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jeudi, 13 octobre 2016

C'est sûr, Poutine se prépare à la guerre nucléaire avec l'Europe, s'affole la presse britannique

Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2016

© Capture d'écran Daily Star
 

Des tabloïds britanniques citant une source russe affirment que si les proches des responsables russes vivant en Europe sont priés de rentrer fissa en Russie, c'est pour que Moscou puisse y porter une frappe nucléaire.

 

Un mystérieux rapport, dont l'authenticité n'a pas été vérifiée, publié par le tabloïd britannique Daily Star, serait l'objet de tous les fantasmes depuis quelques jours : s'appuyant sur des présumées sources russes anonymes et citées par le site znak.com, basé en Russie, le rapport révèle que le président russe serait sur le point de déclencher une attaque nucléaire contre l'Occident !

Et pour cause : Znak.com, basé dans l'Oural, affirme citer cinq officiels unanimes quant aux recommandations qui leur auraient été faites concernant leurs familles expatriées. Ainsi, les étudiants russes inscrits dans des universités étrangères seraient contraints d'exiger leur transfert dans des universités russes pour poursuivre leurs études. Les personnes âgées qui envisageaient de couler leurs vieux jours en Occident seraient également priées de revenir dans des maisons de retraite en Russie. 

Selon le Daily Star, ces révélations trahissent des manœuvres en cours qui n'ont qu'un but : que Moscou puisse librement procéder à son attaque nucléaire. Le Kremlin n'y serait pas allé de main morte pour s'assurer que ses recommandations ont été prises à la lettre : les officiels auraient intérêt à être convainquant avec leurs proches, sous peine d'être pénalisés dans leur carrière.

Il en faut décidément peu pour que les tabloïds britanniques se mettent à imaginer le grand méchant Vlad armé d'ogives et prêt à frapper leur Royaume ! Alors que le Kremlin a nié ces allégations par le biais de son porte-parole, Dmitry Peskov, qui affirme n'avoir jamais entendu une telle rumeur, le titre de l'article citant le rapport ne manque pas de piment : «La Russie rappelle en urgence les familles de ses officiels à l'aube de la 3e guerre mondiale». 

What's he planning? Vladimir Putin 'recalls relatives of officials living abroad' http://bit.ly/2dKtGSO 

Cette théorie a visiblement du succès Outre-Manche puisqu'un autre tabloïd britannique, le Daily Mail, a également repris la rumeur. 

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Russia orders all officials to fly home any relatives living abroadhttp://dailym.ai/2dvirIA

 

Source : francais.rt

Millau (12) : départs d’incendie dans 3 églises (Màj : 6 mois de prison pour le déséquilibré marocain multirécidiviste)

 Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2016

Par le 12/10/2016

12/10/2016

Un homme de 22 ans, qui avait allumé des incendies dans deux églises de Millau (Aveyron) et tenté d’en allumer un troisième avant d’être interpellé, a été condamné aujourd’hui à six mois de prison ferme par le tribunal de Rodez.

Le tribunal correctionnel a, par ailleurs, révoqué deux mois de sursis auxquels le prévenu avait été condamné dans une précédente affaire, et assorti la condamnation d’un suivi socio-judiciaire avec obligation de soin pour une durée de 5 ans.

[...] Le prévenu a déjà été condamné à trois reprises pour de faits similaires – feux de poubelles, notamment – et est hospitalisé depuis le 21 septembre 2016, date de la première audience.

[...] Le psychiatre chargé de l’expertise a fait état d’une altération du discernement du prévenu au moment des faits, sans qu’il soit pour autant aboli, et évoqué « une personnalité mégalomaniaque, un sentiment de puissance déclenché par l’allumage des incendies avec un fort risque de récidive ».

Le Figaro


26/09/2016

Le jeune homme de 22 ans, de nationalité marocaine, était déjà connu de la justice pour des départs de feux volontaires commis à Paris et à Millau.

(…) Le Midi Libre

Poutine ne viendra pas : Hollande joue contre la France ...

Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2016

Hollande bombe le torse et, telle la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf, fanfaronne d'une façon grotesque, jouant les durs, les forts, lui qui est mou et faible. Mais, comment des dirigeants peuvent-ils à ce point perdre le contact avec le réel pour ne plus avoir le sens - à défaut de l'intérêt national - au moins du ridicule ?

Initialement, une visite du président russe était prévue à Paris, pour l'inauguration de la cathédrale orthodoxe russe édifiée tout à côté de la Tour Eiffel.
 
La France, et l'Europe, ont besoin de l'alliance russe : une Eurasie, de Brest à Vladivostok, est une nécessité pour contrebalancer à la fois les puissances émergentes (d'ailleurs, pour certaines, déjà largement émergées ...) comme la Chine, l'Inde etc... mais aussi nos excellents amis de la Maison-Blanche, un endroit d'où l'on a presque constamment, tout au long de son histoire, « joué contre » la France.
 
