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samedi, 26 janvier 2019

Le torchon rouge « L’Humanité » sur le point de fermer

Publié par Guy Jovelin le 26 janvier 2019

Auteur : Rédaction

humanite.jpgMalgré les millions d’euros que les contribuables lui versent chaque année (3,7 millions d’aide de l’État en 2016), le quotidien historique de toutes les trahisons, de tous les combats antifrançais, serait sur le point de disparaître.

Le journal communiste a déposé une déclaration de cessation de paiement devant le Tribunal de commerce, qui doit décider le 30 janvier d’un éventuel redressement judiciaire.

 

 

 

 

En cas de refus, le journal serait placé en liquidation judiciaire et fermerait. 

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Source : contre-info

 

vendredi, 25 janvier 2019

Traité d'Aix la Chapelle : c'est la France que Macron assassine

Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2019

Cellule Argumentaire du PdF

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Traité d'Aix la Chapelle :  
c'est la France que Macron assassine
 
 
 
Ce mardi 22 janvier à Aix la Chapelle, sans qu'aucun débat national n'ait été engagé en France, Emmanuel Macron et Angela Merkel signeront un nouveau traité de « coopération et d'intégration » France/Allemagne visant à renforcer les liens entre les deux pays et accélérer les convergences en matière de sécurité, de Défense, de fiscalité, d'industrie, de commerce, d’éducation, de recherches, d'environnement, de climat, de santé et questions sanitaires, et de relations internationales. Un renforcement basé sur le socle du traité fondateur de l’Élysée conclu en 1963 par le général De Gaulle et le chancelier Adenauer.
En 1963, le traité était signé à Paris, capitale d'une France ambitieuse et à la manœuvre qui concevait l'Europe comme un moyen de sa grandeur. Quelles que soient, par ailleurs, les fautes commises par Charles De Gaulle, fautes que nous n’oublions pas, il savait que la question allemande devait toujours être abordée par notre pays en se souvenant de cette affirmation nationale établie depuis Philippe Auguste, affirmation structurante d'une politique que les siècles ne peuvent abolir : « Le roi de France est empereur en son royaume ».
En 2019, le nouveau traité sera signé sur le sol allemand. On aurait tort de n'y voir qu'un symbole.
Là où le Traité de l’Élysée créait les conditions d'une étroite coopération entre deux Nations et deux États distincts aux destinées désormais communes, celui d'Aix la Chapelle imprimera dans le marbre un processus de fusion progressive voulu comme inéluctable. Un processus qui, par la force des choses, la faiblesse de nos dirigeants et la complaisance complice de nos « élites », ferait à terme de la France un Land annexé et de l'Allemagne la puissance dominante d'une Europe de la finance, de l'immigrationnisme et de la soumission au mondialisme (cf. le préambule du Traité : France et Allemagne, fermement attachées à un ordre international fondé sur des règles et sur le multilatéralisme dont les Nations Unies constituent l’élément central).
La partie consacrée à l'Alsace-Lorraine est, à bien des égards, édifiante. Si le Traité ne conduit pas à la « vente » de nos deux provinces comme tend à le faire croire une interprétation simpliste (peut être volontairement simpliste, au demeurant, tant il est vrai que les officines du pouvoir savent user des fausses nouvelles et de l'outrance savamment orientée pour mieux discréditer une opposition), il met, en revanche, en place les conditions d'une germanisation linguistique et juridique menant, sous couvert de faciliter la vie des transfrontaliers, à une appropriation culturelle et économique allemande. Barrès et le Daudet de La dernière classe doivent se retourner dans leurs tombes.
Outre la formalisation d'une pratique infâme instituée par Sarkozy d'ouvrir à intervalles réguliers les Conseils des ministres à un ministre de l'autre État, plusieurs éléments particulièrement inquiétants figurent dans le traité comme la création d'un comité permanent de Défense Franco/Allemand, source de paralysie future (faudra-il l'accord du Bundestag pour engager nos troupes sur un théâtre extérieur, ou pour procéder à des exportations d’armes ?) et dont on peut penser qu'il est destiné, à moyen terme, à ressortir la vieille idée de mise en commun de l'arme nucléaire française ; ou la mise en place d’équipes mixtes bi nationales au sein de nos représentations à l'ONU qui préfigurent le partage du siège français permanent au Conseil de sécurité et la codécision en matière de véto. (Article 8 : "Les deux États coopéreront étroitement au sein de tous les organes de l'organisation des Nations Unies (...) Ils mettront tout en œuvre pour aboutir à une position unifiée dans le cadre des organisations appropriées des Nations Unies". Et, toujours dans cet article 8 riche en enseignements, une affirmation en forme d'aveux qui en dit long sur ce qui se trame entre Paris et Berlin : L’admission à un siège permanent au sein du Conseil de sécurité de l'ONU est un objectif majeur de la diplomatie franco-allemande).
On le voit, la philosophie de ce Traité est simple : ce qui est allemand reste allemand et s'impose à la zone euro ; ce qui est à la France sera, à terme transféré à l'Allemagne.
Dès lors que le Traité sera signé, s'engagera un lent mais strict processus qui mènera inévitablement à la mise en œuvre des fins ultimes.
Un Traité peut toujours être déchiré. Et la droite nationale ne s'en privera pas si elle parvient au pouvoir.
Mais il est urgent en attendant que soient freinés les effets de ce « partage » consenti par Macron, partage étant en l'occurrence l'autre nom de la trahison.
L'enjeu des élections européennes est aussi là.
 
