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vendredi, 27 juillet 2018

Le burkini permis en Belgique

Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2018 

On savait la Belgique toujours plus soumise au communautarisme musulman et aux communautarismes en tout ‘genre’ d’ailleurs. Une nouvelle preuve en est donnée par la sentence rendue par la tribunal de Gand au sujet du port du burkini islamique dans les piscines. Les juges ont bloqué l’initiative de deux piscines qui interdisaient ce maillot de bain dit par euphémisme ‘intégral’.

Les magistrats de l’antique ville flamande ont établi que les femmes musulmanes qui ont fait un recours auprès du tribunal contre cette interdiction non seulement pouvaient endosser leur maillot de bain communautaire mais avaient droit aussi à une compensation pour les dommages moraux subis. Les associations musulmanes ont applaudi cette sentence qui leur est indubitablement favorable.

Le gouvernement fédéral a de son côté contesté ce jugement par le biais de son Secrétaire d’État à l’égalité des chances, l’avocat d’origine kurde Zuhal Demir, qui a déclaré que le burkini est un signe d’oppression et non de civilisation.

Cette décision témoigne en tout cas de tout le paradoxe de cette Belgique sans plus aucun repère identitaire, spirituel et moral. Il y a quelques jours MPI signalait que le musée de la photographie d’Anvers réservait certains jours de visite aux… nudistes. Pour sûr, ce ne sont pas ces spécimens de l’humanité nus comme des vers qui porteront le burkini. Ni les femmes musulmanes qui s’exhiberont intégralement ! Mais dans l’un et l’autre cas ce ne sont que des excès : burkini islamique et nudisme exhibitionniste, deux faces d’une même médaille, celle du communautarisme violent qui phagocyte nos sociétés européennes hédonistes, matérialistes, nihilistes et athées.

A quand un retour de nos pays européens à une juste morale vestimentaire, celle catholique ? Seul moyen de rester équilibré et civilisé…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

Brigitte Macron, ses 6 bureaux, 2 véhicules et son personnel, combien ça coûte aux Français ?

Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2018

Ecrit parLéo Kersauzie

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Le rapport annuel sur l’Elysée délivré par les magistrats de la Cour des comptes révèle ne pas pouvoir chiffrer le coût total de Brigitte Macron pour les finances publiques.

La Cour des Comptes avertit : si la charte de transparence mise en place par Emmanuel Macron prévoit que la Cour puisse suivre les dépenses de son épouse, “cette forme de comptabilité reste à ce jour insuffisamment développée pour réaliser complètement cet exercice”.

La Cour des Comptes est donc réduite à rappeller que Brigitte Macron dispose

. d’un directeur de cabinet

. d’un chef de cabinet

. de deux secrétaires, dont l’une est également affectée au secrétariat du conseiller porte-parole

. de six bureaux dans “l’aile “Madame” de l’Hôtel d’Evreux

. de deux véhicules de la flotte présidentielle

. de la protection de plusieurs membres du GSPR (Groupe de sécurité de la présidence de la République)

La Cour des Comptes précise encore que « pour ses activités publiques et officielles, madame Brigitte Macron bénéficie des services de la coiffeuse-maquilleuse de la Présidence, mais il ne lui est attribué aucun budget de représentation.»

Le rapport de la Cour des Comptes note également que sur les 71 ETP (équivalent temps plein) du département de la correspondance présidentielle, “six à sept agents” sont chargés des lettres adressées à Brigitte Macron.

 

Source : medias-presse.info

Comment la Macronie tente de sauver sa peau

Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2018

Rédigé par notre équipe le 26 juillet 2018.

Entre le 18 et le 24 juillet, la Macronie est restée sans voix face à la découverte partielle de ses sombres desseins. Hébétés, les zélés serviteurs du président n’ont pu que faire des déclarations précipitées qui se sont montrées fatales pour la crédibilité d’Emmanuel Macron et de son administration. Les positions incohérentes et les déclarations contradictoires se sont multipliées effritant un édifice fait de faux et de poudre de perlimpinpin. Mais depuis mardi soir, le pouvoir tente une défense concertée qui vise à saper toutes les initiatives démocratiques du pays.

