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jeudi, 20 septembre 2018

Toulouse : Le gouvernement tente de censurer le viol d’une femme filmé par ses violeurs musulmans

Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2018

 
 

BREIZATAO – NEVEZINTIOU (18/09/2018) Le gouvernement français tente de faire disparaître une vidéo mettant en scène le viol d’une jeune Française à la sortie d’une boîte de nuit par quatre individus de type afro-maghrébin.

Var Matin (source) :

Depuis ce week-end en effet, de nombreux utilisateurs du réseau social Snapchat partagent une vidéo sur laquelle on peut voir une scène d’agression sexuelle filmée par l’un de ses auteurs. Une vidéo qui a fait l’objet de plusieurs signalements sur la Plateforme d’harmonisation, d’analyse, de recoupement et d’orientation des signalements (Pharos).
C’est son compte Twitter officiel que la Police nationale exhorte les internautes à ne plus diffuser cette vidéo qui fait actuellement l’objet d’une enquête. Cette dernière, filmée à l’aide d’un smartphone et relayée sur Snapchat, montre comment 4 hommes agressent sexuellement une jeune fille visiblement alcoolisée et surtout non consentante.
Cette vidéo, qui aurait été tournée à la sortie de la boîte de nuit « Le Divino » à Toulouse, a ensuite été mise en ligne sur Snapchat et ferait depuis le tour du web.
Selon Radio Capitole, plusieurs vidéos de la même scène circuleraient encore sur les réseaux sociaux aujourd’hui. Les enquêteurs sont en possession des fichiers et tentent désormais d’identifier les individus qui apparaissent sur la vidéo.

La vidéo, qui ne sera pas diffusée ici, est accessible sur différents sites internet.

mardi, 18 septembre 2018

La République du mépris

Publié par Guy Jovelin le 18 septembre 2018

Rédigé par notre équipe le 17 septembre 2018. 

« Un flot de haine et de mépris ». Pour une fois Christophe Castaner a raison. Le président de la République est allé trop loin en affirmant ce samedi à un jeune chômeur qu’il n’avait qu’à « traverser la rue » pour trouver du travail. Des paroles indignes venant du chef de l’Etat qui illustrent une nouvelle fois son mépris et son absence totale d’empathie vis-à-vis des Français. Ah mais, non, le « flot de haine et de mépris » vaut pour les réactions scandalisées qui ont fleuri après cette intervention présidentielle inique. La Macronie se sert les coudes, mais la fin n’est pas si éloignée que ça.  

Ce week-end, les Français se sont précipités aux Journées du patrimoine. Et comme d’habitude, de nombreux curieux se sont pressés au palais de l’Elysée, non pas pour acheter des goodies aussi laids que dispendieux, mais pour voir de près sous quels ors se prélassent Macron et ses amis. Comme d’habitude aussi, le président est passé en fin de journée pour se montrer et prendre des selfies avec les quelques gogos qui n’en demandaient pas tant. Et vu que le chef de l’Etat passait par là, un jeune horticulteur au chômage a cru bon lui exprimer son malaise face à ses difficultés pour trouver un emploi. Le malheureux n’avait pas compris qu’il s’adressait à un homme qui n’aime que lui et qui méprise tous ceux qu’il juge en dessous de sa personne.

Horticulteur ? Va me servir un café !

La faute de ce sans-emploi a rapidement sauté aux yeux et surtout aux oreilles. Le court échange s’est passé sur un ton courtois, posé, pas agressif, mais il y avait pourtant de l’agressivité et surtout du mépris dans ce qu’a osé raconter le chef de l’Etat. Un horticulteur qui ne trouve pas de travail ? La solution est simple : devenir serveur ! « Si vous êtes prêt et motivé, dans l’hôtellerie, la restauration ou le bâtiment, il n’y a pas un endroit où je vais où ils ne me disent pas qu’ils cherchent des gens. Pas un ! Il y a des métiers qui nécessitent des compétences particulières, quand les gens ne les ont pas, on les forme, c’est pour ça qu’on investit. Mais après il y a des tas de métiers, il faut y aller. Honnêtement, hôtels, cafés, restaurants… je traverse la rue, je vous en trouve ».