   

Nous sommes transportés d'enthousiasme à l'idée que la France va participer à l'augmentation du capital de la banque mondiale à hauteur de 464 millions d’Euros! ! ( loi de finance 2019).  Dans le contexte de pauvreté généralisée des Français,c'est honteux. (20/01/2019)
 
   

Immigration, insécurité, chômage, fiscalisme: Ras le bol ! C'était l'affiche de campagne électorale de Jean-Marie Le Pen à Paris en 1983. Tout était donc déjà dit, il y a 36 ans, et c'est bien dommage qu'il n'ait pas été entendu. (17/01/2019)
 
 

Perpignan (66) : mécontent de ne pas avoir obtenu l’asile, Ali détruit la voiture de l’association d’aide aux migrants qui l’héberge

Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2019

Par  le 24/01/2019

 

Ali, tout juste 20 ans, a débarqué du Koweït pour demander l’asile en France. Il est logé par une association d’aide aux migrants, c’est cette même organisation qui l’appuie dans ses démarches administratives.

Jeudi, le courrier qu’il attend depuis si longtemps tombe enfin dans la boîte aux lettres, mais la nouvelle n’est pas celle espérée : sa demande d’asile politique est rejetée.

Ali entre aussitôt dans une colère noire. Il se met à littéralement démolir la voiture de l’association. Il faudra l’intervention des gendarmes pour réussir à le calmer, non sans qu’il invective encore et encore la directrice de l’organisation et les militaires.

«  Vous aviez consommé pas mal d’alcool et de cannabis, non ? s’inquiète le président. Mais, au fait, comment avez-vous pu vous les offrir ?  »

«  Avec l’allocation versée aux demandeurs d’asile !  »

«  Il a surtout expliqué qu’il avait été prétendument mal accueilli et mal logé, fait remarquer le procureur, et comment rembourser ce véhicule qui offrait à tous la possibilité d’aller effectuer des démarches ?  »

 

L’Independant via fdesouche

Toulouse. Le scandale de la revente de l’aéroport par un groupe chinois qui empochera une plus-value de 192 millions d’euros

Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2019

Auteur : Lionel

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Il y a 4 ans et demi, le ministre de l’économie, un certain Emmanuel Macron, avait décidé de privatiser l’aéroport de Toulouse en vendant l’essentiel de ses parts (49,99 % du capital). Les réticences à l’époque furent nombreuses, mais le ministre, ancien banquier, n’y voyait officiellement que des avantages : entrée d’argent dans les caisses de l’État (celui-ci encaissait 308 millions d’euros dans l’affaire), et le repreneur s’engageait à investir 850 millions d’ici fin 2046, donc pérennité du site. Evidemment, le candide Macron, lors de la vente n’avait mis aucune clause et, au contraire, avait accepté toutes celles que Les chinois exigeaientles . C’est ainsi que la vente fut faite.

Mais rapidement, une fois le contrat signé, les Chinois ont montré d’autres intentions et se sont intéressés à la trésorerie que l’aéroport avait amassée avant leur venue. Ils ont exigé le versement d’un dividende exceptionnel. Heureusement, ils ne contrôlaient que 49,99 % des parts et l’État, qui est toujours propriétaire de 10,01 % du capital, ne les a pas suivis (Emmanuel Macron n’était plus ministre de l’économie), même s’ils ont obtenu de juteux dividendes malgré tout. Dépités, les Chinois veulent maintenant revendre leurs 49,99 % de parts qu’ils détiennent et seraient en négociation avec un repreneur qui s’engagerait à les reprendre pour 500 millions d'euros.

La lâcheté, la naïveté et l’incompétence d’Emmanuel Macron leur permettent de réaliser une belle plus value que la France comblera en augmentant les taxes !

 

Source : contre-info

Louis de Bourbon et les Gilets jaunes

Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2019

Auteur : Michel Janva

Louis de Bourbon et les Gilets jaunes

Lu ici :

Ce 20 janvier 2019 nous étions une délégation de six gilets jaunes royalistes à venir accueillir à la Chapelle  expiatoire Louis de Bourbon, duc d’Anjou. Nous souhaitions le remercier en personne pour son soutien public au mouvement des Gilets Jaunes exprimé dans ce communiqué.

Communiqué que nous avons distribué aux personnes présentes ce dimanche matin pour les informer de notre action et de la bienveillance du Prince envers ce mouvement populaire.

À son arrivée le Prince Louis s’est prêté volontier au jeu du « selfie » avec notre groupe, répondant : « avec plaisir » à notre invitation de faire une photo souvenir. Ce bref moment avant le début de la messe pour le repos de l’ame de Louis XVI, nous aura permis de le remercier et de nous conforter dans la légitimité de notre combat contre la république, pour la France.

 

Source : lesalonbeige