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mercredi, 27 septembre 2017

La France sera-t-elle musulmane dans 40 ans ?

Publié par Guy Jovelin le 27 septembre 2017

POSTÉ LE 26 SEPTEMBRE , 2017, 11:56

france,natalité,population musulmaneCharles Gave, un économiste et financier pour qui j’ai de l’estime et de l’amitié depuis très longtemps, a publié voici peu un article très pertinent dans l’un des derniers magazines encore lisibles en France : « Causeur ».

Il y expliquait la situation démographique absolument cataclysmique de l’Europe.

Il notait, en particulier, que le taux de fécondité des femmes européennes non musulmanes se situait présentement à 1,4, alors que celui des femmes musulmanes était nettement au-dessus du double de ce chiffre.

Il procédait à un calcul de ce que cela impliquait pour l’Europe dans vingt ans, lorsque les enfants nés aujourd’hui seraient en âge d’avoir des enfants, et en auraient.

Il soulignait que, si la natalité au sein des populations non musulmanes ne se redressait pas (or, strictement aucun facteur ne permet de penser aujourd’hui que cette natalité va se redresser), et si la natalité au sein des populations musulmanes se maintenait, cela signifierait qu’à une échéance de quarante ans, plusieurs pays européens (la France, l’Allemagne, l’Autriche, l’Espagne, l’Italie, la Belgique, les Pays-Bas…) seraient des pays à population majoritairement musulmane.

Il disait que, dès lors que la France est, d’ores et déjà, le pays qui compte au sein de sa population la plus forte proportion de musulmans (dix pour cent selon les études internationales), le basculement, en France, se ferait encore plus vite.

Charles Gave en tirait des conclusions en matière de culture et de civilisation, mais aussi en matière d’économie, et en déduisait une destruction culturelle, un anéantissement de la civilisation européenne, et une paupérisation généralisée.
Ses analyses me semblent pertinentes.

Il rappelait d’ailleurs qu’elles recoupaient celles du grand historien Pierre Chaunu, auteur d’un livre sur le sujet appelé « La peste blanche », paru en 1967, écrit avec Georges Suffert, et dont le sous-titre ne peut que se lire avec tristesse aujourd’hui : « Comment éviter le suicide européen ? »

Charles Gave ajoutait qu’il était sans doute trop tard et que, si un réveil devait avoir lieu en Europe, il devait avoir lieu maintenant.
Je m’attendais à ce que son article soit reçu dans un silence glacé. Ce fut le cas.

Je m’attendais à ce que, si son article rencontrait un écho, cet écho soit négatif et arrogant. Ce fut le cas aussi.

Le journal des gauchistes post-soixante-huitards devenus sep­tuagénaires et des jeunes crétins qui ont pris la suite, « Libération », a publié une réfutation, en utilisant un mot issu de la scatologie langagière devenue commune dans ces milieux, et en qualifiant l’article de Charles Gave de « foireux ».

La réfutation ressemble à une longue dénégation bancale, et repose sur des chiffres officiels très trafiqués, sur des hypothèses d’école pour cancres, sur des circonlocutions suggérant que parler de musulmans est raciste, qu’il ne faut pas confondre ethnie et religion (ce que Charles Gave ne fait aucunement), et sur un aveuglement absolu concernant l’islam.

Charles Gave est, bien sûr, accusé d’être d’extrême droite (l’insulte censée tuer).

Des réfutations telles que celle publiée dans « Libération » auraient pu se trouver publiées ailleurs, dans d’autres journaux et magazines.
Elles font partie du prêt-à-penser qui sert à laver les cerveaux depuis des générations désormais.

Elles montrent qu’il y a toutes les raisons de penser que le réveil espéré par Charles Gave n’aura pas lieu.

Elles montrent aussi que l’expression « suicide européen » utilisée par Pierre Chaunu et Georges Suffert est inexacte.

Ce qui se passe est un assassinat.

Les assassins de la civilisation européenne ont permis l’immigration musulmane, et ont autorisé qu’elle prenne des allures d’invasion.
Ils ont accepté que les musulmans installés en Europe prennent la nationalité de pays européens sans s’intégrer.

