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dimanche, 27 août 2017

Le ministre hongrois de la défense demande aux officiers de lutter contre l’immigration illégale et garder la foi chrétienne

Publié par Guy Jovelin le 27 août 2017

par   26 août 2017 

Il faut lire et relire ces mots de István Simicsko, ministre hongrois de la défense, adressés aux jeunes officiers prêtant serment lors de la fête nationale hongroise le 20 août dernier.

“Pour que nos enfants et petit-enfants vivent en tant que Hongrois en Hongrie, nous devons défendre nos frontières avec tous les moyens à notre disposition, et lutter contre le terrorisme et l’immigration illégale.”

Nous devons garder notre foi chrétienne, dans ce monde pressé et changeant. Il n’y a pas d’autre voie […] que la foi chrétienne que nous avons reçu de Saint-Etienne pour nous mener de l’avant.”

 

Le ministre hongrois de la défense, István Simicsko, lors de la cérémonie du 20 août 2017 à Budapest.

Le ministre Simicsko a ajouté qu’il ne pouvait y avoir d’avenir pour le pays que tant que des jeunes hongrois seront capables de mourir pour la patrie. Des paroles comme on aimerait en entendre chez nous en France, mais nous en sommes loin…

Le ministre hongrois a d’ailleurs conclu :

“Malheureusement il semble aujourd’hui que Bruxelles renonce à sa foi, et perd ses fondamentaux. Nous Hongrois avons appris que la Hongrie, notre patrie, représente pour chacun de nous un bien inestimable et irremplaçable.”

Le président de la république de Hongrie, János Áder, lors de la cérémonie du 20 août 2017 à Budapest.

 

Jeunes officiers hongrois lors de la cérémonie du 20 août 2017.
Source : medias-presse.info

Emmanuel Macron remis à sa place par le Premier ministre polonais

Publié par Guy Jovelin le 27 août 2017

par   26 août 2017 

Pour qui se prend Emmanuel Macron ? Il peut bien s’imaginer en Jupiter lorsqu’il prend sa douche mais il n’impressionne guère les gouvernements des pays d’Europe centrale.

En quelques jours, la politique diplomatique  de la France avec la Roumanie et avec la Pologne a viré au cauchemar par la faute de l’arrogance d’Emmanuel Macron.

Ce fut d’abord un premier échec en Roumanie sur les travailleurs détachés, puis un deuxième échec cinglant en Pologne à la suite des déclarations du président français, vendredi à Varna, affirmant que Varsovie faisait “une nouvelle erreur” en refusant de s’aligner sur la position française de durcir les accords sur les travailleurs détachés, ajoutant que la Pologne se “mettait en marge de l’Europe sur de nombreux sujets”.

Et Macron de déclarer avec mépris “La Pologne n’est en rien ce qui définit le cap de l’Europe” avant de conclure, condescendant, que “le peuple polonais mérite mieux que cela”.

Emmanuel Macron renouait ainsi avec son discours du 21 juin critiquant ceux qui voient dans l’Europe un « supermarché », c’est-à-dire les pays d’Europe centrale qui voudraient avoir les avantages de l’UE sans s’encombrer de la solidarité, notamment sur l’accueil des réfugiés.

La réplique de Beata Szydlo, premier ministre de Pologne, a été cinglante :

« Peut-être ces déclarations arrogantes sont-elles dues à son manque d’expérience et de pratique politique, ce que j’observe avec compréhension, mais j’attends qu’il rattrape rapidement ces lacunes et qu’il soit à l’avenir plus réservé »

« Je conseille à M. le président de s’occuper des affaires de son pays, il réussira alors peut-être à avoir les mêmes résultats économiques et le même niveau de sécurité de ses citoyens que ceux garantis par la Pologne. »

« Ce n’est ni le président de la France ni aucun autre dirigeant qui décidera personnellement de l’avenir de l’Europe, mais l’ensemble des membres de la communauté. (…) Nous avons les mêmes droits que la France, que les autres pays membres. »

