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mardi, 30 mai 2017

Jacques Mézard, un ministre de l’Agriculture au service de la Turquie, y compris au sujet du génocide arménien

Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2017

Qui est Jacques Mézard, nouveau ministre de l’Agriculture ? Cet ancien sénateur a présidé au sein de cette assemblée sénatoriale le Rassemblement Démocratique et Social Européen (RDSE) ainsi que le groupe d’amitié franco-turc.

Et Jacques Mézard s’est en effet révélé un ami très dévoué à la vision turque de l’Histoire, y compris au sujet de la négation du génocide arménien. Jacques Mézard ne manque jamais une occasion de rappeler avec fierté à ses amis turcs d’avoir été à l’origine, en 2012, de la censure par le Conseil constitutionnel de la loi pénalisant le négationnisme du génocide arménien.

Et c’est d’ailleurs en instrumentalisent les agriculteurs qu’il avait manœuvré, déférant la loi condamnant le négationnisme du génocide arménien au nom de… la Fédération nationale bovine !

Jacques Mézard avait été raconté aux producteurs bovins que la Turquie boycotterait la viande française si la France pénalisait le négationnisme du génocide arménien.

Voilà pourquoi, selon les médias turcs, Jacques Mézard incarne « les valeurs françaises« . Rien que cela… Les Arméniens, et plus généralement les chrétiens, apprécieront.

Et Macron, il en pense quoi du génocide arménien ?

 

Source : medias-presse.info

Squats, vols, violences… des migrants terrorisent les habitants de Montpellier

Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2017

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/ Lundi 29 mai 2017 
Les forces de l'ordre sont débordées par les mineurs clandestins. Photo © SIPA

Immigration. Des mineurs clandestins, toujours plus nombreux, multiplient les actes de délinquance en ville. Avant d’être souvent relâchés dans la nature.

Une véritable épidémie. Les cas de vols s’enchaînent à un rythme inquiétant dans les rues de Montpellier ces dernières semaines, rapporte Le Midi Libre. En cause : des mineurs non accompagnés (MNA), entrés illégalement sur le territoire depuis des pays méditerranéens. Non contrôlés par les forces de l'ordre, ils échappent aussi aux centres d’accueil, toujours saturés, et s’abritent dans des squats.

Des mineurs délinquants relâchés faute de preuves

Plusieurs d’entre eux, de 13 et 14 ans, ont ainsi été interpellés ces derniers jours en possession de portables volés ou de bijoux. Au cours d’un vol en réunion, l’un d’eux a sorti un couteau face à ses victimes. Mais faute de preuves ou de flagrant délit, les jeunes délinquants sont souvent libérés avant une éventuelle convocation judiciaire.

 

Le quotidien régional rapporte même le cas de trois adolescents, dont l’un prétend avoir 10 ans, surpris en train de fracturer à coups de pioche une maison du quartier de Celleneuve, à l’ouest de la ville. Ils ont été appréhendés et passeront prochainement devant le juge.

 

Source : valeursactuelles

REINFO : LE JOURNAL HEBDOMADAIRE

Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2017

lundi, 29 mai 2017

Exécutés après avoir refusé de «renier leur foi»

Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2017

Les rescapés de l'attaque de vendredi qui a fait 29 morts dans la région de Minya ont raconté le déroulement du massacre.

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Durant la messe, certains fidèles n'ont pas pu retenir leurs larmes. (Photo: Keystone)

«Ils leur ont demandé de renier leur foi chrétienne un à un, mais tous ont refusé», lâche dans un souffle père Rashed. Alors les hommes armés les ont froidement abattus, en leur tirant dans la tête.

Au total, 29 personnes, dont de nombreux enfants, ont été tuées dans cette attaque, que le groupe djihadiste Etat islamique (EI) a revendiquée.

Cérémonie de condoléances

Plus de 24 heures plus tard, l'émotion était palpable samedi dans la cathédrale de Mar Morcos (Saint Marc) de la petite ville de Bani Mazar, dans la province centrale de Minya.

Durant la messe, certains fidèles ne peuvent retenir leurs larmes. N'ayant pas la force de se tenir debout, un jeune homme est soutenu par ses proches.

