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lundi, 16 octobre 2017

Scènes d’émeutes dans le quartier du Mirail, samedi soir à Toulouse

Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2017

   

Des émeutes se sont déroulées dans la soirée du samedi 14 octobre, dans le quartier du Mirail à Toulouse. Les forces de l’ordre ont été pris pour cible par des racailles, le tout sur fond de trafic de stupéfiants. 

L’élément déclencheur s’est produit vers 17 heures, samedi 14 octobre dans le quartier du Mirail. Une patrouille de police croise d’abord la route d’un individu cagoulé au guidon d’une motocross. Connu pour sa participation active dans le trafic de stupéfiants, les agents tentent de l’interpeller. Mais une intervention dans un tel quartier n’est rarement sans incident. Insultes, menaces, le suspect se rebelle et complique la tâche des policiers. Des échauffourées éclatent lorsque des dizaines de complices viennent à la rescousse du présumé trafiquant. Des projectiles sont lancés et les forces de l’ordre sont contraints d’utiliser des grenades lacrymogènes pour tenter de disperser les émeutiers.

Au bout de longues minutes, les policiers ont dû se replier. Mais à 21 heures, alors que l’individu à la cagoule refait son apparition dans le secteur, les fonctionnaires tentent une seconde fois de l’interpeller. Mais les trois heures écoulés depuis la première tentative n’ont pas permis de convaincre le suspect de se plier à l’autorité. Insultes et menaces de mort reprennent de plus belle. Son frère se mêle à la situation et tente de l’aider à se libérer. Le caillassage reprend. Les policiers utilisent alors leurs flash-ball- une arme non-létale qui tire des balles en caoutchouc- que l’homme encagoulé tentait de dérober.

Lire aussi : Dans certains quartiers, tuer du « flic » n’est plus un tabou 

Finalement, deux personnes ont été interpellés, l’homme sur son motocross, âgé d’une trentaine d’années, et son frère. Ils ont été placés en garde à vue, tandis que deux fonctionnaires de police ont été légèrement blessés durant l’opération.

 

Les faits se sont déroulés dans le secteur « Varèse-Messager » dans le quartier du Mirail. Un point connu des services de police pour être une zone à forte activité de trafic de stupéfiants.

 

Source : infos-toulouse

Elle tue et poignarde les violeurs de sa fille, elle est acquittée

Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2017

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Rédaction en ligne

Une dame de 56 ans a été acquittée par un tribunal sud-africain après avoir tué un homme et en avoir poignardé deux autres. Ils étaient en train de violer sa fille et, comme la police n’a pas réagi, elle a décidé d’intervenir.

Après avoir vu trois hommes menacer et traîner de force une jeune femme de 27 ans, un voisin a prévenu la mère de la victime pour lui annoncer ce qu’il venait de voir. Horrifiée, la mère a alors prévenu les policiers.

Mais comme ceux-ci n’intervenaient pas assez vite à son goût, elle a elle-même décidé d’intervenir. Armé d’un couteau, elle alors retrouvé les agresseurs : « Quand je suis arrivée, j’ai demandé aux hommes ce qu’ils faisaient parce qu’ils étaient tous nus », a expliqué la mère aux médias sud-africains. Avant d’ajouter : « J’étais armée d’un couteau pour me protéger. J’ai poignardé le premier, j’ai poignardé le deuxième et j’ai poignardé le troisième pendant qu’il essayait de fuir ».

Une fois sur place, la police a trouvé la mère de 56 ans pleine de sang : « Tout ce que je voulais, c’était protéger ma fille ». Surnommée « Lion Mama », la mère a été arrêtée mais a pu compter sur un soutien des populations locales, qui l’ont aidée à financer les frais de justice. Finalement, les accusations de meurtre et de tentative de meurtre ont été abandonnées. La mère a été acquittée. 

 

Source : sudinfo.be

La gendarmerie du futur commence demain

Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2017

Les tablettes Néogend permettront à la gendarmerie de contrôler les papiers en quelques secondes au lieu de 15 minutes, auparavant.   Photo Gendarmerie Nationale

 Les tablettes Néogend permettront à la gendarmerie de contrôler les papiers en quelques secondes au lieu de 15 minutes, auparavant. Photo Gendarmerie Nationale

D’ici décembre, la gendarmerie va déployer près de 60 000 smartphones auprès de son personnel. Néogend, cet outil hyperconnecté, va révolutionner le quotidien des gendarmes. Pour contrôler une personne et interroger leurs fichiers, quelques clics suffiront.

L’ère de la gendarmerie digitale est arrivée. Aussi, préparez-vous à voir du changement lors d’un prochain contrôle. Après la tablette dédiée à chaque unité, le smartphone Néogend débarque sur le terrain.

Après deux expérimentations menées dans le Nord en 2015 puis à l’échelle de la région Bourgogne en 2016, chaque gendarme va être doté de cette nouvelle « arme » numérique, qui prendra place à côté de son Sig Sauer Pro 2022, son arme de service.

