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lundi, 17 octobre 2016

RÉINFO DU 17 OCTOBRE 2016

Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2016

Réinfo, journal d’information bimensuel du Parti de la France, présenté par Sylvie Collet.


Bienvenue pour ce nouveau numéro de Réinfo, le journal d’information du Parti de la France, du 17 octobre 2016.
Au sommaire de ce numéro :
  • François Hollande. Ou suicide politique annoncé. Le livre d'entretien paru cette semaine, place en pleine lumière, s'il en était besoin, la bêtise et l'irresponsabilité de celui qui nous gouverne. Ses derniers soutiens à gauche jettent l'éponge.
  • Primaire de droite. Un show à l'américaine sans grand intérêt politique. Des mesurettes présentées par des saltimbanques, pas de proposition de fond, pas de vision étatique digne d'un chef d'état et quelques règlements de compte qui n'auront pas permis de redonner une bonne image de la politique.
  • Le cas Jaber Al-Bakr. L'histoire d'un réfugié syrien qui retourne passer ses vacances dans son pays en guerre, avant de revenir préparer un attentat. Ou la réalité de ce qu'est l'espace Shengen, une fumisterie qui non content d'être inefficace, met aujourd'hui, tous les européens en danger.
  • Visite du Président russe. Les déclarations de François Hollande transforme la visite officielle de Vladimir Poutine en France, en crise diplomatique, confirmant une fois de plus l'irresponsabilité du chef de l'état français. C'est donc à notre grande honte, que le Président de la Fédération de Russie a annulé sa visite à Paris, pour l'inauguration officielle du Centre culturel et religieux orthodoxe du quai Branly.
Et pour finir, l’actualité du parti de la France et les prochains rendez-vous du mouvement.

Le Grand Remplacement : Manif d’Africains dans Paris : « Y en a Marre des Français » – Squattée par les migrants, Paris n’est plus ce qu’elle était (Vidéos)

Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2016

(Vidéo) Squattée par les migrants, Paris n’est plus ce qu’elle était

14725460_595444373991438_2863864926162258615_n LE 16 OCTOBRE 2016

paris-stalingrad-2016-448x293The Paris you know or remember from adverts or brochures no longer exists. While no part of Paris looks like the romantic Cliches in Hollywood movies, some districts now resemble post-apocalyptic scenes of a dystopian thriller. This footage, taken with a hidden camera by an anonymous Frenchman in the Avenue de Flandres, 19th Arrondissement, near the Stalingrad Metro Station in Paris as well as areas in close proximity, shows the devastating effects of uncontrolled illegal mass immigration of young African males into Europe.If it weren’t for the somewhat working infrastructure, the scene might as well have been the setting of movie shooting – or a slum in Mogadishu. The streets are littered in garbage, the sidewalks are blocked with trash, junk and mattresses, thousands of African men claim the streets as their own – they sleep and live in tents like homeless people.If no portable toilets are in reach, open urination and defecation are commonplace. Tens of thousands of homeless Illegal immigrants, undocumented or waiting for a decision of their asylum application, waste away trying to pass the time in the city. Although their prospects of being granted asylum as Africans are bleak, they’re hoping for a decision that would grant them an apartment, welfare and make France their new home.https://linsoumis.fr/index.php/2016/10/14/manif-dafricain...

 

The conditions are absolutely devastating. The police have given up trying to control these areas, the remaining French people avoid the areas at all cost, crime and rape is rampant, just recently mass brawls and riots made the news as fights broke out near the Stalingrad metro station.

If current trends continue and the French become minority in their own capital in even more areas, scenes like this might spread to areas frequented by tourists, forever changing the last romantic parts of Paris that match what most people have in mind when they think of the iconic city.

Source : http://lesobservateurs.ch/2016/10/15/squattee-migrants-pa...

Manif d’Africains dans Paris : « Y en a Marre des Français »

Les manifestants sont coordonnés par la CSP 75, une association aidant les clandestins.

La CSP 75 organise une manifestation chaque semaine, le vendredi, en plein centre de Paris, sur la place de la République.

France : la Mairie de Paris subventionne l’aide aux migrants… en Méditerranée pour les amener en Italie !