Jupiter a parlé et les Français n’ont plus le droit de « s’exciter sur cette affaire ». Cette affaire, c’est celle connue sous le nom de Benalla-Macron. Une affaire d’Etat au parfum de scandale qui n’aurait jamais éclaté sans la diffusion d’images hallucinantes. Un proche de Macron qui fracasse des manifestants ! Le pouvoir l’a clairement protégé, mais face à la pression il a été lâché par le président. Un chef de l’Etat KO debout qui n’a repris la parole que dans la soirée du 24 juillet. Depuis, il se sent pousser des ailes et multiplie les déclarations. Des propos qui évitent soigneusement le fond du problème et qui participent à un vaste plan pour faire croire à l’opinion publique qu’il s’agit d’ « une tempête dans un verre d’eau ».

Tout pour noyer le scandale

La réponse du pouvoir se fait donc dans trois directions différentes. La première vient du président lui-même qui a parlé trois fois en 48 heures sans jamais avoir le moindre contradicteur face à lui. Il prétend qu’il n’y a pas d’affaire Benalla-Macron et se moque du monde en lançant des phrases comme « Je suis fier d’avoir embauché Alexandre Benalla à l’Elysée ». Pourquoi ne pas aller même jusqu’à le réintégrer ? Tout le monde a le droit à une seconde chance ! Le président n’accable pas cet individu et la raison doit être encore bien inavouable.

Benalla entre lui aussi en piste avec une interview dans Le Monde. Pas rancunier, il partage sa peine avec le journal qui a démoli sa triste carrière. Que penser des paroles d’un individu aussi peu fréquentable qui se démêle avec la justice et qui ne doit pas se faire mal voir d’un pouvoir qui peut l’écraser facilement ? Le crédit à apporter ne vaut pas le prix d’une minute d’électricité. Le seul point à évoquer est peut-être le fait que Gérard Collomb est accusé de mensonge (et est donc parjure), mais ça, les Français avaient déjà leur idée sur la question.

Autre moyen de s’extirper de la nasse, le pouvoir compte sur ses troupes à l’Assemblée nationale pour saboter la Commission d’enquête. Sa présidente LREM refuse en bloc toutes les nouvelles demandes d’audition de personnes qui ont pourtant à voir avec ce scandale. Les premières auditions ont été catastrophiques pour le pouvoir alors il faut fermer le banc et donner l’impression que l’opposition entre dans une lutte politicienne et stérile. Avec tous les leviers du pouvoir le plan peut fonctionner, mais il faut aussi s’assurer de remporter la bataille de l’opinion publique.

Alors, comme par enchantement, on voit fleurir sur tous les sites et articles qui traitent de ce scandale un nombre démesuré de commentaires qui font mine de s’agacer de la médiatisation de Benalla et de son ami trahi : Emmanuel Macron. Des commentaires qui sentent le fake quand bien même le pouvoir fait croire qu’il est parti en croisade contre ce genre de manipulations. Macron veut un pourrissement de la situation et croit pouvoir entraîner vers le fond tout un pays. La résistance doit se faire à tous les niveaux pour que Macron reste dans l’impasse de ses mensonges.

 

Source : 24heuresactu

Calais (62) : des migrants attaquent les habitants dans leurs propres maisons ainsi que dans leurs véhicules, deux femmes blessées

Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2018

Par  le 26/07/2018

 

Des échauffourées ont éclaté mercredi soir à Calais, avenue Guynemer dans le quartier du Beau-Marais. Les forces de l’ordre et les pompiers sont intervenus.

