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mercredi, 30 mai 2018

Nîmes: A 12 ans, il siphonne de l’essence. Son interpellation créé l’émeute dans le quartier Pissevin

Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2018

Par  le 30/05/2018 

Les policiers de la Brigade anticriminalité (BAC) ont repéré trois personnes en train de voler de l’essence dans le réservoir d’une voiture, lundi dans la soirée. Les faits se sont produits à Nîmes, dans le quartier populaire Pissevin, dans lequel le ministre de l’intérieur Gérard Collomb s’état rendu quelques jours plus tôt…

A l’arrivée des policiers, les voleurs se sont enfuis en abandonnant les bidons sur place. Les fonctionnaires sont parvenus à attraper l’un d’entre eux, un mineur âgé de 12 ans.

Mais son interpellation s’est passée plus difficilement que prévu. Alertés, des habitants du quartier se sont regroupés et ont jeté des projectiles pour empêcher cette arrestation. « Aucun blessé n’était à déplorer. Seul le véhicule de police subissait des dégradations », évoque la police dans un communiqué.

Le voleur présumé âgé de 12 ans aurait reconnu les faits lors de sa garde à vue. Il a été remis à ses parents dans l’attente d’une convocation judiciaire.

L’islam fascine l’Église

Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2018

A Milan, l’Église officielle est fascinée par l’islam : les initiatives pour fêter le ramadan dans les paroisses pullulent. L‘Iftar, le repas rituel du soir qui rompt le jeûne du ramadan, est à la mode chez les pro-pros !Cette fascination indiscrète de l’islam est en train de devenir pour beaucoup de catholiques toujours plus envahissante… par la faute de leur curé !

Dans une des églises de Milan, San Bernardo alla Comasina, prêtre et imam ont vécu « une expérience spirituelle » en célébrant ensemble l’Iftar, « le repas de la Miséricorde ». Réflexions sur « pourquoi le jeûne », récitation du Coran par des enfants, prière « Al Maghreb » et cène partagée aux parfums arabes et saveurs d’Afrique ont ponctué cette soirée inter-religieuse.

Le diocèse a félicité le curé pour son initiative : « Ainsi je suis l’évêque » a expliqué le prêtre à la presse. Il est vrai en effet que l’archidiocèse de Milan promeut rien de moins qu’un Iftar officiel avec publicité sur son site. Rendez-vous est donné au coucher du soleil « dans la cour interne de la paroisse de L’Incoronata pour vivre ensemble l’Iftar, la rupture du jeûne du ramadan, un moment d’amitié et une occasion pour réfléchir sur la valeur du jeûne dans les religions. » « La soirée se conclura, après la prière des musulmans et le repas, avec un moment de silence. » En somme, la bonne nuit dans la paroisse sera donnée par le muezzin !

Des initiatives semblables, des collaborations entre imams et curés, se répètent dans d’autres églises italiennes. Ce n’est pas par hasard que l’archevêque de Turin, Mgr Cesare Nosiglia, à l’occasion de ce ramadan, a visité pour la première fois la grande mosquée de Turin. Il en a profité pour transmettre un message bisounours : « Je me sens un peu chez moi. Ici c’est un lieu de spiritualité et de culture. Ici on prie beaucoup et la prière porte toujours un message d’amour. »

Qui, quoi et comment on prie n’est évidemment pas déterminant… Ne parlons même pas de l’apostolat de la conversion, c’est un concept dépassé… Et pendant ce temps-là, l’islamisation de sociétés autrefois chrétiennes est en marche…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

Première photo exclusive de l'enfant du balcon sauvé par Mamoudou

Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2018

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mardi, 29 mai 2018

Ces citoyens « de seconde zone » qui ont sauvé des vies dans l’indifférence des pouvoirs publics en 2018

Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2018

citoyens de seconde zone,indifférence,pouvoirs publics

Serge Dassault est sans doute mort au mauvais moment. Le 28 mai 2018,  la classe politique et médiatique n’avait en effet qu’un seul nom en tête : celle de Mamoudou Gassama, cet immigré entré clandestinement en France (il n’a jamais fait de demande d’asile) et qui a fait preuve d’un grand courage samedi 26 mai pour sauver un enfant qui menaçait de tomber dans le vide, à Montreuil.

Invité par le président de la République en toute urgence, promis à l’acquisition de la nationalité française – et à une possible carrière de pompier à Paris – voici donc un nouvel « héros de la République » qui tombe à pic, alors que la population française semble jour après jour de plus en plus réticente au phénomène d’immigration incontrôlée que connait le pays.