5800c84cc3618861698b48a9Lors du Conseil de Paris du 26 septembre dernier, la majorité des élus parisiens a voté en faveur de l’attribution d’une subvention d’un montant de 105 000 euros à trois associations, parmi lesquelles SOS Méditerranée. Cette dernière, basée à Marseille, effectue des «interventions au plus proche des zones de détresse se situant au large des côtes libyennes». Objectif affiché sur son site internet : venir en aide aux embarcations de migrants en détresse afin de les «ramener à terre en Italie».Proposé par Patrick Klugman, adjoint aux Relations internationales d’Anne Hidalgo, ce soutien financier sera versé dans le cadre de l’action internationale de la Ville de Paris, destinée à «soutenir le rayonnement de la capitale à l’étranger». Une subvention haut de gamme en quelque sorte, les subventions classiques étant soumises à des règles strictes (l’association concernée ne doit pas poursuivre d’objectif politique, doit servir «l’intérêt public local»…) La France est d’ailleurs le seul pays à verser des subventions à l’association SOS Méditerranée (…)
Source :https://francais.rt.com/france/27597-mairie-paris-subventionne-aide-migrants-mediterranee#.WADb62ydrIU.twitt
Source : leblogalupus

DIMANCHE 16 OCTOBRE 2016 : LE PDF À LA MANIF POUR TOUS

Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2016

Dimanche 16 octobre à Paris, les défenseurs de la famille traditionnelle battaient le pavé pour demander l'abrogation de la loi Taubira autorisant les invertis à célébrer des parodies de mariages dans les mairies.

Ce thème fédérateur a rassemblé le Président du Parti de la France, Carl Lang, Alexandre Gabriac (Civitas) et Robert Ménard (maire de Béziers), unis derrière la même banderole.
Voir les photos dans la galerie photos.

Manif pour Tous : Carl Lang, Robert Ménard et Alexandre Gabriac derrière la même banderole réclamant l'abrogation du mariage homosexuel

 

Manif pour Tous : Carl Lang, Robert Ménard et Alexandre Gabriac derrière la même banderole réclamant l'abrogation du mariage homosexuel

 

dimanche, 16 octobre 2016

Les policiers au bord de la rupture...

Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2016

Frédéric Ploquin

La colère ne cesse d'enfler dans les rangs des policiers, après l'agression de quatre d'entre eux dans l'Essonne. Ils dénoncent un manque de moyens et de personnel. Ils pointent aussi du doigt l'abandon du renseignement sur le terrain.

 
Une autre guerre a-t-elle commencé en lisière de la cité de la Grande-Borne, dans l'Essonne, ? En tout cas il semble désormais que l'opinion, comme la presse, se soient habituées à voir des policiers ou des gendarmes blessés chaque week-end dans l'exercice de leurs fonctions. «Guet-apens» et «caillassage» sont des mots qui sont entrés le langage quotidien des commissariats situés à proximité de ces ghettos où la loi de la drogue est souvent plus forte que celle de la République. Mais, cette fois, un nouveau seuil a été franchi. Et le moins que l'on puisse dire est que les policiers sont furieux. «Près de la rupture, dit l'un d'eux, celle après laquelle on ne voudra plus mourir pour le pays, faute de se sentir soutenus par l'Etat. Aucun collègue n'ose plus sortir son arme de service de peur d'être emmerdé par l'administration...»

Sécuriser une caméra

Cet après-midi-là, dans ce département de la grande couronne éloigné des centres de décision, bien que le Premier ministre, Manuel Valls, en soit l'un des élus, deux voitures de police sont positionnées pour protéger un poteau au sommet duquel a été installée une caméra de vidéo-surveillance, à l'initiative de la mairie de Viry-Châtillon. Pourquoi mobiliser deux voitures et quatre fonctionnaires pour sécuriser une caméra ? Parce qu'elle filme les alentours de ce carrefour du Fournil, connu de plusieurs générations de flics, depuis la construction de la cité de la Grande-Borne. Un carrefour où les CRS s'étaient déjà fait tirer dessus lors des émeutes de 2005 et où prospèrent, selon un connaisseur, «vols à la portière, agressions, échange de marchandises volées et trafic de stupéfiants». «Dans le coin, soupire un gardien de la paix, on surveille bien les engins de chantier, alors pourquoi pas une caméra ?» Des inconnus ont d'ailleurs tenté une première fois de scier le poteau, manière de sécuriser «leur» territoire. Comme cela n'a pas suffi, une voiture bélier a été utilisée ensuite, sans plus de résultat. C'est depuis ce jour que deux voitures protègent le périmètre, alors que des plots en béton ont été installés autour du poteau et de la caméra.

