmes des personnes de couleur avec ou sans éducation supérieure.

"Nous combattons pour exister."

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

 

Source : lesobservateurs

Humeur ... « Affaire » de Sisco : mais où sont passées les Femen ?

 

Un témoignage de l’agression par des musulmans maghrébins à Sisco en Corse

Publié par Guy Jovelin le 17 août 2016

Alors que l’agression à Sisco en Corse fait couler beaucoup d’encre et que les médiasmainstream détournent les faits autour du port du burkini, la réalité est bien plus crûe qu’il n’y parait : cette agression démontre en réalité comment une population islamiste se considère conquérante, agressant violemment des personnes. Une tranche de vie somme toute banale de nos jours dans une France de plus en plus islamisée…

 

Source : medias-presse.info