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dimanche, 28 mai 2017

Le Parti de la France veut récupérer l’électorat de la « droite nationale »

Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2017

Par V. T. |

LÉGISLATIVES

Entourant Carl Lang, une partie des candidats du Parti de France aux législatives.
Entourant Carl Lang, une partie des candidats du Parti de France aux législatives.

Terminons-en tout de suite avec les candidats du FN dans le Valenciennois : «  Les candidats «marinistes» sont des candidats parachutés, des prédateurs électoraux qui viennent en bandes organisées.  » Sébastien Chenu (19e) et Ludovic de Danne (20e) apprécieront…

Carl Lang, le patron du Parti de la France, n’a pas de mots assez durs pour ceux du FN, parti qu’il a quitté en 2008. Il n’épargne surtout pas Marine Le Pen : «  Elle a démontré qu’elle était incompétente, caractérielle, inapte à diriger le pays. Elle n’est pas digne du FN, dont elle a hérité.  »

À la recherche des électeurs « historiques » du FN

Cela tombe bien, en pleine crise du FN, après la présidentielle : «  Les faits nous ont donné raison. J’appelle les électeurs historiques du FN à se tourner vers la seule droite nationale, vers le Parti de la France.  »

Civitas et Le Pen père

Le programme de ce Parti de la France annonce la couleur sur ses affiches : «  Dénoncer la colonisation migratoire et l’islamisation de la société française, et politique et révolutionnaire.  » Pas pour rien que ce parti est soutenu par l’association catholique intégriste Civitas, Jean-Marie Le Pen lui-même et ses comités Jeanne. Cent dix candidats se présentent en France, dont 56 au nom du Parti de la France.

Plus près de nous, Dominique Slabolepszy, ancien conseiller régional, Condéen, Vieux-Condéen puis Hergnisien, mène la fronde dans le Valenciennois, tout en étant candidat dans la 20e circonscription. Il a autour de lui Serge Thomes, de Maing, Nadine Fournard, d’Anzin. Ainsi que René Barraut, d’Hergnies, et Étienne Bauvois, de Thun-Saint-Amand. Manquait Jean-Luc François Laurent, l’élu municipal valenciennois parti dans le Sud mais candidat dans la 21e.

Carl Lang n’est pas dupe. Il n’espère pas envoyer de membres du Parti de la France à l’Assemblée nationale. Mais, depuis 2008, il persiste. «  Il faut toujours être présent aux élections. Les électeurs, à un moment, le comprendront.  »

 

Source : lavoixdunord

LE "GRAIN DE SEL" DE JEAN-CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2017

L’INATTENDU MISTER TRUMP, VRAIMENT ?
Le Président Donald Trump, personnage original s’il en est, passe dans le monde de la médiacratie, pour un « iconoclaste ».En fait, si cette impression perdure, c’est bien plus pour le style, la forme, que sur le fond. Sa tournée au Proche Orient et en Europe, en dépit de ses déclarations antérieures, s’inscrit dans une sorte de continuité de la politique américaine.


Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat
Il vient de réaffirmer avec solennité l’alliance nouée entre le Président des Etats-Unis  et le roi Ibn Saoud père,  à bord du navire de guerre « Quincy », il y a maintenant 71 ans. C’est, avec « l’amitié israélienne »,  l’un des piliers de la stratégie américaine dans la région auquel on ne touche pas.  Et les  millions de dollars de contrats passés sur place ne font que fortifier cette « belle alliance », comme dirait le Premier secrétaire du PS ! Sauf que là, c’est du sérieux et que Washington continue d’appuyer les monarchies du golfe, même si elles sont « rétrogrades », pour rester indulgent. L’Iran des ayatollahs est toujours mis à l’index,  sans que l’on sache avec certitude si « the Donald » reviendra sur la signature de son pays au bas de l’accord sur la dénucléarisation militaire de l’ancien Empire perse.
Autre allié de poids dans la région, l’Etat Hébreu, qui semble bénéficier des retombées stratégiques de la sollicitude américaine permanente pour le clan sunnite, plutôt que pour la famille chiite. Tandis que le monde arabe, et pas seulement lui, se déchire en Syrie et en Irak, – les Kurdes pointeront leur nez séparatiste une fois close la parenthèse de l’Etat islamique – , le sort de la Palestine reste pendant. Le Président américain a bien déclaré que jamais l’opportunité d’une paix durable n’avait été aussi certaine, il n’en reste pas moins vrai que cette Palestine continue d’être divisée et morcelée. D’une part, divisée  contre elle-même entre les frères ennemis du Hamas qui règnent à Gaza et ceux du Fatah  dans la  Cisjordanie du Président Mahmoud Abbas, enfermé à Ramallah comme l’était, toutes proportions gardées, le Maréchal Pétain à Vichy ! La Cisjordanie, la « West bank » de la Palestine post-mandataire, est « saucissonnée », constellée de colonies de peuplement juives, emmaillotées de barrières de séparation, humiliantes cicatrices sur le sol arabe. Jérusalem, qui dans le plan de partage des Nations Unies de 1947 devait être un « corpus separatum » entre les deux Etats à naitre  est, aujourd’hui, presque exclusivement «  judaïsée », la politique immobilière israélienne laissant peu d’espoir aux propriétaires arabes. (A noter tout de même, la TOTALE liberté d’accès pour TOUS aux lieux Saints, ce qui n’était pas le cas sous la souveraineté jordanienne). Dans ces conditions, comment réaliser juridiquement le rêve de deux Etats vivant pacifiquement côte à côte, si aucune bulle d’oxygène n’est donnée à l’une des deux parties ?
L’emploi AVANT l’écologie ?
D’oxygène, il en sera sûrement question au sommet du G7 réunissant les « grands » de ce monde et
 qui se déroule dans le fabuleux décor sicilien de Taormine, où le théâtre antique grec dégringole vers la mer Ionienne. Honorera-t-il, là aussi, la signature de son pays au bas de l’accord de la COP-21 ? Il serait prématuré d’avancer un avis, mais le candidat Trump avait promis de réactiver les énergies polluantes pourvoyeuses d’emplois, charbon et gaz de schiste par exemple. Difficile de croire qu’il se démarque de ses prises de position, lesquelles lui avaient assurées les voix de millions d’électeurs concernés. Ses promesses portaient,  bien sûr, sur l’emploi, notamment dans les mines de houille de l’Etat de West-Virginia, l’extraction du pétrole au nord de l’Alaska et les schistes bitumineux dans les deux Dakota. Et, au sujet des postes de travail, on peut dire qu’il a jusqu’à maintenant beaucoup de chance. En avril par exemple, 211 000  ont été créés ce qui a fait reculer le chômage à un taux de 4%, à rapprocher de nos presque 10 % ! C’est le plus bas niveau depuis la récession de 2008. Sous la mandature d’Obama, ce taux oscillait entre 6 et 10 %. La bourse tient bon et  les prévisions donnent un chiffre de croissance de 4 %. Est-ce dû à un « effet Trump » ? Le fait que le milliardaire soit un businessman, a sans doute joué pour redonner confiance aux entrepreneurs, sans oublier la promesse du candidat de lancer une ambitieuse politique de grands travaux publics où des millions de dollars fédéraux seront injectés, notamment dans le prolongement du fameux « mur » séparant les Etats-Unis du Mexique. Promesse à tenir sous peine d’un recul irrémédiable dans les sondages !
Accusé, levez-vous !
La grande affaire du moment pour le richissime new-yorkais, c’est l’acharnement avec lequel tout l’establishment lui tombe dessus pour « le coincer », l’obliger sinon à être emporté par le maelstrom de la procédure d’impeachment, à tout le moins à démissionner, à terme. Que lui reproche-ton ? Les Russes, les Russes, une obsessionnelle accusation de compromission avec « l’ennemi ». Qu’en est-il réellement du bienfondé de ces soupçons complaisamment véhiculés par les Démocrates, les idéologues libéraux et autres médias en recherche de sensationnel ? Que Poutine ait souhaité plutôt la victoire de Trump que celle d’Hillary Clinton ne fait pas l’ombre d’un doute. Mais les Russes auraient-ils pu faire pousser des bulletins de vote « Trump » dans les urnes comme des champignons dans la forêt  après une bonne pluie ? Pire, le Président lors de sa très récente rencontre avec Serge Lavrov, le ministre des affaires étrangères de Moscou,  lui aurait confié des « secrets » sur la lutte anti-terroriste, ces informations provenant du Mossad israélien, décrédibilisant ainsi la parole de Washington auprès de ses alliés.  Foutaise ! Un chef de l’Etat peut bien échanger des propos avec un interlocuteur étranger, justement pour lutter contre le terrorisme, islamiste notamment, sans être accusé de trahison. Le limogeage de James Comey, ex-chef du FBI, serait vu  comme une sorte de vengeance trumpienne à l’encontre d’un haut fonctionnaire voulant dévoiler  de possibles compromissions entre l’entourage de Trump,  notamment sur son gendre Jared Kushner, un juif très religieux, et ces mêmes Russes. Un magistrat, Robert Mueller,  lui-même ancien patron du FBI, a été nommé pour démêler cette affaire. Espoir des ennemis de Trump : une procédure d’empêchement en bon Français. Il y a un long chemin entre l’aboutissement final de ce parcours du combattant et cette supposée obstruction de la justice par le cabinet fédéral. Aucun Président américain n’a été destitué de la sorte, même si trois d’entre eux avaient commencé à être « aspirés » dans ce labyrinthe juridique : Andrew Johnson, Richard Nixon et Bill Clinton. Tout ceci, certes, n’est pas bon pour l’image présidentielle. C’est sans doute l’un des objectifs réaliste, accessible, que veulent atteindre les ennemis du Président qui, six mois après, n’ont toujours pas digéré leur défaite électorale. Mais l’actuel locataire de la White house a une assurance-vie imparable : il défend bec et ongles l’Etat d’Israël et, nous l’avons vu, son gendre est un influent membre de la communauté juive des Etats-Unis. Au pays du Grand canyon, des cow-boys de jadis et de la vigne vierge qui mange les frondaisons du Sud, c’est un passeport pour la durée !

