Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 20 janvier 2019

Déjeuner de la nouvelle année à Castres organisé par le PdF Occitanie

Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2019

castres,déjeuner annuel,guy jovelinTrès bonne journée pour le parti de la France Occitanie ce samedi 19 janvier à Castres (81) qui organisait son traditionnel déjeuner de la nouvelle année.
C’est aussi avec le concours des représentants tarnais des « Comités Jeanne », que le Président du Pdf Carl Lang a pu s’imprégner de l’ambiance du terroir du Sud Ouest, notamment une visite au marché local où il a pu s’entretenir avec les commerçants et apprécier les produits authentiques de notre région. 
Puis dans une ambiance conviviale lors du déjeuner, une quarantaine de personnes ont pu découvrir pour la plupart le Parti de la France à travers le discours du Président Carl Lang, suivi d’échanges très pertinents.
Le PdF a eu l’honneur d’être cité dans la presse locale «La Dépêche du Midi » ainsi que sur la radio « 100% Castres », et aura un article cette semaine dans les journaux castrais : « l’Autan » et « Le journal d’Ici ». 
Je me réjouis de ce succès qui permettra une implantation durable de notre Parti dans ce département de l’Occitanie.
Encore un grand merci à toutes les personnes qui ont participé à la réussite de cet événement.
Guy Jovelin
Délégué du Parti de la France Occitanie (Midi-Pyrénées)
Membre du bureau politique de PdF

castres,déjeuner annuel,guy jovelincastres,déjeuner annuel,guy jovelincastres,déjeuner annuel,guy jovelincastres,déjeuner annuel,guy jovelincastres,déjeuner annuel,guy jovelincastres,déjeuner annuel,guy jovelincastres,déjeuner annuel,guy jovelincastres,déjeuner annuel,guy jovelincastres,déjeuner annuel,guy jovelin

 

 
castres,déjeuner annuel,guy jovelincastres,déjeuner annuel,guy jovelincastres,déjeuner annuel,guy jovelin

2010-2017 : les entreprises du CAC 40 ont fait plus de bénéfices mais ont payé moins d’impôts

Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2019

Par  le 20/01/2019

 

Dans un rapport diffusé ce dimanche et qui analyse les chiffres des entreprises cotées au CAC 40, Attac (l’Association pour la taxation des transactions financières et pour l’action citoyenne) ainsi que l’Observatoire des multinationales dressent un sombre bilan de la période 2010-2017.

Durant ces années, en prenant en compte la totalité de ces entreprises, les bénéfices sont en hausse de 9,3 %. Les sommes versées aux actionnaires ont augmenté de 44 % alors que le montant des impôts payés a reculé de 6,4 %. Les emplois en France ont, eux, reculé de 20 %. Attac juge « désastreux pour la société et la planète » l’impact des sociétés du CAC 40.

Dans ces entreprises qui représentent 1 300 milliards d’euros de chiffre d’affaires, soit environ la moitié du produit intérieur brut de la France, 2018 a été une année record pour les actionnaires. Ils ont perçu un total de 57,4 milliards d’euros. Plus de 60 % des profits des entreprises du CAC 40 leur reviennent donc. […]

Le Parisien via fdesouche

Macron ou l’apparence trompeuse

Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2019

 
 