Ils se sont aveuglés délibérément sur l’incompatibilité de l’islam avec la civilisation occidentale, et ils ont disséminé l’aveuglement autour d’eux.

Ils continuent.

Ils n’ont cessé de vouloir la destruction de la civilisation occidentale.

Ils sont presque venus à bout de l’Europe. Ils ne discernent même pas que la liberté de parler et de penser dont ils abusent est le fruit de la civilisation occidentale.

Ils me donnent la nausée.

 

Source : les4verites

Belgique : vers un déremboursement de la circoncision rituelle

 Publié par Guy Jovelin le27 septembre 2017

 
 
En Belgique, le comité consultatif de bioéthique s’est penché sur la question de la circoncision rituelle, après l’interpellation d’un médecin bruxellois qui a assimilé cette pratique à l’excision, soit une mutilation génitale interdite par la loi.

Béatrice Toussaint, la présidente du comité, propose que les musulmans et les juifs fassent évoluer la pratique vers un acte purement… symbolique, ceci afin que le rite puisse avoir lieu, « mais sans toucher à l’intégrité de l’enfant et sans poser d’actes chirurgicaux ».

Sans surprise, cette proposition a fait bondir les organisations juives et musulmanes. Pour Jamal Habbachich, imam de la mosquée Atadamoune de Molenbeek, ce nouveau débat témoigne d’un acharnement contre certains rites religieux tels que l’abattage rituel. Une disposition qui aurait peu d’impact sur la communauté juive si on s’en tient aux dires de Yohan Benizri. D’après lui, la circoncision des bébés juifs a rarement lieu à l’hôpital. C’est moins le cas pour les musulmans et l’imam Jamal Habbachich dit redouter que les familles les plus défavorisées en payent le prix.

Source : fdesouche via Saphir News

mardi, 26 septembre 2017

Londres: la cantine de cet hôpital ne sert que la viande halal

Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2017

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Article publié le 22.09.2017

Cenator : L’islamisation de nos sociétés progresse de jour en jour.

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Les clients de la cantine d'un grand hôpital londonien n'ont plus d'autre viande que halal. Pourtant, la population musulmane du quartier n’est qu’une petite minorité.

Le porte-parole du National Health Service (NHS) a déclaré à Breitbart London qu'un entrepreneur privé était responsable du restaurant, et « comme la nourriture du restaurant est fraîchement préparée sur place, elle est halal, donc elle convient à tous les visiteurs, au personnel et aux patients qui visitent le restaurant ».

Pour ceux qui ne veulent pas de halal, pour le bien-être animal ou pour d'autres raisons, il ne reste que les menus végétariens.

Selon le recensement de 2011, seulement 6,8% de la population de Greenwich, où l'hôpital est situé, était musulmane. Environ 52,9% se sont déclarés comme chrétiens.

Traduction libre Deepl et Cenator pour LesObservateurs.ch

Source : Breitbart

XIe JOURNÉE NATIONALE & IDENTITAIRE

Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2017

Le dimanche 1er octobre, mobilisation générale pour la XIe Journée nationale et identitaire de Synthèse Nationale où Carl Lang interviendra. Il présentera également son nouveau livre et le dédicacera tout au long de cette journée de rassemblement des forces de la droite nationale non-reniée

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En Marche prend la porte au Sénat

Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2017

Rédigé par notre équipe le 25 septembre 2017

 
Les élections sénatoriales de ce 24 septembre ont conclu cette folle année électorale sur une promesse. Après les victoires de Macron et de tous les ralliés de la dernière heure, En Marche a enregistré un premier coup d’arrêt avec seulement 24 élus lors de ce renouvellement partiel du Sénat. Le mode de scrutin ne lui était, certes, pas favorable, mais il donne au moins l’espoir de voir la Chambre Haute se dresser comme le seul contre-pouvoir. La rue est le contre-pouvoir dirait Mélenchon, mais à force de réécrire l’Histoire de France, « l’insoumis » perd le sens de la réalité.