Nul besoin de dire qu’après cette leçon hallucinante, Macron n’a pas traversé la rue et n’a donc pas trouvé d’emploi à ce jeune homme. Si d’aventure il l’avait fait, il se serait retrouvé au ministère de l’Intérieur. Ce n’est pas l’endroit rêvé pour le métier de serveur et même de barbouze puisque même un Benalla dépendait directement de l’Elysée… Bref, notre chômeur en question n’a peut-être pas suivi une formation horticole pour se retrouver à servir des Coca Cola à des touristes américains de passage à Paris. Les propos de Macron illustrent son mépris pour le travail et les gens. Tout ce vaut. Horticulteur, serveur, femme de ménage ou loueur de voiture, c’est la même chose ! L’individu n’a plus son mot à dire sur ce qu’il aime, ce à quoi il a été formé, le lieu où il peut travailler. Une sale mentalité qui débouche sur des emplois de baby-sitter pour des BAC +5.

Il est temps de mette Macron à l’épreuve et de le chasser d’une fonction dont il est indigne. Il n’aura qu’à traverser la rue pour retomber dans une grande banque et amasser de nouveaux millions. Là aussi, pas besoin d’une formation spécifique, il faut juste avoir le don de raconter des sornettes sans discontinuer pour se faire une place de choix. Macron n’est bon qu’à communiquer entre quatre mur et face caméra. Dès qu’il sort à la rencontre du bon peuple, il ne peut s’empêcher d’afficher son mépris. Fainéants, analphabètes, cyniques, Gaulois réfractaires au changement, incapables de se payer un costard… Il faut désormais ajouter incapable de traverser la rue pour trouver un boulot. Macron a parié sur un peuple français décidément en dessous de tout. Pour ne pas que le mariage se transforme en fiasco, il serait bon de signer les papiers du divorce. Le plus vite sera le mieux !

 

Source : 24heuresactu

Cinq ans d’interdiction d’exercer requis contre un gendarme pour une gifle

Publié par Guy Jovelin le 18 septembre 2018

Cinq ans d’interdiction d’exercer requis contre un gendarme pour une gifle

Tout le monde n’a pas la chance d’être Alexandra Benalla… :

Le procureur de Charleville-Mézières a requis ce mercredi cinq mois de prison avec sursis et l’interdiction d’exercer et de porter une arme pendant cinq ans contre un gendarme des Ardennes.  Ce gradé supérieur, commandant de la brigade de Monthermé, était jugé pour violence, en l’espèce une gifle,  et menace sur un mineur de 14 ans. Il avait déjà été convoqué en juin pour une reconnaissance préalable de culpabilité, le “plaider coupable”. S’il avait accepté cette peine, cela lui aurait évité un procès public mais il l’a refusée en accord avec son avocat. […]

“Il a 53 ans, un enfant scolarisé et son épouse ne travaille, pas, cette interdiction pendant 5 ans d’exercer, que j’estime par ailleurs illégale, signifie sa mort professionnelle. Si on voulait l’abattre professionnellement, on ne s’y prendrait pas autrement , je ne comprend pas cet acharnement ” dit à l’Essor son avocat qui juge la peine complémentaire “complètement disproportionnée”. Et de préciser qu’il n’y a pas eu d’incapacité de travail (ITT) pour la victime.  “Nous ne nions pas les faits, mais mon client a déjà été sanctionné, et nous vivons ces réquisitions d’interdiction d’exercer pendant 5 ans comme une double peine, je me battrai jusqu’au bout” assène M° Phour.

L’adjudant-chef, muté à compter du mois prochain comme adjoint dans une brigade d’un département voisin a déjà été sanctionné par la justice avec une suspension de son habilitation d’OPJ et par sa hiérarchie avec une suspension de 20 jours. Selon nos informations, ce gendarme est très bien noté et apprécié de sa hiérarchie et n’a jamais eu de problème dans sa carrière.

 

Source : lesalonbeige

Sanctions contre la Hongrie : le système a peur…

Publié par Guy Jovelin le 18 septembre 2018

 
Jean-François Touzé
Secrétaire national du Parti de la France
hongrie,sanctions,systèmeEn votant le 12 septembre (448 voix pour, 197 contre) pour l'ouverture d’une procédure pouvant, en vertu de l'article 7 du règlement de l'Union, déboucher, si elle allait jusqu’à son terme, sur des sanctions contre la Hongrie, le Parlement européen a voulu faire la démonstration de sa détermination à lutter contre ce qu’Emmanuel Macron qualifiait récemment de lèpre nationaliste et de crispation populiste, et que la députée Vert Judith Sargentini, rapporteur du texte, a décrit comme un « risque systémique contre les valeurs de l'UE ». Autrement dit, la volonté des peuples européens à résister à la submersion migratoire et à demeurer ce qu’ils sont chez eux, droit inaliénable volontiers reconnu, voire prôné, par l’ONU quand il s'applique à telle ou telle peuplade aborigène (« Droits des peuples autochtones »), mais fermement condamné quand il est revendiqué par les nations historiques européennes. 
En réalité, les députés « progressistes » de gauche et d’extrême gauche comme ceux du centre et d'une bonne partie de la prétendue droite n'ont fait la démonstration que de leur couardise et de leur fuite en avant sur la route fatale de l’immigrationnisme. Il est aussi permis de voir dans ce vote la marque d'un début de panique, grande peur des bien-pensants de tous bords face à la montée de la vague des résistances nationales.
 
Cette procédure dont les chances d'aboutir sont heureusement quasiment nulles malgré l'appui insistant de la Commission de Bruxelles, n'a, en effet, pu être adopté que grâce à la complicité de la pseudo-droite européenne regroupée au sein du très mal nommé Parti Populaire Européen (PPE) auquel appartient pourtant le Fidesz hongrois de Victor Orban.
 
Au cours de son intervention, solennelle et déterminée, devant les eurodéputés, ce dernier n’a pas cherché à convaincre son auditoire, dont il estimait que l'opinion était « déjà faite ». Combattif et véhément, il a dénoncé une « vengeance » de ses opposants et martelé qu'il ne céderait à aucun « chantage ». « Je n'accepterai pas que les forces pro-immigration nous menacent, fassent un chantage et calomnient la Hongrie sur la base de fausses accusations ».
 
Si ces forces pro immigration qu'évoquait Victor Orban, ont engagé le combat contre l'axe de la résistance qui se dessine en Europe et que la rencontre Orban/Salvini vient d'illustrer de manière emblématique, c'est que l'enjeu des prochaines élections européennes est pour eux vital : il s'agit pour les eurocrates immigrationnistes et mondialistes d'empêcher la diffusion salutaire de la substance réactive chimique naturelle qui pousse les peuples à ne pas mourir, et de dissuader d'autres pays de suivre les traces de la Hongrie, de l'Italie et de l'Autriche.
 
Il y va, en effet, de la survie du Système. Un Système qu'il nous faut abattre avant qu'il ne soit trop tard.
 
Le Parti de la France, incarnation politique de la vraie Droite nationale française, héritier de tant de combats menés pour les libertés, l'identité nationale et les valeurs civilisationnelles, s'inscrit dans ce grand renouveau populaire qui, de Rome à Berlin, de Stockholm à Vienne, de Budapest à Amsterdam, s’organise et peut demain embraser l'ensemble du continent dans le grand feu du réveil européen.
 
Et nous, nous ne céderons rien.
 
NDLR : Sur la Hongrie, lire le livre de Jean-Claude Rolinat, La Hongrie, sentinelle de l'Europe

lundi, 17 septembre 2018

LE PARTI DE LA FRANCE : PRÉPARONS LES LENDEMAINS !

Publié par Guy Jovelin le 17 septembre 2018

Le billet de Franck Timmermans. Zapping le 12 septembre : sur BFM-TV, un reportage dans le Var avec pour titre « Marine Le Pen dans le Var : la dynamique brisée ? ». Extraordinaire. Depuis un an, il y aurait donc eu une dynamique au RN dont j’ignorais tout.