Or, François Hollande veut masquer son impuissance dans la crise syrienne : mais il en est le premier responsable - et coupable - par ses préjugés et son hostilité immodérée envers le régime de Bachar el Assad depuis le début de la guerre civile en Syrie. Il est stupéfiant de voir un dirigeant politique se laisser aveugler à ce point, au point de ne plus voir ce qui pourtant crève les yeux : il ne s'agit pas de faire d'Assad un modèle, mais de constater froidement et lucidement qu'il lutte sur le terrain contre l'Islam radical terroriste et, de fait, protège les minorités (dont les Chrétiens) contre la marée montante de l'islam-islamisme qui, au Moyen-Orient, submerge tout.
 
Il y a quelques mois, Hollande-s'en-va-t-en-guerre s'était même couvert de ridicule lorsque, boutefeux irresponsable et presque puéril, il allait partir attaquer la Syrie avec... Obama ! Moins  aveugle - ou mieux conseillé... - que son homologue français, Obama s'était prudemment récusé à la dernière minute, laissant Hollande, embourbé pitoyable, opérer un « marche arrière toute » en catastrophe, offrant au monde un spectacle ravageur pour notre diplomatie et notre image de marque.
 
Depuis Hollande et son sérail ressassent leur rancoeur et recuisent dans le jus d'une impasse où ils se sont mis eux-mêmes et qui, par définition, ne mène nulle part; et répètent, tels des perroquets, les mêmes mots et phrases grandiloquentes sur les « crimes de guerre », la « honte pour l'humanité » et autres incongruités du même tonneau, qui les coupent des réalités et les condamnent à l'impuissance. Ce qui ne serait pas bien grave s'il ne s'agissait que d'eux; mais, il s'agit de la France, de son image dans le monde, et du rôle qu'elle pourrait jouer - et ne joue pas - dans l'aire moyen-orientale à côté de ses alliés naturels, que tout lui désigne : en l'occurrence, ici, la Russie...
 
A cela s'ajoute le sectarisme idéologique du Système, incarné justement par Hollande : lorsque la visite de Poutine était encore prévue, Hollande avait fait savoir qu'il n'accompagnerait pas le président russe à la cathédrale; et, véritable affront diplomatique, il convoquait presque le président russe à l'Elysée, pour parler... de la Syrie ! C'est sa version à lui - aux petits pieds - de « la dépêche d'Ems », en quelque sorte !
 
Gageons que, s'il s'était agi d'inaugurer une mosquée, c'est tout le gouvernement au grand complet qui aurait été là, président en tête. Et notre Juppé-le-gauche, Juppé-l'Islam aurait certainement fait le voyage depuis Bordeaux !
 
Mais là, il ne s'agit que d'une cathédrale chrétienne, et que des intérêts de la France : alors, vous comprenez bien qu'en haut lieu on s'en fiche éperdument !
 

mercredi, 12 octobre 2016

Incivilités, rentrée chaotique... la colère gronde au lycée Brémontier de Bordeaux

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2016

Publié Mis à jour à par Denis Lherm

 

Les professeurs sont en grève au lycée Brémontier
Les professeurs sont en grève au lycée Brémontier ©
FABIEN COTTEREAU

Plusieurs professeurs de l'établissement sont en grève ce jeudi. Ils dénoncent une rentrée particulièrement troublée, pas seulement sur le plan scolaire

Plusieurs enseignants du lycée Brémontier, dans le quartier de Nansouty, à Bordeaux, sont en grève ce jeudi. Ils entendent protester contre une "rentrée chaotique" et une recrudescence des incivilités dans l'établissement.

 

Classes annoncées puis supprimées, emplois du temps modifiés plusieurs fois depuis la rentrée, heures d'enseignement enlevées à certains professeurs et données à d'autres, élève poussés à prendre des options qu'ils ne souhaitent pas, lycéens dont les enseignants changent... Les griefs ne manquent pas pour les enseignants qui font piquet de grève devant les portes du lycée depuis ce jeudi matin, cours de l'Yser.

Ils dénoncent aussi un climat marqué par un grand nombre d'incivilités : insultes, lycéennes harcelées, dégradation de locaux.

La rédaction vous conseille

Le syndicat SE Unsa, qui soutien les grévistes, évoque lui "les multiples et profonds dysfonctionnements de la rentrée qui empêchent les élèves et enseignants de travailler sereinement. Nous dénonçons aussi les graves incivilités quotidiennes".

Selon la proviseure du lycée, Bernadette Bazat, les prévisions d'effectifs réalisées en janvier 2016 pour la rentrée de septembre permettaient de tabler sur un plus grand nombre d'élèves. La proviseure reconnaît que certains réajustements d'organisation qui se font en général avant la rentrée de septembre ont eu lieu cette année avec du retard.

Expérience de mixité

Mais surtout, elle évoque une expérience en cours, qui consiste à mélanger les secondes du lycée professionnel avec celles du lycée général, pour une plus grand mixité sociale. "Or, les secondes pro sont plus agités, ils parlent fort, sont plus expansifs, ce à quoi les enseignants du lycée général ne sont pas habitués".

