Jacques Moignard, maire de Montech (ici en compagnie de la députée du Tarn-et-Garonne Valérie Rabault) |
Une éolienne en feu aux Pays-Bas en 2013 |
Source : politiccircus
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Publié par Guy Jovelin le 11 novembre 2017
Jacques Moignard, maire de Montech (ici en compagnie de la députée du Tarn-et-Garonne Valérie Rabault) |
Une éolienne en feu aux Pays-Bas en 2013 |
Source : politiccircus
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Publié par Guy Jovelin le 11 novembre 2017
La gagnante du jour est la mulâtre Mariah Carey, une chanteuse et une femme d’affaires, accusée par son ancien garde du corps Michael Anello de racisme et de harcèlement sexuel, ; sans oublier bien sûr l’exploitation professionnelle.
Anello a été spolié par Melle Mariah de 221 329,51 $ de salaire entre juin 2015 et mai 2017, nonobstant les 511.000 $ des deux années de contrat non honorées. Il a également été humilié par la puissante « businesswoman » qui, arguant du fait qu’il était blanc et chauve, se permettait à son égard des sobriquets socialement offensants tels que « nazi », « skinhead », « membre du KKK » et « suprémaciste blanc ». Son collègue a également subi ce genre d’insultes. Mariah déclarait d’ailleurs vouloir n’être entourée que de Noirs et en aucun cas de Blancs. Un peu comme dans les réunions d’Houria Bouteldja…
Anello a été aussi victime de harcèlement sexuel. Melle Mariah a en effet commis « des actes sexuels dans l’intention qu’ils soient vus par Anello». Anello témoigne qu’au cours d’un voyage à Cabo San Lucas (Mexique), Mariah lui a demandé de venir dans sa chambre pour déplacer des bagages et quand il est arrivé là, elle portait un négligé transparent qui était ouvert. Il dit qu’il a essayé de partir, mais elle a insisté pour qu’il déplace les bagages. Il dit qu’il a quitté la pièce et qu’il n’y a eu aucun contact physique.
Ce témoignage soulève un point important. Il est nécessaire de lutter contre le harcèlement sexuel sous toutes ses formes, et le fait pour une femme d’avoir une attitude assimilable à du racolage, combinée ou non avec une tenue similaire à celle des professionnelles de l’amour tarifié, doit également être considéré comme tel, un homme devant avoir la possibilité de porter plainte pour « harcèlement sexuel » en cas de « drague lourde » de ce genre. Il va de soi aussi que toute femme essayant de monnayer ses charmes contre de l’argent, une promotion, voire son diplôme universitaire devra répondre de ce type de harcèlement devant les tribunaux, puisqu’elle interfère dans le consentement de l’homme…
Hristo XIEP
Source : medias-presse.info
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Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2017
Peu avant 16h ce vendredi, un véhicule a foncé délibérément sur un groupe de personnes devant une école de commerce à Blagnac (Haute-Garonne), près de Toulouse.
Trois étudiants chinois ont été blessés dans la collision. Selon le Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (CODIS) de Haute-Garonne, un homme de 23 ans et une femme de 22 ans ont été légèrement blessés. Une femme de 23 ans l'est plus grièvement. Ils ont été transférés à l'hôpital Purpan à Toulouse.
"A 15h54, un homme au volant d’un véhicule Clio aurait foncé délibérément sur trois personnes qui se trouvaient sur le passage piéton", a déclaré sur BFMTV le procureur de la République de Toulouse Pierre-Yves Couilleau.
Le conducteur, né en 1989, est connu pour des faits de droit commun, notamment en rapport avec les stupéfiants selon nos informations, mais n'est pas fiché S. Il a été interpellé sans difficulté.
Selon ses propos, rapportés par le procureur, il aurait été condamné "une dizaine de fois" et "ferait l’objet actuellement d’un suivi dans le cadre de condamnations à des sursis et mises à l'épreuve". Ce suivi comporterait des obligations de soins, "qu'il respectait", a poursuivi Pierre-Yves Couilleau.
Le service régional de la police judiciaire de Toulouse a été saisi.
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Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2017
Que faire des enfants de jihadistes français? C’est l’épineuse question à laquelle la France se retrouve confrontée, alors que de nombreuses familles françaises sont détenues en Irak et en Syrie, en raison des défaites successives de Daesh sur place. Mercredi, en marge de son déplacement à Abu Dhabi pour inaugurer le “Louvre des sables”, Emmanuel Macron a indiqué que certains jihadistes français pourraient être jugés sur place avec leurs familles, et d’autres rapatriés. Quant aux épouses et enfants de jihadistes, le chef de l’Etat a estimé que leur traitement sera fait “au cas par cas, en fonction des situations”. Un véritable casse-tête pour les autorités françaises.
Fin septembre, alors que Daesh était en plein recul militaire face aux offensives de la coalition de combattants arabo-kurde et des frappes de la coalition arabo-occidentale, l’Elysée estimait qu’au moins 700 adultes français se trouvent dans la zone jihadiste irako-syrienne, dont un tiers de femmes. Toujours selon la présidence, 500 mineurs se trouveraient à leurs côtés. La moitié de ces enfants sont nés sur place et sont âgés de moins de 5 ans.
Au cours de l’été, le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, avait en outre indiqué que 217 adultes et 54 mineurs étaient rentrés en France, après avoir séjourné dans les zones de combat, en Syrie ou en Irak.
Concernant les mineurs présents dans les zones de combat, il faut distinguer trois catégories. Tout d’abord, les enfants ou adolescents français radicalisés, et partis seuls sur place pour combattre dans les rangs de Daesh.