Le Parti de la France :  Préparons les lendemains !
Je bats ma coulpe, et je regarde la suite. Une poignée de gauchistes qui hurle à l’approche de la Présidente du RN flanquée de ses caciques habituels. Une scène que son père a vécue un peu partout en France des centaines de fois en plus de 30 ans. Vraiment pas de quoi casser trois pattes à un canard et c’est à se demander si le journalisme émotionnel, évidemment calqué sur le grand frère d’outre-Atlantique, ne sombre pas davantage dans l’insignifiant, au-delà des excuses estivales. Et les seconds couteaux de la Tzarine d’en remettre une couche quitte à démontrer involontairement le manque total de l’organisation de leur réunion car on était loin, très loin d’une confrontation à la mode de Chemnitz ! Le lendemain, un cadre du RN du Languedoc m’appelle pour me donner nouvelles et impressions. Sur le psychodrame varois, même opinion, l’affliction en plus. Mais les autres déconvenues sont d’un tout autre tonneau.
La communication du Siège du RN de Nanterre s’enfonce dans le déni et la caricature car les dons attendus et reçus pour sauver « le premier parti d’opposition » sont en réalité très inférieurs en nombre et en montants à ce qui était espéré. Les renouvellements d’adhésion sont le symptôme le plus alarmant et les adhésions nouvelles proches de l’inexistant. Pire, le RN ne couvre plus depuis plusieurs mois la France en fédérations, des départements sont artificiellement dotés d’un responsable qui, parfois, n’est même plus adhérent ; pire encore, une très grosse fédération est, pour la première fois, en dépôt de bilan, incapable de régler dettes et fournisseurs, engagements que le Siège national n’est pas disposé à honorer. D’autres sombrent dans la zizanie permanente et les règlements de comptes. Et nous n’évoquerons pas les déboires judiciaires et financiers de la Présidente, en majeure partie dus à l’irresponsabilité de sa gestion, à ses méthodes cavalières comme à ses dépenses et embauches irraisonnables. L’extrême lassitude a emboîté le pas à l’extrême déception dans les rangs militants car il ne s’est rien passé de concret durant un an, ni rebond nécessaire ni autocritique évidemment.
Il est bien difficile de prétendre à l’honneur du premier rôle d’opposant quand, alors que vous pérorez contre la gabegie, le même qualificatif résume votre gestion ; quand, alors que vous pourfendez le fiscalisme, vos services harcèlent les fichiers de relances et ponctionnent les candidats ; quand, alors que vous préconisez de réduire les personnels de l’État, les vôtres enflent démesurément de fonctionnaires ou de courtisans. Le slogan « tête haute et mains propres » est bien loin.
Que faire ? Notre générosité et notre aide ne peuvent que soutenir un mouvement dont la gestion a été efficace et irréprochable, et c’est bien le cas du PDF *. Aucune solidarité des idées ne nous oblige donc à entretenir le tonneau des Danaïdes de Nanterre. Car, en plus, il ne faut pas oublier que la responsable de ces pitoyables résultats s’acharne sur le plan des idées justement depuis des années à dévier son mouvement des repères et enjeux fondamentaux de notre camp, notamment - et c’est la faute absolue - en niant l’existence d’un grand remplacement. C’est là une somme d’incompétences, de nuisances et de disqualifications. Mais que faire ??? Persévérer dans notre combat contre le Système, contre les gauches, car Mélenchon a désormais un boulevard, et contre ce grand remplacement ; mais aussi tendre la main aux militants locaux et sincères qui seraient tentés de tout abandonner, y compris un combat vital pour notre Pays, celui de la Résistance.
Les désaccords passés ne sauraient supplanter les obligations des mobilisations futures.
Si vous organisez des activités dans votre secteur, n’hésitez pas à y inviter des ex-adhérents du RN et des militants ou élus locaux abandonnés. Constituez-vous un fichier de prospection d’après vos propres archives et contacts évidemment, mais aussi en utilisant les listes FN des deux dernières élections municipales (donc depuis 13 ans environ). Ces listes, figurant sur les bulletins de vote, vous aideront à reconstituer certaines adresses d’anciens candidats de base en consultant la liste électorale en Mairie ou au Service des Élections de la Préfecture.
Le reste proviendra des relations personnelles par l’effet boule de neige. Dans vos relations avec les déçus, je vous recommande de ne pas rouvrir les plaies inutilement ni d’insister lourdement sur les erreurs commises. Ils n’y sont en fait pour rien. La convivialité et l’action seront vos arguments les plus décisifs pour les amarrer à nous. Vos choix et vos décisions reposeront donc sur l’urgence de l’union, sur la confiance rétablie et le travail militant.
Ne soyez jamais rancunier ni méprisant avec les militants, toujours respectables pour leur engagement patriotique fut-il parfois atteint de cécité à l’égard de leur hiérarchie.
Retrouver la vue est un bonheur à partager, à entretenir et à préserver. Je sais de quoi je parle.
 
* Pour donner utile, donnez au PDF.
  • par chèque à l’ordre de “Mme Myriam BAECKEROOT mandataire financier du P.D.F.” en adressant votre courrier au Parti de la France 6 allée des Templiers, 78 860 Saint-Nom-la-Bretèche
  • par virement à l’ordre de “Mme Myriam BAECKEROOT, mandataire financier du P.D.F.” sur le compte bancaire LCL 30002 00453 0000691807 F 22 Paris Anjou