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mardi, 29 mai 2018

Plus d’un tiers des Européens ne peuvent faire face à une dépense imprévue

Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2018

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En 2017, la plupart des pays d’Europe ont été classés en fonction de la réponse à la question suivante : « Etes-vous incapable de faire face à une dépense financière imprévue ? » Si les résultats sont dans l’ensemble conforme à ce qu’on s’attends, on note une césure géographique de l’Europe entre les Balkans et le reste du continent. A noter également les mauvais résultats de pays présentés comme « riches » tel l’Irlande ou l’Allemagne et les résultats correct de pays présenté comme « pauvres » telle la Turquie.

  • Plus de 50 % des habitants incapable de faire face : Bulgarie, Chypre, Croatie, Grèce, Lettonie, Lituanie, Macédoine et Roumanie.
  • Plus de 40 % : Irlande et Serbie.
  • Plus de 30 % : Allemagne, Espagne, Estonie, Hongrie, Islande, Italie, Pologne, Portugal, Royaume-Uni, Slovaquie, Slovénie et Turquie.
  • Plus de 20 % : Autriche, Belgique, Danemark, Finlande, France, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Suède, Suisse et Tchéquie.
  • Plus de 10 % : Norvège.
  • Données inconnues: Albanie, Andorre, Arménie, Azerbaïdjan, Belarus, Bosnie-Herzégovine, Géorgie, Kossovo, Liechtenstein, Moldavie, Monaco, Monténégro, Russie, San Marin, Ukraine et Vatican.

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

Robert Ménard au sujet d’Israël ? La voix de son Maître…

Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

Il est consternant de constater à quel point nombreux en ce moment sont les personnages qui prétendent défendre la France et les Français mais ont en réalité une vénération pour Israël, parfaitement identique à celle d’un Manuel Valls.

Robert Ménard, maire de Béziers, vient encore d’en offrir une nouvelle illustration avec ce tweet dégoulinant de sionisme :

Robert Ménard
 
@RobertMenardFR 

Quand on parle d', on parle avant tout d'un miracle. Un miracle de l'Histoire, un miracle humain. J’ajouterai, un miracle de la transcendance. Comment un peuple qui a subi tant de tempêtes, qui a subi le pire, qui a failli mourir, a-t-il pu renaître d’une telle manière ?

Bien entendu, Robert Ménard est coutumier de ce genre de positionnement public. Au point de mériter, comme Gilbert Collard, les encouragements de la Ligue de Défense Juive (LDJ).

 

Source : medias-presse.info

Macron se cherche un papa en Russie

Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2018

Rédigé par notre équipe le 28 mai 2018. 

 
Orphelin depuis que son papa Donald l’a laissé sur le bord de la route, le petit Macron se cherche un nouveau protecteur sur la scène internationale. Hasard du calendrier, c’est la Russie qui vient de se coltiner pendant deux jours celui qui a surfé sur un anti-Russie primaire depuis plus d’un an. Cajolé, Poutine aurait pu croire à une farce s’il n’avait pas compris que Macron n’est qu’un gamin à la recherche d’une protection paternelle.

La France – sous la pression du système – a élu un enfant (capricieux). L’analyse de Michel Onfray se révèle chaque jour plus exacte. Notre président est un gosse qui tient la main de maman en toute occasion. Nous ajouterons une couche politique en affirmant, preuves à l’appui, que le petit Macron se cherche aussi un papa, de préférence connu et bien plus fort que lui. Il pensait l’avoir trouvé avec Trump, mais ce dernier s’est rapidement lassé des caresses dans le dos et des discours vides en anglais dans le texte. Not very delicious !

Poutine, nouveau papa d’Emmanuel ?

Orphelin de père, Emmanuel a donc accouru à Saint-Pétersbourg où le grand méchant Poutine l’attendait avec un sourire en coin. Après avoir été accusé de tous les mots dont une campagne de calomnies contre la Saint-Emmanuel, Poutine a vu Macron lui demander de faire ami-ami sans crier gare ! Reçu à Saint-Pétersbourg avec (pas tous) les honneurs, Macron a profité de ces deux jours loin de la France pour tenir un discours renversant sur la Russie et son président.

Fini les vilains mots et les accusations non étayées. Alors que la France avait suivi benoitement une Grande-Bretagne hystérique dans la très louche affaire Skripal, il n’a même pas été question de cette question… La Crimée ? Même pas ! Alors pourquoi les sanctions contre la Russie si la Crimée ne compte plus ? La réponse ne viendra peut-être jamais. Macron s’est contenté de déclarer que « le règlement pacifique de la crise au Donbass est l’élément clé d’un retour à des relations apaisées entre l’Europe et la Russie ».

Le petit Macron est devenu beaucoup moins exigeant. Son abandon en rase campagne par son cher Donald a des effets bénéfiques. Il est plus calme, moins bagarreur et même un tantinet flatteur lorsqu’il a parlé des sacrifices de la Russie au cours de la Seconde Guerre mondiale. Un discours qui a surpris son auditoire et qui a dû faire enrager ses soutiens depuis toujours…

« En même temps », ce n’est pas la première fois qu’un politicard change d’opinion. Et « en même temps », ce discours surprenant n’est peut-être qu’un enfumage destiné à un public précis. Macron nous a déjà habitué à tenir des discours très différents en fonction de son auditoire. Mais si le petit Emmanuel souhaite obtenir quelque chose de son nouveau papa, il faudra qu’il donne des gages notamment sur l’Iran. Trump a cassé ce jouet et Emmanuel affirme vouloir faire beaucoup pour le réparer. L’entreprise est louable, car une guerre de grande ampleur pourrait éclater. Une éventualité bien sombre qui verrait malheureusement Macron détaler aussitôt vers Donald, car dans un conflit sérieux, la mondialisation atlantiste saura rappeler efficacement ses petits chiots.