« Le smartphone Néogend va changer fondamentalement la vie du gendarme, sa façon de travailler. Il s’agit d’un véritable bureau mobile », annonce le général d’armée Richard Lizurey, directeur général de la gendarmerie nationale.

Déployé au cours de ce dernier trimestre, selon un plan formation, l’outil se veut simple et efficace, tout en renvoyant une image de modernité du gendarme.

Test à l’appui : « Lors d’un contrôle routier, le gendarme scanne avec son smartphone la bande MRZ (bande inférieure à lecture optique) de votre carte d’identité, de votre passeport, de votre titre de séjour. Quelques secondes suffisent pour interroger à distance les différents fichiers au lieu de 15 minutes hier», développe le lieutenant-colonel Mickaël Fumery de la mission numérique.

 

Source : ledauphine

Scandale politique à Hollywood : Harvey Weinstein, ou les contradictions de la révolution sexuelle, et suite…

Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2017

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Les dizaines de femmes témoignant de la frénésie sexuelle du producteur Harvey Weinstein sèment une petite révolution à Hollywood. Le scandale révèle les contradictions d’un système qui prétend régenter la morale politique, comme l’ont rappelé ses récentes campagnes anti-Trump.

[…]

Aujourd’hui, plus de vingt femmes, connues ou inconnues, ont déclenché un scandale quiva  faire bruire Hollywood, elles l’accusent de harcèlement, d’atteinte sexuelle, d’agression sexuelle et même, pour quatre d’entre elles à ce jour, de viol. Deux enquêtes ont été ouvertes.

[…]

Première constatation, l’immense majorité de ces dames se plaignent qu’Harvey Weinstein ait essayé de les embrasser, généralement dans sa chambre, avant qu’elles ne se dégagent. [...] Quand on sait ce qui arrive tous les jours dans les banlieues, dans les lycées, on se prend à penser qu’il faut être joliment culottée pour faire tout un scandale à propos de ce geste. C’est à mon sens une véritable insulte à toutes les vraies, et anonymes, victimes de viols et d’agressions sexuelles.

[…]

Autre contradiction, non moins forte, ces vedettes féminines font commerce de l’image de leur corps, et l’industrie de Hollywood a fait la promotion du désir sans frein, « libéré » des contraintes dites selon le moment bourgeoises ou chrétiennes. Cette révolution antifamiliale a objectivement promu la femme objet, et stars et starlettes y ont consciemment contribué.

[…]

En attendant de prouver que ses « victimes » n’aient pas été consentantes, Hollywood, qui comme toutes les vieilles putains a des pruderies dignes de l’Armée du salut, monte à son propos une campagne visant à imposer le sexuellement correct pensé par les associations féministes.

[…]

Article complet : reinformation.tv

PS. On apprend simultanément  qu'un autre grand  "pig", Harry Flint, roi du porno aux USA promet  1 million de dollars  à ceux qui pourraient fournir  des renseignements susceptibles de faire démissionner le Président des USA Donald Trump.

Les pornographes et autres désaxés sexuels voudraient-ils également prendre le pouvoir politique ?

Lien vers l'article, ici

 

lesobservateurs

Coloniser, décoloniser, pour quoi faire en fin de compte ?

Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2017

 

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Les décolonisations n’ont pas commencé en 1783 (avec l’accès à l’indépendance des 13 colonies anglaises d’Amérique du Nord et la création des USA), ni en 1947 (avec la tripartition de l’Empire des Indes entre l’Inde, les deux Pakistan et la Birmanie) : on en avait connu dès l’Antiquité.

 

Carthage s’est détachée sans déplaisir de la Phénicie et les établissements de la Grande Grèce ont assez vite abandonné (au bout de 2 ou 3 siècles, selon les cas) tout autre lien avec Athènes ou Corinthe que celui de la langue et des usages. L’épopée d’Alexandre le Grand a créé les royaumes hellénistiques de Syrie et d’Égypte, qui offrirent d’authentiques apogées intellectuels à ces contrées, où le vulgum pecus fut maintenu dans la haine du maître grec par les ignorantins fanatiques autochtones, singulièrement en Judée.

L’Empire romain a colonisé toute l’Europe occidentale et danubienne, ainsi que le Maghreb et la Mésopotamie, apportant paix et prospérité artisanale et commerciale, en plus d’une technologie brillante. Tout cela fut détruit par les Grandes invasions, puis par l’islam.

Dans ce cas précis – qui ressemble tant à notre présent –, la décolonisation fut extrêmement rude. Les autochtones les plus abrutis et les hordes d’envahisseurs de tous poils se firent une joie de piller, d’assassiner et de violer, de détruire et d’incendier. Les infrastructures urbaines et les voies de communication mirent parfois plus d’un millénaire pour ressusciter : ne serait-ce que pour le tout-à-l’égout, les adductions d’eau potable, les routes pavées (pour ne même pas parler des WC, des trottoirs et des passages pour piétons qui ne firent leur réapparition que très tardivement).

