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dimanche, 27 janvier 2019

Gilets jaunes : où faire des économies pour être moins tondus ?!

Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2019

Mis à jour le 26 janvier 2019 Auteur par Rédaction

Le soulèvement populaire des Gilets jaunes a eu pour cause principale les prélèvements abusifs de l’Etat, qui appauvrissent gravement les Français ; il pose donc la question des dépenses : la République explique – afin d’amadouer le peuple des travailleur et des retraités – qu’elle doit imposer les Français à un niveau incroyable (le plus fort taux de prélèvements obligatoires de l'OCDE !) pour maintenir son Système social.

Or, l’État n’aurait pas besoin de faire des tels prélèvements s’il ne dilapidait pas le budget n’importe où :

économies,gilets jaunes

Quelques détails :

Union européenne : chaque année la France est contributrice nette au budget de l’UE : elle donne beaucoup plus qu’elle ne reçoit de cette entité supranationale. Chaque année ce sont entre 5 et 10 milliards d'euros qui filent vers d’autres pays, qui disparaissent dans les méandres de la bureaucratie européenne ou sont dilapidés à travers le monde (en subventions aux organisations du milliardaire mondialiste Georges Soros par exemple).

Intérêts de la dette : une loi de  janvier 1973 (dont les dispositions en la matière sont reprises par les traités de Maastricht et d’Amsterdam) a contraint l’État, quand il voulait emprunter pour combler un déficit budgétaire, à le faire auprès des marchés financiers, avec intérêt.

Aujourd’hui la dette de l’État est énorme (près de 100% du PIB) et le paiement de ses intérêts seuls (donc pas de la dette elle-même) est l’un des principaux postes de dépenses du budget national : 41,2 milliards d’euros en 2018, 42,5 milliards en 2019 !

Dons aux pays étrangers : selon les chiffres officiels du gouvernement, en 2018, la France aura versé 10,45 milliards d’euros pour l’APD (Aide publique au développement), soit 2 mds de plus qu’en 2015, 75% de cette somme allant à l’Afrique.

A cela il faut ajouter les dons fait par les collectivités locales (par exemple Valérie Pécresse qui utilise l'argent des Franciliens pour rénover Alger).

Immigration : Le rapport – qui continue de faire référence par sa rigueur méthodologique – du haut fonctionnaire et économiste Pierre Milloz (ENA) donne le chiffre de 42 milliards d’euros pour 1997. L'économiste de haut niveau Yves-Marie Laulan aboutit en 2012 au chiffre de 73 milliards d’euros et selon-le-rapport-posokhow/ (expert-comptable, Commissaire aux comptes) donnait le chiffre de 84 milliards d’euros pour 2013.

Ces écarts de chiffres peuvent légitimement surprendre mais ils s’expliquent de trois façons :

– d’abord, par l’omerta statistique qui rend l’accès aux données difficile et qui implique de poser des hypothèses ;

– ensuite, par les définitions retenues pour les populations étudiées ;

– enfin, par le périmètre des dépenses et des recettes analysé.

Bureaucratie, politiciens, subventions… : – les médias (presse, TV, radios d’État…) sont subventionnés par les contribuables pour mieux les désinformer. Le montant global de cette enveloppe  va de 100 millions à 1,8 milliards selon les crus.

– le régime des partis, qui donne les résultats que l’on sait, est ruineux : outre les 66 millions donnés aux partis en 2018, il faut ajouter les centaines de millions que coûtent annuellement les élus pour un travail souvent… minime.

– L’administration est mal organisée et peu efficace. La France compte 3 millions de fonctionnaires de plus que l’Allemagne (qui a 25% d’habitants en plus).

– le monde associatif est largement financé par les contribuables : 21 milliards d'euros en 2011. Beaucoup de ces associations sont simplement des officines militantes au service de l’idéologie dominante.

Liste non complète hélas.

 

Source : contre-info

samedi, 26 janvier 2019

Une ONG appelle ouvertement les Allemandes à se marier avec des migrants pour qu’ils puissent « rester en Allemagne »

Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2019

Par  le 26/01/2019

MISSION LIFELINE@SEENOTRETTUNG
 

Ihr seid noch nicht verheiratet? Vielleicht verliebt Ihr Euch zufällig in einen Menschen, der*die hier noch kein Bleiberecht hat. Könnte passieren, oder? Bleibt offen! 

 

 

 « Vous n’êtes pas encore mariés ? Peut-être tomberez-vous par hasard amoureux d’une femme ou d’un homme qui n’a pas encore le droit de rester ici. Ça pourrait arriver, non ? Restez ouverts ! »
 
Source : fdesouche

Bernard-Henri Lévy : « Mais arrêtons de sacraliser le peuple. En Europe, le peuple ne doit pas être le seul souverain ! »

Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2019

Par  le 25/01/2019 
 

[…]

Le Temps: «Looking for Europe» est le titre de la pièce que vous produisez et dans laquelle vous allez jouer, du 5 mars au 20 mai, dans la plupart des grandes villes d’Europe. Un homme seul, sur scène, pour dire l’importance de l’Europe unie, face aux vents populistes et nationalistes qui soufflent sur le continent, ce n’est pas un combat perdu d’avance?

Bernard-Henri Lévy: La campagne pour les élections européennes est lancée. Et moi, je pars en croisade européenne. J’utilise le mot à dessein. Dans 20 villes emblématiques, dont Genève le 15 mars, je serai sur scène pour porter la parole de l’Europe unie, au contact de ceux qui veulent sa mort. J’irai chez Salvini en Italie, chez Orban en Hongrie, chez Kaczynski en Pologne… Voilà quelques jours que, dans ce pays, le maire de Gdansk a été assassiné. Je le connaissais depuis des années. C’est lui qui m’avait aussitôt convié à venir présenter le spectacle dans sa ville. Ce sera, maintenant, une soirée de deuil et de commémoration. Mais mon vœu le plus cher est de faire aussi du chagrin de cette mort une célébration de la cause européenne. Il faut refaire de l’Europe une idée romantique, une idée porteuse d’espoir. Donc je compte me battre, oui, sur scène et de toutes mes forces.

On vous a connu très interventionniste. Dans les Balkans au secours de la Bosnie, puis en Libye pour convaincre la France d’entrer en guerre contre le régime de Kadhafi. On sait que, depuis, les résultats de ces interventions ont été pour le moins mitigés. Aujourd’hui, il faut intervenir pour sauver l’Union européenne?

Il faut que les Européens de cœur arrêtent de se sentir seuls, isolés, démunis face à l’assaut des populismes et des nationalismes. L’idée de cette pièce m’est venue à Londres, en pleine tourmente du Brexit. Un groupe d’écrivains britanniques, et la Hexagon Society, m’avaient convié à interpréter mon autre pièce Last Exit before Brexit.

J’ai réalisé le sentiment d’impuissance qui les gagnait. J’ai compris qu’il nous fallait tous, à ce moment de notre vie, porter la parole européenne. Qui le fait? Qui réveille cette fierté européenne? Je suis fédéraliste par conviction mais aussi par réalisme. Car les solutions aux défis du monde de demain ne peuvent être trouvées qu’à l’échelle d’une Europe unie. Notre agora démocratique sera européenne ou ne sera plus.

[…]

Dans populisme, il y a la référence au peuple. Le fait est que les peuples, on le voit en France avec les «gilets jaunes», ne comprennent plus l’Europe et prennent leurs distances. L’appétit pour le référendum, que l’on pratique abondamment en Suisse, est de plus en plus fort. Ne faut-il pas davantage écouter les peuples, y compris si cela remet en cause certains dogmes, comme celui de l’intégration communautaire?

Le populisme est d’abord une forme de découragement démocratique. Nos démocraties sont devenues folles et beaucoup de gens sont déboussolés. Mais arrêtons de sacraliser le peuple. En Europe, le peuple ne doit pas être le seul souverain! Ou, s’il l’est, il doit l’être comme tous les autres souverains: avec des limites, des bornes à sa toute-puissance. La démocratie a besoin de transcendance.

L’athée que je suis croit à la force des religions, à la force de l’inspiration, à ce qui dépasse les hommes. Si l’on répète: le peuple, le peuple, le peuple… on va tout droit vers une crise de civilisation. Le peuple a aussi ses caprices et les leaders démagogues flattent son bon plaisir.

[…]

En France, la colère des «gilets jaunes» est loin d’être éteinte. Elle vous ébranle?

J’y vois surtout un inquiétant nihilisme. Je ne vois pas, au-delà des mesures sociales immédiates, ce que veulent ces manifestants. Je ne vois pas leurs leaders se battre pour la conquête démocratique de nouveaux droits. S’ils sont vraiment désireux de changer les choses, les «gilets jaunes» devraient participer en masse au grand débat national lancé par Emmanuel Macron. Cela s’appelle la démocratie. Dans Looking for Europe, j’entends défendre sur scène cette démocratie européenne.

[…]

Le Temps via fdesouche

Un Grand Débat National chaperonné par une équipe de choc

Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2019

Petit-à-petit, la Grand-Messe Médiatique se met en route. Le Débat National™, que le gouvernement ne pouvait pas imaginer autre chose que « Grand » (comme l’Emprunt ou les Plans quinquennaux d’antan), occupe progressivement de plus en plus de place dans les Unes des journaux. Compte-tenu de l’importance accordée à ce débat affichée par le Président et le gouvernement, il fallait au moins que ce dernier soit parrainé par une brochette d’élites. Avec la désignation de cinq sages, c’est chose faite.

Et quels sages ! La presse s’est évidemment emparée des cinq noms pour décortiquer les impressionnants CV de nos garants désignés.

Jugez plutôt. On trouve d’abord un solide politologue, un analyste pétri des valeurs populaires françaises et en prise directe avec le peuple dont il dissèque régulièrement le vote. Le suivant est un aimable représentant du Conseil constitutionnel, ancien magistrat, dont on imagine qu’il serait sorti d’une retraite bien méritée à 75 ans pour venir rejoindre le politologue. Le troisième garant est un ex-patron de la RATP et ex-patron de la Poste, nos fleurons nationaux (au moins en terme de jours de grève). Le quatrième est une quatrième puisqu’il s’agit d’une énarque, présidente de la CNIL et ex-de Bull (un autre fleuron national, au moins en terme de tromblons informatiques). Quant au cinquième larron garant, c’est la secrétaire générale de la Ligue de l’enseignement, qui a vogué d’associations en mouvements associatifs, citoyens, festifs et subventionnés par le contribuable.

Devant ces garants, il était difficile pour la presse et ses fiers analystes de ne pas tomber en pâmoison. Rien que du lourd puisqu’on trouve de l’énarque, du polytechnicien, du science-po, du magistrat, bref, absolument tout ce qui fait le peuple français dans toutes ses nuances d’apparatchiks, de cireurs de pompes médiatiques ou autres thuriféraires du tout-à-l’État.

On se rassure en notant que l’audace des élites qui ont désigné ces fiers garants ne les a pas poussés à nous proposer un Juppé ou un BHL dont les noms trouvent toujours (presque miraculeusement) leur place dans ce genre de happenings républicains pleins de petits fours citoyens et d’envolées lyriques à facture latérale salée. Néanmoins, il faut faire preuve d’une naïveté confondante ou d’une épaisseur mentale notable pour imaginer que cette aimable brochette peuvent constituer quelque garantie que ce soit dans le débat qu’on nous propose maintenant avec empressement.

Sur les cinq personnalités, aucun ne provient du monde de l’entreprise. On rira à l’évocation de l’ex-patron de la RATP ou de la Poste qui, en aucun cas, ne peut se targuer d’une expérience même lointaine de ce que peuvent vivre les petits patrons et les indépendants français confrontés à la démence furieuse de l’administration française lorsqu’elle est lâchée après leurs basques. Petits patrons et indépendants qui forment indéniablement une des populations de choix parmi les Gilets Jaunes qui sont, on le rappelle, ceux qui ont déclenché ce frétillant besoin d’un Grand Débat™. Pas de bol pour eux, ils n’auront aucun garant.

De la même façon, aucun des garants présentés ne pourra vaguement représenter le salarié moyen français, qu’il soit celui d’une entreprise petite ou moyenne comme il en existe des dizaines de milliers, ou d’une grosse entité commerciale confrontée à la concurrence du marché français (à-peu-près) libre. Aucun de ces magistrats, énarques, fins lettrés ou associatifs n’a usé ses fonds de culotte dans l’une ou l’autre de ces entreprises. Leur est d’ailleurs complètement étrangère la notion même de perte sèche de son emploi suite à une réduction massive d’activité ou suite à l’arrivée d’un concurrent plus féroce ou d’une technologie qui renverse la donne : tous n’ont jamais travaillé que pour l’État (d’une façon ou d’une autre). Tous n’ont jamais été qu’au crochet du contribuable, aussi louable et pertinent fut leur emploi. En soi, ce n’est pas une tare, mais cela laisse songeur lorsqu’il s’agit de se porter garant d’un débat qui a été initié par des patrons, des indépendants et des salariés très majoritairement du monde privé ou de cette partie du peuple qui a directement été confronté à la rigueur de la vie, loin du protectionnisme douillet offert par le Léviathan.

En fait, si l’on voit bien en quoi nos heureux désignés seront garants de l’idée d’égalité ou de fraternité, tant la première est devenu le crédo indépassable de toutes les bestioles un tant soit peu politiques en France, et tant le second leur a permis de toucher leur salaire, on peine en revanche à voir dans ces garants ceux qui pourraient se porter caution pour l’idée même de liberté en France.

Ces garants nous font largement comprendre que ce Grand Débat™ sent déjà le rance. Pas ce rance des heures les plus festives, citoyennes et socialistes de notre Histoire, mais plutôt ce rance d’un truc qui a déjà été sorti à plusieurs reprises, pour différentes occasions, ce plat moche fait de restes et de reliefs douteux qui traîne dans le frigo depuis des temps immémoriaux.

Il n’est qu’à voir l’actuelle « tournée » de Macron pour s’en convaincre : entre l’organisation d’une spontanéité calculée (dénoncée à juste titre par un maire présent), jusqu’au choix des sujets et thèmes abordables, rien n’indique un débat.

En réalité, tout indique plutôt une campagne : Macron la bat, Macron l’anime, Macron la dirige. C’est une campagne électorale en forme de représentation, de show typiquement macronien duquel le débat, le vrai, est totalement absent : le Président de la République utilise simplement la colère des Gilets Jaunes et la mise en place de cette mascarade pour pousser ses pions électoraux et des gimmick de campagne. Les médias, dociles, jouent le jeu : le sujet « Gilet Jaune » diminue dans l’actualité, le Président a repris la main médiatique, youpi youpi, et on trouve même un regain de popularité au sémillant quadragénaire qui s’agite, micro à la main, devant des assemblées de citoyens triés sur le volet et à la franchise calculée.

Bref.

On ne va pas parler des sujets qui fâchent, on n’abordera que les thèmes choisis par le gouvernement et certainement pas avec n’importe qui, les garants sont de véritables caricatures de l’apparatchik gouvernemental, et le Président est pisté par des médias avides de petites nouvelles qu’ils comprennent enfin…

Oui, la campagne électorale pour les élections européennes vient de commencer.

Les Gilets Jaunes ? Les dépenses publiques stratosphériques ? L’administratosclérose française ? La pression fiscale dantesque ? Le gouvernement s’en tamponne complètement : il est occupé à repousser l’hydre populiste, pardi.

 

Source : ndf

Europe : les dépenses en lobbying des GAFA auraient augmenté de 700% en 5 ans

Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2019

Par  le 25/01/2019
 

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+700% en cinq ans en Europe

Le lobbying pour protéger le business de la donnée s’est surtout intensifié en Europe lors de l’adoption du RGPD. Selon une étude de l’ONG Corporate Europe Observatory, les dépenses en lobbying des Gafa aurait augmenté de 700% entre 2013 et 2018. Officiellement, le montant total déclaré ne représente que 5,5 millions d’euros. Entre 2010 et 2013, la plateforme LobbyFact rapportait que ces budget avaient déjà été multipliés par trois.

Un journaliste indépendant, Alexandre Lechenet estime le budget total (avec Twitter et Uber en plus des Gafam) en 2016 à 13 millions d’euros. « Google et Microsoft sont ceux qui annoncent des budgets annuels consacrés aux activités de lobbying en Europe les plus importants, avec des dépenses entre 4,25 millions d’euros et 4,5 millions d’euros chaque année », signale Alexandre Lechenet sur son blog.

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BFM via fdesouche