Fleuron de l'innovation Volkswagen, la Passat GTE allie les avantages du thermique et de l'électrique pour une autonomie et...

Samedi, les chefs n'ont rien vu venir, probablement obnubilés par la première préoccupation : le terrorisme. Et c'est en plein après-midi que le commando, composé d'une quinzaine de personnes, est passé à l'action. Un raid «organisé et prémédité», selon un témoin. «Une minute d'extrême violence», confie un autre. Des jeunes cagoulés, venus pour «bouffer du flic», auraient jeté des projectiles pour casser les vitres de l'une des voitures - à l'intérieur de laquelle se tenaient un adjoint de sécurité (ADS) de 28 ans et une brigadière fraîchement débarquée de la région lyonnaise - avant d'y lancer un cocktail Molotov qui a aussitôt incendié l'habitacle, puis la tenue des fonctionnaires. L'autre équipage de policiers aurait juste eu le temps de s'extraire de son véhicule avant qu'un deuxième engin incendiaire n'y mette le feu, et que s'engage un bref face-à-face avec les assaillants, qui vont prendre la fuite en empruntant un souterrain tout proche. Un acte de guérilla urbaine destiné à protéger le «bizness», perpétré par des criminels .

« Il y a des quartiers où on ne peut pas entrer à moins de 30 »

Depuis, les mauvaises nouvelles s'accumulent au sujet de l'état de santé du jeune ADS, le plus touché des quatre, ce qui plonge ses collègues dans une colère noire. Les uns parlent d'un «acte de terrorisme», à l'instar de Denis Jacob (secrétaire général d'Alternative police CFDT), la tentative d'assassinat ne faisant à ses yeux aucun doute. D'autres font le procès des choix de la hiérarchie, comme Nicolas Comte, secrétaire général d'Unité SGP Police FO. «Ce n'est pas un problème d'effectifs, mais d'approche, dit-il. On est employés à des tâches sans rapport avec notre métier. Les collègues veulent faire leur boulot !» «Il faut refaire du renseignement», dit un officier, navré que l'Etat ait lâché sur ce terrain après les émeutes de 2005. «Oui, clame un brigadier, fâché contre les discours de la classe politique, il y a des zones de non-droit. Ce sont des quartiers où on ne peut pas rentrer à moins de 30, où les pompiers et les médecins ne viennent pas sans être accompagnés par des policiers.» Dans les rangs, certains ne cachent pas leur envie d'en découdre avec ces agresseurs, mais ils en resteront (pour le moment) aux intentions.

Les mots forts de Manuel Valls et l'indignation affichée par Bernard Cazeneuve ne sont pas très audibles. Surtout quand le ministre de l'Intérieur parle de «sauvageons» alors qu'ils ont vu, eux, des assassins. «Vous avez raison de réclamer des renforts et du matériel», leur disent-ils, mais l'essentiel des efforts de l'Etat, depuis près de deux ans, porte sur les services spécialisés en première ligne face au terrorisme. Le «service général», comme on appelle la Police Secours, «a toujours été la dernière roue du carrosse», rappelle un fonctionnaire en poste dans ce département du sud de la capitale. Les voitures ont toutes plus de 140 000 km au compteur, quand elles ne sont pas au garage, mais ils feraient avec s'ils avaient le sentiment qu'on leur donnait les moyens de renverser le rapport de forces dans ces cités où ils sont en situation de faiblesse. «On ne tape pas où ça fait mal, l'économie souterraine, se plaint notre interlocuteur. On s'occupe de la surface des choses et on protège des caméras, des personnalités et des édifices religieux. Et, pendant ce temps-là, ils nous attaquent frontalement.»

