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jeudi, 09 février 2017

Inadmissibles violences d'Aulnay-sous-Bois : les journaleux ont choisi leur camp, « l’évangile selon saint Théo »

 

« Qu’est-ce qui a motivé cette interpellation ? » Voilà la bonne question, celle par quoi il faut commencer, la seule qui vaille d'être posée : elle l'est ce matin du mercredi 8 février, sur France info, par un syndicaliste policier ; presque une semaine après !

Il n'y a pas encore de faits absolument et intégralement établis dans ce que l'on peut appeler « l’affaire d’Aulnay », car tout bouge tout le temps et France info nous apprend même qu'une personne chargée de l'enquête n'a pas encore visionné la totalité des vidéos ! On ne peut donc pas - pas encore... - prendre une position définitive et adopter la réaction qu'elle induit, puisqu'on ne sait pas encore avec certitude qui a tort, qui a raison ; qui dit la vérité, qui ment ; qui a fait quoi, et pourquoi.

Mais la cléricature médiatique n'en a cure : elle a déjà tout fait : le procès, la condamnation (des policiers, évidemment), et la béatification-canonisation de « Théo », adopté par l'ensemble des journaleux et appelé uniquement ainsi, affectueusement « Théo », alors que, normalement, toute personne possède un nom et un prénom, non ?

Dans l'état actuel des choses, il semble seulement avéré que, au cœur de « la cité des 3.000 » d'Aulnay, connue pour du trafic de stupéfiants, quatre policiers patrouillent, le jeudi 2 février, quand une dizaine d'individus poussent le cri bien connu : « ça pue », qui avertit les guetteurs de l'arrivée des forces de l'ordre.

Les quatre agents parviennent à contrôler une dizaine de personnes sur les lieux. L'une refuse et rapproche son visage d'un des policiers en geste de défi. Le policier repousse l'individu fermement, et c'est à ce moment précis que le « jeune » - finalement interpellé - aurait attrapé l'un des policiers par le col, puis lui aurait tenu, en criant, des propos injurieux ; il lui aurait donné un coup de poing sur la pommette gauche. Les quatre agents décident alors de le prendre à part pour l'interpeller. L'un d'entre eux le ceinture mais le jeune homme se débat « très violemment ». C'est à ce moment-là qu'un des agents aurait sorti sa matraque télescopique « pour frapper Théo aux jambes », « pour l'empêcher de donner des coups de pieds ».

Après, il est clair qu'il s'est passé quelque chose. Il est non moins clair qu'il faut attendre que Justice et Police établissent définitivement la matérialité des faits avant de réagir. 

Cependant, on peut d'ores et déjà affirmer deux choses.

1. La réaction tribale des « jeunes » des cités est absolument inadmissible, et montre une fois de plus à quel degré de décadence nous en sommes arrivés. Les nuits de destruction systématique de mobilier urbain (que nous payons par nos impôts), d'incendie de véhicules particuliers (appartenant à des gens qui n'ont rien à voir avec « l’affaire ») le font comprendre aux plus obtus, aux plus aveugles, aux plus sourds : il y a chez nous, dans ce qui est encore notre « douce France », des centaines, des milliers de « zones de non-droit » où la racaille fait ce qu'elle veut, quand elle veut, comme elle veut... Et, bien sûr, cela n'est pas normal. Quel que soit l'évènement auquel on se réfère, aucune bande - ici, ethnique - ne devrait pouvoir mettre un morceau de France à feu et à sang. A Sevran, Villepinte, Clichy (communes voisines d'Aulnay) des chariots de supermarchés remplis de bouteilles pleines d'essence sont jetées n'importe où sur n'importe quoi. Bravo les « jeunes » ! Les réparations, après, c'est nous qu'on paye...

Le Système, qui mène depuis 1975 la suicidaire politique d'immigration-invasion que l'on sait ne fait que récolter ce qu'il a semé... mais dont il nous impose les conséquences désastreuses. 

2. La réaction des journaleux est révélatrice : alors que les déclarations du « jeune » interpellé ont varié à plusieurs reprises (des « déclarations évolutives » !) les journaleux ont adopté le jeune « Théo » et ne parlent plus de lui que de cette façon, amicale, chaleureuse, affectueuse : « Théo ». On dirait un membre de la famille, un petit frère ! Deux paysans français se suicident chaque jour, mais, là, les journaleux n'en parlent pas. Et, a fortiori, ne les appellent pas par leur prénom. Pourquoi cette hâte, alors que « l’affaire » n'est pas encore totalement élucidée, à prendre parti pour « Théo », cet amour pour « Théo », « Théo » par ci, « Théo » par-là : franchement, cette affection soudaine est louche, quand on connaît les opinions des journaleux, qui confondent si volontiers carte de presse et carte de parti (de gauche, et immigrationniste, évidemment). Rien que cela suffirait à rendre le « jeune » interpellé suspect...