Une vingtaine de réfugiés très fortement alcoolisés ont proféré des insultes, tapé aux portes et jeté des projectiles sur des habitations de l’avenue Guyemer, dans le quartier du Beau-Marais. Des riverains sont intervenus pour les calmer. Intervention également des forces de l’ordre et des pompiers pour les disperser. Les migrants ont brisé les vitres de véhicules dont certains étaient en circulation. Deux migrants ont été interpellés. Deux femmes, blessées légèrement, suite aux éclats de verre ont été prises en charge et transportées à l’hôpital. Un migrant de nationalité érythréenne a également été transporté.

Radio6.fr via fdesouche.

Le retour des cités forteresses

Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2018

 De Joël Hautebert dans L'Homme Nouveau à propos des frontières et des murs :

Unknown-18"[...] Les autorités qui ordonnèrent l’édification de ces murs poursuivaient un objectif similaire : assurer ainsi la paix à l’intérieur de la cité en la protégeant contre de potentiels envahisseurs. On peut le dire sans honte, les murs sont effectivement un symbole, celui de la volonté de poursuivre l’Histoire commune de la cité et d’assurer sa prospérité. Ces murs démontrent un grand réalisme politique de la part des gouvernants. Les murs extérieurs rendaient inutiles les murs intérieurs. Si l’analogie entre le biologique et le politique a ses limites, elle n’est pas nécessairement dénuée de fondement. Existe-t-il un corps sain sans moyen immunitaire de défense ? Une cité peut-elle durer sans la protection de solides défenses naturelles ou bâties par l’homme, soutenues par des troupes aguerries ? Dans une société ordonnée, on jette des ponts sur les cours d’eau quand la solidité des frontières le permet. Quand l’ennemi franchit ces dernières, les autorités civiles et militaires font sauter les ponts pour limiter la progression de l’envahisseur. Pas de murs, pas de ponts. [...]

Mais est-il exact que l’on ne construit pas de murs en France aujourd’hui ? Rien n’est moins sûr. Ou plutôt, tout indique le contraire. Ainsi, un mur de verre vient d’être mis en place autour de la Tour Eiffel pour limiter les risques d’attentat. De même, plan vigipirate oblige, les services de sécurité recommandent l’érection d’enceintes fermées autour de certains bâtiments. Par exemple, les directeurs d’école doivent veiller à clôturer totalement leurs établissements, à augmenter la hauteur des murs, à poser des barrières et à doter les bâtiments de fenêtres plus solides. À quand des fenêtres blindées dans les écoles ? Il y a aussi les gros blocs de bétons, autant de petits murs, mis en place devant les lieux publics les plus fréquentés, à l’entrée des rues piétonnes, des quartiers commerciaux, tous les lieux de prédilection de l’homo festivuset du touriste occidental, sans oublier les grands axes de circulation sur lesquels il faut veiller. Peut-être qu’un jour il conviendra de mettre de tels murs devant les ponts, à défaut de recréer des ponts-levis. Quoi qu’en dise le discours officiel, aujourd’hui nous construisons des murs, plein de murs, et partout.

Unknown-17Comme nous n’avons plus le souci de protéger la cité, parce que nous avons perdu le sens du commun, l’obligation qui pèse sur l’État d’assurer la conservation des citoyens consommateurs bardés de droits rend inéluctable la multiplication des murs dans nos villes. À force de ne plus reconnaître d’ennemis et d’ouvrir nos portes à tout le monde, la communauté progressivement dissoute subit les feux de plus en plus réguliers d’une guerre civile en devenir. Les attentats islamiques se multiplient en Europe et ne font plus la une des journaux.

À force de prétendre jeter des ponts vers les plus lointains, nous voici obliger de supporter l’édification de murs au plus près des citoyens. Tout un symbole de l’échec cuisant d’une politique menée depuis cinquante ans. Il est encore temps de dresser des murs solides à l’extérieur et de jeter des ponts à l’intérieur pour restaurer ce qui unit au sein de la cité. Sans quoi, il faudra peut-être revenir au temps des châteaux forts."

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige