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vendredi, 25 août 2017

Le chômage repart à la hausse en juillet

Publié par Guy Jovelin le 25 août 2017

Le chômage en hausse en juillet
 
 

Après une baisse de 0,7% en juin, le nombre des demandeurs d'emploi a rebondi en juillet. La France comptait à la fin du mois dernier 3,518 millions de chômeurs en catégorie A.

Après le coiffeur de Hollande, la facture de maquillage de 26.000 euros d’Emmanuel Macron

Publié par Guy Jovelin le 25 août 2017

PRESTATION DE LUXE L’Elysée devra s’acquitter des 26.000 euros dus à la maquilleuse professionnelle pour ses prestations assurées durant les trois premiers mois de la présidence d’Emmanuel Macron…

A.B. avec AFP

L'Elysée devrait s'acquitter d'une facture de 26.000 euros pour régler les trois mois de prestation de la maquilleuse professionnelle d'Emmanuel Macron.

L'Elysée devrait s'acquitter d'une facture de 26.000 euros pour régler les trois mois de prestation de la maquilleuse professionnelle d'Emmanuel Macron. — CHAMUSSY/SIPA

Camoufler les cernes disgracieux, matifier le teint et assurer une mine radieuse : les maquilleuses professionnelles peuvent accomplir de vrais petits miracles… qui ont un coût conséquent quand le client n’est autre que le président de la République. Emmanuel Macron devrait ainsi 26.000 euros à sa maquilleuse, rapporte Le Point.

26.000 euros de maquillage pour trois mois

Natacha M., 40 ans, assurait déjà le maquillage du candidat Macron durant la campagne électorale. Et le nouveau locataire de l’Elysée a tenu à conserver les services de la maquilleuse professionnelle après son élection. Natacha M. a ainsi adressé deux factures de 10.000 et 16.000 euros, que l’hebdomadaire a pu consulter, au titre de ses prestations pour le président Emmanuel Macron.

L’Elysée devra donc régler une note salée de 26.000 euros de maquillage pour trois mois. « Nous avons fait appel à un prestataire dans l’urgence », confirme l’Élysée, qui précise que ce poste de dépense « a vocation à être réduit significativement ».

La maquilleuse de François Hollande, salariée par l’Elysée, percevait quant à elle un salaire de 6.000 euros par mois, alors que le salaire mensuel de son coiffeur s’élevait à 9.895 euros brut.

 

Source : 20minutes

“Si quelqu’un crie ‘Allah Akbar’, nous l’abattrons”, prévient le maire de Venise

Publié par Guy Jovelin le 25 août 2017

 
La place Saint-Marc, à Venise, en Italie. Photo © Luca Bruno/AP/SIPA

Terrorisme. L’édile de droite Luigi Brugnaro affirme que sa ville est plus sûre que Barcelone, frappée par un attentat meurtrier, la semaine dernière.

Le maire de Venise Luigi Brugnaro assure que sa ville est plus sûre que Barcelone, où 13 personnes sont mortes dans un attentat, la semaine dernière, rapporte le Times. Lors d’une conférence à Rimini, dans le nord-est de l’Italie, l’édile de droite, réputé pour son franc-parler, a même menacé de faire tirer sans sommation sur les suspects de terrorisme.

“À l’opposé de Barcelone, où ils n’ont pas installé de protections, nous restons sur nos gardes”, a-t-il déclaré sous les applaudissements. “Si quelqu’un court sur la place Saint-Marc en criant ‘Allah Akbar’, nous l’abattrons”, a prévenu le maire. “Nous enverrons les terroristes directement chez Allah avant qu'ils ne puissent nous faire du mal”, a-t-il conclu.

 

Source : valeursactuelles

jeudi, 24 août 2017

Signalé comme sans-papier à Toulouse en 2009, il commet un attentat à Levallois-Perret

Publié par Guy Jovelin le 24 août 2017

   

Le suspect de l’attaque à la voiture bélier, blessant six militaires à Levallois-Perret, le 9 août dernier avait été signalé à Toulouse en 2009. Il était alors impliqué dans la vente de cigarettes de contrefaçon, il séjournait aussi illégalement sur le territoire Français.

A défaut d’être expulsé, Hamou B., un algérien de 36 ans, a obtenu un titre de séjour en mars dernier. En guise de reconnaissance, le néo-français a tenté d’assassiner une patrouille de militaires, le 9 août à Levallois-Perret. Blessant six soldats à l’aide de sa voiture, cet acte aurait pu être évité… huit ans auparavant.