Dernière chose : dite par l'interpellé plusieurs jours plus tard, les accusations d'insultes racistes (« bamboula » et autres) n'ont plus été reprises par lui, ensuite. Il y a fort à parier que SOS Racisme ou le Cran, dès le début de l'affaire, le 2 février, auraient hurlé à la mort si ces insultes avaient bien été proférées. Là c'est silence radio, qui équivaut à un aveu : l'interpellé a menti. Curieusement, depuis, il ne cesse même d'appeler au calme.

Bizarre, bizarre... Vous avez dit bizarre ? 

 

Source : lafautearousseau

mercredi, 08 février 2017

Lactalis : Tu crèves dans ta ferme et tu la fermes !

Publié par Guy Jovelin le 8 février 2017

Rédigé par LaVéritéSiJeMens le 08 février 2017.

Le groupe industriel mondialisé Lactalis, leader sur le marché des produits laitiers transformés, rompt unilatéralement les contrats de livraison des éleveurs ayant témoigné de leurs conditions de rémunération dans l’émission télévisée «Envoyé spécial». Le voile de la dictature économique permise par l’Union Européenne mondialisée se déchire ! Un exemple parmi d’autres de la casse sociale permise par Maastrict (1992). Quand les Français vont-ils comprendre qu’il faut sortir sans attendre de ce guêpier ?

Saluons le communiqué en date du 3 février 2017 du ministre de l’agriculture Stéphane Le Foll, qui condamne la rupture par Lactalis des contrats d’éleveurs ayant témoigné dans l’émission Envoyé spécial et «appelle au dialogue afin maintenir des relations constructives au sein de la filière». Cette situation qui pourrait être perçue comme une anecdote, est pourtant révélatrice de la conception quasi-féodale qui sous-tend la «mondialisation heureuse». Nous analysons deux niveaux conceptuels, déterminants pour l’avenir de l’agriculture et de la France :

1- L’éleveur laitier est-il un entrepreneur indépendant, ou bien est-il le salarié de l’industriel qui est de fait son seul client ? C’est toute l’ambiguïté des héritages historiques de l’exploitation agricole, entité économique dont le statut n’a jamais cessé d’évoluer depuis l’antiquité. Aujourd’hui, l’éleveur est juridiquement son propre patron, mais en même temps le chef d’une entreprise que le code rural particularise totalement dans l’environnement législatif français. En effet, l’encadrement juridique de son activité est telle, que l’éleveur perd pratiquement toute capacité d’initiative, en dehors d’entrer comme un animal de somme dans le carcan d’un processus de production entièrement contrôlé par l’aval, c’est à dire par les industries agroalimentaires. Dans ce contexte, le poids économique de l’éleveur, c’est à dire sa capacité à peser dans une négociation sur le prix du lait, est devenu si faible qu’un géant mondial comme Lactalis peut ruiner un éleveur, le plus souvent endetté, en simplement refusant d’acheter son lait. C’est cela la mondialisation heureuse de l’après-Maastricht, et toutes les lois de modernisation de l’économie (LME) franco-françaises ne serviront à rien tant que les directives de l’Union Européenne prévaudront sur notre droit national. L’Union Européenne nous a transformés en eunuques, pouvons nous le supporter plus longtemps ?

2-L’agriculture est-elle faite pour produire ou pour nourrir ? Cette question est plus profonde, car elle renvoie à un choix de société. Avant la prise de conscience écologique, il était admis que ces deux objectifs n’en constituaient qu’un seul, et que la logique du marché appliquée à la production alimentaire ne pouvait que concourir à la satisfaction du plus grand nombre. Mais voilà, ce modèle montre ses limites : les ressources naturelles, notamment le sol et l’eau, ne sont pas inépuisables. Ils tendent même à devenir des denrées rares. Le productivisme exacerbé a donc une limite : il n’est pas durable d’une part (épuisement ou destruction des sols, érosion ou artificialisation, pollutions durables, etc…), et amène des conséquence négatives sur la santé des populations d’autre part (abus des vaccinations animales et des antibiotiques fourragers dans les grands élevages, introduction des accélérateurs de croissance, hyper-sélection animale etc…). Les choix sociétaux se posent donc en termes d’autonomie alimentaire sur le temps long d’une part, et en termes de santé des populations d’autre part. Ces choix sont fondamentaux, mais sont des choix stratégiques avec une perspective de long terme. Or notre quinquennat rabougri et les lobbyings économiques à court terme relayés par la commission européenne empêchent toute possibilité de se projeter dans l’avenir. C’est un drame : avec nos paysans c’est la France qui meurt.

