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lundi, 21 août 2017

La nouvelle arme des djihadistes : faire dérailler les trains

Publié par Guy Jovelin le 21 août 2017

Dans le dernier numéro de son "magazine", Al-Qaïda invite ses membres à s'attaquer au réseau ferroviaire en Europe et aux États-Unis.

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Publié le  | Le Point.fr
Après l’attaque à la camionnette, place à un autre mode opératoire : le déraillement de trains ?
Après l’attaque à la camionnette, place à un autre mode opératoire : le déraillement de trains ? © Photo12 / Gilles Targat / Photo12/ Photo12
L'imagination des djihadistes est sans limites. Après l'attaque à la camionnette, place à un autre mode opératoire : le déraillement de trains. Dans le dernier numéro d'Inspire, le magazine édité par Al-Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa), l'organisation fondée par Ben Laden encourage ses adeptes à créer la terreur en détruisant des voies ferrées en Europe et aux États-Unis. Et le journal de fournir le mode d'emploi de l'outil capable de les aider dans leur projet. « Facile à concevoir et pratique pour masquer vos traces après l'opération », mentionne-t-il. Autre avantage : il ne requiert aucun martyr et l'opération « peut donc être répétée ».

Saint-Denis : un lance-roquettes et des explosifs saisis dans une cité

Publié par Guy Jovelin le 21 août 2017 

Des armes à feu, des kilos de cannabis, du matériel de police et de l'argent liquide ont également été retrouvés. Un gardien d'immeuble a été entendu par la police.

SOURCE AFP
Publié le  | Le Point.fr
La police a saisi un lance-roquettes et des explosifs dans une cité de Saint-Denis. (Illustration)
La police a saisi un lance-roquettes et des explosifs dans une cité de Saint-Denis. (Illustration) © AFP/ LOIC VENANCE
La police a saisi un lourd arsenal jeudi 17 août dans une cité de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Un lance-roquettes, des explosifs, du matériel de police, plusieurs kilos de cannabis ont été retrouvés et un gardien au moins a été entendu par les autorités, a-t-on appris dimanche auprès d'élus locaux. La saisie a eu lieu dans la cité Jacques-Duclos, minée par le trafic de drogue, a déclaré à l'Agence France-Presse Stéphane Peu, le député (PCF-LFI) de la circonscription, confirmant une information du Parisien.

Attentats de Barcelone : la politique de l’autruche se porte bien

Publié par Guy Jovelin le 21 août 2017

Rédigé par notre équipe le 19 août 2017.

La liste des victimes du terrorisme s’allonge. Comme chaque semaine en Europe, un (double) attentat a de nouveau frappé. Cette fois-ci, c’est Barcelone et la Catalogne qui ont fait les frais d’islamistes jouissant d’une liberté sans entrave pour accomplir leur macabre dessein. Quatorze morts et des dizaines de blessés selon le dernier bilan auxquels s’ajouteront de futures milliers d’autres victimes. Des victimes du terrorisme et de l’incompréhensible attentisme des autorités. Le florilège de réactions laisse pantois et annonce un avenir bien sombre.  

Attentat ignoble, solidarité, effroi, un acte odieux et lâche. Comme à leur habitude, les politiques sortent mouchoirs, tweets et mots convenus pour exprimer leur soutien à une nouvelle ville victime du terrorisme. Barcelone et Cambrils comptent leurs morts et espèrent que la prochaine expédition djihadiste les épargnera. Les réactions à travers le monde se suivent et se ressemblent. Les tweets sont déjà prêts, seul un blanc est laissé pour y insérer le nom de la ville touchée. L’Europe est entrée dans une routine macabre où il est plus important de s’apitoyer que de trouver des solutions à l’islamisme radical.