« Tout ce qui brille n’est point or ». Les Français devraient cette semaine se rappeler ce proverbe de leur bon sens national. Il leur permettrait de ne pas succomber à l’assaut de séduction qu’ils ont subi de la part de celui qui occupe l’Elysée depuis 20 mois. La contre-attaque était prévisible. Elle a pris la forme tactique du judo en transformant une faiblesse en force. « Les gilets jaunes sont une chance », a osé le président. Puisqu’ils ont déstabilisé le pouvoir et profondément abîmé l’image présidentielle, celle-ci va renaître comme le phénix en amorçant une seconde phase du mandat, comme un renouveau appuyé sur le mouvement contestataire qui l’a suscitée. Voilà l’espoir caressé : acculé par les mauvaises nouvelles économiques et la révolte fiscale, accablé par la demande de pouvoir d’achat et l’exigence de justice sociale, éreinté par les attaques contre sa personne, le chef de l’Etat va redéployer son seul talent, celui du comédien brillant qu’il fut durant sa campagne. Un mot résume la chose : la performance. En parlant durant plus de six heures devant 700 maires dans une petite commune ceinturée de policiers, il a séduit le microcosme médiatique parisien toujours fasciné par ce qui brille. Peut-être a-t-il réveillé chez certains un peu de fierté nationale fondée sur l’idée que décidément la France est gouvernée par un esprit « brillant ». Le calcul suppose que le contraste avec la confusion et les maladresses verbales des « gilets jaunes » éclatera, d’autant plus que la confrontation aura été évitée, puisque le président se sera exprimé devant des notables d’une région connue pour sa placidité. Flattés et impressionnés par cette longue et talentueuse marque d’attention, ils ont d’ailleurs applaudi. Le peuple est dangereux : il est prudent de s’en tenir éloigné. La cour , celle qu’on avait reçue à la « Rotonde » entre les deux tours ou à la Maison de l’Amérique latine, lors de l’Affaire Benalla, est plus risquée encore car elle dévoile l’oligarchie, la connivence et l’isolement. Les maires, les seuls élus à bénéficier d’une image positive auprès des Français, constituaient l’échelon idéal entre la proximité périlleuse et l’éloignement faussement confortable.

On a donc repeint la façade du quinquennat. Le président brillant est aussi ouvert puisqu’il n’oppose aucun tabou, ni ne pose aucun totem à l’entrée du grand débat. Il cherche même à faire passer la brutalité de certaines de ses formules pour les marques d’un style jeune et direct, celui d’un grand frère qui dit crûment les choses : ceux qui « déconnent », ceux qui racontent des « craques », il ne faut pas les écouter. La fermeté n’est pas la fermeture. La vigueur n’est pas la violence. C’est ce qui doit séparer le président de ses ministres, y compris du premier : il faut laisser à Griveaux, à Castaner ou à Le Maire, le soin d’exclure telle question du débat, ou de réprimer les manifestations de manière suffisamment violente pour les décourager. Le pari est d’assécher les rassemblements et de susciter un réel engouement pour le débat. Si la manifestation de soutien est un succès, et si les élections européennes ne sont pas un échec, puisque la liste présidentielle reprend l’avantage, la chance de restaurer le statut présidentiel qui existait au printemps dernier se fraiera un chemin. Le déplacement à Toulouse pour les voeux aux Armées et symétriquement la garde à vue de Benalla ( avec sans doute une mise en examen qui lui évitera de répondre aux questions des sénateurs…) sont des signes annonciateurs : l’un souligne la fonction régalienne, l’autre montre qu’on ne peut toucher impunément à la réputation du monarque.

On mesurera à la réussite ou non de cette stratégie si la légèreté des Français l’emporte une fois encore sur leur bon sens. La fine pellicule d’or qui vient de recouvrir le buste du roi n’est pas suffisamment épaisse pour résister à la critique décapante du raisonnement. La France est gouvernée depuis bien longtemps maintenant par des élus qui la trahissent sans vergogne. Ceux qui avaient cru voir changer le sort du pays en Mai 2017, savent qu’ils n’ont fait que prolonger le déclin en maintenant au pouvoir nombre de ses acteurs, et sans en modifier les axes principaux, autrement que par une alchimie budgétaire superficielle. La France s’affaiblit économiquement : ses déficits dans tous les domaines en témoignent. Le corps même de la Nation, son peuple, se désagrège, avec le recul persistant de la natalité et le rôle grandissant d’immigrés non assimilés dans sa relative résistance. L’esprit national s’étiole puisque le passé du pays s’appelle repentance, que son présent se nomme soumission à d’encombrants alliés, et que son avenir se confond avec l’effacement dans un magma européen de plus en plus informe.

