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mercredi, 15 février 2017

Saint-Denis (93) : l’université musulmane veut doubler sa capacité d’accueil

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2017 

 

Hebergeur d'image

Quelques étudiants discutent calmement dans le dédale de couloirs étroits. D’autres se concentrent sur leur copie, dans les salles de classe. Dans la minuscule bibliothèque tapissée d’ouvrages, c’est la même ambiance studieuse. Janvier est une période d’examens à l’Institut européen des sciences humaines (IESH) de Saint-Denis.

Son nom ne le dit pas, mais l’établissement est l’un des principaux centres de formation musulmans privés en France, et dispense des cours de langue arabe et de théologie à des étudiants post-bac. Il est installé depuis 2001 dans les anciens locaux d’une entreprise de matériel photographique, boulevard de la Libération. Mais les bâtiments, situés entre la gare SNCF et la Seine, sont devenus trop étroits, à en croire Ahmed Jaballah, fondateur de l’Institut (et ancien président de l’Union des organisations islamiques de France).

En quinze ans, souligne-t-il, l’IESH est passé de 180 inscrits à près de 1 500, parmi lesquels de jeunes étudiants, mais aussi un public plus âgé d’imams, de responsables associatifs…

La direction de l’établissement veut donc s’agrandir, avec un projet d’extension et de rénovation estimé à plus de 10 M€. D’après Ahmed Jaballah, le futur campus permettrait de doubler la capacité d’accueil. « Nous ne pouvons pas actuellement satisfaire la forte demande d’inscriptions car nous manquons de salles de cours et de bureaux. Notre salle de conférences est trop petite, tout comme notre bibliothèque qui rassemble 17 000 ouvrages », énumère le doyen.

Le projet prévoit la construction de deux nouveaux bâtiments. L’un dédié à l’enseignement, avec un auditorium et un amphithéâtre. Le second, plus petit, pourrait être loué pour des activités tertiaires (bureaux, librairie, salle de sport, centre médical…), et constituer une source de revenus pour l’association gérant l’IESH. Celle-ci indique aujourd’hui s’appuyer principalement sur les frais d’inscription pour couvrir ses dépenses de fonctionnement. Mais elle doit en appeler aux dons pour boucler son budget — une quarantaine de professeurs, salariés, vacataires ou bénévoles travaillent au sein de l’IESH. Mais elle semble optimiste sur sa capacité à financer les travaux à venir.

Aucune demande de permis de construire n’a encore été déposée, même si des discussions ont été amorcées dès 2011 avec les services techniques de la ville, « Des détails techniques restent à régler », indique l’IESH. La municipalité, qui a refusé de répondre à nos sollicitations, a toutefois indiqué ne pas s’opposer à la délivrance du permis de construire si le projet s’il respecte les règles d’urbanisme.

Dans l’immédiat, l’association a acquis un pavillon à La Courneuve, pour y loger quelques étudiants. A Saint-Denis, dans le meilleur des cas, les travaux pourraient démarrer fin 2018. Les premiers visuels laissent entrevoir des bâtiments tout en hauteur, censés pousser au cœur d’un quartier lui-même en pleine rénovation. Ahmed Jaballah défend l’idée d’un lieu « ouvert sur la société civile et son environnement social », « aux Musulmans comme aux non-Musulmans ». (…)

Source

 

Source  2 : fdesouche

Le gouvernement socialiste tente de minimiser le bilan des émeutes

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2017

14 février 2017 par Pierrot

Selon le rapport confidentiel du préfet de police de Paris que s’est procuré Le Figaro, au moins 50 incidents dans une trentaine de communes en Île-de-France ont été recensés dans la nuit du 12 au 13 février, dont des violences sur policiers. Une «violence contenue» dans un «climat tendu»? C’est le moins que l’on puisse dire à la lecture de la dernière synthèse des faits de violence urbaine transmise par le préfet de police de Paris au ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux. Le Figaro a eu connaissance de ce document confidentiel, qui brosse sans fioritures le portrait d’une nuit d’émeute dans l’agglomération parisienne. Des événements survenus entre le 12 au 13 février et qui sont, pour l’essentiel, directement liés au climat inquiétant régnant dans les banlieues depuis l’affaire du viol présumé du jeune Théo, lors d’un contrôle d’identité le 2 février dernier, à Aulnay-sous-Bois. Ils témoignent de la difficulté du métier de policier mais aussi de l’implication des forces de sécurité dans ce combat harassant contre des délinquants souvent très jeunes qui pratiquent une forme de harcèlement en bandes organisées.

Première surprise: le bilan global des incidents de la nuit pour la seule région parisienne est sans rapport avec les informations délivrées au compte-gouttes par le ministère de l’Intérieur.


 lire la suite : contre-info

L’armée de terre communique pour la Saint-Valentin

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2017

14 février 2017 par Pierrot

L’armée « française » s’est fendue d’un post sur Facebook à l’occasion de la Saint-valentin… Ça devient très lourd, non ?

Source : contre-info

Vendredi 17 février : CARL LANG À CHATELLERAULT

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2017

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mardi, 14 février 2017

300 personnes défilent contre la police à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 14 février 2017

 

Un rassemblement en soutien à Théo, jeune habitant d’Aulnay-sous-Bois victime de violences policières après qu’il se soit violemment débattu lors de son arrestation, le 2 février dernier a eu lieu cet après-midi à Toulouse. La manifestation, qui s’est élancée à 15 heures de la place du Capitole a réuni 300 personnes qui ont déambulés jusqu’au quartier des Arènes, interrompant le trafic du tramway.

Suivis de près par plusieurs dizaines de policiers, les manifestants ont défilé le long de la Garonne avant de rejoindre la rive Gauche, Fer à Cheval puis les Arènes. Au cri de « Justice pour Théo », « Pas de justice, pas de paix », la foule composée majoritairement de jeunes militants d’ultragauche est allé jusqu’à scander « Policier suicidaire à moitié pardonné ». Des propos insultants et diffamants sur les policiers qui résument la violence quotidienne et l’hostilité d’une partie de la population. A en voir les pancartes « ACAB » (qui signifie « All Cops Are Bastards », traduisez par « Tous les flics sont des enc****) qui fleurissent le cortège, la tension était à son paroxysme.

Aucun incident majeur n’a été signalé et la manifestation s’est dispersée dans le calme mais sous surveillance aux Arènes.

 

Source : infos-toulouse