Le dialogue c’est bien, mais la justice sociale c’est mieux. Or il est devenu évident sur cet exemple que nous sommes sur le chemin d’une dictature économique sans précédent. Il est encore temps de réinventer une France-état-nation qui garantit la liberté de son peuple souverain, car le marché dérégulé ne profite qu’à une minorité de riches apatrides et ne fait qu’appauvrir davantage les plus pauvres en France, donc les asservir. Les agriculteurs privés de leur revenu par la seule volonté d’un potentat industrialo-bancaire sont là pour en témoigner : leur situation qui sera bientôt la nôtre à tous est simplement inique !

 

Source : 24heuresactu

mardi, 07 février 2017

Hommage de Carl Lang à Robert Moreau

Publié par Guy Jovlin le 7 février 2017

 

C’est avec une émotion certaine que les membres et les dirigeants du Parti de la France ont appris le décès, le 7 janvier dernier, de l’un de nos membres fondateurs, Robert Moreau, qui fut une figure historique du Front National. Carl Lang, Président du Parti de la France et ami de très longue date de Freddy, comme ses proches l’appelaient, a tenu à lui rendre hommage (vidéo ici).

J’ai appris avec une grande tristesse le décès en début d’année de Robert Moreau. Robert, qui fut conseiller régional du Nord-Pas de Calais à mes côtés, de 1992 à 2004, avait été, comme chacun le sait, une immense star du catch européen, sous le pseudonyme du « Bourreau de Béthune ».
J’ai rencontré pour la première fois Robert, que les anciens appelaient Freddy, en 1984, lorsqu’il a pris en charge la sécurité personnelle de Jean-Marie Le Pen. 
Durant près de 10 ans, Robert Moreau a été le garde du corps, le compagnon et l’ami de tous les instants, du président du Front national, à une époque où les risques et les menaces étaient considérables. 
Robert Moreau a rempli sa mission avec un dévouement exceptionnel, une discrétion, un professionnalisme et une efficacité qui n’ont jamais été pris en défaut.
Il était un homme du Nord, fervent défenseur de la cause animale, polyglotte parlant 4 langues, fils d’un chef d’orchestre flamand, il était particulièrement attaché à la langue et à la culture flamandes. 
Il était aussi titulaire de la médaille d’argent de la ville de Paris. 
Il a siégé pendant 12 ans au Conseil régional du Nord pas de Calais où ce grand sportif et cette force de la nature, cet homme d’une grande culture et d’une grande humanité, a suscité le respect et la sympathie de nombreux élus, de tous horizons politiques. 
Il fut aussi durant plusieurs années le responsable de la fédération Nord-Flandre du Front national. 
Il figure parmi les membres fondateurs du Parti de la France. 
J’ai eu le privilège et le plaisir de faire partie de ses amis. J’avais pour Robert une grande amitié et un immense respect. Il fut un ami et un camarade. 
Lors de mon mariage Robert nous avait offert un éléphant en jade si lourd que l’on ne peut le tenir qu’à deux mains et il m’a dit en me le remettant : « il est lourd et solide comme l’amitié ».
J’adresse en mon nom et au nom de tous nos amis communs du combat national, toutes mes condoléances et toute mon affection, à son épouse Gina et à sa famille.
Mon cher Robert, tes amis ne t’oublieront pas.


Carl Lang

Krach financier et bancaire en vue ! L’Europe passive et impuissante

Publié par Guy Jovelin le 7 février 2017

Krach Bancaire

Krach financier et bancaire en vue ! L’Europe passive et impuissante

Marc Rousset, économiste

L’Autorité bancaire européenne vient de reconnaître officiellement le risque très grave que représentent les créances douteuses dans les bilans des banques.

Mais cet aveu de l’ABE n’est, en fait, que l’arbre qui cache la forêt d’un krach bancaire en vue, suivi d’un krach financier, nonobstant l’inéluctable remontée à venir des taux d’intérêt qui peut déclencher, à terme, un krach obligataire et boursier suffisant, à lui seul, pour mettre aussi au tapis toutes les banques européennes !