Quand les « chances » pour l’Europe sèment la mort

C’est bien connu, « l’immigration est une chance pour la France » et donc une chance pour l’Europe. Ne pas adhérer à cette évidence, c’est vouloir reconstituer le IIIe Reich et faire périr tous ceux qui ne sont pas assez aryens. Ainsi acculé dans cette impasse idéologique, l’Europe ouvre grands les bras à tous ceux qui aiment les aides d’Etat, subventions et sécurité sociale gratuite. Qu’il y ait parmi ces profiteurs des terroristes (en puissance) ? Cela n’est pas la question disent les autorités. Il faut accueillir, faire preuve d’ouverture et ensuite verser une larme lorsque l’un deux prend une camionnette pour foncer dans la foule.

Les Marocains auteurs des attaques en Catalogne sont de purs produits de cette « chance » donnée à l’Europe. Et comme tous les pays asexués qui composent l’UE, l’Espagne comme la France est une cible de choix. Les imams salafistes prospèrent, recrutent et envoient de jeunes abrutis tuer des innocents. Les « coups de filet » de la police neutralisent une dizaine d’individus pendant quelques mois, voire au mieux quelques années et la machine terroriste grandit à vue d’œil pendant ce temps. Le compte à rebours est déjà lancé et la seule question en suspens est de savoir quand l’Europe se soumettra intégralement aux djihadistes ?

Des réactions affligeantes

Les réactions des politiques sont affligeantes et démontrent un attentisme coupable. On massacre des civils dans nos rues et la seule réponse est « la solidarité » et la dénonciation d’un « acte odieux et ignoble ». Valls le Barcelono-franco-socialo-véritable traître sort du chapeau, « bouleversé », et assure que la « guerre contre le terrorisme est notre défi ». Quelle guerre ? Une guerre dans laquelle seuls les civiles sont emportés dans la mort tandis que les rares terroristes qui trépassent sont ceux trop limités intellectuellement et qui se font exploser seul dans leur voiture ou leur cave ? La France et l’Europe ne sont pas en guerre contrairement à ce que répètent en boucle les politiques. L’heure est à la soumission généralisée. Un genou déjà à terre et le second qui viendra bientôt le rejoindre.

Parmi la gamme de messages pitoyables, celui d’Anne Hidalgo, maire de Paris, propulsée à ce poste pour des raisons pas vraiment politiques au départ, vaut le détour. Elle tweete : « Barcelone et Paris sont des villes de partage, d’amour et de tolérance. Ces valeurs sont plus fortes que ce terrorisme odieux et lâche ». Ce message d’une crétinerie crasse est symptomatique de l’environnement malsain dans lequel la France et l’Europe évoluent. « Villes de partage ». Partage de quoi ? Des migrants qui sont des milliers à y zoner ? « Amour ». Y-a-t-il des villes de la haine ? Pas en France en tout cas sauf dans certains quartiers où justement les djihadistes pullulent. « Tolérance ». Que tolère-t-on ? L’arc en ciel des différences qui va du lobbying LGBT au fondamentalisme islamiste ? On finit par deux adjectifs bien éculés pour condamner l’attaque et on attend la prochaine. Toutes les civilisations meurent, mais celle en cours en Occident serait risible si elle ne nous concernait pas.

 

Source : 24heuresactu

dimanche, 20 août 2017

L’épuration américaine s’en prend au Maréchal Pétain

Publié par Guy Jovelin le 20 août 2017

  par   19 août 2017

L’affaire de Charlottesville est devenue le prétexte pour se livrer aux Etats-Unis à une purge politiquement correcte dont on ne voit pas la fin. Après la chasse aux monuments confédérés, puis la critique des monuments et noms de parcs et d’avenues dédiés à George Washington, c’est maintenant au Maréchal Pétain de faire les frais de cette nouvelle vague de terrorisme intellectuel.

Le maire de New York, Bill de Blasio, chantre du multiculturalisme, du métissage et du lobby LGBT, a annoncé via son compte Twitter son intention d’effacer la plaque en granit posée en 1931 en l’honneur du Maréchal Pétain, venu défiler en tant que vainqueur de la bataille de Verdun avec le général Pershing, considéré comme le héros américain de l’engagement des Etats-Unis dans la première guerre mondiale.