 

Source : 24heuresactu

Décès de Serge Dassault – Ses liens avec Israël, la franc-maçonnerie et l’islam

Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2018

Ecrit parPierre-Alain Depauw

Le décès de Serge Dassault vient d’être annoncé.

Serge Dassault, né Serge Bloch, propriétaire du Figaro, était l’héritier d’une famille de fabricants d’armes qui jouèrent un rôle-clé en faveur d’Israël, notamment lors de la Guerre des Six-Jours de 1967.

Franc-maçon membre de la loge La Franche Amitié à l’Orient de Paris II au Grand Orient de France, Serge Dassault avait été la cible d’une demande d’exclusion en avril 2014 par le Conseil de l’ordre du GODF en raison de sa mise en examen pour «  achat de votes  », « complicité de financement illicite de campagne électorale  » et «  financement de campagne électorale en dépassement du plafond autorisé  ».

En décembre 2016, Bruno Le Roux, alors ministre de l’Intérieur en charge des cultes, avait « salué le lancement de la Fondation de l’Islam de France » et « remercié Serge Dassault, qui avait apporté le capital de la précédente Fondation des œuvres de l’islam de France, transféré à la Fondation de l’islam de France ».

Poursuivi pour « blanchiment de fraude fiscale », le sénateur LR Serge Dassault avait effectué un don d’1 million d’euros à la future Fondation de l’Islam de France.

Il avait également investi dans le capital social de la radio Beur FM.

 

Source : medias-presse.info

Italie : Le Système plus fort que le pot pourri populiste.

Publié par Guy Jovelin le 29 mai 2018

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Jean-Francois Touzé

Membre du Bureau politique du Parti de la France. Directeur de la revue Confrontation.

Le seul but légitime du combat politique est l'accession de ceux qui le mènent aux responsabilités du pouvoir.

Pour le Parti de la France, seul l'exercice, par la droite nationale, de la conduite de l’État permettra à notre Pays de se relever et de se reconstruire.

Pour parvenir à cette fin, aucune stratégie ne peut être exclue et le pragmatisme doit être notre loi tactique. A la condition de ne jamais dévier de notre ligne et de n’agir que dans la cohérence du projet.

Certains, en France comme dans toute l'Europe, suivent des chemins différents.

Les partis du Système, bien sûr, pour qui la « gouvernance républicaine » n'est que prétexte aux ambitions personnelles et, pour les nouveaux venus, volonté de s’accaparer à leur tour d’une part du butin.

Quelques uns (ou quelques unes), convaincus que la métapolitique et la formation des élites constituent la voie royale qui permettra, le jour venu, de dresser des passerelles (oubliant que les passerelles sont avant tout faites pour qu’on leur marche dessus), remettent à plus tard l’engagement militant et électoral, comme si le temps ne nous était pas compté.

D'autres, enfin, dont la sincérité des convictions ne saurait être mise en cause, parent au plus pressé estimant que mieux vaut être en capacité de mettre en œuvre une petite partie de leur programme plutôt que d'attendre indéfiniment de pouvoir en réaliser la totalité.

C'est le cas de nos amis italiens de la Ligue.

En s’accordant sur un programme de gouvernement avec le mouvement cinq étoiles, patchwork improbable de comiques troupiers, de néo écolos et d'anciens gauchistes, Matteo Salvani et les siens faisaient le pari de se servir de leurs alliés du M5S et du nouveau président du conseil désigné par eux, Guiseppe Conte, pour avancer sur la voie de la maîtrise des dépenses publiques, et surtout de la lutte contre la submersion migratoire.

Louables objectifs. Mais l’expérience montre que, chaque fois qu'un mouvement identitaire et national s'est allié avec un autre parti, de droite, de gauche ou d'ailleurs dans une coalition gouvernementale, il s'est embourbé dans le jeu des compromis politiciens comme de la dépendance européiste, et que les avancées promises se sont réduites à quelques gestes symboliques sans portée réelle. L'hétérogénéité de l'alliance italienne porte en elle les germes de l’échec à venir.

Ce n’est pas un hasard si la Commission de Bruxelles est restée plus que prudente après la nomination officielle de Conte par le très systémique président de la République italienne Sergio Mattarella, tandis qu'Emmanuel Macron tendait la main au nouveau gouvernement.

Tout portait dès lors à croire que, dans ces conditions, le printemps italien de l'identité, de la solidarité sociale dans le dynamisme économique, de la volonté anti migratoire et, sur le plan international, du rapprochement avec la Russie ne sera qu’une brève lueur dans la nuit hivernale.

La démission de Conte ce dimanche soir et la probable nomination d'un gouvernement technique avec un Président du Conseil passé par le FMI ne viennent que renforcer notre conviction : il n'est plus temps de transiger avec le Système qui trouve de toutes façons toujours les portes de sortie de crise. Il ne faut pas composer avec lui. Il faut l’abattre, le détruire et lui substituer l’Etat national. Le chemin sera plus long. Mais il sera celui de la vraie victoire.

Le Parti de la France considère que la Droite nationale, si elle doit, un jour, s'inscrire dans un jeu d’alliance pour accéder au pouvoir, ne pourra le faire qu'en situation de force. La situation dramatique de notre France et de notre vieille Europe impose, en effet, l'application d'un programme radical de salut national qui ne peut être que global.