Traditionnellement, les sections générales et professionnelles sont toujours physiquement séparées.

Bernadette Bazat dit comprendre la grogne des enseignants. S'il se confirme qu'elle se passe mal, l'expérience de la mixité sociale ne sera pas reconduite l'année prochaine.

 
Source : sudouest

La fuite des surveillants pénitentiaires

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2016

Les récents incidents dans les prisons françaises ont révélé aussi la déprime des matons. Au point de pousser nombre d’entre eux à la démission. Enquête.

 

Un surveillant de la prison de Réau, en Seine-et-Marne (Sipa press)

Le sourire est large et la démarche conquérante. Les acteurs du dernier spot publicitaire del’administration pénitentiaire incarnent l’image d’un surveillant de prison épanoui. Et "fier", martèle la voix off. Une mise en scène qui semble très éloignée de la réalité comme en témoigne la mutinerie survenue à la maison centrale de Valence, le 25 septembre. Trois détenus ont agressé deux gardiens avant de s’emparer des clefs de l’un d’eux, d’ouvrir plusieurs cellules et de mettre le feu à des matelas.

La surpopulation des prisons, le manque de personnel, les budgets serrés sont à l’origine de plusieurs maux de l’univers carcéral. Des maux qui donnent le blues aux surveillants pénitentiaires, des maux qui les font fuir. Comme annoncé dimanche dernier dans le JDD, 1.000 postes, sur les 38.000 existants, sont vacants à l'administration pénitentiaire. Malgré des salaires plutôt attractifs, de nombreux surveillants quittent leur emploi.

«Je n'ai connu en 22 ans de carrière que des désillusions»

Pour O.P, qui a souhaité conserver l’anonymat, quitter son poste était devenu vital. "Au fil des années, j’ai eu une sensation de ras-le-bol. C’est un travail très compliqué où l’on fait bien souvent des sacrifices familiaux, où l’on est isolé socialement", confie-t-il. Cet homme de 28 ans a changé d’administration pour devenir douanier, et il s’en réjouit : "Le changement a été radical. Dans mon nouveau métier, j’ai une certaine reconnaissance alors qu’avant j’étais dévalorisé." Le terme se retrouve également dans la bouche d’un ancien surveillant pénitentiaire, devenu agent immobilier en Charente-Maritime : "Je n'ai connu en 22 ans de carrière, si on peut appeler ça carrière, que des désillusions, des déceptions, des dévalorisations. Je le dis sans aucune retenue : 22 ans de ma vie perdus." L’agent immobilier ajoute que "la hiérarchie est incompétente, cynique et systématiquement prête à vous sanctionner." Aux yeux des deux hommes, être surveillant pénitentiaire n’est une vocation pour personne.

Lire aussi : Les mauvaises ondes carcérales

"Toute la journée on trime, toute la journée on se fait insulter"

Les gardiens fuient les prisons et le recrutement piétine. 26.734 personnels de surveillance sont en poste pour 77.291 personnes écrouées en France, et ce n’est clairement pas assez pour Bernard Cabon, un ancien gardien de la maison centrale d'Ensisheim (Haut-Rhin), désormais représentant syndical de l’UFAP-UNSA Justice. Le syndicaliste décrit un métier épuisant, avec un rythme infernal et des heures supplémentaires à outrance. L’intérêt du travail ne compense pas cette lourde charge : "Toute la journée on trime, toute la journée on se fait insulter", déplore-t-il. D’après le récent rapport au parlement du ministre de la Justice, Jean-Jacques Urvoas, sur l’encellulement individuel, l’administration pénitentiaire comptait 306 départs volontaires chez les surveillants en 2014, 361 en 2015. Et 10% des nouveaux gardiens quittent leur travail dans les trois ans suivant leur recrutement. Un abandon du métier qui n’étonne pas Bernard Cabon : "Je comprends les gens qui démissionnent, où est l’attractivité du travail?" Pas dans le salaire, une jeune recrue touchera environ 1.500 euros brut.

«Tous les problèmes qu’on vit dans la taule, on les ramène chez soi»

Le blues des gardiens n’a pas épargné le journaliste et écrivain Arthur Frayer, qui a enquêté au cœur des prisons en 2009, après avoir passé le concours de surveillant pénitentiaire. L’auteur de Dans la peau d’un maton avoue même avoir arrêté son reportage plus tôt que prévu, à bout. "Ouvrir des cellules, les refermer, envoyer les détenus au parloir, à la douche, en promenade...", les tâches en apparences simples se compliquent grandement avec la surpopulation carcérale et les conflits permanents avec les détenus. "Tous les problèmes qu’on vit dans la taule, on les ramène chez soi, livre Arthur Frayer. La prison nous habite."

Julia Kadri - IEJ - leJDD.fr

mardi 11 octobre 2016

 

Source : lejdd