 

Source : medias-presse.info

samedi, 26 août 2017

Les femmes de militaires manifestent leur colère à Paris

Publié par Guy Jovelin le 26 août 2017

Par Alicia.PauletChloé Marriault

 Publié 

 

Au total, 7500 soldats sont mobilisés en permanence sur l'ensemble de la France 

Une partie du collectif, qui compte plus de 5.000 épouses de soldats, se rassemblera ce samedi à 13 heures devant les Invalides pour dénoncer «le manque de moyens» et les «conditions de travail déplorables» dans l'armée.

Le collectif des «Femmes de militaires en colère» a décidé de faire entendre sa voix. Le mouvement, qui compte près de 5.200 membres, a appelé sur sa page Facebook les familles de militaires à se rassembler ce samedi à Paris. La manifestation débutera à 13 heures, entre la rue de Grenelle et les Invalides. Un lieu symbolique qui se situe à proximité du ministère des Armées. Quelque 500 personnes sont attendues.

Les épouses de militaires descendent dans la rue avec plusieurs revendications. La première: l'arrêt définitif du système Louvois, le logiciel de rémunération des militaires. Primes non versées, retards dans le règlement des soldes, trop-perçus… Les épouses de militaires dénoncent des dysfonctionnements en série qui affectent les familles. «Certaines se retrouvent avec des surplus versés qu'elles doivent ensuite rembourser. Des familles doivent alors s'endetter, fustige Mercedes Crepin, cofondatrice de la page Facebook “Femmes de militaires en colère”. On nous avait promis un nouveau logiciel pour 2017, et celui-ci n'est toujours pas mis en place».

Autre requête: un meilleur accompagnement des familles en cas de reconnaissance du syndrome de stress post-traumatique. «On se sent complètement démunies, on ne sait pas comment faire face à la maladie, comment épauler nos hommes», déplore Mercedes Crepin, dont l'époux est victime de SPT à la suite d'une opération en Afghanistan. Elles critiquent un parcours administratif trop long pour reconnaître les droits de blessés de guerre.

Les conditions de vie déplorables en opérations extérieures (Opex) et intérieures sont dénoncés par le collectif. «Dans certaines missions, les conditions de logement sont insalubres, avec des hangars délabrés, avec des puces voire des cafards», ajoute-t-elle. La situation des veuves de militaires les préoccupe également. «Lorsqu'elles perdent leur mari en Opex, certaines doivent quitter leur logement militaire sous un délai de 2-3 mois et trouver un logement dans le civil, souligne Mercedes Crepin. Elles ne sont pas soutenues ni aidées par l'institution.»

» Lire aussi: «On n'a pas signé pour jouer les vigiles»: ces militaires lassés du plan Sentinelle

Si le mouvement des «Femmes de militaires en colère» ne mentionne pas l'opération Sentinelle, certaines épouses militent pour l'arrêt du dispositif mis en place après les attentats survenus à Paris en janvier 2015. «L'opération Sentinelle n'est pas efficace. Les militaires ne peuvent même pas faire de fouilles, quand ils arrêtent quelqu'un, il faut qu'ils appellent la police», explique Loetitia Hongroise, cofondatrice du collectif.

L'opération Sentinelle a été déclenchée afin d'appuyer le travail des policiers et des gendarmes dans un contexte de menace terroriste. Au total, 7.500 soldats sont mobilisés en permanence sur l'ensemble de la France. Selon le ministère de la Défense, «l'opération Sentinelle dissuade et protège». Régulièrement critiqué pour sa non-viabilité, il est question que le dispositif soit réorganisé. «Plutôt que d'avoir 7.000 soldats sur des postes fixes, peut-être qu'il serait mieux d'en avoir 3.500 dans des postes définis et 3.500 dans des postes plus souples de manière à pouvoir garantir la sécurité sur des grands événements», a déclaré Gérard Collomb, ministre de l'Intérieur, sur BFMTV le 22 août dernier.