En effet, contrôlé en 2009 à Toulouse, Hamou B. revendait des cigarettes de contrefaçon dans les artères de la ville rose, alors qu’il séjournait illégalement sur le territoire français. C’est ce qu’a indiqué François Molins, procureur de la République de Paris, en charge des dossiers de terrorisme, lors d’une conférence de presse tenue mercredi. Bien qu’étant donc impliqué dans deux affaires délictuelles, le suspect du dernier attentat sur le sol français « n’a jamais été condamné » et encore moins expulsé, indique François Molins.

De Toulouse à Levallois-Perret

Signalé également plus tard, à Sartrouville comme clandestin, l’Algérien a réussi à se maintenir sur le territoire français pendant près d’une décennie avant d’être régularisé le 6 mars dernier. Le 9 août, il a été blessé par balle par des policiers, qui tentaient de l’interpeller alors qu’il se dirigeait vers Calais, après l’attaque à la voiture bélier, au petit matin, blessant six militaires, dont trois grièvement, place de Verdun à Levallois-Perret.

Chauffeur de VTC et manutentionnaire, il n’était pas connu des services de renseignement et bénéficiait d’un casier judiciaire vierge. Proche du mouvement Tabligh (« Association pour la prédication, mouvement qui prône une vision ultra-rigoriste, littérale de l’islam »), son téléphone saisi à son domicile comporte par ailleurs « une douzaine d’images relatives à l’État islamique ou avec des objets tels que drapeaux, images de dirigeants ou d’idéologues ».

Le procureur de la République a précisé que Hamou B. avait « un intérêt récent mais certain » pour l’Etat Islamique et s’était renseigné pour rejoindre Daech en Syrie. L’individu n’a pas encore pu être interrogé par les enquêteurs, à cause de son état de santé.

 

Source : infos-toulouse

Des CRS de Toulouse se font porter pâle pour refuser une mission à Paris

Publié par Guy Jovelin le 24 août 2017

Par Guillaume Descours

Mis à jour 

 

Les CRS sont souvent régulièrement envoyés en mission loin de leur famille et de plus en plus depuis les attentats de 2015. 

Les policiers contestent leurs conditions de travail et la volonté du gouvernement de fiscaliser les indemnités qui leur sont versées à l'occasion de déplacements.

Plus de 70 CRS de la région de Toulouse devaient partir en mission à Paris pour une durée de trois semaines, lundi. Seulement 27 ont pris le départ, les autres ont présenté un certificat médical pour être dispensé. Cette action permet aux CRS d'alerter sur leur condition de travail qui se dégrade au fil des mois.

«Il existe un ras-le-bol dû au suremploi», déclare Dominique Le pape, chargé de mission nationale du syndicat Alliance, interrogé par Le Figaro. Cette mission était «un renfort en zone de défense. La plupart des missions sont aujourd'hui sur Paris et Calais, où la situation recommence à se tendre depuis quelques semaines», explique-t-il.

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Au centre du problème, les indemnités d'absence temporaire. Fixées à 39 euros par jour, depuis le 1er janvier 2017, elles sont une contrepartie à leur absence du domicile familial. «En général, en un coup de téléphone ils doivent partir en laissant femme et enfant», reprend le syndicaliste. Si jusqu'à présent ces indemnités étaient versées à la fin de la mission et n'étaient pas imposables, cela pourrait changer dans les mois à venir. En effet, le ministère de l'intérieur voudrait pouvoir les rendre imposables et ne les verser que tous les trois mois.

Un procédé récurrent

Selon Olivier Candille, représentant régional du syndicat Alliance CRS, interrogé par France 3, les CRS ont vu, depuis trois ans, leurs nombres de jours de missions à l'extérieur passer «de 180 à 240 jours». Une multiplication qui s'est fait ressentir depuis les attentats de janvier 2015 à Paris. Outre la surcharge de travail, les CRS protestent aussi contre leurs conditions de travail sur le plan technique. «Aujourd'hui la flotte de véhicule est dans un état déplorable alors que nous avons de plus en plus de missions», précise Dominique Le Pape.

» Lire aussi - Mal employés, les policiers et gendarmes mobiles au bord de la saturation

Alors qu'ils ne possèdent pas le droit de grève, c'est la nouvelle manière de manifester qu'ont choisi les CRS. Le 12 août, un groupement de CRS de la Loire, qui devait partir en mission à Orly, s'est rendu dans les services d'urgences et a obtenu des arrêts de travail allant d'un à plusieurs jours. Plus tôt en août, le Pogrès racontait qu'un CRS de la Loire, basé à Mably, avait utilisé le même procédé.

Selon Dominique Le Pape, les syndicats ont fait une demande pour rencontrer le directeur général de la Police nationale afin de «trouver des solutions».

 

Source : lefigaro