Ensuite, les enfants de jihadistes français que ceux-ci ont emmenés avec eux lorsqu’ils sont partis en Irak et en Syrie, et qui se sont retrouvés contraints d’adhérer aux thèses jihadistes. Sur le terrain, ces mineurs ont été embrigadés pour faire partie des “lionceaux du califat”, ces jeunes enfants entraînés à combattre et sensibilisés à la propagande jihadiste. Certains d’entre eux ont appris à tirer à la kalachnikov, mais aussi à poser des bombes. Ils ont aussi été forcés à regarder des vidéos d’exactions commises par Daesh, voire à assister directement à celles-ci.
De nombreuses vidéos de propagande de Daesh ont mis en scène ces “lionceaux du califat”, en train de s’entraîner comme des adultes, de réciter des versets religieux, et de regarder des vidéos de propagande. En juillet 2015, une vidéo diffusée par Daesh avait montré une mise à mort publique de soldats syriens, par des enfants, au coeur de l'amphithéâtre de Palmyre.
Enfin, les enfants emmenés très jeunes, et n’étant pas assez grands pour faire partie des “lionceaux du califat”, ou les bébés nés sur place.
Pour les autorités françaises, la gestion des enfants de jihadistes risque de prendre des airs de casse-tête juridique. Le fameux “cas par cas” évoqué par Emmanuel Macron constituera à autoriser ou non le rapatriement, principalement en fonction de l’âge de l’enfant. Comme l’a précisé le président de la République, certains mineurs pourraient être jugés avec leur famille, dans les pays où ils se trouvent.
Par ailleurs, selon des informations dévoilées il y a quelques jours par France 2, les mineurs de moins de 8 ans pourraient être rapatriés, car trop jeunes pour être considérés comme véritablement dangereux. Séparés de leurs parents, ceux-ci étant jugés et incarcérés, ces enfants de moins de 8 ans pourraient ensuite être placés en familles d’accueil, ou en foyers, voire confiés à d’autres membres de leur famille en France, dont la fiabilité aura été évaluée.
Quant aux plus de 8 ans et aux adolescents, la décision concernant leur destin sera déterminée de façon individuelle. Plusieurs critères pourraient entrer en considération, tels que le degré d’embrigadement, qui déterminerait alors la dangerosité du mineur. Reste à savoir quel service, en France, se chargerait de cette évaluation de la dangerosité de tel ou tel mineur.
Le plan présenté sous le précédent gouvernement par le Premier ministre d’alors, Bernard Cazeneuve, au sujet du retour en France des enfants de jihadistes prévoyait un travail conjoint mené par les départements, compétents en matière de protection de l’enfance, et les ministères de la Justice et de l'Éducation. Il indiquait, en outre, qu’il revenait au parquet compétent d’évaluer chaque situation, de décider des poursuites pénales éventuelles et de saisir le juge des enfants.
“Pour ce qui est des enfants, ils font l'objet d'ores et déjà d'une procédure toute particulière et d'un suivi très particulier sur le plan médical et psychiatrique", a encore assuré Emmanuel Macron, sans préciser son propos.
Outre leur potentielle dangerosité, l’état psychologique des mineurs devra également faire l’objet d’une évaluation. Les exactions vues sur place, la propagande imposée à longueur de journée, les entraînements armés, le traitement qui leur était réservé, le mode de vie: autant de traumatismes qui peuvent faire de ces enfants de véritables bombes à retardement, et nécessitent un traitement puis un suivi psychologique adapté, ainsi que des soins médicaux en cas de blessures. Objectif: que les enfants autorisés à rentrer en France puissent un jour espérer s’intégrer dans la société.
Source : bfmtv.com
Écrit par . dans Le Parti de la France | Tags : femmes et enfants de jihadistes, rak, syrie | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | Facebook | |
Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2017
Bernard Plouvier
Notre jeune, élégant et distingué Président vient d’annoncer, le 9 novembre 2017, la fin prochaine de l’État Islamique (variante : Daech). Est-ce un joli coup médiatique ? Peut-être, mais Emmanuel Macron n’a pas besoin de ce genre de publicité tapageuse : s’il conserve ses sponsors – ceux-là même qui ont assuré à la fois son ascension de météore et l‘implosion de tous les partis politiques de France -, il remontera très facilement dans les sondages lorsque ce sera nécessaire, soit avant une grande échéance électorale.
En réalité, il est potentiellement très dangereux de faire ce type d’annonce, face à un certain public. La guerre est, à l’évidence, perdue en Syrie et au Kurdistan pour les fous furieux du calife Abou Bakr II (dont on ne sait même pas s’il est encore en vie). Avec des belligérants intelligents, M. Macron aurait parfaitement raison de s’exprimer comme il l’a fait : la guerre est finie, on signe un traité de paix, on exécute éventuellement quelques chefs (c’est à la mode depuis 1945) et on reconstruit… c’est bon pour le Big Business.
Seulement, dans ce cas précis, l’on a affaire, non à des gens intelligents, mais à des abrutis complets, des psychotiques délirants, des « fous d’allah ». Il est infiniment probable qu’un grand nombre d’illuminés, qui connaissent les sourates coraniques prêchant le Djihâd, vont se faire une joie maligne de faire payer leur victoire aux Nations belligérantes du clan des gagnants.
D’où un risque maximal d’attentats durant les années à venir, aux dates jugées symboliques par les mahométans ou, plus simplement, quand la logistique le permettra.
Doit-on raisonner en pure intelligence avec des psychotiques, des pervers, des psychopathes ? Assurément pas ! Plus que jamais, il importe de protéger la Nation française des fous furieux inutilement importés en même temps que les authentiques réfugiés politiques ou les migrants pour cause économique.
Source : synthesenationale
Écrit par . dans Le Parti de la France | Tags : coup médiatique, fin de l'ei, fous d'allah, macron | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | Facebook | |