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jeudi, 20 septembre 2018

Autriche : restriction de l’immigration et obstacles à l’intégration

Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2018

Par  le 20/09/2018

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Alors que les chefs d’États européens sont réunis ce jeudi à Salzbourg, en Autriche, pour un sommet informel notamment axé sur l’immigration, le sujet est au cœur de l’actualité autrichienne. Le gouvernement de coalition entre conservateurs et extrême droite assume une politique restrictive en matière d’immigration et réduit les moyens alloués à l’intégration.

 

Source : fdesouche

Torture en Algérie et discours moralisateurs

Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2018

 
POSTÉ LE 18 SEPTEMBRE , 2018

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M. Macron vient de trouver une nouvelle occasion de fustiger son propre pays.

Qu’avait-il besoin, sinon pour sa « com » et pour tenter de séduire la gauche, de ressortir cette affaire Audin vieille de plus de 60 ans ?

M. Audin fut un soutien actif de la rébellion FLN, donc un traître comme il y en eut trop, hélas – dont beaucoup, il faut le dire, ont retrouvé plus tard une vie normale, quand, par hasard, leurs hauts faits d’armes contre nous n’étaient pas encensés par tout ce qui était politiquement correct. La république n’est vraiment pas rancunière !

En regard, je pense aux nombreuses victimes des abominations perpétrées par le FLN et ses complices, avant et après 1962.

Il y a, dans l’islam, une culture du massacre et ce qui se passe maintenant dans tant d’endroits dans le monde (et d’abord chez nous) est la prolongation de cette guerre sans foi ni loi qui nous fut faite alors.

Les méthodes sont les mêmes.

M. Macron va-t-il aussi aller rendre visite aux survivants des familles de soldats français disparus aux mains du FLN, des pieds noirs massacrés, des harkis exterminés par dizaines de milliers sous nos yeux ?

Certainement pas, car ce n’est pas électoralement rentable.

Il ne va pas non plus demander le même mea culpa au gouvernement algérien, auprès de qui il dénonçait, il y a peu, la barbarie du colonisateur français.

Rappelons que c’est un gouvernement socialiste qui a donné l’ordre à l’armée française de débarrasser Alger du terrorisme quotidien qui l’ensanglantait, car la police n’en avait plus les moyens. Ce fut fait.

En guerre, certaines règles du temps de paix n’ont temporairement plus cours. Surtout quand on affronte un ennemi dont la foi commande la barbarie.

Certes, les moyens de se défendre contre la barbarie pouvaient ne pas être « orthodoxes ». Et, bien sûr, comme dans toute situation de guerre, compte tenu des circonstances, la limite entre ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas est floue et subjective.

À ceux que cette idée hérisse, je pose une question : vous avez entre les mains un bandit dont vous savez qu’il détient des informations qui peuvent éviter un carnage d’innocents. Il est muet, sauf pour réclamer un avocat. Que faites-vous ?

Ah ! Que les discours moralisateurs sont aisés, 50 ans après, depuis un fauteuil parisien, avec un verre à la main !

 

Source : les4verites

Pédalons joyeusement vers la catastrophe

Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2018

 

En application méticuleuse du concept écolo, je prends tous les jours mon vélo pour aller travailler. Avec l’habitude, il ne me faut pas plus de deux minutes pour le plier dans mon coffre de voiture. Le gouvernement, lui aussi, l’a bien compris : si l’avenir de l’homme c’est la femme, en France, celui de la voiture c’est le vélo.

C’est probablement pourquoi il a lancé, en grande pompe à vélo et très récemment, un grand Plan Vélo dont la teneur a été patiemment épluchée par nos journalistes de garde. À la lecture attentive des mesures prônées, aucun doute n’est possible : c’est du lourd, du solide, du tout-terrain même.

Plus d’une vingtaine de mesures visent ainsi à tripler la part du vélo dans les déplacements quotidiens des Français d’ici à 2024 (soit 9% au lieu de 3% actuellement). Et pour cela, le gouvernement entend favoriser le développement des infrastructures (marquage au sol, aménagement des pistes) – pour 350 petits millions d’euros, ce serait dommage de se priver, non ? – et en accroître la sécurité, pour s’assurer d’une part de la bonne survie des pédaleurs (ce sont des contribuables pour la plupart, ne l’oublions pas), et d’autre part la diminution du vol, véritable fléau sur le territoire (la police n’étant plus exactement au top).

Et à ce sujet, force est de constater que le gouvernement veut se donner les moyens : marquage des vélos (réalisé par des professionnels), établissement d’un fichier national du biclou, suivi des achats/ventes de ces engins même en occasion, tout est fait pour que la Petite Reine soit enfin régulée en République du Bisounoursland.

Il était temps : tous ces vélos, volés ou non, qui s’échangent, qui roulent sans permis, sans limite et sans restriction, cela nous rappelle les heures les moins youpi-tralala de notre Histoire, dans lesquelles de solides taxes ne peuvent être collectées et de vigoureuses amendes distribuées. Avec ce Registre Des Vélos, on va enfin pouvoir créer un permis de pédaler (à point, forcément), des infractions idoines, des amendes logiques et des taxes juteuses.

Enfin, notons la mise en place d’un dispositif, « Savoir rouler » destiné à améliorer la maîtrise du vélo par les jeunes. Il est vrai que pour ce qui est de savoir rouler, le gouvernement en connaît un rayon de bicyclette, la question restant souvent de savoir qui et dans quelle farine.

Tout ceci est extrêmement charmant, alors même que Paris fut le théâtre de la Journée Sans Voiture du 16 septembre, sous les vivats d’une foule extatique à l’idée de pédaler dans les rues de la capitale débarrassée de ses vilains automobilistes. La synchronicité des annonces gouvernementales et des sauteries festives de la mairie de Paris ne doit rien au hasard, pas plus que celle avec le fumeux fameux « Plan Pauvreté ».

Tout ceci participe en effet d’une forme subtile de décroissance qui, si elle n’est certes pas assumée ni officialisée, semble entrer doucement dans les esprits. Alors que des millions (des milliards ?) d’êtres humains s’extraient de la pauvreté et qu’un nombre croissant peut maintenant acquérir la force mécanique à prix raisonnable s’affranchissant ainsi de l’effort musculaire direct, le gouvernement français, peut-être lucide sur sa capacité réelle à inverser la tendance économique du pays, opte sobrement pour le trajet inverse, à savoir le retour du jarret frétillant, des efforts pénibles et des vitesses de plus en plus modérées ; le pays ne court pas à la ruine, mais y pédale.

Or, si le vélo n’a pas le pouvoir de réduire réellement la pollution en ville (on évoque, pendant les journées sans voitures, une baisse fort modeste de seulement 25% – 75% étant donc d’une autre origine que les méchantes voitures), il a au moins l’avantage de préparer physiquement et mentalement les pédaleurs à la brutale diminution de leur train de vie pour cause (entres autres) d’énergies surtaxées inabordables, de malus écolo sur les voitures, de normes antipollutions vexatoires et de routes endommagées.

C’est peut-être aussi pour cela que, dans cette lutte permanente contre l’individu autonome et de sa voiture, archétype indépassable d’un individualisme vrombissant et socialement corrosif, la Maire de Paris entend rendre piétonnier le centre de la capitale un dimanche par mois à partir du 7 octobre prochain.

Avec la fermeture des quais sur berge, la multiplication des restrictions diverses à la voiture dans la Capitale continue donc de plus belle. Joie, bonheur et rats dodus qui trottinent : cette piétonnisation forcenée va permettre, outre la baisse évidente des « accidents » provoqués par des voitures « déséquilibrées », de redonner des couleurs à Vélib, ce service de vélos citoyens dont les récentes déconfitures ont émaillé la chronique cycliste et les taxes foncières parisiennes (ainsi que ces colonnes).

 
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VASILE DAMIAN@VASILEDAMIAN
Trois stations trois vélos en panne. Merci @smovengo pour la pardon,

Certes, il reste quelques efforts à fournir tant les « journées sans voitures » ressemblent encore pour le moment à des « journées sans Vélib aussi », mais on ne pourra s’empêcher de s’enthousiasmer sur le fin calcul économique de la Maire Hidalgo : puisque le Vélib se plante lamentablement, interdisons de plus en plus la voiture, cela va certainement aider.

Ah, décidément, qu’il est doux de vivre dans ce pays où les élites se penchent augustement sur le bien-être de sa population en lui proposant tous les jours plus d’activités sportives amusantes ! Qu’il est sympatoche de voir qu’on mobilise ainsi l’argent du contribuable pour lui imposer toujours plus de contraintes et de vexations ! Et quand ce n’est pas l’aspersion à fonds complètement perdus de 8 milliards d’euros pour faire semblant d’aider « les pauvres », voilà un plan pour favoriser « les vélos » !

Heureusement que les sujets d’importance ont été épuisés, qu’aucun économiste ne déplore l’immobilisme gouvernemental catastrophique qui semble devenu la norme depuis des années, et qu’aucune crise financière majeure ne soit envisageable dans les prochains mois !