Le Maréchal Pétain et le Général US Pershing

Cette plaque est fixée dans un quartier de Broadway surnommé le « Canyon des héros » qui compte plusieurs centaines de plaques commémoratives gravées dans cette section de la pointe sud de Manhattan.

Plus largement, Bill de Blasio a annoncé un réexamen de tous les symboles de la ville qui pourraient évoquer « le racisme ou la haine ».

 

Source : medias-presse.info

QUI PAYERA LES POTS CASSES ?

Publié par Guy Jovelin le 20 août 2017

Les cours des matières premières, en particulier le pétrole, le cuivre, le cacao, le coton et le soja pour ne citer que les plus importantes, se maintiennent dans de faibles fluctuations de prix depuis le début de l’année. Des facteurs conjoncturels et structurels expliquent ce phénomène :

-Une demande chinoise atone (taux de croissance de 6% le plus faible depuis 25 ans)

-Un ralentissement économique mondial (hors Afrique) dans les zones à forte croissance (Asie du Sud-Est, Amérique Latine), et une progression modeste depuis 2 ans en Europe et aux Etats-Unis.

Plus spécifiquement, les cours du pétrole (et du gaz) avaient chuté de près de 50% en fin d’année 2016 pour atteindre un plus bas à 26 USD/baril avant de se redresser suite à l’accord de Vienne en fin novembre 2016. La prévision de 70 USD/baril en moyenne en 2017 envisagée par les experts ne se matérialise cependant pas pour le moment. Les prix, après avoir touché un plus haut à 55 USD/baril ont à nouveau plongé pour se stabiliser aux alentours de 45 USD/baril, fin juin. Les cours avaient notamment atteints leur plus bas niveau en dix mois à la mi-juin, soit une chute de près de 20% du baril depuis un sommet de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) fin mai. L’OPEP et ses partenaires, dont la Russie, ont décidé de poursuivre leur effort de limitation de leur production respective afin de soutenir les cours, mais la Libye, l’Iran et le Nigeria ont augmenté leur extraction. De plus, l’OPEP n’a pas intérêt à ce que les prix flambent, ce qui relancerait le pétrole de schiste aux États-Unis. Les producteurs américains de schiste qui ont subi de plein fouet la chute des cours, verraient d’un bon œil les prix du baril remonter à un niveau leur permettant de retrouver une rentabilité (proche des 55 USD/baril).

La conjoncture économique, financière et sociale sur notre planète ne semble pas satisfaire tout le monde. A en croire les dernières élections, en particulier en Europe, les « masses laborieuses » ne se montrent pas aussi enthousiastes que certains analystes, qui eux, se félicitent des cours historiques des actions, de l’argent généreusement octroyé par les banques centrales aux institutions financières et du soutien inconditionnel de ces mêmes banques centrales pour les actifs financiers « pourris ». En effet, la Banque Centrale Européenne (BCE) rachète les dettes souveraines et mêmes les obligations d’entreprises quand le système n’en veut plus car trop risquées ! Ces rachats à vil prix ne sont pas autorisés stricto-sensu dans les statuts de la BCE, mais des artifices juridiques font fi de ces interdits. Que ne ferait-on pas pour aider les copains ?

Votre argent sert donc bien ce système pourri, inefficace, voire inutile. Les banques exercent-elles encore leur métier d’intermédiaires : à savoir prêter de l’argent à des porteurs de projets, des entreprises désireuses d’investir, à des entrepreneurs ? Le secteur bancaire européen n’en finit pas de se lézarder et de sérieux doutes subsistent au sujet de la « fin de la Crise », ce qui ne manque pas non plus d’inquiéter les marchés. Continuer la lecture 

 

Source : altermedia.info