 

Source : lefigaro

Edouard Philippe : « pas un surhomme » et vrai sous Premier ministre

Publié par Guy Jovelin le 26 août 2017

Rédigé par notre équipe le 25 août 2017

 

Décidément, Macron ferait bien de partager sa maquilleuse en chef, car la nullité de ses ministres doit être camouflée rapidement pour éviter une révolution. Après la ministre de la Justice qui ment pour ne pas donner une image trop permissive de sa politique, Edouard Philippe se prend à son tour les pieds dans de l’interview. Incapable de donner le moindre chiffre et sortir des généralités crasses, il s’est défendu en expliquant ne pas être un « surhomme ». Les Français ne veulent pas d’un surhomme, mais d’un Premier ministre compétent. C’est raté !  

A force d’éviter les journalistes et de ne communiquer que dans un cadre maîtrisé à 100 %, l’exécutif semble se tirer une balle dans le pied. Déjà perçu comme éloigné des Français après trois mois seulement au pouvoir, il apparaît comme incapable de justifier et défendre les rares choix « assumés ». Une question, mais pas de réponse. C’est en tout cas ce qu’il ressort de l’interview bien cafouilleuse du Premier ministre Edouard Philippe au micro de Jean-Jacques Bourdin (RMC-BFM TV).

Ce journaliste radio, connu et redouté pour ses questions pièges n’a pas eu à forcer son talent face à un Edouard Philippe qui n’est toujours pas rentré de vacances ou qui n’a peut-être pas compris qu’il était Premier ministre de la France. Hier matin, il arrive dans les studios de RMC pour montrer aux Français que la période estivale a été studieuse et que la rentrée va être renversante grâce à des cadeaux dont se passeraient bien ses concitoyens. Sauf, qu’à force de ne pas travailler ses dossiers, la méconnaissance du Premier ministre se voit.

Cafouillages, réponses grotesques : Philippe Premier minus

Après plusieurs questions laissées sans réponse, Philippe finit par lâcher : « Je n’ai aucune feuille devant moi, je n’ai pas tous les chiffres en tête, je ne suis pas un surhomme. Moi je suis un gars sérieux, j’essaie de faire les choses sérieusement. Quand je sais, je dis. Quand je ne sais pas, je vérifie ». Un gars sérieux ? Pour se qualifier de sérieux, il faudrait bosser un peu ! Philippe n’a fait que répéter quelques vagues promesses de campagne du candidat Macron (qu’il combattait alors au sein des Républicains).

Petit florilège destiné à bien montrer le degré de préparation et de compétence du chef du Gouvernement : « Alors pour les pensions d’invalidité, s’agissant des pensions, je vous ai dit que… euh… donc des pensions… les pensions d’invalidité, pardon, je pensais aux pensions de retraite pendant que vous me posiez la question. Euh… Si vous m’autorisez à vérifier ça pendant la pause, je vous répondrai après la pause ». A propos des pensions de retraite qu’il avait soi-disant en tête : « Euh… Il y aura… Un processus de revalorisation… euh… des pensions de retraites, comme c’est le cas… Euh… Je ne sais pas si ce sera le 1er octobre ou le 1er janvier, là aussi je vais revenir exactement vers vous ».

Incapable de dire à partir de quand le minimum vieillesse allait être revalorisé (de quelques centimes), il a déclaré que 30 % des Français verraient leur taxe d’habitation supprimée en 2018 alors qu’il s’agit en fait d’une baisse de 30 % pour 17 millions de foyers (avant le prochain revirement). Edouard Philippe est nul et semble bien décidé à le montrer ! Comme tous les médiocres retors, Macron voulait s’entourer de moins intelligents que lui, il aura au moins réussi ce pari avec brio !

 

Source : 24heuresactu

Ignace – Le dessin du jour

Publié par Guy Jovelin le 26 août 2017

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