 

Source : ndf

Hommage à Jean Piat, lisant Hélie de Saint Marc : « Que dire à un jeune de vingt ans ? »

Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2018

Ecrit par Pierre-Alain Depauw

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Pour rendre hommage au comédien Jean Piat, rappelé à Dieu, voici un enregistrement d’archive : Jean Piat lit le magnifique texte « Que dire à un jeune de vingt ans », écrit par Hélie de Saint Marc, Commandant du Ier Régiment Etranger Parachutiste.

Deux hommes d’honneur se retrouvent ainsi associés pour l’éternité.

 
 

Le Collomb express bientôt à Lyon

Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2018

Rédigé par notre équipe le 18 septembre 2018. 

Il y a comme un air de fuite en Macronie. Après le départ de la députée LREM Frédérique Dumas qui a préféré rejoindre les rangs de l’UDI, c’est au tour d’un poids lourd de commencer à faire ses cartons. Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur et un des premiers sponsors de Macron a annoncé son intention de redevenir maire de Lyon. Sa courte et pénible expérience ministérielle aura eu raison de son ambition débordante. Le septuagénaire souhaite une retraite dorée à Lyon, sa ville de cœur.

Attendez de voir ! Les mesures mettent un peu de temps à faire effet, mais bientôt ce sera le plein emploi, la sécurité et le bonheur pour tous. Pour le plein emploi, il n’y a qu’à traverser la rue donc cela n’est plus un sujet. Pour la sécurité, Gérard Collomb a montré que la Macronie ne s’y intéressait guère. Pour le bonheur, ce même Collomb vient de confirmer qu’il se trouve loin de l’Elysée, de ses goodies et de son mépris pour tous. Le ministre de l’Intérieur vient de déclarer dans L’Express qu’il serait candidat aux municipales en 2020.

Lyon : terre de passé et d’avenir

Gérard n’en peut plus de Paris et surtout du ministère de l’Intérieur alors « si d’ici là on ne m’a pas diagnostiqué de maladie grave, je serai candidat à Lyon ». Malheureusement pour les Lyonnais, la macronite aiguë n’est pas encore considérée comme une maladie grave, mais cela viendra avec le temps. Le syndrome hollandais a bien été pris au sérieux au bout de quelques années ! Nul dans son ministère, incapable de se faire écouter par le chef de l’Etat (il n’écoute que lui-même depuis que son copain Benalla est parti), Collomb veut finir sur un trône.

Ce sera donc celui de la capitale des Gaulles. Encore faut-il que les électeurs pardonnent leur ancien édile d’avoir fait la courte-échelle à Macron et de leur avoir tourné le dos pour prendre la place Beauvau à défaut de Matignon. Régulièrement mis sur la touche par l’exécutif, à la risée des Français, Collomb voit se transformer son rêve ministériel en cauchemar. Il sait que son temps à Paris est compté et il a donc trouvé une porte de sortie honorable avec les municipales de 2020. Invirable jusqu’à cette échéance, il va avoir dix-huit mois pour reprendre son ancien bien et y finir sa carrière et peut-être sa vie (il sera octogénaire à la fin de son éventuel mandat) dans son fief.

Collomb ou le vrai visage du macronisme. Un apparatchik PS qui n’a pas pu goûter assez à la soupe et qui a donc pris le parti de soutenir le jeunot pour se tailler une place plus grande. Trop grande même à la lecture de son bilan d’étape catastrophique. Ce départ est également une bonne nouvelle pour Macron qui se serait de toute façon débarrassé de cet allié devenu trop encombrant. Les choses vont pouvoir se faire sans trop de vagues, mais on sent que le cœur n’y est plus. L’Elysée a réagi en ces termes qui ne débordent pas d’enthousiasme : « Nous connaissons tous l’affection de Gérard Collomb pour sa ville et la métropole lyonnaise. C’est une bonne nouvelle qu’il souhaite y consacrer du temps et de l’énergie. Le président réorganisera l’équipe gouvernementale lorsqu’il le jugera nécessaire ».

La bataille pour prendre la place Beauvau va faire rage en coulisses et il serait inattendu que le nom qui sorte du chapeau constitue un bon remède aux maux qui assaillent les Français. Aucun changement de politique ne doit être attendu, mais ce départ annoncé est assez révélateur. Ainsi, le cœur même de la Macronie commence à préparer l’avenir loin de Macron. Les députés se défilent un par un, les conseillers sont à bout de souffle et les ministres prennent aussi la clé des champs. Tout va très bien à en croire les sbires du président. Tout sauf que le vent de la défaite souffle et ramène peu à peu tout le monde à sa vraie place. Celle de Macron est dans une banque. Ne l’oublions pas !

 

Source : 24heuresactu