La machine tourne à vide

A les entendre, ces fonctionnaires ne demandent qu'à travailler, mais la machine tournerait à vide, déconnectée de la réalité du terrain. Sans compter cette justice sur laquelle ils tombent à bras raccourcis, fustigeant ce qu'ils considèrent comme «l'impunité» dont jouiraient ceux qui s'en prennent à eux, et qui renforce encore le sentiment d'abandon qui couve dans les rangs. «Face aux violences que nous subissons, notre parole est systématiquement remise en question par les juges», glisse l'un d'eux. Puis il y a ces ingrédients plus locaux, ceux qu'on se raconte en faisant le guet sur cette D 445 qui traverse Grigny, où les élus de Viry-Châtillon n'ont jamais prisé la vidéosurveillance. Pourquoi les chefs n'ont-ils pas opté pour une protection «dynamique» de ce carrefour, alors que les provocations se multipliaient à l'encontre des statiques ? «Cette attaque est quelque chose que l'on aurait pu éviter en faisant les bons choix sur le terrain», assène Philippe Capon, secrétaire général de l'Unsa Police. Une pierre dans le jardin du préfet de police de Paris et de la direction centrale de la sécurité publique, qui se partagent ce territoire d'Ile-de-France, les effectifs et le matériel pour le premier, l'opérationnel pour la seconde...

 

Source : marianne

 

samedi, 15 octobre 2016

A Lectoure (Gers), grande maison cherche à accueillir famille nombreuse de migrants

Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2016

  • Vincent Albinet
  • Publié le ,

Alors qu'en Haute-Garonne les municipalités de Saint-Gaudens ou de Villemur-sur-Tarn refusent d'accueillir des migrants, à Lectoure (Gers) l'association "Solidarité migrants en Lomagne" a acquis et rénové une grande bâtisse du centre ville pour y héberger une famille nombreuse de réfugiés.

 
Deux membres de l'association "Solidarité migrants Lomagne" devant la maison qui accueillera bientôt une famille de réfugiés © Michel Pech/France 3 Midi-Pyrénées

© Michel Pech/France 3 Midi-Pyrénées Deux membres de l'association "Solidarité migrants Lomagne" devant la maison qui accueillera bientôt une famille de réfugiés

 
Dans l'ex-région Midi-Pyrénées, il y a ceux qui ne veulent pas voir de migrants s'installer sur le territoire de leur commune. C'est le cas à Saint-Gaudens (31) et à Villemur-sur-Tarn (31).

Mais il y a aussi ceux qui n'ont pas perdu le sens de l'hospitalité. Comme à Luchon (31) où le maire Louis Ferré considère qu'il est du devoir des communes françaises d'accueillir les migrants.  Comme également à Lectoure où une l'association "Solidarité migrants en Lomagne" s'est constituée l'été dernier après un ciné débat sur les migrants. Une trentaine de personnes s'étaient alors engagées, "sans aucun lien avec la politique" à "faire quelque chose pour les migrants". 

Une immense maison de 240 m²
est alors acquise en plein centre ville par un couple d'adhérents qui la donne en usufruit à l'association. Laquelle prend a pris en charge l'électricité et les coups de peinture nécessaires à rafraîchir la jolie bâtisse. Les adhérents ont aussi récoltés meubles et vaisselle pour équiper le lieu.


Aujourd'hui, cette demeure comprenant plusieurs chambres est suceptible d'accueillir une famille nombreuse de réfugiés. "Solidarité migrants en Lomagne" a effectué les démarches en ce sens auprès de la préfecture. Le directeur départemental de la cohésion sociale et de la protection des populations, que des membres de l'association ont rencontré ce jeudi, a donné son accord pour faire venir sur place une famille de migrants.

L'association s'est engagée à payer les frais d'hébergement de la famille. "Solidarité migrants Lomagne" ne sait pas encore si la dite famille sera constituée de réfugiés meurtris par la guerre, un régime totalitaire, la crise économique ou les trois à la fois. Mais en Lomagne, terre citoyenne d'accueil, cette famille est la bienvenue.

Voir en vidéo le reportage de Michel Pech et de Frédéric Desse :
La petite ville gersoise de Lectoure a le sens de l'hospitalité. Une association s'est créée pour rénover une maison et y installer une famille nombreuse de réfugiés