Cette affaire donne l’occasion de se pencher sur le cas de tous ces citoyens qui ont sauvé des vies, ne serait-ce qu’en 2018, et qui n’ont pas eu les honneurs et la mobilisation générale de la caste politique et médiatique. Des citoyens « de seconde zone » en quelque sorte, dans une République que seul « l’autre » –  c’est à dire tout sauf le « mâle blanc » – semble désormais intéresser.

Ainsi, le 21 mai dernier, en Bretagne, un homme a pris tous les risques au volant pour aller sauver sa compagne, qui avait commencé à se donner la mort, à côté de Callac, en Bretagne. Son intervention ainsi que celle des gendarmes qui l’avaient arrêté pour excès de vitesse ont sauvé la vie de la jeune femme. Hormis quelques mots dans la presse locale, pas de réception du couple prévue à l’Élysée.

À Fougères, en mars, un homme a sauvé une fillette de 3 ans qui tombait d’une fenêtre. Là encore, hormis la presse locale, cette histoire n’a pas suscité l’émotion ni d’Anne Hidalgo ni de Ian Brossat. Pas une légion d’honneur non plus, pour cet homme qui sauva, en janvier, l’homme qui voulait voler la voiture de son frère. Rien non plus sur cet homme qui, grâce à un massage cardiaque et à l’application Staying Alive, a sauvé une vie à Agen.

Cet enfant de 5 ans qui a eu le réflexe d’appeler la gendarmerie pour sauver son père, victime d’un coma diabétique le 13 mai, dans l’Orne, n’aura sans doute pas non plus de service civique attitré à sa majorité, au sein des pompiers de Paris. Tout comme cet adolescent de 13 ans, qui, dimanche 8 avril, a sauvé grâce à des points de compression un adolescent de 15 ans agressé et poignardé par une bande à Dunkerque, dans le Nord.

Dans l’Aveyron, un homme a risqué sa vie pour sauver un bébé de la noyade, en début d’année. Sans que François Molins, procureur de la République de Paris, ne le félicite comme cela a été le cas pour Mamoudou Gassama au micro d’une Ruth Elkrief presque en trans à ce sujet. À Fourtou dans l’Aude, ce garçon qui a lui aussi risqué sa vie pour sauver sa grand-mère des flammes cette année, n’a pas suscité plus qu’un article dans la presse locale.

Certains sur les réseaux sociaux, se sont interrogés à savoir pourquoi le jeune Marin,tabassé en 2016 alors qu’il défendait un couple importuné par un repris de justice qui se scandalisait d’un baiser, n’a jamais au lui non plus les sentiments de la classe politique et médiatique française, alors même qu’il a désormais un handicap lourd et que le procès de son agresseur se tenait en cette année 2018.

Mais à cette interrogation, la multitude de ces faits, courageux, héroïques, survenus ne serait-ce que sur cette année 2018 partout en France, prouvent que sciemment, le geste de Mamoudou Gassama est exploité en plus haut lieu, comme le fût le décès du petit Aylanil y a quelques temps, à une fin et une seule : imposer l’immigration et l’acceptation que des migrants peuvent venir sur le territoire de manière illimitée, sans consultation de la population accueillante et qu’ils seraient tous des « chances pour la France » pour reprendre le communiqué du maire de Montreuil du lundi 28 mai.

Les nombreuses affaires (viols, meurtres, agressions) mettant en cause des migrants en Europe de l’Ouest depuis la « crise migratoire » qui s’est déclenchée il y a quelques années déjà pourraient pourtant amener à tirer d’autres conclusions, diamétralement opposées.

Mais dans une société devenue hystérique, réagissant uniquement à l’émotion et plus à la raison, une société où les réseaux sociaux (de plus en plus contrôlés et censurés) empêchent de prendre de recul, d’analyser de manière globale, dans une société contrôlée par la presse dominante et ses riches patrons, dans une société verrouillée avec autoritarisme par une petite caste médiatique et politique intéressée, un Mamoudou Gassama vaut généralité tandis qu’un Mohamed Lahouaiej-Bouhlel ne vaut pas d’amalgame.

« L’Esprit républicain » sans doute …

Yann Vallerie

 

Source : breizh-info

CONFRONTATION

Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2018

Sortie du n°4 de la revue « Confrontation » de Jean-François Touzé
Pour le commander, c'est ici : http://synthese-editions.com/…/149-confrontation-n4-ete-2...

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