De défaite en défaite jusqu’à la victoire. Ainsi peut-on résumer l’horrible séquence politique qui a vu l’intronisation de Macron, sa mainmise sur l’Assemblée nationale et, enfin, sa défaite aux sénatoriales. La victoire des non macronistes est partielle, comme l’élection d’hier, mais elle montre au moins que les grands électeurs ne sont pas encore atteints de ce virus mortel pour la France. Le Sénat s’est renouvelé sans changer les équilibres qui le menaient jusqu’alors. Les Républicains ont renforcé à la marge leur majorité relative, le PS n’a perdu que 14 sénateurs et reste la seconde force avec 72 élus, tandis que LREM se prend les pieds dans le tapis avec seulement 24 élus contre 29 jusqu’alors. L’influence d’En Marche au Sénat est minime et s’il faudra compter sur des désertions et trahisons de certains pour plaire au pouvoir, le Palais du Luxembourg demeure un bastion anti-macronien.

Les extrêmes, comme adorent en parler les médias, font plutôt la grimace ce matin. Le Front national n’attendait pas grand-chose de cette élection est n’a vu aucun de ses champions l’emporter même si Marine Le Pen a souligné que la progression en voix par rapport à 2011 était positive. Chez les rouges de type communiste, c’est la débandade, avec 10 élus contre 18 avant ce scrutin qui annonce une mort lente, mais certaine d’un groupe qui ne représente plus que lui-même depuis trop longtemps. Le Sénat reste un ovni politique en ces temps d’apocalypse et s’il ne représente pas fidèlement le corps électoral, il a au moins le mérite de tenir en respect un macronisme qui se veut tout-puissant à défaut d’être jupitérien.

Le Sénat sur la liste noir de Macron ?

Les banquiers ne sont pas habitués à voir leurs décisions contestées. Ils décident, les instances en charge font mine d’approuver et ce sont les gueux (c’est-à-dire nous) qui trinquent toujours. La même formule doit fonctionner sur le plan politique pour Macron, mais c’était sans compter sur des institutions qui peuvent encore remplir leur rôle. L’Assemblée nationale est complètement perdue pour la cause pendant cinq ans et c’est là que toute la force du bicamérisme apparaît. Depuis des années, les députés rageux – le plus souvent de gauche – se plaignent de voir le Sénat ralentir leurs folies législatives et se dresser contre des mesures délirantes, voire iniques.

Peu importe, se disent les plus dédaigneux car, in fine, l’Assemblée nationale a le dernier mot. Pourtant, le travail du Sénat – largement passé sous silence par les médias – permet de réduire le pouvoir de nuisance de députés godillots. Des amendements sont votés, les textes prennent plus de temps à être adoptés et les forfaitures sont plus difficiles à cacher aux citoyens. Le bicamérisme est essentiel, mais va contre l’ambition de Macron. Il comptait obtenir – à terme – les 3/5e du Parlement afin de changer la Constitution à sa guise. Il faudra attendre ou passer par un référendum de tous les dangers. Mais 2005 a montré que les référendums n’engagent que les électeurs, pas leurs représentants…

Le Sénat sera-t-il puni pour son insoumission au pouvoir macronien ? Se débarrasser de cette chambre est une possibilité. Une campagne médiatique se mettra en place pour montrer que le bicamérisme est un gadget antidémocratique, des sénateurs seront épinglés pour de sombres affaires et quand les esprits faibles seront prêts, le temps de la suppression du Sénat sera venu.

Que dira Mélenchon, celui qui fut sénateur PS pendant plus de 18 ans ? Il versera peut-être une petite larme en souvenir de ces années bénies et scandera une nouvelle fois que le pouvoir vient de la rue. Ce Lénine du pauvre d’esprit croit pouvoir renverser Macron par la rue et en veut pour preuve la Révolution française, la victoire contre le nazisme et le putsch manqué des généraux en 1961 (et non pas 1962 comme il le professe). Mélenchon pourrait être professeur d’un cours intitulé « affabulations historiques », car dire que ces trois faits sont dus au pouvoir de la rue, c’est prendre les citoyens pour des idiots. Mais après quatre décennies de socialo-européisme, peut-être que le pari de l’inintelligence du peuple est le bon…

 

Source : 24heuresactu