Jean-Claude ROLINAT

samedi, 27 mai 2017

France, tu es marâtre aux tiens et mère aux étrangers

Publié par Guy Jovelin le 27 mai 2017

Pierre de Ronsard Pierre de Ronsard (1524 — 1585) déjà nous avertissait.
Les élites toujours en arrivent à œuvrer contre le peuple lorsque leur dessein ne consiste plus qu’à préserver leur pouvoir. 
Pourquoi donc ces élites finissent-elles toujours par berner le peuple qui leur accorde sa confiance pour ne plus se préoccuper que de complots, de trahisons et de mensonges ?
C’est peut-être cela le fil conducteur de l’Histoire ? Et c’est pour cela que nous avons des révolutions et des guerres chroniques.

Ronsard poème France marâtre

Extrait de Discours à Guillaume des Autels
Œuvres complètes de Ronsard
Éditions La Pléiade, tome II, p. 568

 

Extrait de: Source et auteur

Ces voies détournées par lesquelles les attentats favorisent l’islamisation de l’Europe Partager sur Facebook

Publié par Guy Jovelin le 27 mai 2017

bougies attentat

Le discours post-attentat est désormais tellement bien rodé qu’un ordinateur pourrait écrire les articles à la place des journalistes. Seuls les noms et les dates sont à changer.

Le récit se répète comme une ritournelle : l’islam n’y est pour rien, les terroristes sont une poignée de fous radicalisés sans lien avec l’islam ; ils lui font même un tort considérable ; d’ailleurs, les musulmans figurent aussi parmi les victimes, même si ce ne sont jamais les lieux ou les symboles musulmans qui sont visés. Et face à ces actes odieux, il faut certes prendre des mesures sécuritaires, y compris en détruisant les bases des terroristes à l’étranger, mais la meilleure réponse est surtout de ne rien changer, de continuer à vivre comme avant, de préserver nos valeurs et nos libertés, et surtout de rester unis en s’aimant les uns les autres car les pays européens n’ont pas d’ennemis.

Ce discours apaisant, centré sur la lutte contre le terrorisme, peut évidemment se justifier par la volonté d’éviter les violences intercommunautaires. Cette crainte a pu sembler d’autant plus sérieuse que, d’après Gilles Kepel, les violences interreligieuses sont justement supposées faire partie du plan des théoriciens de l’Etat islamique.