Si le « grand débat » permet au pouvoir en place de poursuivre son existence au prix de quelques mesures, peut-être grâce à un référendum qui serait la catharsis de la crise, sa dernière étape thérapeutique, il aura été un remède pour la très petite France d’en haut, et un placebo pour celle d’en-bas, condamnée à descendre encore. On pourra lui offrir un certain nombre de parlementaires comme un os à ronger, mais on se gardera de lui donner le référendum d’initiative populaire. La démagogie qui consiste à flatter le peuple, en commençant par les maires, est le contraire de la démocratie qu’on appelle aujourd’hui avec dédain « populisme ».

 

Source : ndf

samedi, 19 janvier 2019

Progressisme : des cours de récré « non genrées » dans deux nouvelles écoles rennaises

Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2019

Mis à jour le 18 janvier 2019 Auteur par Pierrot
écoles rennaises,non genré,progressisme

Pour éviter aux garçons de rester entre eux dans la cour d’école, en jouant au football par exemple, des fanatiques progressistes souhaitent forcer les enfants à jouer ensemble pour réduire les « inégalités ». Une folie de plus… 

Trouvé sur Ouest France : Deux nouvelles écoles ouvriront leurs portes en 2023 à Rennes. La première dans le nouveau quartier de Baud-Chardonnet, en bordure de Vilaine. La seconde à Maurepas, près de la future place de l’Europe.

Ces deux nouveaux groupes scolaires seront ouverts sur l’extérieur avec, notamment, des « coins nature ». Autre point commun, la volonté de créer des cours de récré « non genrées », pour lutter contre les stéréotypes.

Concrètement, dans les cours d’école, les garçons ont plutôt tendance à jouer au milieu tandis que les filles se mettent sur les côtés.

Pour bannir ces habitudes et réparer cette injustice, la Ville de Rennes a décidé que les cours de récré offriront un espace partagé entre garçons et filles.

Le conseil municipal a validé (le 8 octobre) la mise en place « de cours de taille suffisante pour permettre la création d’espaces de jeux diversifiés, appropriables par tous (non « genrés ») et participant au bon climat scolaire ».

Pour le moment, le sujet est à l’état de réflexion et porte sur l’aménagement de la cour ainsi que sur les activités. Le but est d’éviter que certains espaces de la cour soient réservés à un jeu unique. Plus question, par exemple, d’avoir des bandes blanches qui délimitent le terrain de foot au centre de la cour. La mairie veut aussi former le personnel périscolaire aux inégalités filles garçons.

 

Source : contre-info

vendredi, 18 janvier 2019

Les “valeurs” de la République : un fromage abondant…

Publié par Guy Jovelin le 18 janvier 2019

 le  

Les “valeurs” de la République : un fromage abondant…

Suite au scandale de la rémunération de Chantal Jouanno (plus de 172 000€ en 2018), Jacques Toubon a été interrogé jeudi sur le montant de son salaire et le total de ses rémunérations. Le Défenseur des droits qui percevrait près de 30 000 euros n’a pas détaillé le montant de ses rémunérations mais n’a pas non plus démenti les faits. Comme Défenseur des Droits, il perçoit donc 15.725 euros mensuels auxquels s’ajoutent ses pensions d’administrateur civil et de conseiller d’État ainsi que sa triple retraite d’adjoint au maire de Paris, de député et de parlementaire européen. Et il s’étonne que cela puisse choquer:

«Je ne comprends pas que ça choque, c’est un travail à plein temps pour lequel je suis rémunéré conformément aux règles».

A titre de comparaison, le salaire net médian (niveau de rémunération qui sépare un effectif de salariés en deux moitiés comportant le même nombre de personnes) mesuré en équivalent temps plein par l’Insee se monte à 1.797 euros par mois selon les dernières statistiques disponibles (2015, contre 1.783 euros en 2014), hors salaire des apprentis et des stagiaires.

Il est donc utile, par pur populisme, à la veille de l’acte X des Gilets jaunes, d’indiquer le montant des fantastiques fromages que se partagent nos zélites recasées à la tête de commissions souvent inconnues et aux travaux obscurs (appelées Autorités Administratives Indépendantes), le tout avec nos impôts. Aurait-on enfin percé le mystère des sacro-saintes “valeurs”, sonnantes et trébuchantes, de la République :

 

Source : lesalonbeige