Les raisons d’un krach bancaire sont multiples : montant faramineux des créances bancaires douteuses, des capitaux propres bancaires insuffisants pour faire face aux véritables risques des actifs financiers niés par les médias, la folie et l’importance démesurée des marchés des produits dérivés, la quasi-faillite de nombreuses banques avec la Deutsche Bank en tête de liste. Quant à la politique monétaire laxiste de création monétaire européenne par la BCE au rythme de 80 milliards d’euros par mois, pour faire baisser l’euro et les taux d’intérêt, elle ne pourra pas être poursuivie indéfiniment.

Il faut, aussi, savoir que les États et l’Union européenne ont mis en place des fonds « bidon » ridicules et notoirement insuffisants pour sauver les dépôts des entreprises et des particuliers en cas de faillites bancaires. Ces fonds, de plus, ont des capitaux propres insuffisants ; leurs ressources reposent essentiellement sur des emprunts.

On voit donc toute la fragilité du système car, in fine, ces emprunts devront aussi être remboursés par des contribuables. L’Europe fera face, un jour ou l’autre, au problème des créances douteuses dans les bilans des banques européennes, soit 47 % en Grèce, 47 % à Chypre, 20 % au Portugal, de l’ordre de 10 % dans les pays de l’Est européen, et surtout de 16 % en Italie !

L’Irlande, que l’on pourrait croire sauvée selon les cocoricos médiatiques, en pratiquant le vol fiscal et la concurrence fiscale déloyale avec les pays du continent européen, ne l’est pas puisque son ratio de créances bancaires douteuses est de 14 %.

Le montant des créances douteuses, en Italie, est de 360 milliards d’euros. L’État italien vient de sauver deux de ses banques les plus connues avec maintes difficultés. Il ne semble pas en mesure de sauver toutes les banques si une déflagration se produit. Le talon d’Achille de la zone euro, c’est l’Italie, avec des conséquences directes sur les créances détenues par les banques françaises !

Seuls les contribuables nationaux seront en mesure de combler, théoriquement, les créances douteuses des banques européennes. L’Italie n’a pas respecté les règles européennes consistant à faire payer les déposants lors des derniers sauvetages bancaires car c’était, tout simplement, politiquement et moralement impossible, sous peine de voir Beppe Grillo arriver au pouvoir.

Si l’Histoire est imprévisible, les krachs financiers et bancaires sont, eux, prévisibles, mais le Système est malin, vicieux, rusé et sait se défendre en manipulant les cours de l’or par les prêts en or des banques centrales aux banques, en utilisant tous les artifices comptables et de l’endettement public ou privé tous azimuts. Et n’oublions pas, enfin, qu’au-delà de la Grèce et de l’Europe du Sud, des États comme la France et même les États-Unis et le Japon, c’est-à-dire les derniers payeurs, le dernier recours après un krach bancaire, sont déjà en quasi-faillite ! Ce monstrueux château de carte conduira inéluctablement à une catastrophe européenne et mondiale qui sera pire qu’en 1929.

Marc Rousset
6/02/2017

 

Source : polemia

LE DOUBLE LANGAGE DU FN SUR L’ISLAMISATION DE LA FRANCE

Publié par Guy Jovelin le 7 février 2017

lundi 6 février 2017, par Eric Pinel 

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Ce dimanche 5 février, Madame Marine Le Pen a lancé sa campagne à Lyon. Dans son discours, elle a vilipendé « les idiots utiles » à la cause islamiste, et a rappelé son opposition aux « mosquées-cathédrales ».

Ceci est intéressant, car si ce message est à même de sécuriser un électorat FN qui n’y regarde pas de trop près, il est en revanche très inquiétant pour ceux qui se donnent la peine de lire entre les lignes.
Si Madame Marine se donne la peine d’expliquer qu’elle est contre les mosquées-cathédrales, on doit en déduire qu’elle ne s’oppose pas aux mosquées « ordinaires » (si l’on peut dire), conformément à ce qui a commencé à se mettre en place dans deux municipalités frontistes, à savoir Hénin-Beaumont et Le Pontet. Car, dans ces deux communes, les deux maires FN semblent avoir voulu ardemment leur mosquée, le maire du Pontet ayant même participé à la pose de la première pierre, au nom « de l’union et du respect de tous ».

Cette dérive du Néo-Front National, qui constitue un événement politique majeur, est pourtant soigneusement passée sous silence par les médias.

Il est pourtant essentiel que le grand public soit informé de ce qu’un FN au pouvoir ne s’opposera pas à la multiplication des mosquées, qu’il ne s’opposera donc pas à une islamisation progressive de la société française.

Il faut que cela se sache !

 

Source : national-hebdo