Dans tous les cas, est demeuré vivace dans l’élite intellectuelle le souvenir des humanités : les règles du droit romain, la philosophie et le théâtre grec antique (infiniment plus riche que les divagations des psychanalystes en matière de profondeur psychologique), les chroniques à prétentions historiographiques. Plus rarement, le fanatisme religieux et le vandalisme des bâtisseurs réutilisant de vieilles pierres ont respecté les œuvres architecturales.

La décolonisation des années 1947-1962 a suivi les mêmes schémas que les épisodes antiques. Et l’on savait déjà, par le sanglant épisode haïtien de la Révolution française, quels dégâts pouvaient faire une décolonisation quand dominaient la haine raciale et la plus crasse bêtise.

Quels profits une civilisation évoluée peut-elle tirer du fait de lutter contre les guerres tribales, la pratique de l’esclavage (une constante de toutes les sociétés antiques et archaïques : les Blancs n’ont fait que poursuivre l’exemple dans les Amériques, en n’oubliant pas que l’esclavage fut toujours interdit dans le Canada français), l’anthropophagie (rappelez-vous les Aztèques et les Papous), l’absence totale d’hygiène publique et de travaux d’hydraulique visant à l’amélioration des cultures aussi bien que de la vie privée ?

À quoi bon tirer des populations arriérées de leur torpeur moyenâgeuse (Maghreb, Proche- et Moyen-Orient, Insulinde et Indochine, Amérique centrale et andine), des affres du paléolithique (Afrique centrale, Océanie, Patagonie) ou du néolithique (Amérindiens du Nord, Afrique occidentale) ?

Pour certains, c’est l’appât du gain qui pousse à devenir colonisateur. En fait, les États – soit les organismes qui récoltent et dépensent les impôts et taxes perçus chez les peuples colonisateurs, desquels aucun gouvernement ne prend jamais l’avis – règlent le coût des infrastructures (ou équipements, comme on voudra) et de gros financiers et entrepreneurs du privé exploitent les matières premières pour leur plus grand profit. Seuls les Romains avaient systématiquement créé des manufactures d’État dans leurs colonies ; l’exemple ne fut que rarement et petitement repris par les colonisateurs européens de l’époque moderne.

Il va sans dire que l’occupation d’un territoire à des fins militaires (dans le cadre d’un impérialisme géopolitique) ne peut décemment être appelée « colonisation » que si elle s’accompagne d’une ferme volonté de développer la production économique locale, avec ses retombées sociales sur les indigènes.

Pour d’autres, c’est la satisfaction intime d’imposer leurs dogmes, politiques ou religieux, à des peuplades parfois réceptives : l’Afrique noire est un triomphe pour l’islam, de même que l’Amérique latine fut le terrain de chasse le plus rentable du catholicisme.

Quelques idéalistes béats voulaient faire bénéficier des « lumières de la raison » les nations maintenues dans l’ignorance, la crasse et la superstition.

Dans tous les cas, c’est une mince frange des sociétés dites colonisatrices qui en tire un gain. Pour les colonisés, c’est tout autre chose : tous les êtres intelligents et courageux retirent un énorme bénéfice de la pacification sociale, de la mise en contact avec les sciences et les techniques du colonisateur-apporteur de civilisation, ainsi que de la stimulation de l’activité économique.

Même les abrutis complets et les parasites sociaux parmi les nations colonisées bénéficient des nouvelles conditions médico-chirurgicales et de l’explosion de bien-être matériel.

En principe donc, le colonisateur qui apporte, avec plus ou moins de bonne grâce, les bienfaits du modernisme à des attardés devrait être béni par les colonisés.

En réalité, le colonisé ne développe généralement que de la haine, parfois consécutive à la peur née du contact avec des colonisateurs abusifs : soudards, exploiteurs et autres dégénérés dépourvus de conscience éthique. Le plus souvent, cette haine est réflexe, liée à un nationalisme, un racisme assez peu productifs… quand on est à la traîne, on devrait attendre d’avoir égalé le civilisateur avant de le rejeter. Les émeutes et pillages récidivent à chaque ennui local à Mayotte ou dans les Antilles, prouvant la rémanence de la haine de l’ex-colonisé, même lorsqu’il est devenu citoyen à part entière du pays colonisateur.

In fine : coloniser, ça revient très cher à celui qui offre aux retardataires l’accès à une civilisation supérieure. Le jeu en vaut-il la chandelle ?

C’est à chaque Nation de haute culture intellectuelle et technique d’en décider souverainement. Seul le peuple devrait statuer sur les grandes orientations en matière d’emploi de l’argent public… sûrement pas des politiciens professionnels achetés par divers lobbies financiers.

 

Source : eurolibertes