Tout de noir vêtues, les cheveux couverts par un léger voile noué derrière la nuque, les femmes arrivent pour une cérémonie de condoléances organisée par l'église. Leurs pleurs et leurs cris déchirent le silence qui règne dans la cour.

Sortis de leur voiture

Après avoir rencontré des blessés la veille, le Père Rashed raconte comment le voyage vers un monastère situé à plus de 200 km au sud du Caire a brutalement viré au drame.

Dans le convoi de plusieurs véhicules, dont un bus, avaient pris place des ouvriers engagés pour des travaux mais aussi des fidèles désireux d'y passer la journée, comme cela se fait beaucoup chez les coptes, qui représentent environ 10% des quelque 92 millions d'Egyptiens.

«Avant d'être tués, la plupart des hommes ont été sortis de leur voiture, d'autres sont restés à bord de leur véhicule», indique père Rashed. «Il semblerait qu'on les ait agenouillés. La plupart ont reçu une balle à l'arrière du crâne, dans la bouche ou à la gorge».

Or saisi

«Ils ont fait descendre les hommes du bus, ont pris leur carte d'identité et l'or qu'ils avaient sur eux, leur alliance ou leurs bagues», raconte aussi Maher Tawfik, venu du Caire soutenir sa famille.

Sa nièce a survécu à l'attaque mais ni le mari ni la petite fille d'un an et demi de cette dernière.

Puis «ils leur ont demandé de prononcer la profession de foi musulmane», ajoute M. Tawfik. Avant d'exécuter ceux qui refusaient. Il précise que les assaillants «ont pris les bijoux en or et l'argent des femmes» alors que «les enfants se cachaient sous les sièges».

Tensions interreligieuses

Depuis plusieurs mois déjà, l'Egypte est endeuillée par les attentats perpétrés par les djihadistes de l'EI contre la communauté orthodoxe. Début avril, des attentats-suicide contre deux églises coptes avaient déjà fait 45 morts au nord du Caire.

Et alors que le groupe extrémiste s'est engagé à multiplier les attentats contre les coptes, les chrétiens de Minya s'inquiètent: dans cette province conservatrice, où cette minorité est particulièrement bien implantée, les tensions sont vives entre musulmans et coptes.

En 2013, après l'éviction par l'armée du président islamiste Mohamed Morsi, plusieurs églises de la province avaient été incendiées par des manifestants accusant les chrétiens de soutenir les militaires.

«Ce n'est pas nouveau pour nous d'être visés par le terrorisme. On paye le prix de notre soutien à l'armée et à l'Etat», lâche Mina al-Masri, rentré spécialement dans sa ville natale pour les funérailles des parents d'un ami, tués dans l'attaque. «Je m'attends à un bain de sang pour les chrétiens», ajoute-t-il.

«Des infidèles»

Hanan Fouad a perdu ses voisins, une famille de six personnes de trois générations. Vêtue d'une longue djellaba noire, les cheveux couverts par un voile transparent noir, elle laisse éclater sa colère dans la cour de la cathédrale.

«Ça va se reproduire. Pas un mois ne passe sans qu'ils ne tuent des chrétiens», tonne cette quadragénaire, ses mains crispées sur son portable et un paquet de mouchoirs. «Pourquoi les chrétiens? Parce qu'ils disent qu'on est une minorité, des infidèles».

(nxp/ats)

Source : 20min

Afrique du Sud : 27% des hommes avouent avoir déjà violé une femme ou une fillette

Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2017

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Plus de 27% des hommes sud-africains ont admis avoir violé une fille ou une femme et 64 000 cas de violence sexuelle ont été signalés l’an dernier en Afrique du Sud, selon les chiffres de la police. Le décès récent de Karabo Mokoena, un étudiant de 22 ans qui aurait été brutalement assassiné par son petit ami, a également déclenché une indignation à travers le pays. Mokoena aurait été «collé» – une forme brutale d’exécution et de torture dans laquelle un pneu en caoutchouc rempli d’essence est posé autour du haut du torse de la victime puis en y mettant le feu – avant de verser de l’acide sur son corps.

NY Times Via Fdesouche.com