Toutefois, cette grille de lecture est-elle la bonne ? Pire : ne conduit-elle pas à faire fausse route ? Le scénario noir des affrontements communautaires ne s’est pas réalisé. La répétition la régularité des attaques sanglantes permettent maintenant d’avoir un peu de recul. La démonstration a été faite : dans aucun pays, les Européens ne sont descendus dans la rue pour s’en prendre aux musulmans. C’est même tout le contraire. En France, les actes islamophobes ont baissé et l’image des musulmans s’est plutôt améliorée. Et chaque nouvel attentat renforce un peu plus les appels à l’amour, rejetant encore plus loin tout débat sur les causes des problèmes, et sur l’islam en général. Que ce soit par crainte d’un basculement dans la guerre civile, ou par empathie envers une population musulmane qui est vue sous l’angle de la seule victimation, les pouvoirs publics s’attachent prioritairement à écarter tout débat de fond pour se cantonner éventuellement aux problèmes d’organisation institutionnelle, ce qui paraît aussi dérisoire qu’inefficace. La critique de l’islam est découragée, voire sanctionnée, au moins moralement. Critiquer l’islam devient un sport de combat. A-t-on encore le droit de dire que l’on n’aime pas l’islam ? Ne pas être en admiration suffit à rendre suspect. Et ne parlons pas de la dénonciation de l’obscurantisme religieux, qui n’est manifestement plus d’actualité au pays de Descartes et de Voltaire.

Mais le problème ne s’arrête pas là. En partant du principe que l’islam ne pose aucun problème, voire que les musulmans sont eux-mêmes aux premières loges des victimes du terrorisme, une réponse coule de source : il faut faciliter son développement. C’est tout le paradoxe de notre temps : loin d’avoir provoqué un rejet de l’islam, le terrorisme favorise  un processus d’accommodement et d’encouragement. Proposer un moratoire sur la construction de mosquées relèverait purement et simplement de l’hérésie, à l’heure où le discours institutionnel ne tarit pas d’éloges sur la civilisation islamique, à laquelle la civilisation européenne apparaît tellement redevable.

(...)

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Allemagne: Le réfugié Hakim F. tue sa femme (une Européenne) et bénéficie de sa rente de veuve. Il exige à présent un permis de séjour permanent.

Publié par Guy Jovelin le 27 mai 2017

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Il est sans scrupule.

A présent, Hakim F. souhaite également un permis de séjour permanent.

Munich - En 2012., Hakim F. (33 ans) a poignardé sa femme († 29 ans) - pour cette raison il encaisse sa pension de veuve! Il exige à présent un permis de séjour permanent.

A 13 ans, Hakim F. est venu du Burundi (Afrique de l'Est) en Allemagne, il a été reconnu comme réfugié.

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Il a violé plusieurs femmes. En 2004, il a été mis en détention durant presque 3 ans. Durant la même année, la future victime Miriam F. a mis au monde un enfant de lui. Le couple s'est marié en prison et en 2005 Hakim F. a été expulsé. En raison de la présence de l'enfant, il a été autorisé à rester "pour des raisons humanitaires".

Une décision fatale. En 2012, Hakim F. a massacré sa femme.

En 2012, Hakim F.  a massacré sa femme avec un couteau. Le fils, alors âgé de huit ans, a trouvé sa mère en sang et a appelé le médecin de garde - en vain.

Il est ressorti du procès pénal que Hakim F. était schizophrène. Malgré ses aveux, il a été acquitté car considéré comme non responsable et a été interné en psychiatrie. Il y est resté jusqu'à aujourd'hui.

Incroyable: Grâce à l'acquittement, Hakim F. est bénéficiaire d'une rente de veuve. Selon l'avocat Johannes Driendl, il reçoit environ 700 euros par mois, une partie du revenu gagné par Miriam durant sa vie.

En plus, Hakim F. exige encore un permis de séjour permanent. La ville l'a refusé. En revanche, Hakim F. a porté plainte devant le tribunal administratif.  (...)

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch