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jeudi, 24 janvier 2019

Escort girls pour le Forum de Davos !

Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2019

 

Plusieurs journaux suisses révèlent que des escort girls de luxe ont des accords avec des hôtels prestigieux pour satisfaire les éventuelles demandes sexuelles de participants au Forum économique mondial (WEF) de Davos.

Plus de 3000 participants, faisant partie de l’establishment, sont attendus à Davos jusqu’à vendredi, dont 65 chefs d’Etat et de gouvernement.

Le journal Südostschweiz signale qu’une agence zurichoise qui propose les services de prostituées de luxe a pris ses quartiers dans la station grisonne pour offrir ses services pendant le WEF. Ces dernières années, cette agence avait reçu à plusieurs reprises des demandes d’hôtels qui cherchaient de la “compagnie” pour leurs clients du Forum de Davos.

Selon l’agence, les participants du WEF débourseront en tarif de base environ 1000 francs suisses pour deux heures de prestations.

 

 

Extrait de: Source et auteur via lesobservateurs

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Davos, en une dépêche

Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2019

 

Lorsque les élites économiques croisent les élites politiques à Davos dans un merveilleux ballet de cartes de visite, chacun n'a officiellement que l'intérêt général et la bonne marche du monde à la bouche.

Il aura pourtant suffi d'une seule dépêche d'un pigiste de l'AFP - qu'on imagine vertement réprimandé pour ce crime de lèse-maître du monde - pour dévoiler l'hypocrisie, et à travers elle le manque total de crédibilité de ces "élites".

L'information initialement intitulée "À Davos, l'élite se préoccupe du climat mais vole en jet privé" a été reprise sur Tv5 MondeSciences et AvenirLa Libre en Belgique, sur le Huffpost Maghreb, sur Courrier International, et des dizaines d'autres publications. Nombre d'entre elles choisirent de changer le titre de l'article à posteriori, pour l'atténuer - la manœuvre est visible dans les résultats des moteurs de recherche. Mais cette petite sélection de sources est importante pour que mes lecteurs comprennent bien de quelle façon la Suisse "rayonne" à l'international grâce au World Economic Forum de Davos...

L'information trouva évidemment son chemin sur la RTS, dans une version très édulcorée. Les nombreux liens précédemment cités permettent de retrouver l'intégralité de l'article de l'AFP, mais citons-en quelques morceaux:

Le nombre de vols de jets privés attendus cette semaine dans les aéroports avoisinant Davos atteint 1500 contre 1300 un an plus tôt, selon la société d'affrètement Air Charter Service (ACS).

Une fois arrivés dans des aéroports tels que Zurich, à deux heures de train de Davos, les passagers de ces vols privés poursuivent souvent leur voyage en hélicoptère, pour gagner du temps.

Un paradoxe alors que le changement climatique a été placé au premier rang des risques pour l'économie mondiale par les participants au Forum, dans un sondage dévoilé la semaine dernière par les organisateurs.

Un "paradoxe", nous disent les journalistes. Quel terme élégant pour expliquer au vulgum pecusqu'on se fiche de lui ouvertement! Pour ceux qui en doutent, il faut supporter un second extrait:

[Les organisateurs du WEF] redoublent d'efforts pour "verdir" l'événement: des limousines électriques transportent une partie des personnalités officielles et la marche dans les rues enneigées, avec crampons, est "fortement recommandée" pour les autres. Les pailles en plastiques sont bannies, les assiettes sont en carton recyclable et les bouteilles de soda en verre.

Voilà, on voyage en jets privés et en hélicoptères et on termine en limousine électrique avant de se détendre devant un bon repas où le cocktail est servi sans paille. Bref, rien n'a changé depuis Noël Mamère et son vélo. "Mais on compense!" clame le comité organisateur du WEF en restant dans le flou. Ces gens prennent toujours le grand public pour un gros tas d'abrutis à qui on peut faire gober tout ce qu'on lui raconte.

Petit calcul à l'intention des apôtres de la lutte contre le CO2: de combien de pailles en plastique faut-il se priver pour compenser la combustion d'un seul litre de kérosène?

pollution,hypocrisie
"Ce sommet a eu un bel impact sur le Changement climatique..."

Au vu de leur apathie intellectuelle, il faudra sans doute encore beaucoup de sommets du même genre avant que nos jeunes et joyeux gymnasiens helvétiques comprennent qu'ils sont les dindons de la farce climatique, s'ils le comprennent jamais.

Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 23 janvier 2018

La confiance dans les médias à son plus bas historique en France

Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2019

Par  le 24/01/2019

 

Selon le baromètre annuel de confiance dans les médias réalisé pour La Croix, les Français ne leur ont jamais aussi peu fait confiance depuis 1987 mais manifestent un regain d’intérêt pour l’actualité.

Les Français ont de moins en moins confiance dans les médias, même s’ils continuent de s’intéresser fortement à l’actualité, selon la nouvelle édition du baromètre annuel du journal La Croix menée en plein mouvement des gilets jaunes.

L’aiguille du baromètre, qui était remontée début 2018, rechute: la confiance des Français dans les médias atteint son plus bas niveau depuis le premier sondage, en 1987, selon cette étude dévoilée jeudi, réalisée début janvier par l’institut Kantar Sofres auprès d’un millier de personnes.

La télévision, média préféré des Français pour s’informer, recueille paradoxalement un niveau de confiance de seulement 38% (-10 points en un an). La radio, le média auquel ils font traditionnellement le plus confiance, en recueille 50% (-6 points).

La presse écrite s’effondre aussi à 44% (-8 points), tandis que la confiance des Français dans les informations trouvées sur Internet reste à un niveau très bas (25%), proche des niveaux observés en 2005 et 2006.

Autre signe de défiance: environ deux tiers des sondés jugent toujours que les journalistes ne sont indépendants ni du pouvoir politique (69%) ni des pressions de l’argent (62%).

Vœux au culte musulman : Castaner défend la réforme de la loi sur la laïcité

Publié par Guy Jovelin le 24 janvier 2019

Par  le 24/01/2019

 

Le ministre de l’intérieur Christophe Castaner a présenté ses vœux, mercredi 23 janvier au soir, aux représentants du culte musulman à la grande mosquée de Paris.

« Le constat est clair : la société change. » Mercredi 23 janvier, à la grande mosquée de Paris, le ministre de l’intérieur Christophe Castaner ne s’est pas contenté de présenter ses traditionnels vœux aux représentants du culte musulman. Dans un contexte fortement chargé politiquement, il s’est en premier lieu employé à assurer les parties présentes de la nécessité de la réforme de la loi de 1905 sur la laïcité, sur laquelle le gouvernement planche actuellement afin de structurer l’islam en France.

« Dans une République où les mentalités et les aspirations ont évolué, il est nécessaire d’examiner le principe de laïcité », a déclaré le ministre de l’intérieur devant le recteur de la grande mosquée de Paris Dalil Boubakeur, et le président du Conseil français du culte musulman (CFMC), Ahmet Ogras. « Je suis convaincu qu’il faut répondre aux changements de la société et se questionner sur cet impensé français d’une loi de 1905 confrontée aux réalités de ce nouveau siècle et des débats que traverse l’islam. »

(…) Enfin, Christophe Castaner a également incité les musulmans à s’impliquer dans le « grand débat national » lancé en janvier par le gouvernement en réponse à la crise des Gilets jaunes« Vous y avez toute votre place, comme citoyen musulman, comme citoyen français. »

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Christophe Castaner
 
@CCastaner

Hier, à la grande mosquée de Paris, aux vœux du CFCM avec qui je veux un dialogue large et constant sur le renforcement de la loi de 1905.
Je souhaite que nous partagions nos points de vue, affirmions nos divergences, pour les surmonter et réussir tous ensemble.

Parlementaires et représentation

Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2019

POSTÉ LE 22 JANVIER , 2019, 2:57

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Députés ou sénateurs ? Lesquels devrait-on, en priorité, faire passer à la trappe ?

Outre le coût que chacune de ces deux chambres représente, il me semble opportun de réfléchir et de considérer deux aspects essentiels : qui sont-ils et à quoi servent-ils ?

Les premiers, les députés, sont élus au suffrage universel selon un système majoritaire régulièrement modifié selon l’intérêt de ceux qui tiennent les manettes et en vue des scénarii qui se présenteront pour les élections suivantes.

Ensuite, depuis la loi scélérate décidée par Jacques Chirac pour le quinquennat assorti d’un rythme d’élections qui colle à l’élection du Président de la République, lui aussi élu bêtement au suffrage universel, l’exécutif se met en place au gré du Président élu.

Cela aboutit à faire siéger des parlementaires qui se contentent d’obéir aux ordres d’un exécutif dont le Président est lui-même souvent élu par guère plus de 25 % de la population en âge de voter et d’un Premier ministre non élu, mais choisi par ce dernier.

Dans les démocraties des pays voisins, les choix politiques sont en général discutés et approuvés à la suite de négociations génératrices de décisions issues de coalitions multiples et variées.

Ne parlons pas du pays bien connu où un système de référendums permet une évolution de la vie publique active et régulièrement acceptée par la population !

Les seconds, les sénateurs, sont élus par de grands électeurs sur des cantons, dont les périmètres sont, eux aussi, souvent trafiqués, mais qui regroupent cependant de manière différenciée la population qui y vit et y travaille. Les cantons ruraux désignent évidemment des candidats issus de la ruralité, alors que les cantons des villes et métropoles savent envoyer au Sénat ceux qui représentent leur population.

Les grands électeurs con­naissent parfaitement bien les candidats et représentent aussi parfaitement la population avec laquelle ils échangent en permanence pour répondre le mieux possible à ses besoins et à ses désirs exprimés au niveau des communes et arrondissements de grandes villes.

Alors lesquels, députés ou sénateurs, serait-il le plus judicieux de supprimer ?

Ceux qui n’ont aujourd’hui, à cause ou grâce au non-cumul des mandats, plus aucune connaissance de la vie politique, ni des contingences du territoire dont ils sont censés représenter les habitants ?

Ou ceux qui ont, parfois pendant plusieurs dizaines d’années, géré la vie publique locale, en contact quotidien avec la population, en qualité de maire, conseiller municipal, départemental ou régional ?

Inutile de mettre en discussion un choix qui paraît évident si on veut instituer et faire fonctionner une véritable chambre de représentants compétents susceptibles d’apporter la contradiction, des avis pertinents et le soutien, quand c’est nécessaire, à un exécutif en général mal élu ou pas élu du tout dans le cas des ministres et secrétaires d’État.

 

Source : les4verites